" Aussi, l’occultation volontaire d’un problème des plus sérieux, à savoir
la position des population autochtones, propriétaires séculaires du
désert, rendrait légitime la question de savoir si les initiateurs du
projet ont sollicité l’avis de ses dernières qui supporteraient seules
les conséquences néfastes du projet, et qui verraient leur milieu
naturel entièrement transformé. "
Quand est ce l’avis des populations autochtones, de par le monde a prévalu, pour de tels projets ?
On en arrivera à la création de sociétés de gardiennage, a défaut de pouvoir exproprier le soleil lui même, par ces firmes étrangères prédatrices, avec le concours des profiteurs locaux.