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Greys 6 avril 2011 11:32

Je suis globalement d’accord avec l’article, il manque un niveau de contrôle sur la veille médicamenteuse, cependant vous pointez du doigts les problèmes sans donner/proposer aucune solutions.

Les méthodes actuelle n’ont pas réellement évoluée depuis 40ans, parce qu’il n’existe pas actuellement de solution alternative.
Pouvez vous donner une méthode du 21e siècle efficace autre que tester sur du vivant ?
Quel serait les normes acceptables aujourd’hui ?

En général les médicaments sont test sur des rats car leur système immunitaire est relativement proche de celui de l’Homme et sont elevables en grande quantité.
Passe la phase de test animale (6 mois a 1an).
y a t-il un autre choix que de tester le médicaments sur des volontaires ?
Bon a la différence des rats, on ne peut pas les sacrifier pour inspecter leur foie (droits de l’homme, toussa).
Ca implique essentiellement des prises de sang, oscultation, etc.. bref un suivis régulier.
La période de test peut aller de 1 a 5ans sur une gamme de 500 a 10 000 volontaires et ca coute cher, très très cher, plusieurs millions voir dizaine de millions d’euros.

Les laboratoires pharmaceutique font de plus en plus appel a des organismes indépendants, tel que des services pharmaco-épidémiologique spécialisé dans ces études, relie a des Université et des hôpitaux.

Comment peut-on déterminer les effets secondaire néfaste d’un médicament sur le long termes ? a 10ans ? a 20 ans ?

Avec le temps, ces laboratoires dispose de matériel plus moderne, plus précis, permettant de mieux isoler les molécules actives.
Cependant personnes ne peut prévoir un élément externe auprès d’un patient/volontaire provocant un effet indésirable.
un petit exemple : qu’est ce qui se passe si une personne depressive traite sous valium decide de se prendre un petit whysky pour se remonter le morale en attendant que ca prenne effet ?
Cela peut varier en fonction de l’environnement, de l’alimentation, de la physionomie d’une personne.
Il est impossible de prévoir tout les paramètres faisant qu’une tranche de la population va présenter des symptômes alors que les études effectue jusque la étaient au vert.

Si je devais présenter des idées pour faire évoluer le systèmes
- Rendre obligatoire les études pharmacologies par des organismes indépendant.
- Créer des bases de données nationaux de suivis de patient (référence par des ID pour ceux qui craignent pour leur vie prive) traite sous tel ou tel médicaments afin de de continuer la surveillance des effets sur le long termes. (existent a l’etrange mais curieusement pas en France a l’échelle national).

Bon après si y a que des gens qui préfèrent se plaindre en disant que c’est une honte, sans rien apporter de constructif, je propose qu’il arrêtent de prendre des médicaments, ainsi ils ne seront plus concerne.


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