Je sais qu’il ne faut pas faire n’importe quoi avec l’iode, comme avec de nombreux médicaments. Mais je n’apprécie pas pour autant d’être infantilisé et de remettre mon destin dans les mains d’un préfet (et non d’un médecin) censé décider du moment où les populations doivent en recevoir. De plus, ma confiance dans les décisions de ce genre de personne dans ce genre de contexte est très modérée.