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Accueil du site > Tribune Libre > EXPO-2017 Astana : L’énergie renouvelable s’ouvre au (...)

EXPO-2017 Astana : L’énergie renouvelable s’ouvre au futur

Depuis le 10 juin 2017, l’exposition universelle EXPO 2017 – Astana Future Energy a ouvert ses portes au Kazakhstan. Pendant 3 mois et jusqu’au 10 septembre, l’EXPO-2017 Astana sera le creuset dans lequel les énergies renouvelables (ENR) seront en démonstration. L’Accord de Paris (COP21) est réfuté par le président américain ; mais dans le même temps, le « pacte mondial pour l’environnement » a été présenté au Président Macron par Laurent Fabius. Cette exposition prend sa place, alors que les énergies fossiles s’épuisent et que le réchauffement de la planète est l’enjeu majeur du XXIème siècle.

L'EXPO 2017 Astana- Future Energy nous impose de repenser en profondeur notre modèle énergétique et même de croissance. Dans la steppe kazakhe, transition énergétique et stabilisation géopolitique entrent en synergie, tandis que « l’innovation technologique durable » made in France est à l’honneur.

Une « vision verte de l'énergie » dans les steppes d'Asie centrale

L’objectif d’atteindre dans l’Union européenne (UE) 20% d’énergies renouvelables (ENR) dans la consommation d’énergie en 2030 s’inscrit dans le contexte d’une demande globale accrue en énergie, et notamment en électricité. Le Kazakhstan, 3ème producteur mondial potentiel de pétrole, est partie prenante dans la mise en application d’une « vision verte de l’énergie ». La 1ère exposition universelle jamais organisée en Asie centrale est ainsi consacrée aux ENR et à la « croissance verte ».

L’approche de l’exposition est en ceci remarquable qu’elle se différencie d’une vision économiquement tronquée, motivée exclusivement par le seul faible coût relatif du TWh électrique - produit de l’incrément de la puissance thermique au regard de l’incrément d’énergie renouvelable (ENR). En dépit de ses externalités négatives, en termes de santé publique, comme de changement climatique, cette vision est pourtant à l’origine d’une vague d’investissements sans précédent parmi quelques pays les mieux dotés en gisements de pétrole et surtout de charbon qui ont créé de nouvelles capacités de production en énergies non renouvelables.

Au contraire à Astana, la recherche d’efficience énergétique, comme le salut de notre planète s’appuient sur les trois piliers suivants :

  • Recherche d’économies d’énergies (par une optimisation de la gestion des capacités productives et distributives, et une économie globalement moins gourmande en énergie) ;
  • Maîtrise de la production de carbone (taxation, stockage) ;
  • Technologies de production d’ENR plus performantes (cellules photovoltaïques, batteries révolutionnaires, chargeur ICT, éoliennes à deux pales, turbines volantes)

Les technologies dites « bas carbone » sont partout en devanture, à l’instar de la démonstration scientifique apportée, notamment par l’Université de Berkeley, selon laquelle, l’introduction d’un nouveau « cycle bas carbone », fondé sur un meilleur mix énergétique entre bio-carburants, photosynthèse artificielle, nucléaire, photovoltaïque, biomasse, éolien, géothermie, capture du CO2 et stockage de l'énergie diminuera les émissions de CO2.

Lors du Forum 2015 pour l'énergie du futur (UNESCO), préalable à l’EXPO-2017 Astana auquel j’ai assisté, le professeur R. Ramesh du Laboratoire des technologies énergétiques de Berkeley, a montré que d’ici 2050, la mise en œuvre du nouveau cycle carbone diviserait par 8 les émissions de CO2. En 2010, la production d’1 PWh (1012 KWh) générait 60 Mt de carbone contre 7,5 Mt, en projection selon le nouveau cycle d’ici 2050.

Vers une « croissance durable » dans le respect du Pacte Mondial pour l’environnement

Le 24 juin 2017, Laurent Fabius a présenté au Président Macron le Pacte mondial pour l’environnement qui a vocation à renforcer le droit de l’environnement.

L’efficience énergétique et les « bonnes pratiques » limiteront le réchauffement climatique à moins de 2 degrés d’ici 2050, conformément à l’Accord de Paris (COP21) et au Pacte mondial pour l’environnement.

