la gauche doit s’intéresser aux Entreprises pour mieux les taxer, les racketter, les user, les sucer, les tordre, les essorer, les transformer en vaches à lait à usage de la collectivité des « zélus » qui s’enorgueillissent des entreprises qui sont sur leurs territoires pour mieux les contrôler, leur faire miroiter (comme pour les alouettes) des primes (aux conditions inatteignables), des subventions (payables à la St Glinglin) des prêts à taux très intéressants (pour le banquier), des mises en place, des aménagements, un cadre de vie, une foule de sévices publiques proches du chef d’entreprise, une veille attentive, un soutient moral à toute épreuve permettant à la première occasion d’avoir de la part de l’élu le courage de fuir avec des phrases de consolation du genre : je vous l’avais bien dit ou encore ça me fait de la peine ce qui vous arrive... En dehors de cette petite énumération disons dithyrambique l’antinomie entre l’entreprise et la gauche est non seulement fondamentale mais qui plus est dogmatique car je ne vois pas les socialistes abjurer et perdre ainsi les troupes de revendicateurs professionnels qui composent le noyau dur du parti.