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Accueil du site > Tribune Libre > « Jeepable », ou pourquoi l’espéranto est linguistiquement (...)

« Jeepable », ou pourquoi l’espéranto est linguistiquement génial

J’ai récemment lu cette phrase : « on peut s’y rendre par un sentier jeepable ».
Comme moi, vous aurez compris de quoi il s’agissait : l’auteur n’a pas voulu dire que le sentier, tel un « transformer » de dessin animé, pouvait se métamorphoser en jeep après quelques contorsions, ni que la vidange des jeeps de collection était autorisée sur le bord du chemin, mais tout simplement que ce sentier était praticable en jeep.


Euh… avant tout, rassurez-moi : vous avez compris la même chose ? Ouf.
Ce n’est pas un exploit, me direz-vous, mais tout de même - si on y réfléchit, c’est assez étonnant : ce mot « jeepable », association du substantif « jeep » et du suffixe « -able » ne se trouve dans aucun de mes dictionnaires, je ne l’avais jamais vu auparavant, et pourtant je l’ai immédiatement compris.

Lorsque l’auteur de cette phrase a eu besoin du concept, il a intuitivement fabriqué ce mot sur le modèle bien connu de "faisable", "incroyable", "enviable", "valable" et du classique mais bien peu galant « baisable » ; après quoi, nous, lecteurs, avons immédiatement compris le néologisme.

La langue est un outil étonnant, car même si très peu de langues ont dépassé les mille ans d’existence sans être transformées au point de devenir autres, les mécanismes grammaticaux et les schémas de pensée des différentes langues ont bien des points communs.

La plupart fonctionnent ainsi – du moins la plupart de celles que j’ai étudiées sur les 6000 et quelques que la Terre compte ! - par association d’idées, par juxtaposition de concepts, en faisant largement appel à l’intuition et à la contextualité (chère à la langue anglaise).

Certains amateurs de langues construites souhaiteraient une langue quasi-mathématique, où un mot n’aurait qu’un sens et un seul, mais cette vision d’une langue est totalement abstraite, contraire à la réalité linguistique telle que nous la connaissons depuis des siècles, en un mot : inhumaine.

L’espéranto a ceci de génial qu’il a systématisé le fonctionnement naturel de notre esprit : ce suffixe « -able », qui correspond en espéranto à « -ebl », est applicable à toute racine, quelle qu’elle soit, du moment que le résultat a un sens.

Et le principe s’étend à tous les affixes (préfixes et suffixes), comme, par exemple, « neĵipebla », en français « injeepable », qui serait compréhensible aussi, quoique surprenant et de peu d’utilité. On lui préfèrerait probablement une périphrase, comme : impraticable en jeep.

Comme quoi, les langues sont des objets vivants, qui évoluent dans le sens que nous leur donnons. Les dictionnaires ne reflètent jamais qu’un instantané de la langue, chassant des termes désuets, acceptant de nouveaux vocables, même redondants comme "coach" (entraîneur, précepteur, répétiteur, gourou, mentor, etc.)
 
Beaucoup d’écrivains ont parsemé leur oeuvre de néologismes. Dumas disait qu’on peut violer l’histoire à condition de lui faire de beaux enfants, il en est de même avec les langues.
Créoles, verlan, SMS, les langues vivantes sont une matière en perpétuel mouvement, en pleine évolution sous nos yeux.
Personnellement, j’aime bien « essencerie », les station-services de l’Afrique francophone, et le désormais classique « courriel » qui fait presque jeu égal avec « mél » ou « mail ».
 
Dans la plupart des langues, les siècles ont accumulé des obstacles (sémantiques, étymologiques) à une généralisation de l’usage des affixes, restreignant notre liberté langagière.
 
Parallèlement, il y a souvent un trop-plein, comme pour les noms de métier qui peuvent finir par "ier" (plombier), "-iste" (trompettiste), "-eur" (chanteur), "-ien" (politicien), "-ome" (agronome), voire d’autres finales (astronaute, pilote, maire, militaire).

