Dans quel monde vit-on ?
« La vie est ainsi faite ! » On entend souvent cette phrase... De la bouche des défaitistes. Pour ma part, je ne le suis pas. Ma vision de notre monde (dans sa globalité), elle, l’est ! Ceux qui me connaissent bien savent à quel point je déplore les dérives individualistes de nos sociétés dites « civilisées ». (Ce qui au passage me fait doucement rire, un rire jaune cela va de soi).
On entend souvent cette phrase... De la bouche des défaitistes. Et au vu de mon pseudo, on pourrait croire que je le pense aussi. Mais il n’en est rien.
Je suis un optimiste, eh oui. Mais un optimiste raisonnable. Ma vision de notre monde (dans sa globalité), elle, ne l’ai pas. Ceux qui me connaissent bien savent à quel point je déplore les dérives individualistes de nos sociétés dites "civilisées". (Ce qui au passage me fait doucement rire, un rire jaune cela va de soi).
Et depuis tout ce temps, et malgré les voies que nous ont montré nos plus grands penseurs, l’espèce la plus évoluée qu’il y ait sur cette planète n’a toujours pas réussi à construire un monde où l’on n’aurait pas à se poser ce genre de questions. On en a vu des hommes montrant le chemin et depuis Abraham, Jésus, ou Mahomet ou même avant, il y en a eu beaucoup et des non-religieux aussi, Socrate, Platon, Kant, ou même Gandhi. Des gens sages qui savaient déjà à leur époque que la voie empruntée par leurs contemporains n’était pas la bonne. Qu’est-ce qui fait que malgré leur nombre et leur valeur pour la majorité d’entre eux mondialement reconnue, la société continue de suivre la mauvaise route. Pourquoi même si tout le monde sait que l’on se trompe d’avenir vers lequel aller, on fonce encore et toujours et de plus en plus vite en plus. Pourquoi ne se rend-on pas compte que l’on ne peut être totalement heureux si nos proches, nos voisins ne le sont pas. Ou alors c’est bien pire que ce que je crois... Je suis à table avec tous mes proches, c’est le réveillon (exemple facile), tout le monde va bien du plus jeune (qui a encore toute sa vie devant lui) au plus vieux (qui a eu une vie bien remplie et qui ne regrette rien de tout ce qu’il a fait). Bref, Tout ce petit monde mange, boit et s’amuse quoi de plus normal pour une soirée de Noël. Et là, un des enfants allume la télé et on voit des Ethiopiens squelettiques... Entre parenthèses, cela n’arrivera jamais. Pour ne pas faire culpabiliser les consommateurs que nous sommes ce genre d’images est banni de diffusion pendant ces périodes qui doivent rester joyeuses... Bref, il y aurait bien un malaise, au moment du "Tu reprendras bien un peu de foie gras", non ? J’ai mangé pas mal de foie gras moi aussi à Noël et même après d’ailleurs, il ne s’agit pas de faire culpabiliser mais juste de se rendre compte qu’on court tous pour monter dans le train du bonheur mais qu’on ne l’atteindra jamais si on laisse ceux qui ne peuvent courir sur le quai.
Alors pourquoi me direz-vous ?
La seule explication que j’ai trouvé c’est que l’homme a peur. On a tous peur de quelque chose. Peur d’être seul, de ne pas être reconnu, d’être trahi, de ne pas être à la hauteur, de ne pas trouver l’amour, et il y en a tant d’autres...
47 réactions à cet article
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Plus la societe est « civilisee » et riche, plus les citoyens ont peur, c’est paradoxal, mais c’est comme ca.
Heureusement, car trop de gens epris de liberte et ennivres de confiance en eux nous ammenerait a une situation presque revolutionnaire, et ca personne n’en veut, surtout pas nos elites qui ont peur.
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Paradoxal, peut être pas. Car plus une société est riche, plus les individus qui la composent ont à perdre...
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Il n’y à rien de paradoxal, plus une société est riche et plus elle attise la convoitise qui s’exprime par la violence.
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Ca ressemble à la question posée d’un devoir de philo. Quel est le sens de la vie ? Tous les auteurs depuis 3000 ans ont essayé d’y répondre, et des milliards d’humains se sont posé cette question.
Ce que vous dites en substance, c’est que le positivisme ne mène nulle part, que les lumières n’apportent pas le bonheur, ce qui est ce qu’en disait Nietzche au 19ème siècle.
Avez-vous autre chose à proposer que ce qui a déjà été écrit ?
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Pourquoi parle t’on de George tué dans le métro et on ne « souffle » pas un mot à propos de 200 morts en Irak : ça n ’arrive que dans les films de tels carnages et puis si on devait noter la vie d’un arabe de 1 à10 elle n’ira pas au delà de1..dois je comprendre que les arabes sont dotés de 3 poumons ils aspirent beaucoup plus d’air et avec le rechauffement climatique... .Selmi
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Peut-être à cause de cela :
Selon les dernières statistiques officieuse (entendu dans C Dans l’Air sur la Cinq il y à quelques mois), les délinquants dans les prisons en France se réparissaient ainsi :
62% d’origine magrebine 19% d’Afrique sub-saharienne le reste d’origine européenne dont 9% de Français de souche
Statistiques officieuse car interdites en France contrairement aux pays anglo-saxons.
