Destruction de cabanes faites par des enfants, des ponts en bois... : le nettoyage des espaces publics selon la ville de Rennes
Durant la matinée du jeudi 16 juin 2016 une demi douzaine d'employés municipaux et une bonne dizaine d'agents de police (municipale et nationale) étaient présents rue Henri Monnerais, dans les prairies à deux pas du canal pour DETRUIRE :
- DES CABANES FAITES PAR DES ENFANTS (en bois de palette, en bambou).
- Deux ponts en bois qui permettaient de passer un fossé pour rejoindre les espaces verts
- Des toilettes sèches
- Des tables de jardin
- Un stand de gratuité où se trouvaient des vêtements, des fruits et légumes, ...
- L'équipement d'un potager participatif
- Une terrasse en bois
Le tout avait été construit non seulement par les habitants du quartier Saint-Martin mais aussi par des personnes extérieures à ce quartier, et tous ces équipements étaient en libre accès et utilisés par le public.
Cette intervention de "nettoyage" à été agrémentée de violences physique et verbales. Insultes diverses et variées, allant jusqu'à des blagues totalement déplacées sur le physique, menaces physiques, objets lancés sur les gens (poêle, tasses,...), personnes assises sur un banc poussées à la renverse, gazage sans motif. Nous avons effectué une résistance totalement pacifique, sans aucune agressivité autre que celle de contester verbalement ces destructions... Vidéos à l'appui pour prouver ces agissements.
Le lieu, les prairies Saint Martin, est une zone exceptionnelle : 29 hectares de vraie nature à deux pas du centre ville de Rennes. Cet espace est menacé par un projet d'aménagement de parc urbain à 30 millions d'euros. En atttendant la validation du projet, la mairie de Rennes laisse le lieu à l'abandon : aucun entretient des espaces verts, aucune poubelle et aucun nettoyage des déchets, une seule table et un banc sur tout le parc...
La zone où est intervenue la mairie, un espace d'environ 5000m2, était une zone entretenue par les citoyens : défrichement et tonte, aménagements des espaces pour les promeneurs (tables, ponts, toilettes, zone de gratuité, potager collectif,...). En outre, sur tout le site, ces mêmes citoyens, riverains entretiennent et embelissent les infrastructures de la ville (pont en metal repeint et décoré, intallation d'une poubelle à côté de la seule table de la mairie), ramassent les ordures (plusieurs conteneurs remplis déjà),...
Rennes semble ne pas apprécier les initiatives citoyennes et l'utilisation de l'espace public.
Rennes, vivre en intelligence ?
Des vidéos sont visibles sur ce lien :
https://www.youtube.com/channel/UCvrlx0KQnRBe1_m_upbb05A
https://www.facebook.com/groups/513167428852054/?fref=ts
Olème
50 réactions à cet article
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bonjour,
j’ai relayé sur facebook. ok, c’est peut etre pas le new york times, mais je fais à mon niveau.sinon, il faudrait, répondre à la violence de cette clique flicarde par plus de violence ; à coups de barre de fer sur la gueule ! et nous avons le nombre pour nous.c’est inadmissible que des citoyens sans histoire et de bonne volonté soient traités ainsi ! il va falloir leur faire vraiment peur pour qu’ils arretent ces petits nazis leurs violences gratuites..-
(vidéos)
La Police semble avoir plus de considération pour les migrants qui ne se prennent pas du gaz lacrymo dans la tronche ...-
@njama
Voilà une réflexion parfaitement stupide.
Comme si les réfugiés et les migrants - deux catégories bien différentes, et néanmoins tout autant estimables - méritaient particulièrement de se faire asperger de lacrymo ?
En vertu de quoi ? De leur origine ? De leur couleur ? De leur condition de migrants et de réfugiés ?
