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ddacoudre ddacoudre 12 mars 2011 00:00

bonjour sylvain
 à ta question je répondrais oui, sauf que le commerce est devenue l’illusion où l’homme peut exercer ces instincts dominateur.
depuis longtemps nous avons construit des dominants systémiques, dont la religion en est un au même titre que celui que nous avons fondé en la loi du marché.
il semble que la loi du marché s’émancipe de la régulation de la compétition par le fameux moyen de la responsabilité morale de l’entreprise, nous avons, comme dans d’autres domaines, humanisé un outil.
l’entreprise n’est qu’un dominant systémique par lequel l’on justifie d’abandonner pour raisons économiques les règles morales qui sont la marque d’une civilisation pour sortir non de l’animalité mais du cloaque engendré par la sédentarisation et la concentration humaine.
la SA est devenu l’instrument de la « déresponsabilisation » des propriétaires. la SA est le dominant et les hommes ne sont que des valeurs ajustables, à ton déjà vu un conseil d’administration condamné.
je cite toujour l’’exemple de elf, c’est l’entreprise qui a étét condamné, elle a inscrit la facture dans le compte des charges, et c’est le client qui paiera et non les actionnaires véritable patron.
là aussi nousavons un modèle de comptabilisation dominant qui n’est qe le produit de la manière dont nousavons consu nos relations sociale et économique.
de l’antiquité à1804 la relation du travail est du servage, donc de la relation contrainte hérité de la position doinant dominé structuré par la naisance souvent comme dans la grèce antique.

à partir de 1804 nous passons au louage de la force de travail et passons à la notion de contrainte volontaire, sans que cela change la relation dominant dominé, et nous savons que seul le conflit antagoniste nourri par la république et la laïcité ont permi aux capitaliste de s’inscrire dans une croissance. lucrative.
doncà aujourd’hui nous avons passer l’hommes au second plan il est soit le gestionnaire des dominants systèmiques, soit sont salariés volontaire.
nous ne sommes pas sorti de notre comportement instinctif dans la relation au travail alors que civilement nous moralisons nos relations sociale par le principe républicain et laïcque.
c’est cela qui ous reste à faire dans le domaine économique, mais cela implique de modifier un certain nombre de modéle de comptabilisation, ou modifier nosrelation pour que ces modèles se modifient en reproiduisant nos comportements, de la même manière qu’ilse sont construit en les copiant.

Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.

Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas à ses fins.

De fait une collaboration s’impose, et si le propriétaire veut être le maître absolu de ses décisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a une collaboration à imaginer pour que le propriétaire conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans s’approprier ceux générés par les tiers. L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maîtres plutôt que des guides. Le reconnaître ne la rend pas irréductible ; et si le code civil a analysé en 1804 la « marchandisation » de la force de travail comme du « louage de service », donc du marchandisage, je pense que depuis 1804, il est intervenu bien des événements culturels (développement des sciences) qui nous permettent de concevoir notre activité de travail complexes entre adultes culturalisés, comme une relation humaine, et non un conflit d’intérêt.


cordialement.


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