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Pourquoi parle t’on de George tué dans le métro et on ne « souffle » pas un mot à propos de 200 morts en Irak...
C’est très simple, c’est une question d’identification.
On s’identifie sans peine à « Georges tué dans le métro », c’est nous, c’est notre frère, notre fils, notre père, notre voisin...
A l’opposé, il est définitivement impossible de s’identifier à des gens - dont tout nous sépare, la race, la religion, le costume, les moeurs - qui n’en finissent pas de s’entretuer, sans même proposer l’ombre d’une explication, quant à la finalité de ce massacre permanent. En un mot, des Martiens.
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A chaque chose son temps« s’identifier à george » parce que c’est ton frère, ton cousin est une réponse irréfléchie...
C’est pas comme la tienne, alors
La question reste toujours posée ; pourquoi un tel acharnement,une telle haine, un tel mépris et d’où naissent -ils ;comment poussent-ils,quel système de dopage utilisent-ils pour arriver à différencier deux êtres nés identiquement par une seule formule « magique » sur une et une seule terre...
Et la réponse reste toujours valable : il y a des NOUS et il y a des EUX. Les Irakiens sont des EUX, par rapport à Georges qui est un NOUS, et les EUX, NOUS, on s’en fout. Si le 11 septembre 2001, les kamikazes avaient frappé les tours Petronas, à Kuala Lumpur, jamais « Le Monde » n’aurait publié un éditorial intitulé « Nous sommes tous des Malaisiens ».
Tout simplement, parce que nous, Européens, de type caucasien, de religion chrétienne et de civilisation gréco-romaine, nous nous identifions à d’autres Blancs, de foi chrétienne et de civilisation gréco-romaine, et pas à des extrême-orientaux que nous ne connaissons pas et qui ne nous sont rien.
Ce qui précède est une réponse TRES REFLECHIE
Ton truc-là ...différencier deux êtres nés identiquement par une seule formule « magique » sur une et une seule terre..., c’est de la théorie de « progressiste » qui ne résiste pas deux minutes aux vraies réalités de la vraie vie !
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Oui, je me suis toujours demandé pourquoi les gens ont tous de si grandes idées si belles, si idéalistes, mais qu’au quotidien ils se comportent si matérialistement, si négativement, si... bassement.
Ca tient au fait que ce (ne) sont (que) des idées, qui n’engagent à rien et ne mènent nulle part. Ou plutôt si, au paradis pour ceux qui croient en Dieu. Mais ça, c’est une autre histoire, comme eut dit Kipling.
Ils ont donc travaillé directement sur les prototypes d’avions, d’avions de chasse, d’avions fusées, de stato réacteurs, (...) Mais lorsque je leur montre des livres faisant l’historique de cette société, tout ce dont ils sont capables de me parler...
Quand on passe soixante minutes par heure à visser les mêmes boulons ou à répéter le même geste derrière la même machine, il faut avoir la méthode Coué greffée à la place du cerveau, pour avoir le sentiment de participer à une épopée... C’est pas du tout comme quand on condense quatre-vingts ans d’histoire en une fraction de seconde...
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Ces 10 votes sans un seul comentaire indique certainement que vous n’êtes pas le seul à vous poser ce genre de questions mais que personne n’a de réponses à vous apporter. Sans aucun doute la peur de constater que tout un chacun est impuissant devant l’ampleur du malaise...
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Salut à vous Mohammed .
Je n’airai pas par quatre chemins devant ton interrogation bien légitime et partagée du reste par nombre de gens en regard , justement , sur ce « monde dans lequel on vit » .
Pour ma part , je te propose un angle de vue , qui n’a rien de mystique , bien que la question du pourquoi soit elle même aussi vaste qu’un ... mystère .
Donc un angle de vue.
L’individualisme est arrivé en occident , jusque dans l’éducation , ... par réaction , et par le vecteur scientifique. Il est comme toute chose sur cette terre , moche , par certains cotés et protecteur par d’autres . En ce sens il ne constitue pas une ligne parfaite , comme les autres modèles sociaux de ce monde .
L’apres guerre de 40 à vu naitre en occident , cette indépendance de la pensée qui a permis aux enfants de la guerre de grandir hors du « fait religieux » et de l’éducation ... toute tracée. Les millions de morts de cette guerre , la façon « industrielle » dont la folie allemande avait commandé la mort de millions d’individus , au nom d’un superiorité raciale tres théorisée , tres formulée , ont profondément choqué les peuples et l’incoscient collectif occidental. Doublant ce fait historique , le bombardement nucléaire du Japon a également inscrit dans les coeurs , et pour la premiere fois probablement depuis que l’homme sait que la terre est ronde , ... l’idée possible de « fin du monde , fin de l’espece humaine » , dépassant ainsi les concepts de races , « de classement » des peuples . Entre Hitler et la bombe américaine , il y avait de quoi flipper d’avoir connu cette époque . Flipper certes , et se poser pas mal de questions aussi .