Ne seraient-ce pas plutôt les racistes qui les mériteraient, les lacrymos,pour répandre ainsi leur haine ? -
@Goldored
faire une analogie n’implique pas un jugement de valeur.Sans me mettre a l’intérieur de la tête de Njama, dire que la police n’utilise pas de gaz lacrymo sur les migrants alors qu’elle les utilise dans ce cas, est une différence de traitement inacceptable, démontrant un engagement de la mairie (soumise a des intérêts commerciaux et financiers) plus que des forces de l’ordre elles-mêmes. -
@njama
simplement parce qu’ils ont la pétoche, les migrants de calais n’ont rien à perdre ! -
@Goldored
Ma formulation était sûrement maladroite, le « migrant » faisant office « d’intrus » déboulant parfois (comme des nomades) dans des espaces qui ne leur sont pas destinés, ni appropriés.
Pour le racisme, je ne vois pas du tout le rapport ??? et ceci dit en passant je ne pense pas comme vous qu’ils mériteraient des lacrymos, la réponse (la violence) n’est pas adaptée. On combat des arguments avec des arguments.Je me pose la question de savoir si, pour m’avoir répondu cela, vous avez seulement pris le temps de regarder les vidéos ?
Ces gens ne « squattent » même pas car les Prairies Saint Martin sont un espace public, il semble de plus qu’il n’y avait pas d’ordre d’expulsion qui pourrait en partie justifier les méthodes musclées employées par les gendarmes.Toujours est-il que l’usage de gaz lacrymo devrait être réservé à de la légitime défense uniquement, or la marée chaussée n’était pas agressée ! cherchez la faute ... Ces vidéos sont des pièces à conviction d’un point de vue juridique, à charge contre les forces de l’ordre qui se sont comportées comme des chiens cerbère contre des personnes aux comportements pacifiques...
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@njama
On voit le racisme partout, mais je suis d’accord avec toi. Je suis dans le 93 et les gitans sont légions. A la gare pas loin de chez moi se trouve un terminus de bus du coup une salle de repose pour les machinistes, une école et un camps de gitan l’un à coté de l’autre. Evidemment les gitan n’ont pas le droit d’être là, ils construisent des cabanes en bois, ils brûlent je ne sais quoi qui fait que le quartier empeste (ce n’est pas de l’encens). Au final hier la police était sur place, pour mettre les choses au claire ça doit bien faire un an que les gitans squattent cet endroit à la vue de tous en plein centre ville, ils ont fait preuve d’un immense respect pour une communauté qui ne le mérite pas. Je dis pas ça par racisme ou haine envers les gitans mais on ne peut pas ne pas faire de généralité dans leur cas.
Dès leur plus jeune âge les parents leurs apprennent à mendier et voler, ils sont en France depuis un moment et la dernière génération parle très mal le français. Ils ne cherchent pas à s’intégrer dans la société ils cherchent à en profiter contrairement aux migrants comme les maghrébins qui sont arrivé en France (c’est la dernière génération qui est totalement merdique, les arabes qui sont arrivé y a 50 ans ils sont très respectables et bossent honnêtement).
J’ai donc un problème avec les gitans et leur méthode. Les femmes mettent au monde uniquement pour faire pitier dans le métro. J’en ai vu une porter son enfant n’importe comment et a fait cogner sa tête sur une rembarre d’escalier et a totalement ignoré ses pleurs. Comment pouvons nous nous dire « Je vais donner de l’argent à ces personnes. » Ils sont horribles et parasitent notre société. Pourtant les flics les ont « dégagé » si on peut appeler cela comme ça, sans violence, sans insultes et sans les presser. Alors qu’à coté nos citoyens se font gazer. -
@TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE
ET LE MAIRE RIPOUBLICAIN DE QUIMPER VEUT INTERDIRE LA CULTURE SAUF DANS SES
CHAMPS ............................
son dicton favori aux conseils « A LA MAIRIE C ’EST MOI LE PATRON !!!! »
QUI FAIT TOURNER SON ENTREPRISE les smicards !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et pour lui les ors de la RIPOUBLIQUE
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@Keroro OU KERZERO !!!
les gitans ne sont pas a Rennes seulement la famille de tarzan !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Un projet urbanistique juteux en vue peut-être ?
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@Hermes
même pas semble-t-il ! ou plutôt pas directement. Il est question d’y prélever 600.000 m3 de terres ... pour pouvoir construire dans d’autres zones inondables !La ville de Rennes a décidé de fermer les jardins des prairies Saint Martin pour deux motifs : Inondations et pollution. Les jardiniers remettent en cause ces deux arguments.