La globalité du défi énergétique est symbolisée par la magistrale et centrale sphère du musée du futur. 115 pays dont la France, la Russie, la Chine et les Etats-Unis exposent leurs « technologies durables » ; 22 organisations internationales sont parties prenantes. Pavillons nationaux et pavillons thématiques se côtoient, selon différentes « itinéraires thématiques », ici Le Monde de l'Energie, là l’Energie pour la vie, plus loin l’Energie pour tous et au bout Mon énergie du futur.

Après le passage de la caravane de l’exposition à Paris, Place du Panthéon, l’innovation made in France est ici à l’honneur. L’excellence française dans les technologies énergétiques écoresponsables est incarnée par les « solutions concrètes » des principaux partenaires Peugeot, Saint-Gobain, Total, Veolia et Vicat, ainsi que les institutions Iter, Syctom, et l’ADEME (l’agence de l’environnement et le maintien de l’énergie).

Dans le domaine d’application du Pacte mondial pour l’environnement, le pavillon français se distingue par les sujets qu’il traite.

  • Éco-cité et « villes intelligentes »
  • Énergie renouvelable
  • Transport Eco

L’Agence internationale de l’énergie (AIE), a mis en évidence le potentiel d’efficience énergétique des bâtiments (HQE) et des transports « verts ». Le visiteur pourra prendre une douche acoustique issue de la conception Multi Comfort de Saint Gobain.

L’EXPO-2017 Astana pense l’optimisation de l’articulation entre production et profil de consommation à travers le recours généralisé au big data, aux connexions à différents capteurs et dispositifs intelligents, aux sources de données dynamiques, à l’internet des objets et enfin au partage des informations avec tout l’écosystème. La « distribution intelligente » de l’énergie s’invente à travers le « smart grid » (réseau de distribution de l’électricité intelligent).

Le développement des véhicules électriques est lui aussi imaginé à travers le « smart grid », Peugeot démontre ici son savoir faire technologique à l’image de ses véhicules de mobilité durable Quartz, e-Kick, e-Vivacity et EC03.200. Le concept de capacité de transport est renouvelé, le vecteur individuel se fondant dans un système global de transports, et la raréfaction de la propriété exclusive d’automobiles.

La « Stratégie 2030 » du Président Nazarbaïev, selon laquelle le Kazakhstan rejoindra en 2030 les 50 pays les plus développés s’écrit ici dans le « développement durable », alors que comme me le précisait précisé à Astana en septembre 2016, Erlan Idrissov (ex-ministre des Affaires étrangères kazakh) « le Kazakhstan entretient d’excellentes relations diplomatiques avec la France ».

 

Face au défi énergétique, l’EXPO-2107 Astana est un rendez-vous incontournable sur l’agenda de la transition énergétique au cœur de la steppe kazakhe.

 


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19 réactions à cet article    


  • Pimpin 26 juin 2017 10:25

    L’énergie renouvelable ça n’existe pas. 


    Le soleil n’est pas renouvelable, et à bien plus court terme les éoliennes et capteurs solaires non plus. Leur fabrication, leur entretien et leur élimination après usage impliquent des actions qui n’ont rien de propres.

    Et puis cette insistance sur l’arnaque du CO2 commence à devenir pénible alors que les moyens manquent pour s’attaquer à des pollutions bien plus concrètes comme par exemple tous ces déchets qui dérivent dans nos océans, le traitement des eaux et des fumées, les transports inutiles, etc. ...

    • Francis, agnotologue JL 26 juin 2017 11:07

      @Pimpin,

       
       
      ’’L’énergie renouvelable ça n’existe pas. ’’
       
       Vous ne croyez pas que c’est une question d’échelle de temps ?
       
      @JC_Lavau,
       
       vous qui nous enseignez la différence entre le temps macroscopique et celui de la physique quantique ou plutôt, le temps transactionnel (je le dis bien ?), qu’en pensez vous ?

    • JC_Lavau JC_Lavau 26 juin 2017 11:37

      @JL. Je les ai publiés en 2014, les articles nécessaires. Et la vie est courte.
      « une planète brûlée par des gaz à effet de serre ». C’est ce que scande la presse aux ordres. Donc c’est vrai ? Elle ne truande pas comme on lui dit de truander, la presse aux ordres ?



    • sls0 sls0 26 juin 2017 20:53

      @JC_Lavau

      On arrive a tromper tout les scintifiques et wikipedia est aux ordres, ben j’en ai appris des choses aujourd’hui.

