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Accueil du site > Tribune Libre > Dominique Strauss-Kahn, ou le mérite de ne pas cacher son jeu

Dominique Strauss-Kahn, ou le mérite de ne pas cacher son jeu

« DSK, l’homme dont le silence fait du bruit » ; « A la recherche du strauss-kahnisme » ; « DSK objectif Elysée » ; « DSK et le PS sont-ils compatibles ? » ; « De quoi a-t-il peur ? » ; « Meilleure audience de la saison sur France 2 pour un JT »  : quelle com., quel buzz, quel mystère ! Mystère ? Et si, justement, il n’y en avait pas ? Car Dominique Strauss-Kahn ne cache pas son jeu : tant aujourd’hui dans ses déclarations publiques que dans sa politique passée, lorsqu’il était ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie (entre 1997 et 1999), il a toujours joué le jeu du capitalisme financier en le recouvrant d’un vernis rose. Nous avons analysé, dans Nouvelle Solidarité du 27 août 2010 (« DSK : nous préférons ne pas », par Z. Markas), pourquoi nous le jugeons fondamentalement inapte à faire face à la politique de Wall Street et de la City. Si nous reprenons maintenant le sujet, c’est pour bien faire comprendre à nos lecteurs la portée de ce qu’il vient de dire lors de son passage à Paris et situer dans la durée de ces douze dernières années l’impact de ses choix politiques passés. Nous nous adressons à tous ceux qui pensent qu’il serait le candidat idéal pour nous débarrasser de Nicolas Sarkozy, en démontrant par ses propres déclarations et ses actes que ce serait une roue de secours du système qui nous détruit. 

Directeur général du FMI et fier de l’être

Nous prendrons comme référence son interview par les lecteurs du Parisien, le 21 février 2011. Lorsqu’une lectrice lui demande : « Quelle place reste-t-il pour nos services publics dans la mondialisation ? », il répond : « Enorme ! D’abord, il y a une place pour les services publics mondiaux : le FMI, c’est un service public mondial. » Ce qui est énorme ici, c’est le culot de la réponse : tout le monde sait que le FMI est le bras armé des marchés financiers, qui a toujours appliqué et continue d’appliquer, avec ou sans DSK, une politique consistant à renflouer les méga-banques et à imposer l’austérité aux peuples (baisses brutales des salaires et des retraites, destruction des systèmes de santé et d’éducation…). Les pays sud-américains peuvent en juger, et aujourd’hui les Irlandais, les Grecs, puis demain d’autres peuples membres de l’Union européenne, si le même ordre financier leur est imposé.

La scandaleuse incompétence économique du FMI vient d’être très officiellement diagnostiquée par le rapport de son propre Bureau indépendant d’évaluation (BIE). Mme Helga Zepp-LaRouche l’a indiqué dans notre numéro du 18 février 2011. Rappelons que le BIE juge que le FMI de M. Strauss-Kahn a été incapable de déceler les risques du système financier et d’émettre les signaux d’avertissement nécessaires. Il souffre de méthodes analytiques défaillantes, de parti pris, d’une pensée stéréotypée et d’une cécité organisationnelle ; son mode de fonctionnement est cloisonné, ses organes de surveillance sont inefficaces et il y règne une peur d’exprimer des opinions critiques. C’est à se demander si DSK ne fuit pas son job actuel, comme il le dirait, pour « faire président de la République » chez nous, comme le dirait Nicolas Sarkozy. Ajoutons que, dans Le Parisien, il maintient sa position sur la retraite à 62 ans sans jamais aborder la souffrance au travail, droit dans ses escarpins de libéral financier.


