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Accueil du site > Tribune Libre > Chômeur ? Plus jamais ça. Tradons

Chômeur ? Plus jamais ça. Tradons

Ils sont lourds ces chômeurs ! Ils n’ont sûrement jamais tradé. Pourtant, avec un brin « d’analyse de marché quotidienne » et de jugeote, ils pourraient eux aussi «  faire 100 euros/heure ». Mais non, ils s’enferment dans un processus qui fait d’eux des perdants professionnels.

Certains d’entre vous en sont sortis en « apprenant comment bénéficier des hauts et bas du marché ». Vous êtes des exemples de la France qui gagne.

Comme vous, je suis devenu un vrai Trader. J’ai appris à trader sans avoir « jamais tradé auparavant » parce que iForex a mis à ma disposition « un kit d’apprentissage » qui m’a ouvert les yeux sur le «  marché des devises le plus liquide, dynamique et lucratif au monde ». Depuis, je me fais du pognon.

J’étais sur 20mn.fr, rubrique « Politique », à lire le billet de Maud Pierron intitulé «  Si les syndicats bougent, Sarkozy sera obligé de liquider Woerth  ». Le titre était alléchant, mais j’en étais arrivé à me dire que le titre m’agaçait, au motif qu’il m’apparaissait qu’il eut été préférable de remplacer le mot « syndicats » par « Français », pour éviter les surprises de négociations de couloir...

La pub de IForex en bas de page vint me rappeler que j’avais choisi le bon chemin, enfin débarrassé de mes oripeaux de geignard.

Maintenant, j’étais un homme nouveau, occupé à peser mes patates à l’aune du taux de chômage élevé des autres et des fluctuations du PIB.

Ce matin, après avoir constaté que la croissance économique de l’euroland au deuxième trimestre avait atteint 1%, j’avais fumé un cigareCAO Mx2 Toro dédicacé par Christian Blanc, le regretté secrétaire d’Etat au Développement de la région capitale. Vous ne connaissez pas ce « double maduro  » à la cape huileuse à 12 euros pièce ? Devenez Trader, vous en ferez votre quotidien.

Ce n’est pas si difficile de devenir trader : on « achète quand on pense que la monnaie va monter et on vend quand on pense qu’elle va descendre... Et hop, on a gagné quelques centaines, milliers ou millions d’euro... Et on claque la porte à son boss (ou du Pôle Emploi) et le rêve de travailler quelques heures par jour au bord de sa piscine devient réalité !!!  ». Mais non, je plaisante !

Mais comme vos pairs, à votre rythme, vous vous enrichirez en traitant les devises, après que vous ayez ouvert « un compte avec un broker (courtier) respectable »... Après, le Two-Way price, le Two-morrow to Next et le roll-over n’auront plus de secrets pour vous. Bientôt, vous ferez du Forex scalping, excitant en diable à capter quelques pips par transaction. J’adore jongler avec les pips. C’est mieux que les Assedics, non ? En plus, voilà qui entretient votre anglais. Votre banquier habituel cessera de vous harceler. Et surtout, vous ne serez définitivement plus un looser

J’ai changé ma vie à la force de mon poignet droit. Ce faisant, en ne rembauchant pas dans une entreprise française, j’ai échappé aux destructions d’emplois en 2009 et à la hausse vertigineuse des CDD (une embauche sur dix) en 2010. La vista !...

Senior, j’aurais été bon pour l’abattoir quelques mois suivants.

Déjà, j’avais eu la sagesse d’éviter d’être jeune, et j’avais bien fait : je serais arrivé avec 600 000 autres en septembre 2010 sur le « marché de l’emploi ». J’aurais été de la « génération perdue » passée par les profits et pertes de la toute puissance de l’actionnariat goulu, avec pour seule perspective le non emploi durable, comme 4,5 millions de Français.

Entendons-nous bien : je ne fais pas de politique, et je ne me permettrais pas de me mêler du contrat de travail que les Français ont laissé atomiser en une multitude de statuts qui les assurent d’une précarité totale ! Ils l’ont voulu !

Simplement, je cause. Trader, c’est l’avenir. Votre avenir ne dépend plus de la force de votre travail dans l’économie mais de l’exploitation de celle des autres.