Et l’une des questions qui est venue peu de temps apres , et surtout dans les années 70 , celle qui était un peu le sujet de discussion récurrent autour de l’enseignement de la seconde guerre mondiale à l’école, etait de comprendre , d’arriver à se faire une idée sur un fait précis :
« Comment en etaient ils arrivés là ? » ... « Comment tout un peuple a pu suivre une telle folie ? ».
Alors les Allemands ont eu une étiquette nazie collée sur le front jusqu’à la deuxieme génération , tandis qu’en France , on parlait de résistance comme de collaboration , sans trop savoir la part de l’un et de l’autre , ... mais la question du mouvement des masses était désormais posée , et posée dans la peur ... que celà recommence.
Et les « enfants de la guerre » , pour lesquel cet extraordinaire « pouvoir » des masses faisait peur ,allaient devoir d’une part , se méfier de la propagande et de l’adhésion facile à toute doctrine , le fameux « plus jamais çà ! » , et d’autre part , chercher l’explication scientifique de cette caractéristique des masses qui consiste à agir d’un seul homme au nom d’une idée et derriere un leader , sans plus réflechir au sens individuel que celà prend dans ces moments là , à savoir , faire de vous un assassin , même si pour vous , c’est au nom d’une cause.
Et l’occidental , pour et par cela , a du , ... s’individualiser . La religion a énormément reculé dans l’éducation , l’histoire du chiristiannisme et des religions en général étant associée à beaucoup de guerres barbares et de mouvements de masses inconsidérés . Le communisme , un peu plus tard , s’est trouvé délaissé de voir que ce type de systeme , si utile aux hommes lorsque tout est cassé , lorsque tout doit etre reconstruit dans un pays , devenait lui aussi la cause de dictatures meurtrières dès lors que le régime se mettait en tête d’éliminer les opposant à l’idéologie et de détourner le collectivisme vers la dictature , ce qui a souvent été le cas ... Bref , tous les systèmes d’administration des masses humaines ont peu à peu perdu leur crédit pour l’occident , parce que choqués , on s’en est , au fond de nous même , méfié.
Et l’individualisme , la liberté de penser seul , à coté de son voisin , de dire et de débattre si celà est possible protège l’amorce de mouvements de masses , et pose même problème aux pays occidentaux les plus guerriers .
Exemple : Ma conviction ( partagée par beaucoup aujourd’hui ) est que les USA se sont auto mutilés le 11 / 09 pour créer justement cette fameuse orgie patriotique de haine et mener la campagne militaire avec tout le pays en soutient .
Mais que s’est il passé ? Si les américains ont été choqués et horrifiés de ces attentats , Bush , qui recherchait l’unité par le choc psychologique des masses , n’est arrivé en fait à tenir l’opinion américaine que peu de temps , en tout cas , pas assez pour aller jusqu’au bout de son plan . Et plutot que de voir toute une amérique déchainée contre les musulmans du monde , ce qui n’est pas le cas de ce peuple , nous voyons un peuple américain qui certes , a du mal à s’exprimer dans la contestation , mais qui ne croit plus les versions officielles de ce qui est arrivé . Ils arriveront à se révolter , ou pas , qui le sait , mais toujours est il que si ils n’avaient pas pu réflechir et penser librement , même à coté de son voisin d’avis contraire , si l’individualisme n’avait pas existé en Amérique , Il y aurait 270 million de gens bouffés de haine qui seraient prets à mourir pour la cause de Bush . Et ce n’est pas le cas ! Ils ont été choqués mais peu à peu , ils font du chemin et refusent d’etre manipulés en tant que masse . J’espere qu’ils le refuseront d’avantage encore dans les mois qui viennent , et surtout , l’année prochaine , au moment de ré elire un président .
L’edition d’hier d’AgoraVox , pose deux articles sur ce sujet d’ailleurs . On parle de « nouveau 11 / 09 » pour ré unir les masses et redynamiser le conflit . Ceci est comme une preuve de ce que je vous raconte au sujet de l’individualisme . Et aussi , la preuve que s’ils organisaient encore un attentat spectacle aux USA , celà risquerait de ne pas prendre du tout ... ( si celà vous interesse , je vous renvoie à mon intervention au sujet de l’article « Un nouveau 11 / 09 pour les sauver »
Voilà , l’individualisme est pas exempt de défauts , une societé peut s’y perdre car le sort des uns y est détaché de celui des autres . Chaque individu a de fait , beaucoup sur ses petites épaules , mais je tenais à essayer de vous en montrer un aspect qui est peut etre celui par lequel certains groupes d’humains , comme les occidentaux , essaient de se protéger du danger des grands mouvements ... de masse . Les enfants de la guerre doivent savoir, se rappeler et cultiver au maximum le fait , le simple fait que leur bien le plus précieux , est la paix , et qu’avant de reconstruire une societé fondée sur des bases pacifiques , etre bien sur que ce désir profond de paix est bien en chacun de nous . Et comme vous le remarquerez certainement , l’occident est en guerre , donc , ce n’est pas le cas . La France , l’Europe , s’est un peu calmée depuis 40 , mais les US sont repartis de plus belle . Alors , pour ne pas sombrer dans un destructeur mouvement de masse , s’autoriser à penser , à cheminer soi même , ce qui ne nous empeche pas d’etre croyant , mais plutot que de s’approprier des paroles comme celles des textes sacrés et partir à la boucherie , se dire plus simplement qui si Dieu existe et représente ce tout , cette unité suprême , alors , nul besoin de démontrer à son voisin qu’on est plus croyant que lui . D’ou le proverbe , qui résume à peu pres la cause de la méfiance occidentale , et ce en regard de l’histoire de toutes les idéologies.
