Qui sait, peut-être qu’un mercenaire payé pour tuer tout ce qui bouge dans les rues libyennes s’est assis dans le siège même qui a accueilli gratuitement l’auguste popotin de notre ineffable raïs de la diplomatie française ?
Qu’elle reste longtemps ministre des « affaires étrangères » (on sait maintenant quel genre d’affaires l’occupaient à Noël...), c’est trop rigolo de voir ça.
Du jamais vu. C’est l’innovation sarkoziaque : élargir le champ des possibilités jusqu’à atteindre des rivages insoupçonnés... On se croierait en Italie.