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Accueil du site > Tribune Libre > Affaire Buisson : Fascisation Buissonante

Affaire Buisson : Fascisation Buissonante

Qu’y a-t-il d’important dans cette nouvelle"affaire" qui fait le une des médias ? On peut résumer la réponse par un terme : fascisation. La pénétration au plus haut niveau de l’Etat d’un personnage qui est un fasciste doit faire comprendre à ceux qui sont encore aveugles que le processus de fascisation ne touche pas seulement l’Ukraine ou la Hongrie mais aussi la France et l’UE en général

Il ne s’agit pas seulement de la montée de groupes fascistes et nazis mais de la conviction de plusieurs cercles des classes dirigeantes/possédantes de préserver leurs intérêts de classe avec l’option fasciste.

La présidence Sarkozy représente à cet égard une étape qualitative importante, c’est pourquoi nous ne confondions pas Sarkozy et Chirac : deux ennemis de classe mais non identiques. Ne pas comprendre des courants qui traversent la classe ennemie, c’est commettre une faute politique majeure.

On connait la définition du fascisme que donnait Georges Dimitrov et à sa suite l’Internationale communiste :

« le fascisme est la dictature terroriste ouverte des éléments les plus réactionnaires, les plus chauvins, les plus impérialistes du capital financier ».

Si cette phrase a un sens, elle différencie, au sein de la bourgeoisie, les éléments qui optent pour le fascisme et les autres. La différenciation est donc importante et explique que le léninisme nous apprenne à définir un ennemi principal et donc à choisir (quand on le peut) notre ennemi, non pour s’entendre avec lui mais pour mieux s’y confronter.

Aujourd’hui que constatons nous : une offensive sans précédent depuis 1945 du grand capital contre le monde de travail, classe ouvrière en tête, offensive qui se déploie mondialement et avec des outils institutionnels qui répondent aux exigences du capital (UE, OTAN, FMI etc…).

Bien entendu cette offensive n’est pas sans effet et n’est pas sans provoquer des réactions populaires c’est-à-dire de la part de ceux qui subissent le recul de leurs conquêtes, de leurs droits, de leur niveau de vie. Et c’est pour faire face à cette résistance potentiellement révolutionnaire que la bourgeoisie lorgne vers le fascisme, à la fois pour briser le mouvement ouvrier et populaire et pour stériliser la colère populaire en la drainant vers le fascisme, lui offrant ainsi une base de masse.

Le pouvoir actuel quant à lui poursuit la politique de fascisation en :

1-continuant voire en aggravant la politique de réaction et de régression sociale de l’équipe précédente

2-en s’alignant sur l’impérialisme américain et en menant une politique belliciste tous azimuts

3-en brisant au profit de l’UE (outil supranational du capital) et la souveraineté populaire, et l’unité territoriale et linguistique de la France. Ce gouvernement crée ainsi les conditions du renforcement du fascisme en France.

Ajoutons à cela une double manipulation tactique du la part du PS et de ses partis vassaux : a) affaiblir la droite en instrumentant et en valorisant le fascisme

b) diaboliser la vraie gauche et les militants franchement communistes accusés de faire le jeu du fascisme s’ils n’acceptent pas la politique de droite du PS.

Cette analyse semble nous écarter de Buisson et de son dictaphone. En fait non, car le fait qu’un homme qui ne se réclame même pas de la République mais des « Camelots du roi »*, que ses parents ont amené manifester pour la contre-révolution hongroise en 56 (il avait sept ans), qui fut un activiste de l’ OAS puis directeur du journal fasciste Minute, de Valeurs actuelles, promu par Benoit XVI à l’ordre de Saint-Benoît-le-Grand…

bref, qu’un tel individu devienne le conseiller en chef d’un président de la République, démontre plus que tous les discours combien la fascisation des classes dirigeantes est une réalité et combien retardent sur la réalité ceux qui, bien que se réclamant en surface de Lénine et de Dimitrov, nient la fascisation rampante, voire galopante de l’ Europe en général et de la France en particulier..

