• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Ferguson – Minneapolis – Dallas – prolétariat, même (...)

Ferguson – Minneapolis – Dallas – prolétariat, même combat !

Il est totalement faux de prétendre que l’assassinat systématique de citoyens noirs par la flicaille américaine constitue une « bavure », une « erreur » de policiers trop zélés ou inexpérimentés ou effrayés, etc. Ce n’est pas la population américaine qui terrorise la police, c’est la police américaine qui terrorise les prolétaires américains de toute race et de toute couleur et de toute origine.

 

Plus de 500 citoyens américains sont tombés sous les balles policières depuis janvier 2016, et l’année n’est pas terminée, l’hécatombe se poursuit allègrement, intentionnellement, consciemment, avec l’aval, sinon la commande explicite des autorités de répression policière et judiciaire des États-Unis. Aux USA en plus de la peine de mort judiciaire, on applique aussi la peine de mort extrajudiciaire, préventive, répressive, exactement comme l’armée américaine à l’étranger l’applique un peu partout dans le monde sur les différents fronts de ses « engagements ». Kadhafi et Ben Laden en furent deux célèbres victimes… comme d’autres, moins connus.

Cette politique systématique de répression policière contre les noirs notamment, mais aussi contre les latinos et contre les SDF, contre les Amérindiens, contre les esclaves asiatiques des « sweats shops » de la misère, qui se fait sans discrimination raciale, contrairement aux mensonges que propage les médias « mainstream », vise non pas telle ou telle race, ethnie ou minorité immigrante, mais cible plutôt la classe sociale prolétarienne et le lumpenprolétariat sacrifié, afin d’offrir des exemples aux populaces locales afin de les terrorisées. Le message sous-jacent à ces milliers de meurtres policiers est le suivant : « Peuple de misère, prolétaires en colère toujours plus pauvre, ne résistez pas à vos conditions d’exploitation et d’aliénation, sinon nous te tuerons sans rémission, sans raison juste pour t’effrayer, comme tu nous vois le faire sur ces vidéos qui sont diffusés sur les réseaux sociaux. »

 

flic

Bref, le meurtre policier de Minneapolis participe d’un plan étatique terroriste visant à effrayer la population américaine en révolte ou en résistance… quelle que soit la race ou la couleur des gens assassinés publiquement sur la rue. Il ne manque que les échafauds sur la grande place de la ville comme au temps du Far West quand on pendait allègrement les truands trop gourmands.

dallas2

Comme nous l’avons toujours écrit, le prolétariat américain est le plus évolué sur Terre, le prolétariat le plus avancé, celui qui vit sous la dictature capitaliste la plus dégénérée, la plus dépravée, la plus désespérée et la plus dangereuse au monde (comme le capital allemand se trouvait durant la Seconde Guerre mondiale).

La situation économique de l’impérialisme américain est catastrophique ce qui oblige le capital yankee à accroitre ses pressions et son exploitation, sur le prolétariat étatsunien, au-delà de l’imagination, et cela simplement pour se maintenir à flot, au-dessus de la crise systémique que les impérialistes US ont déjà perdu aux mains de leurs concurrents impérialistes étrangers (la Chine notamment, L’Allemagne également, pour la Russie c’est moins certain).

Ce que les capitalistes américains viennent d’apprendre, il y a deux ans à Fergusson et hier à Dallas (5 policiers morts et sept blessés) c’est que le prolétariat américain est armé et dangereux et que s’ils ne se laissent pas enfirouaper par des fadaises raciales du type : noirs – contre latinos – contre blancs – contre Amérindiens – contre Blank Panthers et autres malversations racistes comme les médias à la solde en propagent – alors la bourgeoisie américaine pourrait être en danger face à la montée de la résistance de classe de tout le prolétariat étatsunien, sans distinction de race ou de couleur. Ce ne sont pas les noirs qui sont visés par les assassinats policiers, ce sont les résistants, les prolétaires en colère. C’est toute la classe prolétarienne qui est visée par ce terrorisme d’État.

