L’industrie des avocats qui travaillent pour les grandes multinationales ou pour des administrations influentes « tourne » très bien. Et on est bien surpris à l’examen d’une relation, même très incomplète, des cabinets impliqués (par exemple, en faisant le tour des arrêts). Depuis une vingtaine d’années, « on » dépense de plus en plus d’argent dans la machine à faire taire juridique.
Quant aux pénalités financières et autres subies par les « emmerdeurs », il n’y pas que celles liées aux actions en justice : les « sanctions » professionnelles par exemple, ouvertes ou déguisées, vont encore plus loin.