ATI ARIS

* bande monarcho-fasciste violente dissoute par le Front Populaire

Les Billets Rouges de ARIS sont à suivre sur le site web du PRCF


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20 réactions à cet article    


  • LE CHAT LE CHAT 7 mars 2014 12:49

    évidemment , tout ce qui ne parle pas comme vous est du fascisme !


    rien qu’en lisant la dialectique de ce pauvre article ,on voit que êtes vraiment restés sur la branche ! un jargon marxisant de gauchiste des années 70 ! le monde évolue et plus personne ne veut d’une dictature communiste !

    • taktak 7 mars 2014 14:32

      « Ah que les faits vous dérangent, les badaboaufs »

      c’est exactement cela.


    • Agor&Acri Agor&Acri 7 mars 2014 17:11

      ce que m’évoque cet article :
      Quand on a un marteau dans la tête, on voit tous les problèmes en forme de clou.

      L’auteur place ici le fascisme au centre de son scope et analyse le monde à travers le prisme de sa lubie.

      Ne considérez pas mon commentaire comme résultant d’un parti-pris anti-communiste ou pro-fasciste = ce serait pur procès d’intention.

      Pour m’expliquer, je ne vais pas tout reprendre point par point, ce serait trop long.

      Alors juste une réflexion :

      Au delà de la dialectique (datée, c’est un fait !), il y a la sémantique.

      Le fascisme.
      Terme est employé, au quotidien, dans son acception la plus large, pour disqualifier l’ennemi politique.
      Le nazisme s’est en partie inspiré du fascisme (fait historique).
      Nous parlons là...des heures les plus sombres de notre Histoire
      L’expression est de moi, je viens de l’inventer. smiley
      Ou peut-être pas, il est possible que je l’ai entendue 1 fois ou 2... ou 100, ou 1000.
      Les heures les plus sombres de notre Histoire smiley
      Génocide...Holocauste...Shoah !!!
      et nous y voilà : ANTISEMITISME.

      Fasciste = antisémite.

      L’auteur nous livre son couplet sur l’ennemi à abattre,
      celui qui nous a rendu la société invivable,
      celui qui est à l’origine de la toute puissance malfaisante de l’argent,
      de la mise en concurrence des individus (en tant que forces productives) les uns contre les autres,
      de l’asservissement des médias aux intérêts des puissants,
      de l’hypertrophie des procédés marketing qui nous poussent à une hyper-consommation destructrice des ressources naturelles et de l’environnement
      etc, etc...
      j’ai nommé...(roulement de tambour)...l’antisémite.

      A mort l’antisémite et le « grand capital » s’écroulera sur lui-même et les richesses pourront enfin être équitablement partagées.
       smiley smiley smiley smiley

      N’y aurait-il pas comme un grain de sable dans le logiciel du PCRF ?


    • Rensk Rensk 8 mars 2014 02:45

      Par LE CHAT,

      Je ne crois pas comme vous... Je n’ai pas lu la même chose que vous....

      Ce pédant pondeur de l’article n’a qu’une seule « faute »... c’est qu’il est pédant et tourne autour du pot comme Hollande la fait tous les jours...


    • Rensk Rensk 8 mars 2014 02:52

      Ben tiens, il aurait pu ne simplement citer l’intervention du général français....

      Selon le Général français Vincent Desportes :

      La Russie ne viole aucune loi, qu’elle soit internationale ou autre, selon les accords signés avec l’Ukraine, la fédération est autorisé à disposer d’une force de 25 000 hommes sur le territoire ukrainien, actuellement, même avec les derniers mouvements de troupes, les forces russes ne s’élèvent pas à plus de 15 000 hommes en Crimée, comme le souligne le Général français nous sommes encore loin du compte, d’autre part, le Général souligne le fait que l’Ukraine ne fait ni partie de l’Europe, ni de l’Otan, de ce fait, ni l’UE ni l’Otan ne sont disposés ou autorisés à intervenir en Ukraine.« 

      Tout le »bien« au »Le Monde« ... pseudo journal qui n’ose pas parler de leurs généraux (pourtant, on ne deviens pas générale pour le plaisir des politiques, des journalistes, ont le deviens a l’interne de l’armée qui trouve que ce »con-là" peut défendre le pays...