Vous avez remarqué comme les entreprises du CAC 40 font « d’insolents bénéfices, multipliés par deux en un an , largement dopés par les fonds publics au détriment de la croissance et de l’emploi  » ?

Jouer la Bourse contre l’industrie, c’est s’offrir année après année l’annus mirabilis aux portes de votre HLM.

Le père Noël pour toutes les Bourses.

Bienvenue au Club, avant les manifs ? 


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20 réactions à cet article    


  • Kalki Kalki 7 septembre 2010 10:09

    Investissement à cour terme :
    • ’Algorithmic’ trading  : 73 % des investissements sont lancés par des ia en 2009. ( high-frequency funds that use artificial intelligence, or algorithms ) 14)

    Investissement à « long terme » ( plusieurs mois ) :

    15) Nerd on wallstreet ( l’histoire de l’ia en bourse )


    • Gstock (site) Stratégie d’investissement distribué - est dédié à la recherche de toujours mieux les stratégies de l’analyse technique.
    • MoneyBee (site) - génère des prévisions des stocks par l’application de l’intelligence artificielle à l’aide de réseaux de neurones artificiels.
    Soyons fou : il y a un bout du tunnel vous savez : une fois que l’on ne peu plus gagner au jeu, contre la machine, le jeu d’un seul coup n’en vaut plus la chandelle pour certains : c’est bizarre

    • Kalki Kalki 7 septembre 2010 10:11

      La culture est une société post-pénurie ayant une Économie de l’abondance (ce qui signifie que ses technologies de pointe offrent la richesse matérielle pratiquement illimité et le confort pour tout le monde gratuitement, et ayant quasiment supprimé la notion de biens), en ayant surmonté la quasi-totalité des contraintes physiques sur la vie (y compris la maladie et la mort) et en étant presque totalement égalitaire, la société est de plus stable sans l’utilisation de toute forme de force ou contrainte, sauf si nécessaire pour se protéger ou protéger les autres.

      Les Minds, de puissantes intelligences artificielles jouent un rôle important dans cette société. Elles administrent cette richesse pour le bénéfice de tous. Comme un commentateur l’a dit,

      "En confiant toutes la puissance à ces intelligences Artificielles « Minds », à la fois individualiste, parfois excentrique, mais toujours bénigne, Banks savait ce qu’il faisait, c’est le seul moyen pour que l’anarchie libérale puisse être atteint, en prenant le meilleur de l’homme et en le plaçant au-delà de la corruption , ce qui signifie hors de contrôle de l’homme. Le danger impliqué dans cette étape d’imagination, cependant, est clair ; l’un des problèmes avec les romans de La Culture en tant que romans, c’est que les personnages centraux, les Minds, sont trop puissants et, pour le dire crûment, trop bon. "[1]

      Les protagonistes des romans du cycle de La Culture, sont donc le plus souvent des gens en marge de la Culture, des diplomates, espions ou des mercenaires, ceux qui interagissent avec d’autres civilisations, et qui font le sale boulot de La Culture visant à déplacer ces sociétés pour qu’elles soient plus proches de l’idéal de La Culture, parfois par la force, parfois par la corruption stratégique. En cela c’est une allégorie de la culture américaine présente, projeté dans un avenir de science-fiction.


    • Kalki Kalki 7 septembre 2010 10:12

      Actuellement : Que faites vous si il n’y a plus personne pour consommer ce que vous pouvez produire ? Vous attendez l’effondrement du système économique ? ou Vous sublimez l’économie passée : vous produisez et les consommateurs consomment toujours … et on continu le chemin … Vous voulez plus de croissance, dépassons la ’formule’ de la croissance :

      Q = Ka Rb Lc avec a + b + c » 1

      • la quantité de travail (L) : infinie. Industrialisation, Robotique, intelligence artificielle , la quantité de travail humain est réduit à ce que désire faire l’humain : il reste présent.
      • le stock de capital (K) est proche de l’infinie : la consommation de base est ’donnée’ en terme de capital ou matériellement selon l’économie : cela arrivera d’une manière ou d’une autre. Quel que soit le scénario : il ne reste ne nous reste qu’à nous ouvrir à ce fait
      • Les ressources naturelles disponibles (R) : meilleur gestion et décision politique , écologique et … on se tourne vers l’avenir et le ciel …

      Il n’y a pas de problème ; il n’y a que des solutions. ( l’esprit scientifique )

      Rappelons également que le peuple est souverain en son pays, que l’état est un état de droit, et que la dette inique peut être remise à zero.