Mais attention, le prolétariat n’est pas terroriste, ni anarchiste, ni individualiste, et il doit répondre en tant que classe consciente et unie, collectivement solidaire aux provocations du capital américain disqualifié.

allo

[email protected] . Article disponible sur http://www.les7duquebec.com/7-dailleurs-invites/ferguson-minneapolis-dallas-proletariat-meme-combat/

 


Moyenne des avis sur cet article :  4.29/5   (24 votes)




Réagissez à l'article

14 réactions à cet article    


  • sls0 sls0 9 juillet 2016 17:11

    Chez moi il y a encore plus d’extra judiciaire, 23 fois plus d’homicides/habitant qu’en France dont 20-30% selon les mois c’est les flics.
    Les pauvres on s’en fout, c’est eux qui dérouillent.
    Je suis blanc dans un pays colored, hier il y avait un contrôle sur la route, je n’y est pas fait attention et je ne me suis pas arrêté, pourtant j’étais en deux roues et c’est eux qui se faisaient arrêter.
    Noir, ça ne se serait pas passé de la même façon, la réaction policière aurait été plus brutale voir mortelle.
    Dans l’inconscient collectif policier, il y a une différence entre un blanc avec un véhicule de pauvre (ce doit être un excentrique) et un noir qui est socialement classé parmi les pauvres et qui n’a pas les moyens d’avoir un avocat. Non ce n’est pas le noir qui est visé en tant que noir mais il est visé en tant que pauvre présumé.
    Chez moi il faut passer par un avocat pour porter plainte, il faut de l’argent pour avoir justice, toujours dans l’inconscient collectif le blanc on y touche pas car il a les moyens d’avoir un ou des avocats qui connaissent très bien les juges.

    La couleur à une influence et pas que chez moi, il m’arrive d’aller aux USA dans la diaspora dominicaine, c’est devenu palpable chez eux aussi. A Boston il y a un flic qui m’invite de temps en temps à son boulot, en quelques années c’est passé de flic à robocop et j’ai l’impression que la tenue influence le mental, fini Starky et huch.

    En France ce n’est pas encore le cas quoi que j’aimerai savoir le nombre de riches qui passent en comparution immédiate.
    Et en réaction à ces horribles casseurs qui s’attaquent hôpitaux d’enfants, il y en a bien qui vont sortir qu’il faudrait des lois plus adaptées.

    En France, c’est moins colored, il y a même du blanc pauvre, si c’est colored, on pourra tirer à l’instinct, sinon il faudra plus faire attention, quoi que la pauvre se repère assez facilement, c’est le seul à se plaindre habituellement.


    • Robert Bibeau Robert Bibeau 9 juillet 2016 17:50
      @sls0

      NON, vous faites erreur, ce n’est pas la tenue ROBOCOP qui influence le mental - ce sont les rapports de production décadent - découlant de la dégénérescence et du gaspillage des forces productives (des moyens de production en panade - et de la pauvreté généralisé) qui engendre la nécessité de fasciser la police qui fut - a été - et sera toujours - une police et une justice de classe - une police payer et au service de la classe capitaliste dominante.
       
      Une police ROBOCOP pour écraser les révoltés de plus en plus nombreux conséquence de la paupérisation montante qui frappe jusque et y compris la petite-bourgeoisie après les prolétaires et les lumpenprolétaires (dans l’ordre inverse). La migration sociale se faisant dans l’autre sens cependant. 

      Quand il endosse sa tenue pour tuer le flic bourgeois est déjà mentalement préparer par les médias - comme en ce moment dans votre texte et dans tous les médias bourgeois de la planète - préparer dis-je à voir dans le pauvre, le noir, le latino, l’immigrant asiatique, le blanc manifestant, l’ouvrier mal habillé, la midinette LGBD et autres refusnik, des menaces à sa sécurité personnelle CAR si vous vous ne le savez pas LUI  il sait qu’il est le dernier rempart de défense de la classe dominante - et il se sait payer en conséquence.

      Ira-t-il jusqu’à sacrifier sa vie pour défendre ses maîtres ? A lui de répondre.

      Robert Bibeau Producteur Http ://www.les7duquebec.com


    • mmbbb 9 juillet 2016 18:42

      @Robert Bibeau on connait la chanson


    • sirocco sirocco 9 juillet 2016 21:58

      @sls0

      "Et en réaction à ces horribles casseurs qui s’attaquent hôpitaux d’enfants, il y en a bien qui vont sortir qu’il faudrait des lois plus adaptées.« 

       
      C’est en préparation depuis longtemps au ministère de l’Intérieur et il ne serait pas étonnant que ce soit décrété pendant que les Français sont en vacances, comme d’hab pour toutes les mesures qui accablent le peuple : la  »présomption de légitime défense" pour les forces de l’ordre. Autrement dit, le permis de tuer en toute impunité.

