Bonjour, Maddle.
Vous avez raison, les chefs d’état des pays occidentaux ont de moins en moins de pouvoir contrairement aux patrons des multinationales et aux spéculateurs de haut vol. Cela dit, un président peut être complice, modérateur, voire réformateur de cette dérive. Manifestement, et contrairement à son discours officiel, Sarkozy appartient à la première catégorie.