Ah oui, alors ! Jusque là, c’était zéro à zéro sur toute la ligne. Tous les changements tactiques ont été effectués. Le thermomètre est passé à moins cinq. Le blizard se lève, le gel craque de partout.
Dans le rôle du brise-glace, Sarko, c’est comme Domenech : il gagne tous les matchs avant de les commencer, puis il s’énerve de voir que rien ne marche vu que les joueurs ne respectent pas ses consignes.
Vous verrez, il va finir par marquer contre son camp !