Cela s’appelle « scier la branche sur laquelle on est assis ».
Mais je crois que les mondialistes s’en foutent, eux auront toujours une vie de luxe.
Si le chaos et la misère permettent de poursuivre ou d’accélérer leur agenda de destruction des nations, des valeurs et des identités, c’est aussi bien pour eux.
Dans leur monde privatisé néo-féodal idéal, il y a aura toujours des pôles technologiques et des portions de cités protégées par des armées privées, à coté d’un gigantesque ghetto à l’échelle du territoire.