Inondations : Le plan de prévention des risques d’inondations (PPRI) a été signé en 2007 entre la ville et la préfecture. Il indique le classement des prairies Saint Martin en zone inondable réservée à l’expansion des crues. Dans cette zone, il est clairement dit que les jardins sont autorisés. Le PPRI n’a pas été modifié depuis cette date. Les jardins actuels ne posent pas problème, c’est le projet de nouvelles constructions qui remet en cause les jardins. Pourquoi détruire l’existant ?
Reconquête du champ d’expansion des crues : l’arrêté d’autorisation d’aménagement de la ZAC Armorique du 26 octobre 2010 à la demande de la ville de Rennes prévoit de prélever 60000m3 de terre sur les prairies Saint Martin en compensation de différents projets de développements urbains en zone inondable. En réalité ce qui pose problème pour le maintien des jardins ce ne sont pas les inondations mais le décaissement des prairies sur plusieurs hectares. Pour être concret on peut imaginer le prélèvement d’un mètre de terre sur 6 hectares. Les prairies Saint Martin, non constructibles, sont sacrifiées pour pouvoir construire dans d’autres zones inondables. Quel sera l’impact sur la faune et la flore de la zone humide ?
Arrêté d’autorisation d’aménagement de la ZAC Armorique du 26 octobre 2010 : « A la demande de la Ville de Rennes sont autorisés les travaux prévus pour l’aménagement de la ZAC Armorique […] Les aménagements de la ZAC vont contribuer à réduire le champ d’expansion des crues et à impacter des zones humides. La mise en œuvre de mesures correctrices ou compensatoires est donc obligatoire pour gérer ces différents impacts […] Conformément aux clauses d’évolutivité du PPRI et en compensation des différents projets de développements urbains programmés par la Ville de Rennes, des travaux de reconquête du champ d’expansion des crues seront également réalisés sur le secteur des Prairies Saint Martin. Le volume minimum reconquis sera de 60000 m3 ».
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correction :
Il est question d’y prélever 60.000 m3 de terres ... soit le prélèvement d’un mètre de terre sur 6 hectares. -
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ça me rappelle la destruction de la Picharlerie !
Mercredi 11 juillet, la Picharlerie a été expulsée et totalement rasée.
4 aout 2007
Cette maison, perchée dans les montagnes cévenoles du Sud-Lozère, était squattée depuis le printemps 2002. Située sur la commune de Moissac-Vallée-Française, elle avait été abandonnée dans les années 1930 par ses derniers habitants, dans un contexte général d’exode rural.
...
A nouveau, le lieu sombra dans l’abandon. Un incendie ravageur au cours de l’été 1976 paracheva l’œuvre du temps. Ce sont des ruines à peine visibles sous la végétation, -sans un toit, avec des arbres poussant dans les murs et de nombreux bancels effondrés-, que nous avons trouvées au printemps 2002. Nourris, comme d’autres avant nous, d’un esprit de résistance à l’air du temps, nous avons décidé à quelques-un/es d’occuper le lieu et de le réhabiliter avec les moyens du bord, d’y faire des jardins, d’en dégager les fruitiers asphyxiés, d’y poser des ruches,... Chacun put voir se redessiner la maison et ses terrasses à travers la dense canopée.Nous avons entrepris de multiples travaux, aidés par le réseau d’amis et de camarades tissé dans d’autres lieux, au cours d’autres expériences, mais aussi, très vite, par des voisins et habitants de la vallée. Beaucoup sont devenus des habitués de la Picharlerie renaissante et de ses rendez-vous : chantiers collectifs, projections cinéma en plein air, soirées pizza, bibliothèque et fanzinothèque, etc. Des personnes d’horizons et d’origines variés se sont croisées. Le lieu est devenu un endroit de partage, de mélange, certes en marge des réseaux existant en Vallée-Française, mais très riche pour ses occupant/es et tous ceux qui y montaient, bravant plusieurs kilomètres de piste accidentée. La Picharlerie occupée était connue de dizaines de personnes, bien au-delà des frontières de l’Hexagone, animées la plupart par un esprit de contestation du meilleur des mondes qu’on veut nous faire avaler. Un monde morne, toxique, pétri d’inégalités, de guerres « chirurgicales » et d’opérations policières à tout bout de champ ; un monde glissant sûrement vers une société de contrôle total où ceux qui ne rentrent pas dans le rang sont des terroristes potentiels, et où ceux qui possèdent tout ont toujours raison.
