Il faut appeler un chat, un chat. C’est de la corruption pure et simple. Détourner une grosse somme de fonds publiques à des fins privées en s’appuyant sur un tribunal spécial provisoire créé pour l’occasion ( laissant entrevoir un conflit d’intérêt) , la messe est déjà dite. De surcroît, fragmenter l’affaire dans deux agences publiques d’exception en indemnisant une personne privée sous couvert de fonctionnaires pions n’ayant pas accès à l’ensemble du dossier, fonctionnaires nommés spécifiquement pour servir de fusible, c’est la cerise sur le gâteau.