Pas facile de se reconnaitre responsables d’un tel gigantesque fiasco. Il faut du courage, de l’éthique, de la « grandeur » ... toutes choses dont sont dépourvus nos eurocrates.
Ne reste donc que la « fuite en avant », comme le souligne l’auteur.
Et dans un système où la vraie démocratie est confisquée, même si une majorité de citoyens voient le crash inévitable, ils ne peuvent plus rien faire pour l’éviter.