C’est sans doute mus par cette dynamique globale de répression que le préfet de Lozère, la mairie de Moissac et le propriétaire n’ont pas lésiné sur les moyens pour se débarrasser des affreux trublions que nous sommes.
[...]Le mercredi 11 juillet à « 7h du matin, les forces de l’ordre se déploient en grand nombre dans la Vallée Française, quadrillant les routes et contrôlant les différents points d’accès à la ’Pich’ (Moissac, Sainte Croix, Saint Etienne, Saint Martin de Lansuscle). Tout au long de la journée, de nombreuses personnes et des véhicules sont contrôlés dans la vallée. Pendant ce temps, sept fourgonnettes de gendarmes, des motards et un engin de destruction (pelleteuse) » réquisitionné « montent là-haut et tout est littéralement rasé. Il ne reste plus des bâtiments qu’un tas de pierres de 50 mètres de long sur quelques mètres de large.... ». (Récit internet de l’un des occupants).
[...]http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article3187
20 juillet 2007
Premières réactions au massacre de la Picharlerie
http://yurtao.canalblog.com/archives/2007/07/20/5668846.html-
« Cet espace est menacé par un projet d’aménagement de parc urbain à 30 millions d’euros. »
tout est dit ... depuis toujours l’argent prime sur l’humain et l’intérêt général.-
Encore du boulot pour les zadistes !
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Je n’ai pas vu grand chose dans Ouest France à ce sujet....
Pour le reste Rennes et Rennes Metropole s’éloignent peu à peu de la démocratie et du citoyen lamdba. J’ai eu l’occasion de m’en apercevoir lors de la modification du PLU de ma commune (PLUI, désormais) avec des élus locaux dont on se demande s’ils avaient lu les documents fournis par la technostructure intercommunale.-
@Michel DROUET
Ouest-France ne va pas prendre le risque je pense de se fritter avec la mairie de Rennes, « capitale de la Bretagne » ...
D’après ce que j’ai compris du problème en cherchant sur le web, il y a une zone inondable non constructible dans l’agglomération de Rennes, dont font partie les Prairies Saint-Martin. Pour s’étendre - le « projet d’aménagement de parc urbain à 30 millions d’euros » - la ville compte remblayer une partie de la zone inondable en prélevant 60.000 m3 de terre à bon compte sur ces prairies, augmentant ainsi un bassin tampon pour les crues pour compenser.Sachant que la zone où est intervenue la mairie, ne représente qu’un espace d’environ 5000m2 sur les 6 ha, il est regrettable qu’il n’y ait pas de projet alternatif de proposé ... création d’un lac par exemple qui pourrait faire office de réservoir tampon en cas d’inondation.
Il semble y avoir un manque patent de concertation dans ce dossier ! ...01 octobre 2011
Texte présenté au conseil municipal du 3 octobre
[...]
Quel avenir pour les prairies Saint Martin ?
Nous souhaitons que la Ville repense les prairies comme un écosystème à préserver et non comme une zone de compensation pour des projets d’urbanisme. Le prélèvement de 60000m3 va faire disparaître l’écosystème diversifié constitué de prairies, jardins, haies, mares, boisements… Une concertation est-elle envisagée avec les associations d’environnement ?Nous demandons le maintien de jardins dans le futur projet d’aménagement des prairies. Le développement de jardins potagers au cœur de la ville correspond aux aspirations des grands centres urbains dans le cadre du développement durable. C’est pourquoi les jardiniers des prairies Saint Martin se sont regroupés en association. Nous demandons une réunion entre tous les jardiniers et la Ville de Rennes avant la fin de l’année pour discuter de la place des jardins dans le parc naturel urbain.
