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Accueil du site > Tribune Libre > Dans le mot Libéralisme il y a Liberté - S’adapter ou disparaître. (...)

Dans le mot Libéralisme il y a Liberté - S’adapter ou disparaître. Suite et fin

Pour les libéraux l'adaptation, le changement, la réforme et le pragmatisme sont des mots clé qui orientent la réflexion et conduisent l'action (et non pas évidemment des provocations destinées à faire plonger les peuples ou les entraîner dans la misère).

Rester immobile (les "acquis sociaux") est la meilleure façon de s'effondrer (cf l'Ex-URSS)

Plutôt que de conforter les corporatismes (sociaux, syndicaux, étatistes) les libéraux pensent en terme d'adaptation permanente à l'environnement que celui-ci soit social, professionnel, financier ou économique. C'est en cela qu'ils différent des Planificateurs/Etatistes qui pensent encore en terme de planification, de programmse, de recettes toute prêtes (avec leur bréviaire miraculeux datant de 1848) pour une société industrialisante du XIX ème siècle (quand la terre et ses ressources étaient mise en coupe au service de la révolution industrielle).

Changer et évoluer est-ce obligatoirement perdre quelque chose ?

Le Travail au XXI ème siècle : entre partage, collaboration et coopération

Qu'on le veuille ou non (et souvent la Gauche est plus dans l'incantation que dans la réfléxion) le travail a radicalement changé depuis une trentaine d'années sous l'influence de trois facteurs irréfutables (sauf à vouloir fermer le pays en le transformant en petite Corée du Nord)

- La planète est devenu un village, peuplé par 7 milliards d'habitants, village où les télécommunication confrontent (dans le bon sens du terme mais parfois aussi d'une façon dramatique) les systèmes de production, sociaux et éducatifs,les capacités à changer et à apprendre dans la société (une société immobile présente dés lors un très gros handicap)

- Le savoir mais aussi le travail (et les loisirs) sont numérisés. Les données, les informations, les brevets et les savoirs faire voyagent, sont utilisables en tout lieu et à tout moment, hors des temps et espaces traditionnels de production (des savoirs comme des biens et services)

- La production est désormais globalisée et mondialisée : produire aujourd'hui c'est la plupart du temps assembler des pièces, des éléments, des savoirs que d'autres ont imaginé, conçu ou fabriqué ailleurs (en face de chez vous ou à 25 000 km de distance).

Le Travail est de ce fait devenu fragile et rare en Occident

D'un travail abondant, généralisé et bien réparti entre les humains (personne ne manquait de travail il y a 100 ans) on est passé à un travail complexe (toujours), rare (souvent) et fragile (perdre son travail est plus facile qu'en trouver un ou que le faire prospérer).

La vision du travail de la Gauche française date du XIX ème siècle

Le travail est pour elle à la fois une exploitation (de l'homme par l'homme ou de l'homme par le capital), une douleur (tripalium), une perte de temps (pris sur le seul temps utile : le temps libre) ou encore un châtiment que seuls les régimes sociaux peuvent corriger ou délivrer (la retraite est encore considérée comme un avant gout du paradis terrestre après l'"enfer" d'un travail subi ou honni).

Le mythe du progrès qui annulerait le travail

Le progrès pour la Gauche a donc consisté depuis le XIX ème siècle à réduire le travail (son temps, sa durée mais aussi son périmètre) car des (prétendues) machines ingénieuses permettraient aux 7 milliards (bientôt 10) d'humains de manger, de se soigner, de se loger ; de se divertir ou même de prospérer sans travailler ou presque (3 h de travail par jour suffiraient selon certains).

C'est une vue de l'esprit : aucun travail de qualité ne peut se faire en 30 ou 35 h par semaine (les travailleurs intellectuels le savent bien, eux qui dans le privé travaillent tous à mi temps ....c'est à dire 12 heures par jour)

Dans les pays libéraux le travail est vécu comme une bénédiction et une chance

Le travail, bien loin d'être considéré comme une pénitence dans ces pays, le travail bénéficie au contraire de tous les égards :

- Il est utile aux autres et à la société en général (celui qui soigne, qui enseigne, qui répare, qui fabrique ou qui protège est utile aux autres)

- Il est utile pour les individus car il leur donne un rôle (social), une identité, des valeurs et des perspectives (de développement humain ou financier), il leur permet d'apprendre et de progresser grâce au travail (et à ses interactions)

- Il entraîne la société entière dans une cercle vertueux de développement (plus de travail pour les uns entraîne de nouveaux travaux pour les autres, à l'opposé de la vision de Gauche d'un travail contingenté, cher et à répartir avec parcimonie)