« Il n’y a pas de religion/idéologie pour laquelle la terre entière n’ait été promise » ... à méditer .
Merci de votre lecture , GRL
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Arretez de vous plaindre, ce monde, vous l’avez crée chacun individuellement dans vos actions de tous les jours, quand cesserez vous de jouez les victimes et d’accepter vos responsablités. Si se monde ne vous plait pas et ne vous a jamais plu, alors pk fait en sorte de le perduré de la sorte et de l’aggravé ?. Il est peut tard pour s’en inquieter.
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Tout à fait Pallas.
Attitudes matérialistes à très courte vue sans le moindre sens, du quotidien qui oublie qu’ils participent à une société et que c’est eux qui la fabriquent.
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un pessimiste est quelqun qui sait comment les choses se passent. bien sûr ,on doit faire de notre mieux pour un monde avec plus de justice , de respect et de beauté . Personne et aucune civilisation y est parvenue , du moins pas longtemps . Le moment est venu pour voir la vérité en face .Nous devons relativiser ce qui ce passe en ce monde et pas trop y attacher d’importance .Le fait que tout est impermanent et mortel devrait temperer les optimistes
http://philippe.annaba.free.fr/index.htm
http://www.onnouscachetout.com/themes/nom/qui-est%20sous-controle-du-nom.php
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Bonjour mab. Excellent article qui donne envie de réfléchir et de discuter. Je vous trouve cependant bien pessimiste. Je pense que l’humanité a quand même évoluée depuis des siècles (on ne fait plus les jeux du cirque, on ne brûle plus les soit-disant sorcières, on ne guillotine plus). Bien sûr cette évolution n’est pas linéaire il y a des hauts et des bas mais je pense que globalement on a évolué.
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Mais on a toujours les coridas où l’on applaudit la mort d’un taureau.
Mais on a les jeux vidéos où l’on massacre à tout va en s’amusant.
Mais on a les guerres du Golf applaudies par les va t’en guerre.
Mais on a les individus de plus en plus encocoonés dans leurs vies, ne tissant plus que des liens électroniques virtuels par Internet.
Mais on a toujours les guerres de religions. Certes elles se sont déplacées d’Europe au Liban et à l’Afganistan mais elles sont toujours bien présentes et seront encore bien actives dans des siècles. Ne seront anéhanties que par l’innéluctable montée des eaux qui envahira et détruira tout sauf les patelins de montagne.
Mais on a de plus en plus de kamikazes qui massacrent pour de pauvres hallucinations religieuses.
On ne brûle plus les sorcières mais le pape s’insurge toujours contre cette science qui s’occupe du Big Bang, « moment de la création de l’Univers par Dieu dons les scientifiques ne devraient pas parler. » en est encore à parler ainsi le bon pape, tout comme on a refusé l’héliocentrisme de Galilée et brulé un Giordano Bruno, parce que cela ne plaisait pas aux croyants !
Vous avez vu Kho Lanta ? Ils sont dans un pays paradisiaque dont on rêve tous mais c’est la guerre entre clans et entre personnalités !
Non l’humanité n’a changé en rien, seule la manière a changé, rien de plus.
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C’est la nature, mon bon monsieur, la nature... et cela s’appelle la compétition. A tous les niveaux cette competition s’exerce, sur les plus bas instincts mais aussi sur la pensée, l’esprit.
Le resultat est bien sur l"emergeance du plus efficace, du mieux adapté. L’individualisme semble être la meilleure solution puisque c’est dans ce schéma que l’homme s’est le plus épanoui, à le plus évolué.
Alors, les petites aventures, comme les guerres, les conflits non armés, les conflits d’idée et les conflits religieux ne sont que les champs de batailles de cette competition. Essayons de les éliminer pour nous concentrer vers un combat unique et si possible positif.
Eliminions donc les guerres, les religions et tous les intégrismes, nous aurons fait un grand pas. Lorsqu’il ne restera que le combat d’idée... et notre propre fierté mal placée vraissemblablement moins dangereuse si nous ne sommes plus armés.
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Entre l’ideal et le réel, on a pas vraiment assez de marge de manoeuvre. L’objectivité et la neutralité des processus de discusion, de débat et d’interaction reste, a mon humble avis, une utopie. L’être humain est par nature subjectif et quand elle exprime ses idées, c’est en realité sa subjectvité construite a travers une culture, des croyances, des valeurs, des ideologies qui s’expriment. Ce qui reste à faire, c’est de coconstruire un espace commun où nos références peuvent s’entrecroiser pour pouvoir aborder d’autres sujets en partant du principe que ce que je pense est relatif puisqu’il est subjectif...
