L’origine de tous cela est à rechercher dans les écrit et réflexion de Françis Bacon.
À partir de là, Bacon formule trois conseils pour l’expérience en
laboratoire. D’abord la nature doit « rendre compte » d’elle-même : ce n’est
pas parce qu’elle disparaît des yeux qu’il faut l’oublier. Ensuite, comme la
matière doit nécessairement persévérer dans son être,6 en la torturant, on la
poussera dans ses derniers retranchements, on lui fera révéler ses propriétés,
si du moins on arrive à lui bloquer toute issue.7 Or, troisième point, Bacon
affirme qu’il est possible de réaliser un tel espace d’expérimentation
hermétiquement clos, même pour l’air et les « esprits » les plus subtils.
http://www.cercles.com/n16/1/durel.pdf
Il y a une parenté philosophique avec Françis Bacon <<en la torturant, on la
poussera dans ses derniers retranchements>> avec les théories qui ont aboutie aux nazismes donc on sait par ailleurs si elle ont été condamner par le tribunal de Nuremberg , elle bien présente dans la recherche biologie, comme un virus qui attend le moment favorable pour se développer.
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