Autre mécanisme, la dérivation, qui n’est pas toujours possible en français :
"frère" donne "fraternel", mais "cousin" ne donne pas "cousinel", ni "cousal", ni "cousoïde".
En espéranto, la dérivation (ici adjectivale) est systématiquement possible : "frato" donne "frata", "kuzo" donne "kuza".

L’espéranto a été construit pour être simple et régulier. Ce que les critiques qualifient d’artificiel est en fait rationnel, c’est-à-dire débarrassé des scories qui font le charme des langues mais aussi leur immense difficulté et leur incroyable gourmandise en mémoire - comme nos ordinateurs !

Simplicité, économie de mémoire, rigueur, « intuitivité », ces qualités proviennent tout simplement de la généralisation de mécanismes courants.

En fait, la juxtaposition d’idées concerne davantage les substantifs que les affixes. Ce mécanisme s’appelle l’agglutination, très fréquente en espéranto, qui permet de former des mots à partir du vocabulaire de base, ce qui économise là aussi de la mémoire : les embruns des vagues est ainsi de la poussière de mer (poétique, non ?) : « marpolvo ».
 
En français aussi, on utilise l’agglutination : aqua/culture, moto/nautisme, psycho/drame, mais cette méthode est souvent remplacée par l’interposition de la préposition « de » : « bord de mer » - « marbordo » en espéranto.

Les mots-valises sont une variante de l’agglutination, « néologisme formé par l’amalgame de deux autres mots existants » (Littré), comme courriel (courrier + électronique), ou « vélib » (vélo + liberté).

Dans les langues flexionnelles (ou fusionnelles, ou synthétiques), les éléments qui s’assemblent peuvent se voir modifiés, raccourcis comme ici pour « vélib » ou « courriel ».
Dans les langues agglutinantes, les radicaux demeurent inchangés, et « courriel » se traduit en espéranto par « ret-mesaĝo » (message d’Internet).

L’espéranto est finalement l’enfant de toutes les langues, une synthèse de ce que l’esprit humain a mis des siècles à peaufiner ; pas la perfection, mais la plus efficace et la plus internationale des langues construites.

Le but étant de proposer au monde une langue véhiculaire très largement plus facile à apprendre (au moins dix fois), donc accessible au plus grand nombre, même à ceux qui ont peu de temps à consacrer à l’apprentissage des langues étrangères, ou peu d’occasions de pratiquer avec des natifs.
C’est aussi une langue équitable, chacun devant fournir un effort similaire, une langue dans laquelle chacun retrouve des éléments familiers et des éléments étranges car étrangers.
Ce qui n’empêche nullement d’apprendre l’anglais selon les besoins professionnels, ou la langue d’un pays d’expatriation.
Et puis, quel plaisir d’apprendre une langue que l’Éducation nationale persiste à refuser, même en option au baccalauréat ! Un pied-de-nez au nationalisme, à l’obscurantisme et au conservatisme.

L’honnête homme du XXIe siècle se doit d’avoir des notions d’espéranto, comme l’a fort bien dit Tolstoï :

"Les sacrifices que fera tout homme de notre monde européen en consacrant quelques temps à l’étude de l’espéranto sont tellement petits, et les résultats qui peuvent en découler tellement immenses, qu’on ne peut pas se refuser à faire cet essai." (Léon TOLSTOÏ (1828 - 1910), écrivain russe)
(Site Vortareto – citations)

Et si le vocabulaire est plus facile pour nous, Européens, ce n’est pas une langue indo-européenne, car c’est une langue agglutinante comme le chinois et le vietnamien ; sa plus grande facilité que le français ou l’anglais est une réalité également pour tous les Asiatiques.