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Et vous les éliminez comment les religions ?
Puisque les chercheurs en neurosciences ont trouvé que les mysticismes sont des hallucinations du Moi créées par certains types de neurones, ceux qui donnent l’illusion du Moi et du Surmoi, de la conscience...
Vous voulez refondre le cerveau humain créé par l’évolution, neurone par neurone ?
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... c’etait quand même un essai d’analyse constructiviste visant a comprendre une realité complexe dont ses acteurs principaux sont les hommes et les systèmes. La clé de la connaissance, c’est la question...C’est la raison pour laquelle je felicite l’auteur puisqu’il se pose des questions et a travers l’ecriture et la lecture, il trouvera certainement des elements de réponse, mais pas la reponse.... Pourquoi ? Parceque nous vivons dans monde qui se ne rejouie pas d’etre complexe, mais en plus, sa complexité est dynamique, ce qui fait qu’on est toujours en retard et dépassé par les evenements....voilà, C’etait ma vision sur la forme de l’article
desertman
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La seule explication que j’ai trouvé c’est que l’homme a peur.
Pas de chance, c’est pas la bonne.
La peur pourrait, à la rigueur, s’appliquer à certains cas de figure évoquer, mais pas à tous.
Ca fait plus de cinquante ans qu’on nous gave de Liberté et de Droits de l’homme, tout soudain quarante, qu’on nous a inoculé le slogan « Il est interdit d’interdire ».
La leçon a été bien retenue. Du coup, l’autre n’est plus perçu, a priori, comme un semblable auquel on s’identifie, mais comme un emmerdeur potentiel, comme un obstacle contrariant notre liberté et limitant nos droits, et qui nous rendrait service s’il allait se faire voir ailleurs ;
C’est naturellement encore plus vrai à l’égard de ceux qui ont des têtes d’étranger. Eux, sont d’autant plus priés d’aller se faire voir ailleurs, qu’ailleurs, c’est justement chez eux, indépendamment de la couleur de leur passeport.
Sous nos latitudes, une part énorme de la population matérialise la religion de la Liberté et des Droits de l’homme, par la devise : « J’ai envie, donc, j’ai le droit », qu’elle traduit quotidiennement dans les faits.
La peur n’a rien à voir là-dedans !
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« Bref, il y aurait bien un malaise, au moment du »Tu reprendras bien un peu de foie gras« , non ? J’ai mangé pas mal de foie gras moi aussi à Noël et même après d’ailleurs »
Oui, il devrait y avoir un malaise, logiquement, dans tout lieu où du foie gras est proposé ! Si on doit refuser ce produit pour des questions éthiques, c’est surtout parce qu’il est issu de la souffrance des animaux : les canards et les oies subissent le gavage, qui est une suralimentation leur créant une stéatose hépatique (maladie du foie). En outre les canards sont, en grande majorité, enfermés dans des cages minuscules dans lesquelles ils ne peuvent pas même se retourner, afin qu’ils ne puissent pas échapper au gaveur. Beaucoup de personnes dans le monde refusent ce produit, et demandent l’abolition du gavage ! Pratique qui est d’ailleurs déjà interdite dans de nombreux pays.
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Dans quel monde vit-on ?
On vit dans un monde imparfait.
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Vision simpliste... On a des outils pour le perfectionner quand même... Qu’est ce que t’en pense ?
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Non vision réaliste plutôt.
Tous les moyens inventés et mis en place pour le perfectionner ne sont qu’une façade puisqu’eux-mêmes possèdent des imperfections et des inconvénients. Essayer de rendre le monde le plus parfait possible c’est bien mais c’est juste une façon de se rassurer, de se dire qu’on a le pouvoir de le changer, de le rendre meilleur encore que pour le meilleur c’est plutôt relatif puisque chacun a sa conception du « mieux ».
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Tu tombe dans le fatalisme ! Tu parle d’une vision réaliste qui suppose la neutralité de ta description du monde, puis tu parle de la divergence des conceptions de la perfection, cela me pousse a dire que tu as du mal a te positionner entre le positivisme qui suppose l’unisme de la réalité et le constructivisme qui relativise l’aspect unique de cette même realité pour dire au finale qu’une interaction entre l’acteur et la realité stimule la diversité de cette realité, d’où chacun a sa propre réalité. Dire que ma vision est réaliste relève un peu de l’utopie. j’opte pour une vision constructiviste qui consiste a dire que l’interaction entre l’acteur et le réel permet de changer les conceptions de l’acteurs et le reel en lui-même.
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Bien sûr que l’on a des outils, heureusement d’ailleurs sinon ceux qui ont une conscience dont la perception dépasse les petits tracas autour de leur nombril seraient tous dépréssifs..... A ce sujet, un article intéressant est publié dans psychologie magazine. l’auteur y décrie le monde tel qu’il pourrait être en 2050, ce n’est qu’une des possibilités qui nous attend... mais ça vaut le détour. Je vous laisse l’adresse pour les curieux...
http://femmes.fr.msn.com/psycho/article_seconnaitre.aspx?cp-documentid=5615682
Merci pour vos commentaires...