      Votre ressentiment vis à vis de wikipedia n’est pas dû au fait que l’on vous a viré pour injures répétées j’espère.

      Une majorité de scienfifiques ne suivent pas vos thèses. D’une façon binaire j’y vois :

      Soit ils sont tous nuls.

      Soit vos thèses sont peut être invalides.

      Si c’est le premier cas, effectivement ils est facile de les tromper.

      J’ai entendu parler d’un consensus supérieur à 90% parmi les climatologues au sujet du GIEC, c’est fou comme on peut tromper les scienfifiques dans leur spécialité.


    • RICAURET 26 juin 2017 23:40

      @JL
      ENTRE LES NEUTRONS IL Y A UNE ENERGIE CONSIDERABLE 


    • JC_Lavau JC_Lavau 27 juin 2017 07:40

      @sls0. Il suffit d’aller voir le flot de venin que wp répand sur Asma el Assad pour comprendre que la priorité de cet organe de propagande privé doté d’une police secrète privée, est la propagande sioniste. « Détruire la Syrie est favorable à israël ».
      Ses autres fanatismes, dont le fanatisme carbocentriste, sont là surtout pour avoir l’air d’incarner le progressisme, pour flagorner les petits bourgeois sots qui voudraient se prendre pour l’élite des citoyens conscients.

      Il est facile de vérifier, mais tu es incapable de vérifier, que je n’ai pas été viré de wp, mais bien au contraire ai exigé que toutes mes contributions y soient effacées. Ils ont râlé comme des voleurs, mais ont fini par s’exécuter, en déversant des tonnes d’injures. Il est public que j’y interviens toujours, mais exclusivement dans les pages de discussion, pour souligner la sottise et l’inexactitude de la page à prétentions encyclopédiques.

      Ma lettre ouverte à Hervé Cochard, ainsi qu’à Sylvain Delzon, sont publiques, sont de plus sur Agoravox, et ils les ont bien reçues. S’ils étaient libres de leur parole et de leurs écrits, évidemment qu’ils auraient répliqué. Simplement ils sont tenus de près par la bureaucratie, qui peut leur couper les crédits. Les menaces écrite par « mad » soit Marc Dubois envers celui qu’il prenait pour Sylvain Delzon, sont parfaitement claires.

      Marion Tafani a bien exprimé en public que pour avoir des crédits pour étudier les tactiques d’adultère chez les femelles marmottes - féminisme oblige - , il faut déclamer sur « le changement climatique », et proclamer le contraire des faits, sinon point d’argent.

      Etc. La corruption et le chantage font leur oeuvre.


    • biquet biquet 28 juin 2017 10:14

      @JC_Lavau
      Il est vrai que Lavau est un puit de sciences et peut se dispenser de Wikipédia. Mais pour les 99,99 % de cons comme moi, Wikipédia est fort utile.


    • JC_Lavau JC_Lavau 28 juin 2017 10:27

      @biquet. La corruption et le chantage, tu es pour. Tu sauras toujours justifier d’un « mais c’est pour la bonne cause ! ».


    • JC_Lavau JC_Lavau 26 juin 2017 10:53

      Encore et encore et encore, la nullité scientifique au service de la propagande carbocentriste....


      • popov 26 juin 2017 16:43

        @sarcastelle


        Ben oui, le niveau de vie au Kazakhstan. Mais qui dit qu’il ne sera pas supérieur à celui de la France dans 20, 30 ou 40 ans. Le Kazakhstan progresse malgré ses problèmes de corruption ; la France régresse. Les deux courbes finiront par se croiser.

        Je sais ce qu’il faut penser de ce commerce du réchauffement climatique.

        Ce qui m’a frappé dans cet article, ce sont les louanges à la technologie française. C’est plutôt rare sur ce site.

        • Coriosolite 26 juin 2017 18:38

          Je ne sais pas comment appeler cette page d’écriture.

          « Article » ne convient évidemment pas. « Plaquette publicitaire » me semble plus exact.

          Si quelqu’un a une autre proposition...