- Il permet par les efforts de tous de s'offrir un peu de social (ni le social ni l'administration ne créent des richesses dans les pays libéraux, ils sont simplement des services accessibles grâce à la création de richesses par les entreprises)

En France le travail non subventionné est devenu rare et conflictuel

- du fait d'un droit du travail qui n'est plus qu'un empilement de règles sociales désarticulées et contre-productives (le code du travail est le témoin et la preuve de l'absence de courage social et politique de notre pays depuis 40 ans )

- du fait du manque d'éducation économique de nombreux Français (Dixit le prix nobel d'économie Jean Tirole)

- du fait de notre préférence nationale pour le chômage (entretenu par un système aberrant de droit de tirage durant 2 ou 3 ans sur les allocations chômage)

- du fait de cette ambiance anti-entreprise et anti-réussite qui règne dans le pays (à commencer par l'école). Le consensus social et politique n'existant pas en France, nous empruntons et la plupart des syndicats se positionnent sur leur délirante révolution prolétarienne ou cette ridicule lutte des classes (demandez leur avis aux Chinois qui "célèbrent" en ce moment les 50 ans d'une révolution culturelle qui fit 44 millions de morts).

Face aux enjeux du XXI ème siècle beaucoup de partis et de syndicats proposent encore et toujours des réponses pour le XIX ème Siècle

Le risque pour un travailleur (notamment peu qualifié) en France aujourd'hui n'est pas d'être exploité 45 heures par semaine pour 30 euros par mois (cela c'est à Cuba ou au Venezuela que cela se passe), ni de finir ses jours au fond d'une mine (les mines ne rouvriront sans doute jamais en France, COP 21 oblige) ni même de travailler jusqu'à épuisement (on le voit bien dans la fonction publique avec 15 jours de travail en moins que dans le privé) mais bien de ne plus pouvoir travailler, de ne plus pouvoir démontrer qu'on est capable avec son intelligence et ses capacités d'adaptation de se nourrir et de faire vivre sa famille.

Les jeunes qui manifestent contre la réforme du droit du travail n'en trouveront pas si ce dernier n'est pas réformé totalement

Faire croire que les quelques milliers de Français s'opposant à la mondialisation, à la société de la connaissance ou au libéralisme constitue une avant garde sociale est une escroquerie, il s'agit de combat d'arrière garde.
Les peuples qui tout autour de la terre travaillent dur pour nous offrir des ordinateurs, des téléphones, des vêtements ou des aliments bon marché, ne sont pas dupes, ils travaillent pour nous mais ont bien compris que le socialisme (et ses diverses déclinaisons de gauche) ne leur apporterait que misère, déclassement et violences sociales.

Si les chinois mangent aujourd'hui à leur faim, si les pays de l'Est se développent rapidement, si l'Afrique a encore une chance de se développer c'est bien parce que ces pays ont abandonné les ex solutions de gauche, qu'ils ont compris que l'idéologie marxiste n'était plus d'aucune utilité dans la société de la connaissance et de l'information (pas plus d'ailleurs que les anciennes religions monothéistes)

Le Libéralisme n'est pas une idéologie (contrairement à ce que prétendent les idéologues de Gauche) mais la convictoin que l'intelligence et la capacité des hommes et des femmes à s'adapter à leur environnement leur permettra de toujours travailler et vivre.

Le libéralisme c'est la liberté de travailler de jouir des apports de son travail sans être punis par un impôt progressif ou des contrôles incessants d'un Etat qui brise toute velléité d'innovation ou d'expérimentations (si le travail est aussi mal considéré en France c'est aussi parce que le Code du travail empêche toute négociation ou adaptation intelligente).

L'effondrement passé de l'URSS et de ses satellites, la conversion (réussie) de la Chine au libéralisme, les changements d'orientation à Cuba ou l'effondrement économique et social du Venezuela devraient ouvrir les yeux de tous sur notre avenir

Il n'est pas interdit de réfléchir...mais à condition ne pas y passer trop de temps.

 

Fin


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38 réactions à cet article    


  • escoe 27 mai 2016 18:45

    Et ça continue.....


    • Pyrathome Pyrathome 28 mai 2016 14:48

      @escoe
       Oui, avec Cosin, c’est propaganda tous les jours......
      Je me demande combien est-il payé par article pour déverser ses étrons ?