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Le monde est imparfait, c’est une réalité, tu ne peux pas nier ça. Après c’est vrai que pour ceux qui vivent à l’abri du besoin, qui sont en bonne santé et qui sont heureux (pas forcément riches) le monde peut sembler parfait mais pour ceux qui vivent dans la merde le monde est tout sauf parfait et tant qu’il y aura des personnes malheureuses et que certaines choses échapperont à notre volonté (comme la mort : notre mort et celle de ceux et de ce qui nous entoure), tant qu’on souffrira, le monde me semblera imparfait. C’est peut-être un discours fataliste, quoique j’ai pas l’impression dans ma vie de tous les jours d’être fataliste, mais c’est ma réalité, ce n’est peut-être pas la tienne mais c’est celle de beaucoup d’autres. Je crois que l’on vit dans un monde imparfait et que l’on est nous-mêmes imparfaits et que ce monde n’est pas perfectible, on peut essayer de l’améliorer et d’améliorer nos vies mais le rendre parfait j’y crois pas, tu penses peut-être le contraire, peut-être que tu penses que la perfection viendrait justement de la dualité des choses (vie/mort, bonheur/malheur, richesse/pauvreté, maladie/santé, etc...) que c’est cet équilibre qui rend le monde parfait même si il n’y a pas vraiment d’équilibre pour le moment. Mais si c’est le cas je pense que peu de gens pensent comme toi.
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http://femmes.fr.msn.com/psych...
C’est du délire à l’état pur, mais ça n’inquiéte pas quand on a lu ce que les futurologues prévoyaient pour l’an 2000, il y a 50 ans...
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J’ai lu plusieur fois sur des sites de psychologie, que l’imbécile ne peut pas faire de dépression.
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Bien heureux qui comme le simple d’esprit ne se pose pas de question..........
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Si AGORAVOX devient un recueil de textes philosophiques, on ne se sortira plus des discussions à n’en plus finir... Et aucune solution pour améliorer la VIE. Il y a quelques années, l’éducation parentale et scolaire donnait encore un peu de « valeurs » à notre conscience. Aujourd’hui, plus de parents qui éduquent (pas le temps...) plus d’instituteurs (trices) qui instruisent la morale, la politesse, le devoir, etc... Ainsi, dès l’adolescence, le futur homme se retrouve individualiste et ne s’occupe plus que de son propre cas. Le reste, les autres, l’environnement, rien n’offre un intérêt pour lui. Et ce n’est pas les médias visuels, parlés ou écrits qui changeront qq chose ! Au contraire, il n’y a qu’à écouter les radios qui, à longueur de matinées, parlent stérilement d’un « petit sujet », monté en épingle par les commentateurs, livré aux votes par SMS des auditeurs de moins de 50 (de QI ?)... Et le jour suivant, re-belote ! On en arrive a un tel degré d’indifférence pour les causes des Grands Maux qui gangrènent le Monde que l’on se replie vers le petit bobo du particulier qui téléphone au journaliste :
- « Mon épouse vient de se casser la jambe dans l’escalier » Aussitôt, discussion : Etes-vous pour ou contre les escaliers ? Taper 1 pour oui, et 2 pour non ! Et l’on tiendra l’antenne une ou deux heures là dessus...-
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..qu’on prenne la peine de s’interresser à ces petite riens...Non !
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A chaque chose son temps« s’identifier à george » parce que c’est ton frère, ton cousin est une réponse irréfléchie...La question reste toujours posée ; pourquoi un tel acharnement,une telle haine, un tel mépris et d’où naissent -ils ;comment poussent-ils,quel système de dopage utilisent-ils pour arriver à différencier deux êtres nés identiquement par une seule formule « magique » sur une et une seule terre : au lieu de leur donner des numéros 1,2,3, on leur donne des noms et chacun deux à droit à un bonjour si on arrive un jour à trouver pourquoi : le débat peut commencer...SELMI
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A chaque chose son temps« s’identifier à george » parce que c’est ton frère, ton cousin est une réponse irréfléchie...
C’est pas comme la tienne, alors
La question reste toujours posée ; pourquoi un tel acharnement,une telle haine, un tel mépris et d’où naissent -ils ;comment poussent-ils,quel système de dopage utilisent-ils pour arriver à différencier deux êtres nés identiquement par une seule formule « magique » sur une et une seule terre...
Et la réponse reste toujours valable : il y a des NOUS et il y a des EUX. Les Irakiens sont des EUX, par rapport à Georges qui est un NOUS, et les EUX, NOUS, on s’en fout. Si le 11 septembre 2001, les kamikazes avaient frappé les tours Petronas, à Kuala Lumpur, jamais « Le Monde » n’aurait publié un éditorial intitulé « Nous sommes tous des Malaisiens ».