L’association « Préservons les prairies Saint Martin »
http://prairiestmartin.canalblog.com/ -
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Saloperie de flics. Après ils s’étonnent que personnes ne les aiment.
Quand un flic se fait buter je ne verse aucune larme... Pour moi ce n’est un accident du travail. Point barre.-
Quant une mairie affiche un tel mépris pour l’initiative citoyenne on change l’équipe ...
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des lois d’exception en France MAIS FAITES POUR LES ELUS DU STYLE BALKANI 1 ET 2 SARKOZICIOTTI MARIANI MORANO (tous anti immigration)
COMBLE DU CYNISME ILS RENIENT LEURS ORIGINES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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La ville de Rennes, depuis la construction de son métro à la parisienne, ressemble de plus en plus à Bobigny. Trafics de came en plus centre-ville, avenue du Mail transformée en espace ludique pour les « enfants de la diversité », cyber-kebas qui émergent de partout... On est très loin de l’esprit ville tranquille de province d’il y a quelques années...
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De tout coeur avec vous ! C’est très bien d’alerter l’opinion, le seul vecteur de sensibilisation susceptible de freiner un peu les bulldozers, et de d’obliger les gorilles et les élus, à engager un conseiller en communication, afin de tenter de donner une légitimité à ce qui est une confiscation. La taille au dessus de vos aménagements , et de votre charmant lopin de terre, buccolique, humain, utile, « créant du lien », l’expression pourtant favorite de nos ronds de cuir voulant se donner une posture sociale, et vous avez Notre dame des landes, dont on sait aujourd’hui avant coup le résultat du référendum qui devrait logiquement et économiquement être régional, donc beaucoup plus indécis, celui ci circonscrit à une limite qu’on sait favorable, en rapport à des sondages qui ont été fait avant coup....Voilà comment les bulldozers parviennent à obtenir une légitimité factice...La même recette un peu pour la loi El konery ou quelque chose comme ça je n’ai pas le cœur à regarder l’orthographe du nom de ce prête nom de walls....Digressions.... Une valse à mille temps......L’album, « the wall ».« Hey teacher, leave the kids alone », chantait le floyd.
Il y a un mur de verre qui devient de plus en plus opaque, et qui ne cherche même plus à ne pas ressembler à ce qu’il est vraiment, du béton.....A l’heure où les manifestants sont parqués dans un manège, et demain, pourquoi pas, après l’euro dans les stades, comme ça c’est fait en amérique du sud.......-
un espace public n’a jamais été un espace privatisé par et pour certains
s’il est géré dans ce cadre, à une association de quartier, par exemple,c’est par le biais de convention.
Et généralement c’est après un vote à une élection municipal ou chacun fait sa profession de foi
donc les électeurs connaissent la position de celui qui est élu maire, qui a mandat pour gérer les espaces public pour tous.Sinon, on est plus en démocratie.
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si on n’est pas d’accord avec çà, tout propos est malhonnête ou pire encore
heureusement que l’on est en démocratie et que les forces de l’ordre en sont garantes, car on voit de plus en plus de soulèvements populaires absurdes de personne prêtes à utiliser n’importe quel prétexte pour changer de système politique ou de représentants, pour aller vers bien pire.
pourtant, on est éduqués et informés, a priori.
qu’est ce que ce serait sinon.....-
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25% de la pollution par nitrates est liée à l’utilisation des machines à laver
l’homme a toujours utilisé le fumier, le lisier pour enrichir les sols.
l’utilisation intensive permet de doper les rendements, donc utiliser moins de surface, donc moins défricher, etc...-
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Et si un gosse se faisait mal en tombant d’une de ces cabanes perchées ?
Vous crieriez tous au scandale que la municipalité n’ai pas aménagé ces espaces ?Fermez-la !-
c’est oublier un peu vite que 98% de la population se sent bien dans cette société.
et que beaucoup pensent qu’il y a trop de laxisme.
combien de parents responsables ont démoli des cabanes en bois dangereuses car perchées dans les arbres ? Même si cela ne faisait pas plaisir aux enfants.