Adversaire de la souveraineté nationale

Après avoir déclaré que « la reprise existe partout » et que seule l’Europe « repart moins vite », DSK ajoute : « Pour que le système fonctionne mieux, il faut que les Etats renoncent à une partie de leur souveraineté. » Pour lui, « l’abandon de l’euro, c’est une vaste supercherie » et « dans la réalité, c’est quasiment impossible de revenir en arrière ». A Francfort, le 19 novembre 2010, devant un congrès bancaire européen, il n’a proposé ni plus ni moins que de « créer une autorité budgétaire européenne centralisée » qui serait « aussi indépendante politiquement que la Banque centrale européenne ». Toute puissante, « cette autorité fixerait les orientations budgétaires de chaque pays membre et allouerait les ressources provenant du budget central ». Même M. Balladur, dans ses costumes taillés sur mesure à Londres, n’est jamais allé aussi loin dans la soumission à une entité supranationale sans contrôle démocratique et soumise aux banquiers centraux ! Et pour appliquer quelle politique ?

 Mais celle du FMI en Europe, que M. Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, décrit comme « associé à la Commission européenne ». Dans le numéro du Parisien cité ci-dessus, Jean-Claude Trichet déclare tout haut les présupposés des partisans de cette politique : « Augmenter les salaires serait la dernière bêtise à faire », en même temps que sa banque avale les effets toxiques des établissements financiers ! La messe est dite. Cela donne en novlangue strausskahnienne : « Je suis socialiste dans les solutions pour aider les pays en difficulté. »


Un passé de même acabit

Lorsqu’il était ministre de l’Economie, DSK « a convaincu Lionel Jospin de jouer à fond la carte de l’euro et, oubliant les fameuses conditions que posaient auparavant les socialistes à son lancement, de se convertir au très contraignant pacte de stabilité » (Le Monde du 3 novembre 1999). C’est lui qui a porté la BCE sur ses fonds baptismaux, en la livrant aux banquiers « indépendants », hors de tout contrôle démocratique.

Lorsque Le Monde a dressé le fameux constat : « Lionel Jospin privatise plus qu’Alain Juppé » (le 7 août 1998), c’est DSK qui était l’inspirateur économique. Sa commission des transferts a alors beaucoup transféré au privé : France Télécom, Thomson-CSF, Thomson Multimédia, Air France, l’acier… C’est lui qui offrit Airbus en cadeau à Lagardère, permettant aux actionnaires de s’enrichir alors que les salariés subissaient le plan Power et sa suppression de 10 000 emplois en Europe. Le DSK d’aujourd’hui est donc bien à l’image de celui d’hier, et on ne peut pas lui reprocher de cacher son jeu.

C’est donc aux électeurs de juger sur pièces. Ajoutons que les attaques de la droite sarkozyste contre DSK ou les embardées de Mélenchon ne sont pas notre affaire. Celles de Christian Jacob et de Jean-François Copé exhibent le pétainisme de terroir de leurs auteurs.

 Il serait triste qu’une présidentielle se déroule à ce niveau. Ce que nous attaquons ici, c’est le disciple avoué de Keynes et Schumpeter, la « destruction créatrice » mise à la mode du XXIe siècle, qui porte le fascisme financier comme la nuée porte l’orage, sans en voir consciemment les éclairs.


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17 réactions à cet article    


  • Furax Furax 26 février 2011 13:43

    Merci pour cette contribution.

    « A Francfort, le 19 novembre 2010, devant un congrès bancaire européen, il n’a proposé ni plus ni moins que de « créer une autorité budgétaire européenne centralisée » qui serait « aussi indépendante politiquement que la Banque centrale européenne ». Toute puissante, « cette autorité fixerait les orientations budgétaires de chaque pays membre et allouerait les ressources provenant du budget central ». Même M. Balladur, dans ses costumes taillés sur mesure à Londres, n’est jamais allé aussi loin dans la soumission à une entité supranationale sans contrôle démocratique et soumise aux banquiers centraux ! »

    ceci devrait êttre largement diffusé dans les sections du PS.
    C’est très éclairant sur le personnage et ceux qui le soutiennent.






