OUi, vous mettez en lumière un aspect de l’affaire que je ne comprends pas : le viol est un crime, la non-dénonciation de crime est un délit... alors ?
Comment peut-on entendre dans la bouche des personnes les mieux intentionnées, Clémentine Autain par exemple, qu’elles ont reçues des confidences de personnes victimes de viol, et qu’elles ont garder le secret par égard pour la victime (qui ne voulait pas porter plainte) ?
J’aimerais aussi savoir : qu’est- ce qui est poursuivi : l’acte criminel qui enfreint la Loi, ou le dommage causé à une personne qui peut choisir ou pas de demander réparation ?
Est-il normal de laisser à la discrétion des victimes, la mise en examen de criminels stricto sensu ?