Tout simplement, parce que nous, Européens, de type caucasien, de religion chrétienne et de civilisation gréco-romaine, nous nous identifions à d’autres Blancs, de foi chrétienne et de civilisation gréco-romaine, et pas à des extrême-orientaux que nous ne connaissons pas et qui ne nous sont rien.
Ce qui précède est une réponse TRES REFLECHIE
Ton truc-là ...différencier deux êtres nés identiquement par une seule formule « magique » sur une et une seule terre..., c’est de la théorie de « progressiste » qui ne résiste pas deux minutes aux vraies réalités de la vraie vie !
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Bonjour Mab,
Tu poses les bonnes questions et la réponse « peur » me semble une des raisons.
Oui, la peur de l’autre donne un raison à la méfiance. L’actualité entretient cette peur. Que cela soit par des paroles à l’Ouest ou par des du plus physique à l’Est.
Il y a aussi cette couverture que l’on veut attirer sur ses petits pieds, surtout qu’elle se rétrécit.
L’individualisme, l’égocentrisme, le stress et le manque flagrant de vouloir prendre ses responsabilités complètent le tableau.
Il y a de quoi sombrer dans la déprime et pourtant c’est quand tout va mal que les éclats de rire surviennent et relativisent les choses.
Alors, autant être ouvert et près à les recevoir même si c’est de soi qu’il s’agit.
Une philosophie que l’on perd trop souvent.
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Oui, je me suis toujours demandé pourquoi les gens ont tous de si grandes idées si belles, si idéalistes, mais qu’au quotidien ils se comportent si matérialistement, si négativement, si... bassement.
Un exemple parmi des milliers. Ma famille travaille depuis 4 générations dans la plus ancienne entreprise d’aéronautique et d’astronautique française, depuis l’époque où elle s’appelait Dewoitine en 1924.
Ils ont donc travaillé directement sur les prototypes d’avions, d’avions de chasse, d’avions fusées, de stato réacteurs, de planeurs, de fusées, du VB10 au VG90, du Transall au Griffon en passant par le Gerfaut (avions de nos records du monde de vitesse supersonique et d’altudes), de nos premières fusées d’après guerre, qui ont fait la grandeur aéronautique de notre pays.
Mais lorsque je leur montre des livres faisant l’historique de cette société, tout ce dont ils sont capables de me parler c’est « oh tiens celui là c’était le chef de la chorale, quel emm.... », ou bien « ah oui, c’était encore la cantine aux murs bleus », ou bien « ah là c’était encore la cantine à côté du bâtiment de la direction », etc.
Et lorsque je leur parle qu’ils ont participé à l’épopée aéronautique et astronautique, qu’ils ont participé à la conquète de l’aviation et de l’espace...
Rien, le regard vide, pas un mot, si : « ah tiens regarde c’était encore l’entrée principale à cette rue là ! »
Nous vivons dans un monde où les gens ne comprennent que paie à la fin du mois, avantages sociaux, consommation de la voiture, crédit du pavillon, facture de fuel de la chaudière, etc.
Mais quand on leur parle du sens, de la philosophie de la société dans laquelle ils travaillent...
Ca les laisse totalement froids et indifférents...
Qu’ils travaillent à fabriquer des médicaments ou des bombes, du moment qu’ils ont la paie à la fin du mois, le reste cela ne les concerne plus...
Et ce sont eux qui se plaigent du gouvernement, du chômage, et patati et patata...
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Oui, je me suis toujours demandé pourquoi les gens ont tous de si grandes idées si belles, si idéalistes, mais qu’au quotidien ils se comportent si matérialistement, si négativement, si... bassement.
Ca tient au fait que ce (ne) sont (que) des idées, qui n’engagent à rien et ne mènent nulle part. Ou plutôt si, au paradis pour ceux qui croient en Dieu. Mais ça, c’est une autre histoire, comme eut dit Kipling.
Ils ont donc travaillé directement sur les prototypes d’avions, d’avions de chasse, d’avions fusées, de stato réacteurs, (...) Mais lorsque je leur montre des livres faisant l’historique de cette société, tout ce dont ils sont capables de me parler...
Quand on passe soixante minutes par heure à visser les mêmes boulons ou à répéter le même geste derrière la même machine, il faut avoir la méthode Coué greffée à la place du cerveau, pour avoir le sentiment de participer à une épopée... C’est pas du tout comme quand on condense quatre-vingts ans d’histoire en une fraction de seconde...
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De tes réactions incohérentes ; je comprends pourquoi OTT VON disait:plus j’apprends à connaÏtre l’ homme plus j’aime les chiens..SELMI
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On vit dans un monde où tu vois un président fraîchement élu courir dans les champs et derrière lui sa ministre en vélo : pédale, pédale..Cours ,cours Rachida c’est ton tour.....SELMI
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Je partage aussi ce point de vue, que la peur est une des raisons qui engendre le monde tel qu’il est avec ses joies et ses peines. La peur et ce que nous projetons sur autrui. Quand l’autre perd son statut d’être humain à part entière et devient le reflet de nos conflits et nos désirs. Quand il devient objet de satisfaction, ou de frustration. Quand par ce mécanisme de projection, il devient source de plaisir ou de souffrance. Quand on oublie que l’autre est. Et je suis également d’accord avec le fait, qu’il est difficile de se sentir pleinement heureux, quand d’autres êtres humains souffrent intolérablement. Nous sommes des individus reliés !