    • Jo.Di Jo.Di 27 mai 2016 19:13

       
      Un peu de Christopher Lasch pour comprendre le libéralisme :
       
      « [Hobbes affirmait] que la subordination de toutes les relations sociales aux lois du Marché avaient balayé les dernières restriction de la guerre de tous contre tous, ainsi que les illusions apaisantes qui masquaient celles-ci [...] le plaisir devenait la seule activité vitale, comme Sade fût le premier à le comprendre [...] Aucune forme de pensée [morale] où de sentiment n’a de place logique dans une société basée sur la production de marchandises [...] Sade perçut que l’émancipation bourgeoise [bobo de gôôôche Ploutocrate Sexialiste], portée à sa conclusion logique, serait amenée à détruire le culte sentimental à la femme et à la famille, cultes poussés à l’extrême par cette même [ancienne] bourgeoisie.
      [Sade] comprit que la condamnation de la vénération de la femme devait s’accompagner d’une défense des droits sexuels de celle-ci - le droit de disposer de son propre corps, comme diraient les féministes [...] Il avait perçu, plus clairement que les féministes, qu’en régime capitaliste, toute liberté aboutissait finalement au même point : L’obligation universelle de jouir et de se donner en jouissance [...] La défense de la sphère privée aboutit à sa négation, que la glorification de l’individu aboutit à son annihilation. »

       
      ‘La culture du narcissisme’ Christopher Lasch


      • Jo.Di Jo.Di 27 mai 2016 19:16

        « Dans sa période d’accumulation primitive, le capitalisme avait subordonné l’Être à l’Avoir, la valeur utile [d’usage] de la marchandise à la valeur d’échange [argent]. Aujourd’hui il assujettit la possession elle-même à l’apparence, et mesure la valeur d’échange au degré de prestige [la Rollex en or du rappeur colon ; le Capitalisme de la Séduction] - l’illusion de prospérité et de bien-être [la belle sdb d’Intouchables] - que confère une marchandise donnée. Comme l’écrit Guy Debord : ‘Quand la nécessité économique, qui a été la base immuable des sociétés anciennes, est remplacée par la nécessité du développement économique infini, la satisfaction des premiers besoins humains sommairement reconnus fait place à la satisfaction ininterrompue de pseudo-besoins [le portable du bobo changé tous les 6 mois, et son sur-travail consumériste]’. »
         
        « Dans le perception d’une société sans avenir, se glisse l’incapacité narcissique de s’identifier à la postérité et participer au mouvement historique [le sacrifice au travail des vieux coréens du sud, par holisme, par amour de leur peuple ...] peu portée donc à intéresser aux besoins des générations montantes [...]
        Antisociaux au fond d’eux-mêmes [...] les Narcisses ne se conforment aux normes sociales que par crainte [...] Généralement corruptibles [Cahuzac le moderne bobo sans devoir] par opposition avec la moralité rigide de la personnalité obsessionnelle [De Gaulle l’ancien souchien patriote obnubilé par la ‘grandeur de la France’] 
         
        L’éthique d’auto-préservation et de survie psychique [de bobo] prend donc racine, non seulement dans des conditions objectives de guerre économique, dans l’accroissement du taux de criminalité [incivisme généralisé ...] mais également dans l’expérience subjective de l’isolement [du multiethniqué dans le libéralisme gôôôchiste...]
         
        Le culte des relations personnelles [d’où fesses-boucs opportuniste] qui s’intensifie à mesure que s’éloigne l’espoir de solutions politiques, cache un désenchantement profond vis-à-vis de ces relations [fesses-bouquer un ‘ami’... est-ce vraiment valable ?] de même que le culte de la sensualité implique une répudiation de toute sensualité, excepté dans ses formes primitives [apologie de la pornographie]. L’idéologie du développement personnel [gode-bébé pour bobo pédéraste, il le veau bien], optimiste à première vue, irradie résignation et désespoir profond [la société n’est plus rien pour l’individu, vide holistique]. Ont foi en elle [la Ploutocratie Sexialiste actuelle] ceux qui ne croient en rien [excepté Caddie et Pognon] »


      • Jo.Di Jo.Di 27 mai 2016 19:26

         
        « La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? » Parisot
         
        Bobo tu seras l’atome multiethniqué isolé, de tous contre tous,
         
        d’un non-pays,
        d’un non-peuple,
        d’une non-Histoire,
        d’une non-Postérité,
        d’une non-famille,
        d’une non-société,
         
        bref d’une non-Cité

         
        Mais toutes les portes de verre de la branlette te seront ouvertes, si tu as le passe Argent.
         
