Bonjour, Dom y Loulou.
Mon propos n’était pas d’établir un constat exaustif et sans concession de l’état actuel de la Confédération, mais de souligner un contraste amusant auquel nous avons, mon épouse et moi, été confrontés durant notre séjour à Grindelwald. Rien de plus.
Qu ’il y ait une réalité du « chantier permanent » en Suisse, c’est bien possible, et j’y ai été confronté sur la rocade de Berne. Cela relève-t-il d’une stratégie délibérée, c’est possible aussi. Mais manifestement je ne dispose pas des mêmes informations que vous. C’est pourquoi je vous suggère, pourquoi pas ? d’en faire un article et de nous éclairer sur les motivations des gouvernants. Cela dit, sachez qu’à Paris et même dans la ville où je réside, Rennes, on évoque également le « chantier permanent » !
Sur les autres plans, libre à vous de développer. Je serais curieux, par exemple, d’en savoir plus sur ces fermes incendiées.
Non, je n’étais pas en recherche d’une image d’Epinal. Mais l’image d’Epinal est, d’une certaine manière, plus ou moins inévitable dès lors que l’on évoque ce qui se passe, de manière visible, au coeur des grands sites touristiques. Sans doute y aurait-il sujet à des articles d’une toute autre nature au terme d’un séjour à Zurich. Une prochaine fois peut-être...