Vous évoquez la pertinence des applications numériques pour décider ce qui est bon de ce qui ne l’est pas ou la fiablité des modéles mathématiques qui nous feraient croire que tout est maitrisé sans l’intervention humaine.
Je vous assure que dans l’un ou l’autre domaine, c’est pourtant bien l’homme qui conçoit et développe les applications numérique, les modèles mathématiques , ... et qui finalement décide.
Et parfois, il se trompe ... Sacré facteur humain.