       
      Les flics français qui ont récemment acquis le droit de porter leurs armes en permanence, même en civil, et qui rêvent d’imiter leurs collègues américains, pourront enfin donner libre cours à leurs instincts. Avec cette petite différence : aux USA, la plupart des citoyens sont armés et donc en mesure en théorie de se défendre contre la police. Ce n’est pas le cas en France. Va falloir faire très attention à sa peau...


    • Robert Bibeau Robert Bibeau 9 juillet 2016 22:36
      @sirocco

      OUI tu as raison aux USA un grand nombre de prolétaires sont armés - au Canada aussi et la petite-bourgeoisie de merde milite pour interdire le port d’armes livrant ainsi le prolétariat à la menace terroriste de l’État et de sa flicaille

      En France je ne sais pas quelle est la situation mais j’ai confiance que le prolétariat français qui est courageux saura se défendre contre les forces du désordre

      Robert Bibeau



    • Pinopel95 (---.---.146.201) 9 juillet 2016 18:35

      Pauvre gauchiste décérébré. J’imagine que c’est à force de te faire matraquer que tu t’es retrouvé avec un cerveau aussi boiteux et dans cet état de décomposition avancée.

      Ta société sans classe, sans Etat, sans police est une totale aberration. Je vais t’expliquer pourquoi et simplement afin que même un abruti de ton acabit puisse comprendre.

      L’idéal anarcho-socialo-communiste d’une société autogestionnaire sans police et sans Etat n’est-il pas plutôt une absurdité ?

      On peut en effet se poser la question. Une société viable sans police ou sans aucun Etat serait une société composée de citoyens intelligents et bon, suffisamment pour pouvoir s’autogérer d’une manière éclairée et directe sans aucun intermédiaire.

      Pourtant on buterait alors inévitablement sur une contradiction. Car par définition des individus assez intelligents pour se passer de l’aide de l’Etat et de la police pour régler leurs affaires seraient également capables, si on pousse le raisonnement jusqu’au bout et qu’on veut rester cohérent, de se passer de toute vie en société : il n’aurait pas besoin des autres et pourrait vivre heureux en vivant seul, en ermite, hors de toute société, à l’image du sage tel que défini depuis l’antiquité, vivant dans la solitude et la méditation personnelle. Quel intérêt une personne suffisamment intelligente, bonne et débrouillarde, aurait de vivre encore en société quand elle est capable de se passer de tout Etat. Elle devrait aussi carrément être capable de se passer de la société. Une société sans classes qui s’est s’autogérer ensemble c’est bien. Mais un individu qui s’est s’autogérer seul par lui-même sans avoir même besoin de vivre en société serait plus intelligent et plus libre

      Imginer une société de gens intelligents seraient aussi absurde que d’imaginer une société de démons ou de criminels ou de gens bêtes : par définition ce sont des gens tellement égoïstes, imprévisibles et peu dignes de confiance, que toute forme de société entre eux est impossible. Elle se désagrègerait aussitôt.

      Il n’y a de société que pour des gens quelque part entre les deux. Mi-anges, mi-démons. Pas assez méchants pour empêcher non plus toute forme de sociabilité de s’installer entre eux ; mais pas assez intelligents et bons pour se passer de toute vie en société et de l’aide qu’ils peuvent en retirer. Donc Ils sont encore capables de vices. Ce qui nécessite donc la mise en place et le maintien d’une force de police et d’un Etat pour endiguer et réprimer la violence potentiellement présente dans cette société. S’ils pouvaient se passer de l’Etat, ils pourraient aussi tout bonnement se passer de leur semblables et de toute vie en société, soyons logique. Aussi longtemps qu’il y a une société il faudra toujours une police. Pas de société sans police.

      On peut par là clore définitivement un débat philosophico-politique vieux comme le monde, celui de savoir quel est le meilleur régime politique, quelle serait la cité idéale, sur laquelle les penseurs se crêpent le chignon depuis que l’homme médite sur le bonheur et le bien-être. On le sait, ce serait une cité composée de gens intelligents, bons, libres et egaux etc. Une absurdité dans les termes. Il serait plus judicieux de se demander plutôt quel serait le régime politique le moins pire et non pas le meilleur en soi. Car l’idéal en soi serait justement de ne pas être obligé de vivre en société et d’être capable de se débrouiller vraiment seul, à l’image du sage grec. Il n’existe pas de solution à ce débat parce que le problème est tout simplement mal posé. On est forcément condamner à buter sur une aporie. D’où la prolongation de ce débat sans fin et épuisant qui coûte la vie à des millions d’individus chaque année car chacun croyant avoir trouvé la meilleure réponse à la question se donne le droit de tuer son prochain pour réaliser son idéal de la cité parfaite.

