Le recyclage des perdants : une spécialité française.
En France on aime les ’loosers’ on a bien fini par élire les éternels perdants qu’ont été Mitterand et Chirac. On distribue des bons points à l’ancienneté et à l’opiniâtreté, ainsi nos prétendants ne se découragent jamais.
En Amérique c’est différent, le perdant disparait et pour toujours, il n’y a eu qu’une exception en un demi-siècle, Richard Nixon, cheval de retour après son élection perdue contre John Kennedy.
Charmant pays que le nôtre où S. Royal pourra être élue lorsque, presque octogénaire, elle aura perdu 5 élections présidentielles consécutives
L’ennuyeux c’est que l’électeur moyen est peut être persuadé que l’homo politicus moyen c’est comme le bon vin, il s’améliore en vieillissant. Grave erreur, c’est comme les cochons, plus ça devient vieux, plus ça devient ...