    • lcm1789 8 mars 2014 18:02

      Etrange de venir parler d’antisémitisme ici....alors que l’article n’en parle pas.

      La facsisation du pays dont l’auteur de l’article démontre que Buisson est un symptôme, c’est le détricotage des oripeaux démocratiquex du capitisme au profit de la violence et de l’illégalité.

      Que ce soit en france, avec le nom respect du cadre démocratique, de la séparation des pouvoirs et du vote des citoyens (et cela que ce soit par le PS ou l’UMP).
      Par la violence contre les droit des travailleurs et du peuple (ANI, retraite, RGPP, MAP, cice, pacte d’(Ir)responsabilité).
      Le fascisme c’est d’abord cela, ce le non respects des règles démocratiques au profit de la classe exploitante.

      A l’étranger comme en Ukraine, c’est encore plus visible avec la grossière manipulation de Maïdan.

      Evidement cela va de pair avec une monté de l’intolérance et du rascisme dans notre pays.
      Sentiments nourris par le recul du sentiment républicain alimenté par les cléricaux de tous bord, mais aussi par la dépossession nationale au profit de l’UE.

      Bref, pour lutter contre la fascisation du pays, il est urgent de redonner la souveraineté au peuple de franceet de lutter contre l’UE et ses chancres qui tous autant qu’ils sont, du Faux Nez du capital mondialisé au Buisson monarchiste en passant par les socialo atlantistes détruisent notre pays.

      cela commence par une abstention massive aux élections européennes


    • BA 7 mars 2014 15:14

       

      Placé sur écoute, Nicolas Sarkozy menacé par une nouvelle affaire.


      L’affaire est sans précédent. Un ex-président de la République et deux de ses anciens ministres de l’intérieur placés sur écoutes téléphoniques. Gilbert Azibert, l’un des plus hauts magistrats français, suspecté de renseigner discrètement Nicolas Sarkozy sur l’affaire Bettencourt, en échange d’une sinécure à Monaco. La Cour de cassation, plus haute juridiction de l’ordre judiciaire, accusée d’être sous influence, ses principaux membres susceptibles d’être interrogés par les policiers. Tous les ingrédients d’un scandale d’Etat sont réunis.


      1- Sarkozy placé sur écoute.


      Le point de départ de l’affaire remonte au 19 avril 2013, lorsqu’une information judiciaire pour « corruption » est ouverte à Paris. Confiée aux juges Serge Tournaire et René Grouman, elle vise un éventuel soutien financier de la Libye à la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, en 2007. Discrètement, les magistrats prennent une décision forte : ils mettent l’ancien président sur écoute, ainsi que deux de ses anciens ministres de l’intérieur, Claude Guéant et Brice Hortefeux.


      En décembre 2013, plusieurs conversations enregistrées entre M. Hortefeux et l’ancien patron de la police judiciaire de Paris, Christian Flaesch, fuitent dans Le Monde. Elles révèlent une proximité gênante entre l’homme politique et l’enquêteur, entraînant la mise à l’écart du policier.


      L’épisode inquiète les sarkozystes. M. Sarkozy lui-même devient laconique sur son téléphone « officiel ». Les juges s’interrogent, et finissent par découvrir que l’ex-chef de l’Etat dispose d’un second portable, enregistré sous un nom fictif. A son tour, cet appareil est placé sous surveillance. Les écoutes révèlent des échanges avec un autre téléphone mobile acquis avec une identité d’emprunt : il s’agit du portable acheté par Me Herzog pour échanger en toute confidentialité avec son client.