      A vrai dire si le but de l’homme est de parvenir a la sagesse ultime et si cette sagesse consiste dans une vie libre, la vie en société ne permet pas de réaliser immédiatement cet ideal. Elle serait une etape nécessaire. Le but de la société n’est pas de rendre les gens libres mais de leur apprendre a devenir libre, de leur apprendre a se passer de la vie en société de la même façon que le but de l’éducation parentale est d’apprendre aux jeunes à devenir indépendants et a vivre de ses propres ailes et seuls. L’autorité parentale vise la liberté de l’enfant. Il n’y a donc aucune contradiction entre l’autorité et la liberté comme le croient bêtement les gauchistes. La vie en société n’est’pas un idéal comme le croient naïvement les gauchistes mais un moyen, pas une fin en soi, pour celui qui plus tard une fois mûr voudra chercher a vivre seul pour découvrir réellement la liberté. Ceux qui se contentent de militer simplement pour une société libérée de l’Etat et de la police ne sont pas des vrais libertaires. Ils ne méritent même pas d’être qualifiés ainsi. Ils sont plus proche d’une posture securitaire qu’autre chose car ils n’arrivent pas à se défaire de l’assistance d’autrui dans leur conception de la cité idéale. Les vrais libertaires vont plus loin et militent pour la libération de l’individu du poids même de la société puisque la vraie liberté est dans la solitude puisque liberté signifie autarcie. Un peuple qui sait se débrouiller par lui-même sans Etat c’est bien. Un individu qui sait se débrouiller seul par lui-même sans même n’avoir besoin de vivre en société dans un peuple c’est encore mieux. Tel est le véritable idéal de chaque homme. Le sage tel que défini depuis l’antiquité en est le parfait exemple : il vit seul, en ermite, il n’a besoin de personne ; et sa vie est entièrement dévouée au développement personnel et à la meditation philosophique. Ses besoins sont limités afin justement de dépendre le moins possible de son environnement et de rester au contraire le plus libre possible. Il a appris « à ne plus dépendre de ce qui est indépendant de nous » ( les dieux, autrui, la nature et les vicissitudes de l’existence) pour reprendre une expression chère aux epicuriens. Sa vie ermitique est synonyme de liberté. Dans le même ordre d’idée, je ne sais pas si Dieu existe, mais si tel était le cas, tout comme les épicuriens je le concevrais plutôt comme un être indifférent du sort de l’univers et des hommes, dont il n’a nul besoin, plutôt que comme un démiurge soucieux de ses brebis. Tout ça pour dire que plus on cherche à définir la vie parfaite, la meilleure vie possible en soi (qui doit servir d’idéale ou d’étalon ultime afin de savoir comment chaque homme doit bien vivre pour être le plus heureux), et dont le sage grec et Dieu en sont les archétypes classiques, et plus on se rend compte qu’elle présuppose, comme sa condition de possibilité, l’isolement, la solitude, l’indifférence vis à vis d’autrui, voire le mépris de toute relation qui inévitablement nous enfermerait dans l’assistanat ou la dépendance. Un homme capable de vivre seul et heureux, sans avoir besoin de l’aide d’autrui, vaut toujours mieux qu’un individu qui ne peut trouver son salut qu’avec l’aide des autres. Au citoyen collabo et esclave de l’Etat vous opposez la figure du peuple autogestionnaire. Quant à moi par opposition à la « liberté » molle et étriquée que vous défendez dans le concept de sociétés sans classes ou de communauté libertaire j’oppose l’idée d’un individu complètement libéré non seulement de l’Etat mais également de sa dépendance vis à vis d’autrui, de la vie en société, dans laquelle vous continuez de l’enfermer.

      A bas l’Etat ? A bas la police ? Certes. Moi j’ai envie d’aller plus loin et de dire : a bas le peuple ! A bas le prolétariat ! Libérons l’individu de l’Etat mais aussi du carcan que représente d’une manière inhérente la vie en société. Tel est le prix de la vraie liberté.