        « A la caisse du Supermarché Boobaland, se suivent bobo, burka, pouf, geek, barbu, hidjab, djellaba, souchien .... et boubou surveille la sortie »
         
        ’Bobo la chiure finale de son Histoire’ Soros Ed de la PdG


      • pemile pemile 27 mai 2016 20:01

        @Jo.Di « A la caisse du Supermarché Boobaland, se suivent bobo, burka, pouf, geek, barbu, hidjab, djellaba, souchien .... et boubou surveille la sortie »

        Et Jo.Di, assis derrière sa caisse enregistreuse vomit sur le tapis roulant ?


      • Jo.Di Jo.Di 28 mai 2016 01:27

        @pemile
         
        Oui, je vomis dans les caddies des grands remplacés, mais je ne rentre pas dans la colonie Boobaland, je reste dans ma réserve souchienne (les anglo-saxons appelle ce réflexe le « white flight »)
        Et pour emmerder La Baudruche, qui se pique de donner des leçons aux paysans depuis ses 20 ans de fauteuil Pullman sénateur Ploutocrate Sexialiste, je mets beaucoup de phytosanitaire sur mes patates (c’est écolo, ça freine l’explosion démographique des 9 sœurs à Coulibaly)
         


      • lsga lsga 28 mai 2016 13:34

        @Jo.Di
        Jo.Di le bobo gauchiste fan de Tata Filippote et de Marion Maréchale veut mettre des libéraux, des franc-maçons et des sionnistes au pouvoir pour lutter contre le système....

        Et ton cerveau Jo.Di ? Il marche ton cerveau de bobo gauchiste qui se croit d’extrême droite ?

      • Jo.Di Jo.Di 29 mai 2016 18:49

        @lsga
         
         
        Benêt rose frigide,
         
         
        ne prend pas un air si malheureux !
         
         smiley


      • séraphim 27 mai 2016 19:17

        je cite : « aucun travail de qualité ne peut se faire en 30 ou 35 h par semaine (les travailleurs intellectuels le savent bien, eux qui dans le privé travaillent tous à mi temps ....c’est à dire 12 heures par jour) » 

        C’est très péremptoire comme affirmation, pouvez vous développer, étayer ? 
        J’en ai côtoyé des gens qui faisaient du travail « intellectuel » prétendument 12h par jour ... c’est une escroquerie, sauf à considérer que brasser du vent c’est travailler.
        Simplement, parce qu’humainement, au delà de 6 à 7h par jour (en moyenne), le cerveau ne peut plus tenir une concentration optimale, et, ce faisant, on ne produit plus rien de valable.

        Enfin, il va falloir nous expliquer pourquoi en 30h on en peut pas faire du travail de qualité, parce que même en retournant le problème dans tous les sens, je ne vois pas quel serait le facteur limitant.


        • mmbbb 27 mai 2016 20:49

          @séraphim remarque de bon sens


        • foufouille foufouille 27 mai 2016 19:20

          bon titre de fasciste libéral.
          suite extrêmement nulle.


          • foufouille foufouille 27 mai 2016 20:07

            "Le Travail est de ce fait devenu fragile et rare en Occident

            D’un travail abondant, généralisé et bien réparti entre les humains (personne ne manquait de travail il y a 100 ans) on est passé à un travail complexe (toujours), rare (souvent) et fragile (perdre son travail est plus facile qu’en trouver un ou que le faire prospérer).« 

            donc ça sert aryen de travailler plus ? non ?

            ou c’est juste plus de »boulot" pour des aryens ...........


            • mmbbb 27 mai 2016 20:47

              a l ’auteur les patrons americains ( histoire du capitalisme ) avaient embauche des milices afin de tirer sur les travailleurs en greve au XIX siecle. Quant a la reglementationa absence de controle ,vous etes comme vos collegues du media Contrepoints, vous balayez d’un revers de main les scandale sanitaire en l’absence de reglementation Par exemple l’amiante qui fut utilise alors que des rapports signalait deja la dangerosite du produit, le PCB qui pollue desormais le Rhone, la vache folle etc etc Lorsque l’etat legifere sur le principe de precaution les liberaux hurlent en oubliant simplement que l’etat joue les garde-fou d’une economie sans contrainte Mais qui assume par exemple la depolution de certaine usine alors que le patron a ferme les comptes .. En Chine c’est plus simple mais les chinois crevent Ces articles des liberaux sont sommes toutes assez leger sans profondeur et sans analyse . J’aimerai que l’ Etat n’intervienne pas mais in fine c’est l’etat qui est toujours l’arbitre J’ai une collegue, sa fille est inspectrice du travail elle commence le metier elle en voit des terribles, s il n’y avait pas de reglementation ce serait des conditions lamentables pour certains employes .