          • jipebe29 jipebe29 26 juin 2017 19:07

            Si les graves défauts de l’éolien étaient mis sur la place publique, la grande majorité des Français y seraient opposés. Il suffit en effet de savoir qu’il est aléatoirement intermittent, que l’effet de foisonnement censé lisser les variations brutales est une fable réfutée par les mesures, que sa part de production 2015 dans le mix énergétique est marginale (3,9%), que son facteur de charge est faible (23%), qu’il a de graves impacts sanitaires (infrasons, effet stroboscopique notamment), qu’il massacre la biodiversité ailée, qu’il dénature nos paysages, ce qui a un impact négatif sur le tourisme, donc sur l’emploi, qu’il a une forte emprise au sol, et que son bilan carbone (en supposant que le CO2, nécessaire à la photosynthèse, donc à toute la chaîne de la vie sur Terre, ait une action mesurable sur la température) est catastrophique, car il faut en soutien permanent des centrales thermiques de même puissance totale pour équilibrer le réseau de transport et éviter son effondrement... Sans parler du prix du kWh qui continue à déraper, ce qui augmente la précarité énergétique qui va augmenter exponentiellement dès que les usines éoliennes en mer se développeront.... Faire pire semble difficile... Bref, l’éolien ne présente aucun intérêt, si ce n’est d’offrir aux promoteurs, qui ont flairé la très bonne affaire, des avantages déraisonnables octroyés par des Pouvoirs Publics incapables de faire les bons choix, et ce sont les ménages et les entreprises qui en payent le prix de plus en plus douloureux.


            • biquet biquet 26 juin 2017 21:08

              Le comble du crétinisme est détenu par les nuclérocrates qui prétendent que le nucléaire est une énergie propre. Le nucléaire sera exploité durant un siècle maxi vu la pénurie de la ressource mais durant un siècle il aura fourni des millions de tonnes de déchets radioactifs qui le resteront pendant 100 000 ans, c’est à dire que la production des déchets dure 1 000 fois plus longtemps que la production d’électricité.


              • biquet biquet 28 juin 2017 10:09

                @sarcastelle
                Et oui, il y en a qui croient encore aux neutrons rapides (RNR) ou encore mieux à Iter. Il veut mieux croire au père Noël c’est plus plausible.


              • sls0 sls0 26 juin 2017 21:18

                Ça me fait penser au price earnings ratio (PER) de TESLA (les batteries et voitures électriques). Il vaut 371,1 c’est au bout de 371 ans que les dividendes vont rembourser l’action. Ils sont bons en communication surtout leur PDG Elon Musk mais pas trop réalistes. Il font de sacrés plans sur la comète, la production annuelle de lithium permet d’équiper annuellement 11 millions de voiture. La voiture du futur oui mais pas pour tout le monde.

                Pour rappel il y a 38 millions de voitures en France.

                Un moteur d’une petite voiture (60kw) c’est une éolienne de 15m de diamètre dans un vent de 36km/h.

                Cela dit l’isolation des bâtiments ferait faire de sacrés gains.

                C’est coté gaspillage qu’il faut regarder, la diminution des ressources s’occupera de la diminution de l’offre. C’est une règle de trois, c’est basique et on ne passe pas à coté.


                • Trelawney 27 juin 2017 09:02

                  @sls0
                  la production annuelle de lithium permet d’équiper annuellement 11 millions de voiture.

                  Alors pourquoi le prix du lithium ne fait que baisser depuis 10 ans ? 
                  Le problème dans les batteries lithium provient plus du cobalt et du nickel qui entre dans sa composition que du lithium qui n’existe pas à l’état naturel et a besoin d’être fabriqué comme l’aluminium.
                  De plus comme une batterie lithium a une durée de vie relativement courte, le démantellement de ces batteries permettra de récupérer le nickel et le cobalt.

                  Il ne faut pas trop utiliser le PER pour se faire une opinion sur des sociétés comme Tesla, qui sont les sociétés du futur et remplaceront en importance des sociétés comme ESSO, IBM, NASA, TOTAL etc.

                  Prenez l’exemple Amazon qui vient de fêter ses 20 ans d’entrée en bourse. Si vous aviez en mars 1997 acheté pour 1000 euro d’action Amazon vous auriez aujourd’hui 640 000 euro. Cette société n’a pas versé de dividendes, mais a vu sa capitalisation boursière augmenter trés sensiblement. Elle est de plus et même en France une société qui a créé le plus d’emplois.

