Merci pour cet excellent article. On ne dénonce pas assez l’exploitation de personnels par de pseudo-associations dont l’encadrement se rémunère grassement sur le dos des personnels, des clients et de l’Etat puisque tant qu’à faire on touche aussi des subventions.
Le gouvernement ferme les yeux, y toucher entrainerait sans doute le passage de « pauvre précaire » à « pauvre chômeur » pour certains et adieu les statistiques chères à Bertrand.