              • La Voix De Ton Maître La Voix De Ton Maître 27 mai 2016 21:07

                Didier, ingénieur gagnerait en Chine 60.000 CNY par an (soit 8200 euros annuels environ)

                Donc cher Didier : adapte toi dans ton joli village planétaire ! On te regarde, puis on décide car nous sommes « libres », c’est ça ?

                J’imaginais bien que toutes les manoeuvres de la World Company consistent à niveler le tout par le bas.
                De là à imaginer que quelqu’un promeuve ce nivellement comme un élan de liberté, j’écris ce commentaire par terre car j’en suis tombé de ma chaise.

                Avant de vous égosiller sur les vertus du libéralisme, va falloir que vous fassiez une sacré auto-critique sur le paysage d’aujourd’hui :
                - Les plus méritants se trouvent-ils en haut de l’échelle ?
                - Le nivellement doit-il se faire par le bas ?
                - Les monnaies en cours reflètent-elles une valeur ?
                ...
                Un beau tas de fumier sur lequel vous construisez votre chapelle !

                Il n’est pas interdit de réfléchir...mais à condition ne pas y passer trop de temps.

                Ha oui si on réfléchit pas beaucoup, ça passe.


                • sls0 sls0 27 mai 2016 22:21

                  Dans le mot libéralisme il y a le mot liberté.
                  Il y a socialisme dans national socialisme.


                  • Jean Pierre 28 mai 2016 00:53

                    @sls0
                    Le concept de liberté est également présent dans la fameuse formule « Arbeit macht frei »



                  • Jo.Di Jo.Di 28 mai 2016 00:59

                    @Jean Pierre
                     
                    « Arbeit macht frei » est de Hegel et est un concept marxiste (la dialectique du maître et de l’esclave)


                  • mmbbb 28 mai 2016 13:54

                    @sls0 Le national socialisme ce sont les liberaux americains qui l ont finance


                  • fanderachida (---.---.240.16) 27 mai 2016 22:47

                    Comment peut on sérieusement écrire de telles conneries ! Votre article est une insulte à l’intelligence des personnes un tant soit peu au fait de l’histoire, de l’économie et de la politique.


                    • Jean Pierre 28 mai 2016 00:45

                      C’est un peu juste, élève Didier. Vous avez appris et récité correctement votre leçon. Par contre, l’exposé est extrêmement plat, manque totalement d’originalité, n’est appuyé par aucune démonstration et n’est pas du tout convaincant. Le résultat est plutôt médiocre et on a le sentiment d’avoir déjà entendu cela des dizaines de fois.

                       Mais comme vous n’avez oublié aucun élément du formatage libéral, je vous accorde cependant la moyenne.

                      • CoolDude 28 mai 2016 01:01

                        C’est fou, je comprends rien à ce qu’il raconte...
                        J’ai des contres exemples quasiment à chaque affirmation, c’est dérangeant.

                        La liberté de pensée... Oui !
                        La liberté d’agir ! NON !!!

                        On vit en société, la politesse veut que l’on demande avant si tout le monde est d’accord.

                        C’est pour ça, que j’ai du mal avec les mots social-liberal ! Ça ne couche pas ensemble.

                        La liberté dans Liberté-Égalité-Fraternité... C’est la liberté de penser, c’est tout. Il ne faut pas s’emballer non plus.

                        Non, cher ami, on, tu ne feras pas ce que tu veux. D’ailleurs es tu réellement libre, penses tu réellement ce que tu écris !? Ces idées viennent ils réellement de toi ?

                        J’imagine que par expérience tu as compris que si tu n’es pas pro-social, peu vont l’être avec toi.
                        En gros, tu vas disparaître... Car non adapté a vivre en communauté.


                        • Sozenz 28 mai 2016 03:14

                          @CoolDude
                          je vous rassure sur le fait que vous ne le compreniez pas ;ce monsieur est plein de confusion. il a été formaté ...
                          « ce n est plus un humain » c est un zombie.


                        • Captain Marlo Fifi Brind_acier 28 mai 2016 10:20

                          @CoolDude
                          Quel bonheur que de vivre dans une colonie de l’ Empire américain !
                          Nous avons droit le même jour à la panoplie complète de la politique américaine


                          Les néo conservateurs, va t-en guerre et les rois du chaos mondial.
                          Ces grands démocrates qui imposent la démocratie par les bombes. Ce qui a donné chez nous, la Gauche Charlie-Charlots.