      2- Un magistrat renseignait le camp Sarkozy.


      Un épisode crucial se joue au même moment à la Cour de cassation. Le 11 mars, la haute juridiction doit dire si la saisie des agendas privés et officiels de M. Sarkozy, au cours de l’enquête Bettencourt, était licite ou non. Or, ces agendas sont décisifs dans l’affaire Tapie/Lyonnais, dans la mesure où ils révèlent sa proximité avec Bernard Tapie. Si la saisie initiale de ses agendas devait être invalidée, c’est tout un pan de la procédure qui s’écroulerait. D’où le pourvoi déposé en septembre 2013 par Me Herzog auprès de la Cour de cassation.


      Or, les conversations téléphoniques entre M. Sarkozy et son avocat, Me Herzog, retranscrites par les enquêteurs, montrent que les deux hommes sont très bien renseignés sur la procédure en cours. Et pour cause. Gilbert Azibert, avocat général près la Cour de cassation, affecté à une chambre civile, est un vieux routier de la droite judiciaire. Nicolas Sarkozy l’a reçu au moins une fois, lorsqu’il s’est agi de le nommer, en 2008, secrétaire général de la Chancellerie. Et Thierry Herzog le connaît depuis longtemps. M. Azibert, qui a accès au service intranet de la haute juridiction, renseigne le camp sarkozyste sur l’évolution des tendances au sein de la Cour de cassation, les écoutes en font foi.


      3- Des renseignements en échange... d’une sinécure.


      Me Herzog s’en ouvre au téléphone auprès de M. Sarkozy. Et lui confie au passage que M. Azibert serait ravi de bénéficier d’un coup de pouce professionnel. En effet, proche de la retraite, celui-ci postule pour un poste de conseiller d’Etat à Monaco. Il aimerait bien, aurait-il glissé à l’avocat, que l’ex-chef de l’Etat, doté d’un fort pouvoir d’influence, intervienne en sa faveur.


      Informés de ces conversations en février, les juges rédigent une ordonnance de soit-communiqué adressée au tout nouveau parquet national financier (PNF). Celui-ci, le 26 février, ouvre une information judiciaire pour « violation du secret de l’instruction » et « trafic d’influence ». Deux juges, Patricia Simon et Claire Thépaut, sont saisis. La première incrimination signifie que les magistrats souhaitent savoir si et comment M. Sarkozy a eu vent des écoutes téléphoniques le visant. La seconde, plus embarrassante, s’il a vraiment favorisé la carrière de M. Azibert.


      Or, les magistrats s’interrogent sur une drôle de coïncidence. M. Sarkozy passe la dernière semaine de ses vacances de février en famille, à Monaco, à l’hôtel de Paris, où il suit une cure thermale. Il y est rejoint durant la semaine par son avocat, Me Herzog, niçois d’adoption. Les juges suspectent les deux hommes d’avoir à cette occasion pu solliciter les autorités monégasques afin de récompenser M. Azibert – ce que conteste vivement Me Herzog.


      4- Spectaculaires perquisitions à la Cour de cassation.


      Mardi 4 mars, comme l’a révélé L’Express, les magistrats passent à l’offensive. Une spectaculaire série de perquisitions est menée. Plusieurs juges sont mobilisés, dont Serge Tournaire et Guillaume Daïeff, qui enquêtent en parallèle sur l’affaire Tapie. Les policiers débarquent aux domiciles de MM. Azibert et Herzog, mais aussi dans leurs bureaux, notamment celui du magistrat à la Cour de cassation. Ils saisissent chez Me Herzog ses deux téléphones portables, trois courriels, des billets d’avion pour Nice... Ils examinent aussi ses échanges de courriers avec M. Sarkozy. Vendredi 7 mars, le magistrat indique sobrement : « Je ne sais pas de quoi il retourne. J’attends. »


      A la Cour de cassation, c’est l’effervescence. Plusieurs hauts magistrats pourraient être entendus par les enquêteurs de l’office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales, qui examinent depuis le 4 mars les éléments saisis lors des perquisitions. L’affaire ne fait que débuter.


      http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/03/07/nicolas-sarkozy-sur-ecoutes-la-justice-soupconne-un-trafic-d-influence_4379307_3224.html



      • Rensk Rensk 8 mars 2014 02:56

        On a déjà lu cela ailleurs... vous avez quoi a dire sur ce sujet ? Du copier coller sans votre avis... c’est de la publicité « cachée » où de la propagande éhontée ???