          •  C BARRATIER C BARRATIER 26 février 2011 16:57

            J’ai pour ma part changé d’avis à son sujet et surtout sur ce qu’il convenait de faire aux prochaines élections.
            Mitterrand, ce n’était pas la gauche certes, mais on restait républicain (services publics, hôpitaux, politique internationale). Sarkozy ce fut autre chose, Chirac de droite aussi resta républicain. Je ne veux pas de l’extrême droite et je suis prêt à voter pour la droite socialiste ! Ce n’est pas tout à fait pareil !
            Voilà pour répondre à un article tract de propagande électorale pour soi-même.

             Tout peut encore changer, sauf que l’auteur sait bien qu’il n’a aucune chance d’être élu. Pour les candidats en tête je pronostique que Marine LE PEN devancera SARKOZY, mais je ne suis pas sûr que le classé second soit de gauche : je voulais voter MELENCHON que j’apprécie beaucoup et le dire au 1er tour. Bien que certain d’avoir plus de voix que CHEMINADE, je sais qu’il a peu de chances d’être au second tour si Strauss ou Ségolène ou Martine ou un autre du PS se présente . Je voterai donc pour le non SARKO ou la non LEPEN qui risquera à mes yeux d’avoir plus de voix que tous les autres concurrents de ces deux là.
            Bref, j’attends de voir qui est candidat et je fais comme s’il n’y avait qu’un tour.
            Nous savons que l’élection se joue bel et bien au premier tour.


            • Bertrand Bertrand 26 février 2011 17:16

              Vous êtes bookmaker ou socialiste ?

              En tous cas merci à Cheminade de dire la vérité. DSK risque de tirer une tronche de 4m s’il se retrouve à débattre avec lui...

              La grande faille de DSK c’est qu’il est très intelligent, ce qui fait de lui un être conscient de ses actes et paroles. Là ou un abruti mentirait sincèrement, DSK sait qu’il ment, et ça ca va pas lui rendre service dans la crise qui s’annonce...


            • Maldoror Maldoror 27 février 2011 15:47

              @ Barratier :

              « J’ai pour ma part changé d’avis à son sujet et surtout sur ce qu’il convenait de faire aux prochaines élections.

              Mitterrand, ce n’était pas la gauche certes, mais on restait républicain (services publics, hôpitaux, politique internationale). »

              Marrant comme critère de jugement, « on restait républicain ». Républicain ? Soit un régime dans lequel la politique est chose publique, l’affaire de tous, le pouvoir par les lois et non le pouvoir personnel ? C’est quoi une politique internationale « républicaine » par exemple ? Vous craignez la monarchie ou la dictature en fait ?

              A part ça donc vous ne voulez pas de Sarkozy mais par contre Strauss-Kahn ça irait ? Quel intérêt ? Il n’y a aucun choix là dedans, en gros votre projet c’est simplement de continuer le système actuel dont la finalité est supranationale, mondialiste, et donc anti-démocratique, tout simplement ! Car votre Mitterrand soit disant républicain (un républicain qui a reçu la francisque ! décoration de Vichy, bref, un type qui a fait allégeance à un régime collabo ! - Voici ce que dit wikipédia à propos de cette décoration : « Le candidat devait avoir 2 parrains, « présenter des garanties morales incontestées et remplir deux des conditions ci-après : avant la guerre, avoir pratiqué une action politique nationale et sociale, et conforme aux principes de la Révolution nationale : manifester depuis la guerre un attachement actif à l’œuvre et à la personne du maréchal : avoir de brillants états de services militaires ou civiques ». Il devait prêter ce serment : « Je fais don de ma personne au Maréchal Pétain comme il a fait don de la sienne à la France. Je m’engage à servir ses disciplines et à rester fidèle à sa personne et à son œuvre. » Haha ! Donc votre président républicain a participé de la collaboration avec le nazisme, a prêté serment de fidélité, a signé le Traité de Maastricht qui nous a asservi un peu plus à une tour de Babel bureaucratique et antidémocratique, continuant ainsi son œuvre de collaboration, a opéré toutes sortes de magouilles politiciennes (des écoutes téléphoniques sans doute « républicaines » ?). A côté l’extrême droite de Marine Le Pen n’a qu’à bien se tenir ! Et bien sûr ce pétainiste resté collabo jusqu’au bout pouvait dire de De Gaulle qu’il faisait le coup d’Etat permanent, haha !