                  Pour la petite histoire, à l’époque j’avais acheté 100 euro d’actions Amazon (époque de la bulle informatique et, Paypal ou pas Paypal, je préférais Amazon à Ebay). Je les ai revendu depuis et avec l’argent me suis construit une piscine chauffée avec une PAC. Ca fait marché le commerce local


                • sls0 sls0 27 juin 2017 21:22

                  @Trelawney Il ne faut pas trop utiliser le PER pour se faire une opinion sur des sociétés comme Tesla, qui sont les sociétés du futur et remplaceront en importance des sociétés comme ESSO, IBM, NASA, TOTAL etc

                  Je vis assez bien, j’ai quelques revenus qui remonte à avant le trading haute fréquence. TESLA pour la spéculation c’est pas mal, il y a un fort facteur humain dans la spéculation ou le trading, c’est là dessus qu’on joue et c’est plus alimenté par les QE que par les qualités intrinsèques de certaines entreprises. Par habitude je regarde encore les marchés, c’est souvent de la gonflette et TESLA en est un bon exemple. Si c’est sur le bon sens et sur mes connaissances techniques que j’aurais joué, j’aurais perdu. Pas grand chose de logique en spéculation. Une action monte plus par effet grégaire que par ses qualités propres. Je suis très souvent d’accord avec les analyses des econoclastes sur le moyen et long terme ils ont raison. Une action ses variations sont maintenant en micros secondes, ce n’est pas le même registre. On peut encore acheter des actions tesla, oui, il vaudra mieux les lacher avant que le rêve bati sur des ressources insufisantes d’écroule. Cela dit Tesla est parti pour une tendance baissière depuis vendredi. Elon Musk détient 22% du capital, le jour où il diversifie il faudra se méfier.


                • Trelawney 28 juin 2017 07:47

                  @sls0
                  Lorsque l’on s’intéresse un peu à l’industrie, on remarque que tout va plus vite et que la durée de vie d’une entreprise diminue avec le progrès.

                  Si, par le passé on avait des usines comme Peugeot qui a plus de 200 ans et qui a commencé son histoire par la fabrication de moulin à café et ensuite des vélo et des autos, ça n’est plus vrai aujourd’hui. Une usine comme Tesla qui actuellement a beaucoup plus d’avenir technologique que Peugeot, ne va pas vivre plus de 100 ans et sera remplacé par une nouvelle entreprise qui vivra encore moins longtemps.
                  C’est ce qui fait que leurs ascension est fulgurante mais leur durée de vie courte.
                  Actuellement Tesla, Google, Airbnb, etc ont le vent en poupe, mais des entreprises comme Apple commence a atteindre leur limite et des entreprises comme Ubber les ont déjà dépassé.

                  Le concept de batterie murale Tesla est pas mal, mais d’autres sociétés travaillent déjà sur un concept de stockage par hydrogène et vont trés vite remplacer Tesla. C’est le progrès

                • sls0 sls0 28 juin 2017 20:56

                  @Trelawney
                  Leurs batteries murales quand on voit les caractéristiques, d’autres font beaucoup mieux mais communiquent moins bien.

                  Tesla surfe sur une vague.
                  Une vague de surf c’est quand la profondeur est inférieur un vingtième de la longueur d’onde de la vague.
                  C’est le plus visible de la vague mais qui ne dure pas.

                  Malgré que j’ai produit du courant avec de l’éolien, l’eau, le charbon, le gaz, le fuel, le charbon, le nucléaire ce qui me donne une certaine expertise, la lecture de : l’énergie durable pas que du vent de David J.C. Mackay ça m’a donner un autre angle de vision.
                  Pour l’instant je suis dans la sierra et je n’ai que mon smartphone donc je ne sais pas mettre de lien, sur google on le trouve en gratuit.
                  Son approche est différente, il regarde la demande et en face il met les moyens de production en employant la puissance produite par km carré. Ce sont des chiffres connus et validés, c’est assez imparable comme raisonnement.

                  Par chez moi du stockage d’électrité par batterie c’est très courant.
                  Comme la pub et le marketing n’ont pas trop d’impacts ici c’est de la batterie plomb, pour une maison c’est 400€ de batteries et 400€ d’onduleur. Quand on ne suit pas la mode c’est tout de suite moins cher. La fourniture de courant est aléatoire ça permet de tenir 20-30h.
                  Sous les tropiques le soleil ne manque pas deux panneaux solaires suffisent. En cas de cyclone une petite merde de groupe électrogène à 100€ suffit plus qu’assez.
                  3000-3500$ la batterie murale Tesla quand même.

                  Pas de quoi faire bander un actionnaire deTesla tout ça.

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