                          Et voici que les Libertariens masqués du Parti républicain US débarquent, elle est pas belle la vie ?
                          Pourquoi avancent-ils masqués ? « Chérie, je veux rétrécir l’ Etat ! ».
                          C’est ainsi qu’ils appellent la Liberté du renard dans le poulailler du capitalisme, interdire à l’ Etat d’intervenir dans l’économie et empêcher tout ce qui peut réguler la finance et les profits. 

                          Ils sont encore plus mal barrés en France que des néos cons !
                          L’État en France, date de 1245, de Louis 9, qui a inventé les débuts des services publics. La Justice où les manants pouvaient gagner contre les Saigneurs, et les Sociétés de soins gratuits, ancêtres des hôpitaux publics.
                          Les Français étaient tellement contents qu’ils ont demandé la canonisation de Louis 9, devenu St Louis.

                          Pour les Français, l’ Etat doit réguler, protéger les faibles contre les forts, répartir la richesse, assurer la justice et l’égalité entre les citoyens.
                          Exactement tout ce que vomissent les Libertariens.
                          On comprend qu’ils avancent masqués.

                        • mmbbb 28 mai 2016 13:52

                          @Fifi Brind_acier Ils n’avancent pas si masques . Il suffit de lire le Media contrepoints afin de s’en convaincre. En 2015 une serie d’articles sur une immigration totale dont le but affiché, destabiliser le marche de l’emploi et de facto affaiblir l etat. Je l’avais dit au Sieur Sparatccus et fait cette remarque suivante, la plupart de ces auteurs sont des professeurs, donc c’est ’etat qui les a formes et c’est le contribuable qui les paie Cracher ainsi dans la soupe est simplement degueullasse Qu un chef d’entreprise le fasse oui c’est compréhensible mais ces zigotos intellos non . Par ailleurs ce media ne supporte pas la controverse un comble


                        • Captain Marlo Fifi Brind_acier 28 mai 2016 18:22

                          @mmbbb
                          Je ne crois pas que ce soit par l’ Éducation nationale, mais par des Think tanks qui infiltrent l’Education nationale et d’autres lieux où se trouvent des leaders d’opinion. 


                          C’est ce qui est expliqué dans un petit livre « Les Évangélistes du marché » de Keith Dixon.
                          Ces think tank visent les universitaires, les journalistes, les économistes, les directeurs de journaux, les chefs d’entreprises etc, pour qu’ils répandent la bonne parole dans leurs réseaux.

                        • straine straine 28 mai 2016 01:08

                          C’est le genre de titre qui te donne envie d’aller graisser la machine à étêter histoire d’avoir la liberté de mettre une fin à tout ce cirque  :->


                          • zineuy (---.---.116.133) 28 mai 2016 02:25

                            « Rester immobile (les »acquis sociaux« ) est la meilleure façon de s’effondrer » ... Vous auriez pu aussi écrire : « Restez immobile (les super salaires des patrons) ... »Restez immobile (les riches de plus en plus riches) ... « Restez immobile (tous les avantages pour les élites) ... est la meilleure façon de s’effondrer » !!! Comme quoi, même le mot immobile est sujet à interpretation !!!


                            • Sozenz 28 mai 2016 03:12

                              voilà , vous mekangez encore de bonnes idées avec des visions à œillères.
                              Vous regardez toujours avec vos yeux et vos expreriences je suppose .
                              Vous avez peut etre voir certainement des idéaux on peut le sentir dans cette partie :
                               Dans les pays libéraux le travail est vécu comme une bénédiction et une chance
                              Par contre vous avez une vision trop étriquées sur les formes qu’ elle peuvent prendre et de certaines valeurs .
                               
                              votre phrase : - Il est utile pour les individus car il leur donne un rôle (social), une identité, des valeurs et des perspectives (de développement humain ou financier), il leur permet d’apprendre et de progresser grâce au travail (et à ses interactions).

                              n est ce pas aller loin que de dire qu une personne a une identité que si elle travaille ?
                               une personne qui travaille à des valeurs et celles qui ne travaille n en a pas ?
                              Vous avez un grand manquement sur le plan philosophique et spirituel.

                              sachez aussi qu un animal n utilise que 20 % de son temps pour les activités .même chez les fourmis l humain est le seul à avoir un rythme comme il a . il y a un temps pour tout et rien ne sert de s agiter comme des fous (plus de 12 h par jours selon vos dire  :
                              C’est une vue de l’esprit : aucun travail de qualité ne peut se faire en 30 ou 35 h par semaine (les travailleurs intellectuels le savent bien, eux qui dans le privé travaillent tous à mi temps ....c’est à dire 12 heures par jour)
                              il y a un temps pour tout . tout nous le montre : jour nuit ; les saisons , les recoltes ...
                              il y a un temps pour reflechir , un temps pour agir , et un temps pour sortir des deux .