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Il n’est pas trés difficile de vivre dans le monde que tu nous décrit...les mondes dans lesquelle nous vivons ne se ressemble absolument pas
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..ainsi amis terriens sur Mars la vie est sans commune mesure avec Véga mais une chose est certaine dans le vide sidérale qui isole tous nous nous posons tous ce genre de questionnement a la sortie de notre adolescence
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De quelle histoire parles -tu ?Tu as certainement redoublé ta sixième comme votre président SARCO.Tu dois retouner à l’école pour apprendre l’Histoire....Si ce n’était l’Arabe tu ne serais pas en ce moment devant un clavier ...Tu serais plutôt dans une hutte et sans E.D.F....
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Olá Mab !Le théme d’aujourd’hui c’est assez actuel et donne motif à polémiques,philosophiques et existencialles.Tous ces divergences d’opinion,c’est normal !Les « pourquoi » surgent et iront surgir de tout côtés. Tout cela,résume dans une phrase...« Les doigts de la main,ne sont tous de la même longuer ! »L’être humain est dit...rationnel ! et plupart de fois quelqu’uns se montrent irrationel,c’est quand nous voyons que cette disparité e divergence d’idées sont propre de le comportement d’être humain plein de défaut. Diffidile de comprendre l’âme humain,mais,nous avons fait progréss pendant ce temps ou le monde déjà aurait fini.. !
Tony do Brasil
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bonjour et bon courage, je n’ai trouvé que la réponse synthétique qui suis à te faire. Quand l’on est jeune l’on a que des questions, plus tard beaucoup plus tard en lisant des autres et en « s’introspectant », on comprend que c’est pour avancer car pourquoi exprime le désir de savoir, et il est comme la peur un de nos moteurs.
C’est l’existence de la communauté de ses semblables qui fait de chaque homme un Être conscient. Il n’en découle pas pour autant, comme étant une évidence, la conscience de l’espèce.
Cette « structure interactive » nous poussant à l’association, chacun d’entre nous la possède comme si nous étions enveloppées dedans, à l’exemple du Noir cosmologique enveloppant notre univers.
Comparativement, ce serait soutenir que seul les organes de notre corps sont essentiels, tandis que d’autres diraient que c’est l’enveloppe humaine qui l’est. Les organes, aussi essentiel qu’ils soient, sans une structure de liaison, ne donneraient pas plus un Homme que des bouts de ferrailles mises côtes à côtes donneraient une voiture. Souvent il est difficile de percevoir les évidences les plus simples.
Ce que nous sommes, n’aurait de valeur que par la « structure interactive » qui permet l’association : serait-ce pour l’homme en voie d’hominisation « Le Culturel événement en soi » ?
L’absence d’une théorisation d’une loi générale sur cette « association interactive » conforte l’idée qu’elle n’existe pas. De même que celles théorisées durant plus de deux mille ans sur Le Noir du cosmos, excepté, si nous considérons que l’association est seulement motivée par la procréation. Toutefois, dans ce but ci, nous n’avons pas besoin d’une structure cérébrale aussi élaboré, hormis, si elle doit concourir à l’élaboration d’un « Etre nouveau »...non par prédestination mais par synergie cinétique.
Naturellement, se regarder sous un aspect mécaniste froisse notre ego, tant notre affect est puissant. Pourtant, si nous partons du principe que l’enveloppe de notre corps mérite les soins que nous lui apportons, sa fonction essentielle réside dans sa faculté d’associer l’ensemble des informations qu’elle reçoit : analyser et synthétiser, décoder et encoder.
Et dans quel but ? Procréer certainement ! Mais aussi, repousser la mort ! Deux motivations qui en génèrent une troisième que nous nous refusons à vouloir regarder, celle de tout organisme apte à produire sa capacité régulatrice, qui n’est pas seulement la chaîne alimentaire.
Différer la mort sur une planète où nous n’avons aucune chance de vieillir paisiblement, au milieu des risques représentés par les autres espèces ou d’autres organismes (viral microbien etc.). Des risques que représente aussi la vie de notre espace terrestre (glaciation, réchauffement, dérive des continents, percussion d’astéroïdes, risques météorologiques), et des risques Culturels (accident et organisation de la violence.)
L’apprentissage pour chacun d’eux permet d’accéder aux choix utiles, reculer l’échéance mortelle d’un ultime but énigmatique, la mort.
Un apprentissage n’ayant pas que des adeptes. En particulier les obscurantistes d’hier et de toujours s’opposant à toutes les études de la connaissance de notre création et évolution, par crainte des réponses scientifiques. Heureusement, pour des chercheurs la science n’est ni une éthique ni une religion ni une affaire d’argent, mais un questionnement.
Une recherche demandant une haute conscience Humaine, nécessitant des précautions quand elle nous concerne, et nous pouvons la résumer en une question : Pourquoi ?
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