      • Robert Bibeau Robert Bibeau 9 juillet 2016 20:16
        @Pinopel95
        Après un long périple tu en viens à proclamer ce que tu dénonçais en début de laius pamphlétaire. Pourtant sans même le savoir tu m’accuses de crimes que je ne commet pas. Je ne suis ni anarchiste utopiste comme toi

         « L’idéal anarcho-socialo-communiste d’une société autogestionnaire sans police et sans Etat n’est-il pas plutôt une absurdité ? » C’EST TOI QUI ÉCRIT = PAS MOI

        Ni communiste, ni évidemment socialiste... ni gauchiste.

        Je dénonce ce qui existe et je souhaite sa destruction mais je ne préconise nullement aucune autre société de remplacement

        Trouve la phrase où dans cet article je propose une société différente ?? Cite cette phrase je te prie...

        Je dénonce et je propose d’abolir - abolir le salariat serait effectivement une bonne idée.

        La société idéale = connaît pas 

        Robert Bibeau 

      • Lonzine 9 juillet 2016 18:58

        C’est pourtant très simple, il y a là bas ( et pas ici) des gens entrainés et armés, il y a des forfaits genre blancs contre noirs, et l y a donc des gens qui réagissent, rien que du normal quoi. Ceci dit 5 cibles c’est petite forme....


        • Robert Bibeau Robert Bibeau 9 juillet 2016 22:44
          @Lonzine

          Le service militaire joue un grand rôle dans la défense du prolétariat étatsunien contre son État policier.

          Des milliers d’américains ont été expédiés au combat pour agresser les gens dans des pays comme l’Afghanistan, l’Irak - de fait les USA ont mené 210 guerres d’agression depuis 1945 et des centaines de milliers de soldats ont ensuite été démobilisés - souffrant de syndrome post combat - abandonné à eux mêmes plusieurs sont devenus SDF, mendiant, vagabond, quand ils ne se suicident pas.

          Ce sont des vecteurs de résistance qui en ont gros sur le cœur contre l’État fasciste américain et qui savent manier les armes et qui sont armés.

          Les riches américains construisent eux-mêmes leur tombes et leurs bourreaux.

          Robert Bibeau Producteur http://www.les7duquebec.com



        • Jo.Di Jo.Di 10 juillet 2016 01:20

          Vous en avez marre des US aux gangs multiethniqués (85% des meurtres ds les guerres de gangs multikulti ....) et de leurs voisins soumis valets canadiens prébendiers sirupeux d’érable ?
          Un conseil de lecture pas bobo du PNBB (Parti National Bolchevique du Boobaland) :
           
           
           « MEIN KAMPF » POUR AIDER L’ENNEMI PUBLIC N°1 du 1er MARRANE VALLS
           

           
          « Pourquoi cette immigration de masse a-t-elle été voulue et encouragée par les gouvernements et classes dirigeantes européennes alors que ses conséquences nuisibles sont évidentes ? Réponse : s’ils favorisent cette immigration c’est qu’elle leur profite. En attisant les antagonismes et la défiance mutuelle, elle paralyse les réactions et défenses de la population. Pour une classe dirigeante corrompue, une société balkanisée est plus facile à contrôler qu’une société homogène. L’insécurité née de l’immigration devient même une arme formidable de gouvernement. Et le valet caché du libéralisme, Bobodruchon, le sait très bien ... »
           
          « La volonté collective ne peut réellement déployer son ampleur que dans le dévoilement d’une conscience collective sous-jacente, issue d’une société chargée d’Histoire, de traditions, de mémoire. Enlever cette mémoire, diviser les traditions, multiplier les histoires, et vous créerez le troupeau informe et impuissant des benêts. En fait, nous Seigneurs, ne craignons que la gouvernance des morts. »  Seigneur Capitaliste anonyme
           
          http://www.leblogfinance.com/2016/07/barroso-nouvelle-recrue-de-goldman-sachs-apres-mario-draghi-mario-monti-et-lucas-papademos-leurope-aux-mains-de-la-finance-us.html


          • Robert Bibeau Robert Bibeau 10 juillet 2016 01:31
            @Jo.Di

            Jo tu dépenses beaucoup d’énergie pour répandre ta salade... sur les textes et les posts des autres. Pourquoi ne pas publier tes textes personnels - personnalisés - sur Agoravox où nous pourrions t’ignoré souverainement ??? ( smiley Sans rancune.

            Robert Bibeau.  

