j’ajoute que aucune banque ne pouvant résister à un « bank run » de cette ampleur, l’état Grec devra peut-être bientôt se porter au secours de ses banques privées - ou les laisser faire faillite ...
En d’autre termes, plus les heures passent avant que la Grece n’officialise le défaut sur sa dette, plus la situation risque de se régler comme en Argentine.