                              La vraie liberté c est retrouver ce rythme naturel et adpaté . OUi le monde doit s adapter . mais pas vers le chemin de sa mort .
                              Vous dites je reprends encore dans votre phrase encore la même :des perspectives (de développement humain ou financier ;
                               pourquoi ce ou ?
                              là encore vous mettez un ou car vous n arrivez pas a faire le lien entre le travail comme formateur toute sa vie sur le plan spitituel , apprendre a se connaitre , apprendre à connaitre et developper ses capacités et en jouir , car oui il est possible de JOUIR ( prendre plaisir) dans son travail comme etant un moyen révélateur à chaque instant et en même temps pourvoir devenir autonome et collaborateur à son environnement .

                              je pense que vous hérissez les poils des gens car ce que vous appelez liberté , n est qu’ un fonctionnement d esprit humain dégénéré , déconnecté de ses « attributs originels » qui devrait l’alerter des chemins déviants qu il prend. ... vous parlez économie . comme MR Obama et d’autres qui résument tout en valeur dollars : tel acte ça vaut tant ; si on fait de l écologie ça va rapporter tant ect .. il est parti où son coté humain ? et le vôtre ? cherchez au fond de vous comment vous devriez vivre pour avoir une vie harmonieuse .
                              Si vous vous posez les bonnes questions vous trouverez les vraies et bonnes solutions à votre libéralisme et à votre liberté .


                              • Ben Schott 28 mai 2016 08:04

                                 

                                Le jour où l’État français appliquera les recettes libérales de Didier et qu’il décidera de ne plus financer la formation professionnelle, Didier mettra la clef de sa petite entreprise sous la porte et devra « s’adapter ».
                                 
                                Les partisans du darwinisme social se croient toujours au sommet de la chaîne alimentaire...
                                 


                                • flourens flourens 28 mai 2016 08:57

                                  j’avoue que je goutte beaucoup ce darwinisme social il faut S’ A D A P T E R, c’est une évidence pour deux raisons
                                  d’abord, la société est un être vivant avec son existence et sa logique propre, on pourrait croire que c’est l’homme qui a forgé la société et que de ce fait il doit être en mesure de la changer à son profit, billevesées, c’est la société qui a créé l’homme qui doit être tout soumis à son service et qui doit s’adapter, comme le tortue des gallapagos,
                                  ensuite, c’est une hérésie que de vouloir se protéger de cette société comme de vouloir se protéger des vicissitudes naturelles comme les inondations, pourquoi faire des digues qui coutent cher, l’homme doit S’ADAPTER, il lui poussera bien des branchies comme pour Kevin Costner dans waterwolrd, pourquoi vouloir le bien de l’homme ? non mais quelle hérésie et quel archaïsme, allez les pauvres, souffrez et fermez vos gueules, le dieu société vous l’impose


                                  • mmbbb 28 mai 2016 15:32

                                    @flourens l’auteur n’a vraiment rien invente Les propos sont les memes de ceux du XIX siecle et peuvent etre calques Le darwinisme social est une theorie devoyée du Darwinisme . Au XIX elle a donnée naissance a l’eugenisme et ensuite a la théorie des race et in fine la naissance du nazisme Le nazisme s’est nourri et impregne de ces theories. Desormais, nous voyons poindre le transhumanisme ( l homme nouveau ) et un mondialisme ou l’elite reprend ces memes theories mais plus ou moins deguisees. L auteur devrait avoir l’honnete intellectuelle de dévoiler ses idees. Que faire de ceux qui ne peuvent pas s’adapter ? une nouvelle solution finale ?


                                  • Gilles Mérivac Gilles Mérivac 28 mai 2016 09:48

                                    Ce que l’auteur dit du libéralisme est juste, en théorie il n’existe pas de meilleur système pour développer un pays. Seulement voilà, s’il n’y a aucune régulation ni aucune limitation, on aboutit à une concentration inhumaine de géants planétaires qui peuvent étouffer dans l’œuf n’importe quelle initiative privée, ce qui va justement à l’encontre du libéralisme !
                                    C’est ce qui se passe actuellement avec les compagnies de gaz de schistes, qui ont dû jeter l’éponge à la suite de la baisse des tarifs pétroliers. Actuellement, elles sont toutes rachetées par les majors de l’industrie du pétrole.
                                    La puissance de certains organismes bancaires est capable de mettre à genoux des pays entiers, c’est cela le libéralisme ? S’il faut être gros et inhumain pour survivre, autant renonce au système tout de suite. Tel est le défi lancé au libéralisme : est-il capable de rester humain ?


