Le premier responsable est tout de même le parquet (et, éventuellement le juge d’instruction).
Avec lui, dans chaque affaire pénale, c’est le fait du prince. Il n’a pas à se justifier vraiment.
En l’espèce, comme dit l’auteur, sans preuve, sans témoin, et avec 2 ans de recul, le parquet ou le J.I. ne pouvait que classer l’affaire, sauf, éventuellement si M. X avait des antécédents en la matière. Ce qu’on ne sait pas.
Les chargés de la défense de la société civile constituent certainement le maillon le plus faible (le plus scandaleux ?) de la mauvaise justice en France.