Là, c’est la même chose. revenir aux fondamentaux : un espace public ce n’est pas un endroit que l’on l’on peut s’accaparer pour faire n’importe quoi.
Si un flic me demande mes papiers, je les montre.
S’il me demande de faire un détour Place d’italie pour contourner la manif, je le fais.
S’ils me demande de partir d’un endroit , c’est qu’ils sont dans leur droit pour le faire, donc je m’en vais. Si je m’en vais, il ne se passe rien. Sinon, j’ai été prévenu que çà se passera moins bien.
En 1968 quand les CRS chargaient, il y avait les slogans « Crs-SS », etc...
mais il n’y avait pas de pleureuses comme aujourd’hui pour se plaindre qu’ils fassent leur job. Parcequ’ils luttaient pour une vraie cause, partagée par une part importante de la population.-
@titi75013
le pseudo fleure bon le titi Parisien.
Caché derrière ce faux pseudo, un discours de parfaite crevure. -
@titi75013
En 68 les CRS c’étaient des hommes qui chargeaient armés de leur seule matraque, pas des tafioles ayant tellement peur du contact qu’ils n’hésitent pas à éborgner des jeunes ou moins jeunes à coups de « lanceurs de balles de défense » et autres grenades offensives. -
@titi75013
Il est vrai que le recrutement a changé : hier le CRS était issu du peuple, et n’ayant pas fait d’études généralement.
Il faisait son devoir armé de sa matraque, de son courage, et de son bon sens.
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Aujourd’hui, on recrute des gens qui ont péniblement réussi ou échoué de filandreuses licences en psycho-socio et autres formations voie de garage pour fainéants sous-doués.
On flatte dès leur admission les impétrants, leur certifiant que la demi-formation pourrie avec laquelle ils se sont présentés en fait l’élite de la France.
De lâches et bêtes on en fait des gens lâches, arrogants et bêtes.
Ils sont ceux dont a besoin un pouvoir aux abois..Certes, il faut leur confier un peu des armes pour leur donner du courage ; c’était le sujet de décrets pris par le Ministre de l’intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy :
autorisation dans le cadre du maintien de l’ordre du fusil militaire, de la grenade offensive de guerre, de la grenade de désencerclement, et du lanceur de balles de défense qui a lui seul a défiguré ou éborgné un certain nombre de manifestants.
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De quoi être fier. -
@exocet
en 68 ces hommes avaient le droit de se défendre et frapper les pleureuses qui finissaient avec quelques cotes cassés et nous cassaient pas les couillesAujourd’hui ils ont plus le droit de les touchers sans finir en justice, ils sont obligés d’utiliser des gazs et autres armes non blessante
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Bonjour à tous,
quelque soit la côté qui a raison, j’ai bien aimé la relfexion d’un des policiers sur une des vidéos :
« Nous on est pas là pour réfléchir »
Ca m’a bien faire rire... ou pleurer. Le flic (je ne généralise pas, il ne parle que pour lui) on lui donne un ordre et il met son cerveau à côté comme dit le mec en face.
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Rien de choquant dans cette video
Des SDF qui vivent illégalement sur un terrain refusent de partir, les policiers suite aux discutions emploient la force pour les pousser et démonter leurs occupation et construction illégale
La on est evidemment pas dans le cadre d’habitants qui occupent un terrain, mais de squatteurs (drogué) qui s’approprient un parc et y plante leur caravanne.
Rien ne les empechent d’acheter un terrain pour y faire ce qu’ils veulent, mais c’est tellement plus simple de voler les terrains de la ville et de vivre du RSA en empéchant les habitants de profiter du parc
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@shayologo
C’est fou ces personnes qui se permettent de juger, critiquer et émettre un avis sans rien savoir de la situation, et qui invente la moitié de leurs arguments.... Vous devez être bien triste dans votre vie, je vous plains, pour dégager autant de colère et de haine.