      • bleck 7 mars 2014 15:24

        Pauvres billes socialistes

        Ils vont en faire un martyr du Sako

        Comme pour Dieudonné qui n’a jamais eut autant de fans

        Je les savais nuls à chier ; mais cons à ce point-là : j’imaginais même pas

        C’est vrai que 1000 nouveaux chômeurs/jour à la veille d’élections ça fait faire n’importe quoi

        Moi du coup je ne sais pas si je ne vais pas voter pour Sarko au prochain coup

        Pauvre Sarko ; persécuté par la droite Hollandaise


        • Yohan Yohan 7 mars 2014 20:22

          Faut croire que Sarko n’était pas assez de droite. Il n’y a que la gauche pour pouvoir faire une politique de droite sans craindre de mettre les gens dans la rue.


        • Rensk Rensk 8 mars 2014 03:19

          Savais pas que les juges étaient une fois de droite et une fois de gauche... toujours en gardant le même « siège » non éjectable... (Votre prétention est une nouvelle pour moi)...

          Les juges qui ont eu affaire a Dieudonné ont sauf exception (pot de vin ?) donné raison a Dieudonné... 7 perdu (vendu ?) pour 36 où 37 procès en France... Tous les procès intenté par vos « anti-racistes » hors de France perdu par eux, Belgique, Suisse par exemple... (semble que nos juges ne sont pas obligé comme les vôtre ; il aurait eu assez d’argent pour aller au tribunal des droit de l’homme sûr qu’il aurait eu gain de cause... et la France tord une fois de plus)

          Mais voilà, faut avoir de l’argent et de réels bons avocats pour cela... Moi je me promène depuis 14 ans avec mon assurance obligatoire de l’invalidité... des procès en veut-tu en voilà, jusque à la dernière instance du pays qui renvoie le tout a la première instance... Impossible « légalement » d’apporter cela devant la juridiction des droits de l’homme car : il faut utiliser TOUTES les instances du pays pour avoir « droit » a ce tribunal... = Au moment où il a été condamné par les juges il n’avait pas assez d’argent pour aller en instance supérieur vu qu’un avocat n’ose pas travailler gratuitement selon la loi (donnateurs bienvenu, assurance protection juridique possible mais si ils vous lâchent c’est a vous d’avancer le fric pour vous faire rembourser après jugement = « assurances » de rien du tout = arnaque au plus haut niveau !)


        • bleck 7 mars 2014 15:37

          En plus sont fort les merdias

          Motivés qu’ils sont par la ristourne de 40 % d’impôts et les « aides » en tous genres

          Voilà un mec qu’est placé sur écoute depuis 1 an : c’est lui qu’en est le coupable

          L’est pas belle la vie en socialie ?

          Moi je pourrais leur suggérer un truc : que le Bouffi refile Sarko à son pote Barak
          p’t’être qu’à Guantanamo il cracherait tout la carogne ?

          J’en connais qui refilent des croquettes à leurs toutous quand ils sont bien gentils ; Barak pourrait bien faire çà pour son Youky-Frenchie


          • bleck 7 mars 2014 15:55

            Son Youky -Frenchie qui remue la queue quand il monte sur un scooter... smiley


          • Rensk Rensk 8 mars 2014 03:26

             ???