          • mmbbb 10 juillet 2016 09:58

            @Robert Bibeau je m’en tape de ces évènements aux USA C’est leur problème Ils arriveront a se foutre sous la tronche Nous avons les notres et demain nous connaitrons les memes problèmes Les Suedois qui se sont ouvert a une certaine immigration ont eu des violences dans les banlieues Vous nous servez toujours la même soupe . C’est termine le marxiste vous ressortez de vieilles chimères Les cubains gardent leur Fidel au froid mais ils n’en veulent plus de ce régime dont vous vous faîtes le promoteur Sans rancune .


          • Robert Bibeau Robert Bibeau 10 juillet 2016 13:37
            @mmbbb

            Vous êtes totalement à coté de vos souliers - dans le cirage total - je dénonce vertement bolchévisme, pseudo communisme, castrisme, guevarisme, trotskysme, socialisme à gogo, gauche bourgeoise, maoisme de mes deux, et tout le reste de même engeance et la droite raciste du même souffle évidemment.

            Les cubains ont souffert c’est vrai mais pas moins que les français sous deux guerres mondiales et leurs suites jusqu’au Mali en Libye, en Syrie récemment

            L’impérialisme français s’effondre et le prolétariat français ne le pleurera pas...

            Sans rancune MMbbb je ne sais quoi


             .

             

          • Jo.Di Jo.Di 10 juillet 2016 18:50

            @Robert Bibeau
             
            Après le 1er publié sous nouveau pseudo je suis censuré par le gôôôchiste pute du Capital.
             
             
            « Ne vous laissez pas distancer par les Ben Soussan ! Ils ont déjà une écran LCD 40 pouces ! Achetez le 50 pouces chez Colonarty ! »

             
            ‘Crétins du foot’ Marketer anonyme
             
            « Le narcissisme de l’individu en société de consommation n’est pas jouissance de la singularité, il est réfraction de traits collectifs [le code capitaliste des échanges sociaux]. Cependant il est toujours donné comme investissement narcissique de soi-même à travers le P.P.D.M (Plus Petite Différence Marginale) [tous uniformisé dans la différenciation consommatrice halal-geek-bio-hipster-vintage-hippie ...]
            Partout l’individu est invité d’abord à se plaire [par le Code que dès l’enfance il a appris, les Nike à la mode font l’admiration des copains de maternelle, sans ces fétichiches pas d’amitié et pas de soi-même], à se complaire. Il est entendu que c’est en se plaisant à soi-même [free-branling du sportif par ex] qu’on a toutes les chances de plaire aux autres [admiration pour celui qui vit ‘intensément’ par ex].
            A la limite, peut-être même la complaisance et l’auto-séduction peuvent-elles supplanter totalement la finalité séductrice objective [...] Le discours répété de la marque dans la publicité [je le veau bien ...] Evelyne Sullerot dit : ‘On vend de la femme à la femme .... en croyant se soigner, se parfumer, se vêtir, en un mot, se créer ... la femme se consomme’ [c.a.d elle suit un Code non un désir naturel pour des qualités réelles, de beauté, de charme, de goût...] Non seulement la relation aux autres mais aussi la relation à soi-même devient une relation consommée [du froid payement comptant de Marx qui n’avait pas encore atteint l’éthique (restée à son époque traditionnelle) à l’existentiel capitaliste de Clouscard où Houellebecq comme l’avait prévu Sade] »

             
            ‘La société de consommation’ Baudrillard
             
            Le free-branling, la contrainte impérative de jouissance du bobo (Baudrillard)
             
            « Le puritain se considérait lui-même, considérait sa propre personne comme une entreprise à faire fructifier pour la plus grande Gloire de Dieu. Ses qualités ‘personnelles’, son ‘caractère’, à la production desquels il passait sa vie [à les améliorer dévotement], était pour lui un capital à investir opportunément, à gérer sans spéculation ni gaspillage. A l’inverse, mais de la même façon, l’homme-consommateur [bobo de gôôôche sexe décérébré multiethniqué multidékulti pousseur de Caddie] se considère comme DEVANT-JOUIR, comme une ‘entreprise-de-jouissance-et-de-satisfaction’. Comme devant-être-heureux, amoureux, adulé/adulant, séduisant-séduit, participant, euphorique, dynamique. C’est le principe de maximisation de l’existence par multiplication des contacts, des religions, par usage intensif de signes, d’objets, par l’exploitation systématique de toutes les virtualités de jouissance.
            Il n’est pas question pour le consommateur, le citoyen moderne de se dérober à cette contrainte de bonheur et de jouissance, qui est l’équivalent dans la nouvelle éthique de la contrainte traditionnelle de travail et de production. »

             

             

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité