Si l’on interroge des sujets infantilisé par des médias sachant jouer des émotions nous pouvons nous attendre au pire, évidemment !
Si l’on interroge des citoyens (être fictif libre et surtout mentalement majeur, lequel n’existe majoritairement pas, même en Suisse ! ) pourquoi pas un référendum sur la peine de mort ?
Je suis même sûr qu’un tel référendum en France, précédé d’un long débat réellement objectif, confirmerait l’abolition.