      Voir des citations de Verzola Robert  : "Nous allons l’appeler l’archétype de l’abondance qui est créé lorsque le coût de reproduction de la ressource tend vers zéro, l’abondance multiplicatif. Les Marchandises appartenant à cet archétype sont abondants, car les moyens de faire plusieurs copies identiques sont devenus tellement accessible et le coût ce faisant, est devenu si bas, qu’ils sont facilement reproduit quasiment gratuitement. Cette dynamique est en train de devenir la force motrice de l’économie du 21e siècle.

      Le fait de seulement reconnaître l’existence de l’économie de l’abondance, c’est un grand bond conceptuel pour beaucoup d’économistes, dont les hypothèses fondamentales sont fondées sur la rareté. Certains économistes disent même que les biens en abondance cessent d’être intéressant parce que le problème de la pénurie a été résolu. Mais si l’abon-dance résout le problème de la pénurie de l’économie actuel, alors les économistes ne devraient ils pas consacrer autant de temps à la solution du problème lui-même ? La réponse devrait être évidente. En effet, l’étude de l’économie de l’abondance devrait être le principal domaine d’études, non seulement pour les économistes, mais aussi pour d’autres chercheurs en sciences sociales et en sciences physiques. "

      Kevin Kelly nous décrit les valeurs de l’abondance :

      • La valeur jaï de l’abondance

      La Plénitude (ici synonyme d’abondance), et non pas la rareté, régit l’économie de réseau. La reproduction, la réplication, et les copies se produisent en excès. Tout ce qui peut être fait, peut être fait en abondance. Cette plénitude :

      • Alimente la valeur
      • Œuvres à ouvrir les systèmes fermés
      • Inter-relis un nombre immense de possibilités ; pour en créer de nouvelles (émergence)

      Considérons le premier télécopieur (fax) moderne qui est sorti d’usine vers 1965. Malgré les millions de dollars consacrés en R & D , il ne valait rien. Zero. Le deuxième télécopieur (fax) à être construit a immédiatement donné une valeur au premier. Il y avait quelqu’un à qui faxer la télécopie. Parce que les télécopieurs sont liés dans un réseau, chaque machine fax supplémentaires qui est fourni augmente la valeur de tous les télécopieurs en exploitation avant lui.

      C’est ce qu’on appelle l’effet de fax. L’effet de fax dicte que la plénitude génère de la valeur.

      "L’économie mondiale, qui double maintenant tous les 15 ans, environ, et elle va bientôt doubler toutes les semaines ou tous les mois." Economics Of The Singularity, Robin Hanson / Juin 2008 IEEE

      Nous ne sommes plus dans une économie de rareté : nous sommes dans une économie de l’abondance.

      • Qu’est ce que ca implique comparativement ?

      Charle Stross ( auteur du livre libre primée Accelerando ) : En un mot, sur l’économie 2.0 : l’économie est l’étude de la répartition des ressources entre les êtres humains dans des conditions de pénurie ou rareté (un économie dans laquelle les ressources ne sont pas suffisantes pour satisfaire la demande maximale par toutes les personnes simultanément). L’allocation des ressources se fonde sur la distribution des informations - par exemple, des signaux de prix sont utilisés pour indiquer la demande (dans un système économique capitaliste). À leur tour, les interactions économiques au sein, par exemple, d’un environnement de marché dépendra de la façon dont les acteurs au sein du système économique utiliseront leurs renseignements sur les désirs et les besoins des autres.

