Bravo Zahoda, bravo et merc i !
Cette indignation nous la ressentons si vivement que nous avons quelque peine à ne pas crier « vengeance ! ».
A la manière du « j’accuse » de Zola, nous aimerions tant faire bouger notre pauvre peuple de France, tiède, écervelé, drogué par la propagande télévisuelle, et abêti par des problèmes de chômage, de vie au quotidien, de « chacun pour soi »...
Comme j’aimerais, à titre personnel, que certains des responsables de cette ignominie puissent être traduits devant un tribunal AU LIEU DE PAVOISER DEVANT DES MONCEAUX DE CADAVRES !
Cordialement à tous, (sauf peut-être Kinini qui poursuit allègrement son rêve égémonique)