Les choses sont encore plus compliquées.
Du point de vue de la biochimie (science plus dure que l’épidémiologie), les études montrent une corrélation troublante entre sperme et VIH :
d’une part, le sperme est fortement oxydé, et ce d’autant plus qu’il est efficace :
http://molehr.oxfordjournals.org/content/7/10/913.full.pdf
d’autre part, le même oxydant (peroxynitrite) permet la réplication du VIH
http://www.retrovirology.com/content/pdf/1742-4690-4-76.pdf
Cette suite logique tendrait à prouver votre assertion, indépendamment des lésions. C’est la biochimie même du sperme qui pourrait expliquer la réplication du VIH lors de rapports anaux.