A partir du moment où quelqu’un se déclare français et peut donc solliciter la solidarité nationale quel que soit l’endroit où il réside, la logique voudrait que cette personne soit soumise à l’impot français sur l’ensemble de ses revenus, quitte à déduire ce qu’il paie en tant que résident, comme les américains l’appliquent à leurs ressortissants.
Un tel geste s’impose d’autant plus qu’avec leurs élus spécifiques, les expatriés vont pouvoir influencer la politique française.
Ce serait une façon simple de faire rentrer de l’argent sans pénaliser la consommation nationale et nos riches pourraient résider sans complexe où bon leur semble.
Trop simple sans doute