Pour moi, l’important reste la création d’emplois non financés par la dette publique, remboursée par nos enfants qu’ils le veuille ou non (dictature de la dette).
Une solution consisterait, pour notre pays sclérosé par toutes les réformes anti-économiques qui nous ont été imposées par les politiques en quête de réélections rapides, en l’affectation du 1/3 des effectifs des diplômés de l’enseignement supérieur dans la création d’entreprises.