              Et donc maintenant, votre projet pour 2012 c’est voter DSK, vous restez cohérent ! puisque ce monsieur est pour un gouvernement européen indépendant, du genre de la BCE, se plaçant ainsi dans la lignée de ces néolibéraux critiques de la démocratie, du peuple et qui cherchent à lui couper tout levier politique et économique.

              Ajoutez que ce monsieur ne croit pas un seul instant à l’avenir de la France ! Voter pour un président qui ne croirait pas dans son pays, voilà qui est intéressant ! Ah et pour finir, vous apprécierez certainement la déclaration de ce candidat à la présidence de la république française : Je considère que tout Juif de la diaspora, et donc de France, doit, partout où il peut, apporter son aide à Israël. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est important que les Juifs prennent des responsabilités politiques. En somme, dans mes fonctions et dans ma vie de tous les jours, à travers l’ensemble de mes actions, j’essaie d’apporter ma modeste pierre à la construction d’Israël ».

              Donc, je résume, votre vote utile pour 2012 sera pour un candidat qui :

              Ne croit pas en son pays + a déjà favorisé sa perte de souveraineté quand il était au pouvoir, et continue aujourd’hui + a déclaré défendre chaque jour un Etat étranger, (qui plus est avec la politique qui est la sienne !).

              Bref, dans la droite lignée de Sarkozy ! Et le négatif de De Gaulle qui lui était résistant !

              Mais bon, on reste républicain bien sûr ! Au moment où les gens sérieux (voir les titres des derniers bouquins) parlent plutôt d’oligarchie, c’est bien drôle !

              Il faut espérer que vous n’êtes qu’une infime minorité avec une telle grille de lecture conformiste totalement dépassée et qui depuis des décennies nous mène droit dans le mur !

               


            • fwed fwed 24 mars 2011 12:49

              Merci maldoror, je soutient votre analyse


            • dawei dawei 26 février 2011 17:07

              ni lui ni aucun autre .... pourquoi devrions nous avoir des dirigeants qui sauraient mieux que nous ce dont nous avons besoin ? Seule notre conscience devrait nous diriger ... POINT BARRE


              • Chris83 26 février 2011 18:49

                Oui, dawei, et je rajouterais que

                « Nous consentons haut et fort en glissant le bulletin de vote dans l’urne et par ce seul geste, nous avalisons tacitement le système, ses méthodes et ses dirigeants. Par notre silence et notre acceptation nous leur accordons toute la latitude et nous leur procurons les outils nécessaires à gagner leur paradis... à même la sueur de notre front. » (Pierre de Chatillon)

                Ceux-là même non pas idée de ce qui enfle dans la conscience des personnes que je croise, en particulier les plus jeunes. Ceux déjà inscrits sur les listes électorales sont déterminés à ne plus se rendre aux urnes, les plus jeunes en âge d’être inscrits ne veulent pas y figurer. Je parle bien là de VOLONTE à ne pas participer, d’une démarche politique...


              • Francis, agnotologue JL 26 février 2011 17:38

                Bonjour Jacques Cheminade,

                je suis d’accord avec cette analyse, dans son ensemble.