      Pour donner un exemple pratique ( de l’économie de rareté )  : disons que je suis en train de ramper à travers un désert et je meure de soif, et vous avez la seule source autorisé pour de l’eau embouteillée à une centaine de miles. Combien vaut votre eau ? Au milieu d’une ville pleine de fontaines d’eau potable tous les cinq mètres et des fournisseurs concurrents, il vaut a peine un dollar par bouteille. Mais au milieu d’un désert, si quelqu’un qui meurt de soif, sa valeur est presque infinie. Vous pouvez modéliser ma situation et mes chances (mort-de-soif) de vous payer selon un changement dans votre prix de vente et ainsi de décider du prix pour tenir compte de la demande. Vous pouvez faire cela parce que vous avez une théorie de l’esprit, qui vous permet de modéliser mon état intérieur, et ainsi de déterminer qu’en mourant de soif, ma demande d’eau sera beaucoup plus élevé que la normale. Et c’est là que traitement de l’information entre en interactions économiques.

      (Economie de l’abondance) Quel type de traitement de l’information pourraient avoir des entités beaucoup plus intelligents que les humains, dans le cadre d’interactions économiques ? (voir intelligence artificielle) Dans l’hypothèse que j’ai utilisé dans Accelerando, si ces entités, avec une théorie de l’esprit beaucoup plus forte que des humains ordinaires gèrent l’économie, leur capacité de modélisation du rapport fournisseur / consommateur sera beaucoup plus profonde et plus efficace que les humains ne peuvent imaginer. Et oui, l’homme sera dans un désavantage profond pour tenter de s’engager dans des interactions économiques comme celles d’aujourd’hui. Ces « entités » participeront à des échanges économiques que nous ne pouvons tout simplement pas concurrencer efficacement parce que nous manquons de puissance de traitement des informations pour évaluer correctement leurs signaux de prix (ou la divulgation d’autres informations). C’est pourquoi l’économie de l’abondance (ou économie 2.0) est un système qui se traduit par une meilleure allocation des ressources économiques, dont les systèmes conventionnels sont incapables.


    • Kalki Kalki 7 septembre 2010 10:13

      Un été financier pourri ? ou la réalité qui se met à jour

      "

      40,5 millions d’Américains sur 311 millions, soit 13% de la population, vivent de food stamps, littéralement timbres de nourriture, qui remplacent les soupes populaires des années Trente, créées lors de la Grande Dépression.
       "

      Vous savez : cela s’appelle une économie distributive, ou une économie basée sur les ressources, et sur la production.

      Et c’est l’AVENIR, dans un monde sans travail, mais avec une production infinie, et un CAPITAL INFINIE.


    • foufouille foufouille 7 septembre 2010 11:15

      a lire au second degre


      • xbrossard 7 septembre 2010 17:33

        j’espère...et sinon, si on a un tant soit peu de morale et qu’on a pas envie de vivre en parasite sur ceux qui travaille, on fait comment ?


      • rastapopulo rastapopulo 7 septembre 2010 20:32

        C’est génial que le citoyen aient accès au même avantages que les banques, le fameux CFD (contrat financier pour différence) permet cette exploit d’éviter les commission et de jouer comme une banque.

        En 2007, toutes les banques aurait du couler sans les dépôts et donc n’aurait pas du prendre en otage les dépôts (offert par l’abandon de la scission des banques par activité), cela veut dire que tout ceux qui avait une retraite par capitalisation aurait du la perdre au lieu de mutualiser les pertes pour se plaindre après d’avoir un état en déficits....

        Ce qui veut dire qu’il aurait dû rester l’état avec les pensions et les citoyens avec l’accès aux CFD de toutes façons.

        Ce qui n’aborde pas encore le sujet du coté irréelle de la chose comme résumer ici :

        Le grand jeu s’étend jusqu’à la folie absolue. Aujourd’hui, le « trading à haute fréquence », dont les ordres sont déclenchés par des ordinateurs préprogrammés, représente au moins 30 % du volume d’activité des marchés au comptant européens et 50 % des opérations sur leurs équivalents américains. Tous les jours, quelque 4000 milliards de dollars changent de mains sur le marché des changes : il y passe en 4 jours l’équivalent de l’ensemble du commerce mondial sur une année. Les institutions financières non bancaires et les particuliers spéculateurs s’y précipitent. Sur les Bourses, le « nouveau produit », apparu avec la réglementation MIFID de l’Union européenne, fin 2007, est le Contrat financier pour différences (CFD) avec lequel on peut risquer 10 à 20 fois sa mise en jouant, non plus sur les titres ou produits supports eux-mêmes, mais sur l’amplitude de la variation de leurs prix ! La folle finance est devenue bien plus folle qu’en 2007-2008.

        http://www.solidariteetprogres.org/article6963.html

        Bref je ne sais pas si je dois sacrifier une somme (que je peux perdre) mais participer à cette folie en sachant que c’est du court terme et foncièrement négatif pour le savoir technique qui est délocalisé du coup. 