« mais de squatteurs (drogué) »Vous ne valez même pas le coup que je vous réponde, avec un tel raccourci, cela prouve que vous êtes totalement abruti. Je n’utilise pas souvent des termes aussi forts, mais là, je ne vois que ça. Au final c’est juste risible, et cela m’inspire tellement de pitié à votre égard....« en empêchant les habitants de profiter du parc »Et là vous prouvez que vous parlez sans savoir, c’est juste honteux. Je répète, pas pour vous, mais pour les personnes qui liraient votre commentaire, que cet espace (5 000 m2 sur 29 000 m2) était TOTALEMENT en friche, impraticable par les habitants, et un fossé empechait même de pouvoir accéder à l’espace vert correctement. Et NON il n’était pas en friche à cause des « SDF » que vous citez, puisque LA TOTALITE des prairies est en friche et non entrenue.NOUS avons défriché, tondu, construit des ponts justement pour que les habitants, citoyens puissent profiter du lieu. Vous inversez tout. Mélangez tout. Et quand les promeneurs viennent nous voir en nous demandant ou sont passés les ponts, les tables, la zone de gratuité, on réalise encore plus que ce que l’on avait mis en place n’était pas juste du vent.Je maintiens qu’il vaut mieux se taire quand on ne sait pas de quoi on parle, c’est un des gros problème de notre espèce, qui baragouine à tord et à travers parce qu’elle s’ennuie ou pour se faire valoir d’une façon ou d’une autre, et souvent surtout pour s’écouter elle même.... -
le parisien, en tant que fils de paysan éleveur en montagne, il connait mieux la nature que toi en plus d’être moins ignorant sur le fonctionnement de la société
je ne vois pas en quoi çà me décrédibilise, co.....d !
10 millions de connards parisiens en france ??
j’ai bossé pour çà, plutôt que d’insulter, tu n’avais qu’à faire pareil, plutôt que de jalouser.
c’est facile ton argumentation fascisantepour avoir discuté avec des CRS en déambulant un jour de fête des lumières (car leur rôle est de protéger, au cas ou tu l’aurai oublié...), oui, ils ont des connaissance en psychologie, car ils doivent connaissent les gens qu’ils ont en face.
Fixer le regard suffit : la personne belliqueuse réagira.
Qui cherche qui ?-
@titi75013
« fils de paysan éleveur en montagne »Alors pourquoi ce pseudo mensonger « titi75013 » ?
Quant à tes insultes mets les dans ton gros cul, ça te redonnera des couleurs.
Avec tes multiples mensonges, ils élevaient quoi tes parents ?
En tous cas, toi, ils t’ont mal élevé. -
@titi75013
pour avoir discuté avec des CRS en déambulant un jour de fête des lumièresAh oui, en plus tu te prends pour un surdoué et les CRS aussi, c’était la fête des lumières, y avait toi et les CRS, et pour votre fête, les lumières, on vous a offert quoi, un diplôme en psychologie ?
Tu devrais poster en indiquant « CRS94 » ce serait moins mensonger et moins hypocrite, et tu te ferais moins insulter, fin psychologue que tu es.
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@titi75013
Leur rôle est de nous protéger, ça c’est bien vrai, et si on l’oublie, c’est que cela semble ne plus être la motivation première de ces personnes.Je n’ai jamais été violente, jamais une casseuse, je vais très peu en manif, je n’ai aucun souci avec la justice, aucun casier, j’ai tout mes points sur mon permis, et pourtant, dès que je croise une personne des forces de l’ordres, que ça soit gendarme, police, bac, crs, et bien, je stresse, je me sens en totale insécurité et envisage toujours un plan foireux, surtout quand je me balade en ville lors des manifs, même si je n’y prends pas part...J’ai des copains qui sont partis en prison en n’ayant RIEN fait, a part être au mauvais endroit, au mauvais moment, et puis à servir d’exemple.Qui cherche qui ? Aha.... On sent que tu n’as jamais été dans le camps de ceux qui manifestent, même pacifiquement. Ils font TOUT, avec leur « fine psychologie » pour pousser à bout les gens en face et justifier de rentrer dans le tas. Si on leur donne des cours de psy, c’est bien cela : « comment pousser à bout une personne pacifique par tous les moyens possibles, insultes, menaces, afin de la faire réagir un tant soit peu et que vous puissiez ainsi lancer une offensive ».
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