                Vous dites : « ... les attaques de la droite sarkozyste contre DSK ... ne sont pas notre affaire. Celles de Christian Jacob et de Jean-François Copé exhibent le pétainisme de terroir de leurs auteurs. »

                Puisque nous parlons de pétainisme, sur ce sujet je ne saurais mieux dire qu’Alain Badiou parlant de Nicolas Sarkozy :

                « La « rupture », c’est quoi ? Le démantèlement des acquis sociaux, le fait que les riches paient moins d’impôts, qu’on privatise de façon rampante l’université, qu’on donne les coudées franches aux affairistes. Cette façon de déguiser une soumission au capitalisme mondialisé en révolution nationale relève en soi du « pétainisme », au sens formel. » « De quoi Sarkozy est-il le nom ? »,  Alain Badiou


                La soumission au capitalisme financier de DSK c’est clairement aussi du pétainisme !

                L’UMPS est pétainiste !


                • zany 26 février 2011 21:03

                  L’UMPS est pétainiste !

                  Je ne suis pas d’accord, nazi serais le mot, avec leurs loi racial et l’apologie du métissage qui discrimine les toubab,
                  L’UMPS organise la traite d’être humain au niveaux international (politique du FMI en Afrique)
                  Prise de contrôle des états, etc...

                  Ce que Hitler n’a pas réussi a faire avec une guerre mondiale, les multinationale sont en train de le faire grace a une stratégie à long terme...


                  • Arthur 123 27 février 2011 02:40

                    Bonsoir Monsieur Jacques Cheminade
                     
                    Merci pour l’article

                    J’ai un problème, c’est qui va avoir une pléthore de candidat pour 2012. Il est évident que beaucoup de passeront pas le premier tour et qu’il est probable qu’il est Le Pen, Strauss-Kahn, et un UMP ?. 
                    Pour moi il est hors de question que un ses personnes accèdent au pouvoir. Pour des raisons qui sont liés aux nombres de casseroles qu’ils trainent.
                    Je n’es rien contre le faite que vous vous présenter Monsieur Cheminade au présidentiel. je trouve par contre parfaitement inutile de se retrouvées avec une pléthore de candidat pour cette élection. Qui de grès ou involontairement vont favorisées ceux que je voudrais surtout pas ces qu’ils vont passé aux segonds tours.
                    J’espère que vous comprenez le problème cornélien qui se pose pour la France, je voudrais savoir comment vous penser le résoudre ?
                     


                    • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 27 février 2011 10:36

                      J’ai tendance à penser que DSK fait partie des hurlusconis, même si de façon plus pondérée.

                      Même si cela semble éloigné de la politique, il suffit de voir ses antécédents, sa fortune, ses relations, y compris féminines, pour voir en lui un homme non au service d’une nation, d’une population, mais au service de lui-même, de son corps.

                      Il est dans un rapport archaïque au peuple, avec une vision de la démocratie comme choix d’un monarque. Il reste dans l’ancien temps du corps du roi.

                      En ce sens, il représente un passé chamboulé par l’actualité arabe.

                      Mais il peut exister un phénomène d’hystérésis, une lenteur propre à la France et à l’Europe, qui freine le mouvement d’appropriation de la liberté par les peuples aux-mêmes. C’est une question de temps.

                      Un changement de la constitution serait nécessaire, limitant les pouvoirs du Président, qui l’empêcherait de devenir un monarque élu. le caractère néo-monarchique, voire quasi-despotique, de la France commence à nuire sérieusement au pays.


                      • simplesanstete 27 février 2011 22:18

                        DSK tout un poème de l’argent qui s’appelle monnaie quand elle circule et politique quand elle circule mal. Une piqure de rappel au désordre. Déesse K sur...
                        http://www.lejournaldepersonne.com/2010/12/deesse-k/


                        • fwed fwed 4 mars 2011 12:41

                          M. Cheminade arrive sur Agoravox, c’est un vrai plaisir que d’accueillir des personnalité qui ont des analyses aussi logiques et argumentées.

                          Vous êtes toujours premier dans mes intentions de vote du premier tour 2012

                          Merci pour votre article

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