le matérialisme est comme le sucre, c’est
une drogue, et dans le cas d’un drogué sa raison est HS, et quand on y goutte,
on ne peut plus s’en passer et on est sans cesse insatisfait parce qu’on a
besoin d’en consommer encore et encore. Une fois la majorité de ces brésiliens
sortis de la pauvreté, et je considère que c’est très bien d’accéder au minimum
vital et au minimum de confort, ils ne s’arrêteront pas là, ils voudront deux
écrans plats, adopter une nourriture excessivement carnée, deux voitures par
famille, deux voyages par année…et je pense qu’il n’y a pas vraiment besoin de
pub pour y être incités. Observez les gosses, ils raffolent naturellement des
confiseries.