      • Kalki Kalki 7 septembre 2010 12:30

        L’économie, comme la société, est fait pour, et par ( motivation intrinsèque, positive, et librement ) les être humains.

        • LE CHAT LE CHAT 7 septembre 2010 13:33

          je vais jouer Woerth à la baisse ! smiley


          • Talion Talion 7 septembre 2010 14:33

            Ce n’est pas un article, c’est de la pub honteusement déguisée !  smiley


            • Walid Haïdar 7 septembre 2010 15:56

              ça s’appelle surtout du second degré. Le meilleure argument face à l’absurde (gagner de l’argent en spéculant sur des valeurs, pendant que ceux qui travaillent et créent souffrent sans gagner), c’est de l’exposer in extenso.

              C’est ce qu’à tenté de faire l’auteur de l’article.

              Enlevez donc vos lunettes noires, vous y verrez plus clair...


            • nicea 7 septembre 2010 18:31

              Tout ça c’est de la propagande pour le site iforex !
              Moi aussi j’ai essayé et je me suis fait plumer royalement !
              Ces sites ne gagnent de l’argent que comme ça, en incitant les crédules à tenter de trader et on perd à tous les coups, car on est face à des machines, ou des traders professionnels qui ont des volumes et de l’expérience leur permettant de couvrir leurs pertes, et de gagner
              Sachez que vous, vous perdrez globalement plus que vous ne gagnerez !
              Et en plus, avant de vous en rendre compte, vous serez adict un moment en vous disant que vous allez forcément vous refaire, alors que vous cumulez les pertes
              C’est de l’escroquerie
              d’ailleurs, la plupart sont installés dans des paradis fiscaux, loin des lois françaises


              • kisssky kisssky 7 septembre 2010 20:11

                tout à fait d’accord , il faut savoir que les serveurs des banques et autres font de pension sont complètement automatisés et travaillent en nano secondes pour la passage des ordres , en gros un humain derrière son pc n’a aucune chance ! de tout façon quand 1 gagne c’est 50 qui perdent derrière , c’est obligatoire , alors fuyez ce genre de site ! de plus gagner de l’argent sur le dos de gens qui se crèvent à la tache c’est pas très réglo à mon gout...



              • Keuss 7 septembre 2010 19:01

                Je vois que les avis sont partagé ici. D’un coté, ceux qui hurle a la publicité camouflé ( ce qui semble évident ), de l’autre, ceux qui pensent au second degrés.


                • nightflight nightflight 7 septembre 2010 19:35

                  Excellent !


                  • kisssky kisssky 7 septembre 2010 20:17

                    de toute façon cet argent n’existe pas et n’a de valeur qu’à ceux qui veulent lui en donner une , on est pas dans la merde et vu que l dollar va bientot disparaitre au profit de l’amero va falloir anticiper grave on va se marrer je pense..... en tout cas si vous avez du fric à investir , acheter plutôt de l’argent ou de l’or , ou de la pierre ca sera toujours ca de gagner...


                    • sonearlia sonearlia 7 septembre 2010 20:49

                      La place de cet article devrait être dans la catégorie parodie.


                      • pens4sy pensesy 8 septembre 2010 07:15

                        Ce Forex est évidemment un attrape nigaud et l’article le dit subtilement (au 2nd degré).
                         Le Forex fait parti des forteresses a abattre.


                        • pierrot123 8 septembre 2010 09:33

                          Avis aux éventuels (et toujours nombreux) naïfs :

                          Le boursicotage est en effet la Voie Royale...pour se faire plumer jusqu’à l’os.
                          C’est même une des bases du fonctionnement de la Bourse : seuls les gros gagnent...parce qu’ils vous plument !  smiley

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