Il n’est pas question de « virer la Grèce comme une clocharde », mais de lui permettre une sortie ordonnée afin de pouvoir retrouver son pouvoir monétaire et dévaluer. Ce qu’ont fait tous les pays endettés qui ont retrouvé la croissance (Argentine, Islande), et ce que nous devrions faire nous aussi, non par « clochardise » mais parce qu’il n’y a aucune raison de déléguer à la BCE le pouvoir de battre monnaie, pouvoir régalien par excellence.