            Tu déconne grave où alors tu parle pour ne rien dire vu que tu n’a aucune idée de quoi tu parle... Tu ne serais pas marseillais par hasard ? (Tu sais, la gueule élastique comme les genevois)



          • bleck 7 mars 2014 15:43

            Tiens ça me fait penser à un truc :

            L’Obama - Joli l’avait pas dit qu’il les fermerait ses abattoirs de Guantanamo sitôt élu  ?

            Pas étonnant qu’il s’entend bien avec sa Carpette ; aussi menteurs l’un que l’autre

            De vrais dentistes


            • Rensk Rensk 8 mars 2014 03:48

              Il a été élu quand déjà ?

              Punaise t’as déjà de l’Alzheimer a ton âge ???

              Question dentiste... essaye avec l’aide de quelqu’un de te coucher sur le dos a plat et que la personne tente de prendre tes deux pieds et de les mettre a 90° a l’intérieur...
              Tu constatera qu’un pied répond a ta « demande » mais que l’autre refuse d’aller jusqu’à ce point-là
              Met quelque chose de 0.3 millimètre entre les dents du fond (plus de dents de « sagesses ») sur le côté qui refuse d’aller a 90° et essaye le truc a nouveau (en fermant la bouche bien sûr a chaque fois)...

              Tu crois que c’est des « conneries » ? Alors met le même truc du côté du pied qui a bien répondu et refait le test...


            • Fergus Fergus 7 mars 2014 16:39

              Bonjour, PRCF.

              Très franchement, je crois que Sarkozy est beaucoup moins un fasciste qu’un opportuniste, prêt à soutenir n’importe quelle idéologie, pourvu qu’elle conforte son insatiable appétit de pouvoir. Raison pour laquelle il n’a pas hésité à citer Jaurès avant de s’en remettre au maurassien Buisson. 


              • Fergus Fergus 7 mars 2014 16:41

                Mais si Sarkozy n’est pas foncièrement un fasciste (il le deviendra sas hésiter si cela le sert), il est en revanche un chef de clan sans scrupules à profil mafieux.


              • Jean-Marc B 8 mars 2014 09:21

                Ceux qui s’effarouchent de savoir que des écoutes (à la manière de Buisson ou à la manière des renseignements généraux) sont pratiquées, sont très souvent des hypocrites ... Les journalistes pratiquent des interviews et ne prennent pas de notes : le magnétophone fait ce travail. Certes, dans ce cas, la personne qui est entendue par le journaliste , est prévenue. Et elle va tout faire pour que ce qu’elle dit corresponde, dans l’essentiel, à ce qu’elle veut communiquer au destinataire de son discours (le lecteur, l’auditeur du journal télévisé ....). (forme de manipulation ?.. non ?... sincérité ?...allons donc.... il y a toujours du vrai et du faux dans les transcriptions d’interviews )
                Croyez-vous qu’un président, peut ne pas savoir qu’il est susceptible d’être enregistré à tout moment ?... La réaction de NS qui se plaint de tels agissements était peut-être feinte .... Il met d’ailleurs ainsi en valeur ce qui a pu être enregistré ...
                Et si dans ces enregistrements, sous le masque des « conversations » relâchées ou secrètes, il y avait de fausses révélations.... des affirmations qui aideraient bien à dédouaner le locuteur de certaines accusations ????....
                 Comme le signalent plusieurs journalistes et l’auteur de cet article aussi, il y a lieu de s’interroger sur la présence d’un tel personnage (Buisson) comme conseiller auprès du président et on peut s’interroger sur la qualité, la moralité, des conseils donnés.
                On jette en pâture au peuple Monsieur Buisson. On accrédite encore plus, là aussi, la possibilité de découvrir des choses révélatrices dans ses enregistrements inadmissibles .... Peut-être ces « révélations » seront-elles à prendre avec précaution ... L’opinion public serait encore manipulé que cela ne m’étonnerait pas !!!! On a déjà eu la preuve que nos politiques savaient nous maltraiter en nous mentant, en ne tenant pas le moins du monde leurs promesses électorales ....

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