                                    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 28 mai 2016 10:45

                                      Merci à tous ceux qui ont compris, sans bien savoir ce qu’est le Libertarisme, d’avoir analysé l’arnaque qu’il représente, et le danger pour le modèle social français basé sur l’égalité et la solidarité par la répartition des profits.
                                      Bien qu’insuffisante, aux yeux de certains, cette répartition est quasiment considérée comme marxiste par les Américains. Pour eux, Sarkozy est de Gauche, c’est dire...


                                      La Révolution américaine s’est faite contre les impôts exigés par sa Gracieuse majesté. C’était l’épisode du Tea Party de Boston. Les Américains ont toujours été opposés aux impôts et à la solidarité nationale. Les pauvres ne sont que des perdants, ils n’ont qu’à mourir, ou à survivre grâce aux bonnes oeuvres des organisations de charité. 33%n’arrivent même plus à assurer les besoins élémentaires.

                                      Les inégalités de la répartition de la richesse aux USA sont extravagantes, et bien pires que ne l’imaginent les Américains eux-mêmes !


                                      Alors que la Révolution française s’est faite sur l’égalité devant l’impôt, car seul le Tiers Etat en payait, mais pas le Clergé ni la Noblesse.
                                      Voilà ce qui nous différencie des Américains pour les siècles des siècles....

                                      • hunter hunter 28 mai 2016 12:13

                                        Je me demande ce qu’il y a de pire dans ce genre de papier, le style indigent, ou bien l’impression de lire toujours le même discours mal compris et mal digéré ?

                                        Enfin, une chose me rassure dans le titre, c’est visiblement le dernier de la série....

                                        Pourvu qu’on échappe à une autre série de ces litanies, de ces odes à saint libéralisme, sainte monnaie et saint profit !

                                         smiley

                                        Adishatz

                                        H/


                                        • Albert123 28 mai 2016 17:06
                                          j’aie pas trop le temps de décortiquer mais voici déjà une petite sélection d’âneries compilées :

                                          « du fait de notre préférence nationale pour le chômage (entretenu par un système aberrant de droit de tirage durant 2 ou 3 ans sur les allocations chômage) »

                                          c’est surtout que l’impossibilité de dévaluer l’€uro fait du chômage la seule variable d’ajustement désormais et pour le seul plaisir des banques et de la finance qui ont horreurs des devises qui se dévaluent.

                                          « Le Libéralisme n’est pas une idéologie »

                                          si c’est même celle de la gauche républicaine depuis presque 300 ans : leur liberté à eux (descendants de noblesse de robe et de négriers racialistes pour beaucoup) de nous sucrer la notre (à nous peuple) qui subissons les dérives et perversions de ce ramassis de dégénérés et de consanguins qui nous sert d’élite.

                                          « Faire croire que les quelques milliers de Français s’opposant à la mondialisation, à la société de la connaissance ou au libéralisme constitue une avant garde sociale est une escroquerie, il s’agit de combat d’arrière garde. »

                                          personne ne s’oppose à la réalité de la mondialisation, il y a par contre un fort rejet de l’idéologie mondialiste, mais avez vous seulement compris la différence ?

                                          « Il n’est pas interdit de réfléchir...mais à condition ne pas y passer trop de temps. »

                                          celle là, elle vaut son pesant d’or, vous avez raison continuer de ne pas réfléchir et de rabâcher les manuels scolaires de Fernand Nathan et des éditions Magnard, vous êtes un bon soldat vous aurez même droit à des hochets, pardon des médailles pour être un aussi bon élève.

                                          Et puis cessez donc de vouloir nous vendre un produit qui n’a jamais rien eu avoir avec l’étiquette, tout ce que vous voulez nous fourguer n’est que sophisme et illusion. 

                                          PS : faites gaffes, retournez vous, méchant Poutine va vous sautez à la gorge pour sucer tout votre sang.





                                          • Jean-Yves TROTARD Jean-Yves TROTARD 29 mai 2016 02:11

                                                           


                                                          L ’ auteur se trompe : voyez les paresseux dans les forets tropicales : ils n’ont pas su s’ adapter (quelle lenteur ! ) ; et pourtant ils sont toujours là ! Trananère.

                                            • Hervé Hum Hervé Hum 29 mai 2016 10:25

                                              Je vous met au défis de soutenir un débat contradictoire avec moi et de voir qui de nous deux dit vrai.

                                              Parce que vous faites l’impasse sur une donnée fondamentale et qui prouve que vous ne défendez pas le libéralisme économique, mais la dictature économique.

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