Laissons conclure un linguiste :

"La nécessité logique d’une langue internationale dans les temps modernes présente un étrange contraste avec l’indifférence et même l’opposition avec laquelle la majorité des hommes regarde son éventualité. Les tentatives effectuées jusqu’à maintenant pour résoudre le problème, parmi lesquelles l’espéranto a vraisemblablement atteint le plus haut degré de succès pratique, n’ont touché qu’une petite partie des peuples.
La résistance contre une langue internationale a peu de logique et de psychologie pour soi. L’artificialité supposée d’une langue comme l’espéranto, ou une des langues similaires qui ont été présentées, a été absurdement exagérée, car c’est une sobre vérité qu’il n’y a pratiquement rien de ces langues qui n’ait été pris dans le stock commun de mots et de formes qui ont graduellement évolué en Europe."

(Edward SAPIR, linguiste américain, Encyclopaedia of Social Sciences, 1950, vol. IX, p. 168)

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58 réactions à cet article    


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 8 octobre 2009 10:06

    Une des langues ascendantes actuellement c ’est la langue de pute , de plus en plus parlée dans le monde .


    • titi titi 8 octobre 2009 11:18

      Ou bien « jeepable » est l’association de deux mots anglais « jeep » et « able » (capable), et est donc un anglissisme..

      Et nous constatons l’adaptabilité de l’anglais.

      @haddock
      « Une des langues ascendantes actuellement c ’est la langue de pute , de plus en plus parlée dans le monde . »
      En France nous avons une spécificité : c’est assurement la langue de bois qui constitue le dialecte prédominant.


    • Krokodilo Krokodilo 8 octobre 2009 11:51

      Il vous a sans doute échappé qu’on ne parlait pas d’anglais, mais de français et d’espéranto.


    • kitamissa kitamissa 8 octobre 2009 11:43

      moi j’aime mieux la langue fourrée ( langue des fourreurs ...)

      la langue au train ( langue SNCF ...)

      la langue au chat ( pour le minou ...)

      et j’aime pas Jack Lang ( langue de ..........)

       smiley smiley smiley


      • R.L. 8 octobre 2009 12:05

        L’Esperanto dynamique avant la première guerre mondiale, et encore, entre les 2 guerres, est en perte de vitesse. Inversement proportionnelle à la montée en puissance du Libéralisme.
        Au delà de la psychologie, du nationalisme, c’est bien un mur idéologique et économique des tenants du pouvoir qui s’y oppose : la nature désintéressée, non mercantile, profondément démocratique,
        Vous imaginez si les 450 millions d’Européens pouvaient communiquer librement, directement entre eux ?
        Ils seraient bien dans la merde nos députés européens ! Quant aux bandits commissaires !

        Et le budget fou des traductions (écrites mais pas équitables entres les langues) et des interprétariats, bourrés d’erreurs et de contre-sens et entraînant des ralentissements dans le fonctionnement tels qu’ils confinent à l’inefficacité et servent la langue dominante à Bruxelles...
        Et pendant ce temps, les chercheurs utilisent l’Esperanto pour servir de base, de langue pivot, à leur projet de traduction efficace, rapide et peu coûteuse.
        En France, le bac avec option planche à voile existe. L’option Esperanto est continuellement refusée...
        La démonstration est suffisante...


        • Krokodilo Krokodilo 8 octobre 2009 12:46

          Je suis assez d’accord, sauf sur le fait qu’il est en perte de vitesse ; je le trouve au contraire en progrès constant, notamment en France et en Asie : cf. site de la ville de Montpelier, Strasbourg (la visite des bateaux-mouches en diverses langues), le nombre d’articles dans les journaux régionaux, et récemment son entrée à la faculté de lettres de Mulhouse.


        • R.L. 8 octobre 2009 14:03

          A Krokodilo,

          On est d’accord en fait sur l’essentiel. Et lorsque je parle de perte de vitesse, ce n’est absolument pas une critique, m’en désole et ne demande qu’à me tromper !
          Maintenant, si l’université de Mulhouse ouvre des cours, je m’en réjouis.
          On pourrait seulement espérer mieux avec l’outil fantastique qu’est internet.

          Mais je suis tranquille. Avec la crise systémique, pas encore vraiment commencée, l’Esperanto fera partie des grandes décisions qui s’imposeront, avec quelques autres, pour lutter contre le barbarisme montant dans lequel nous mène, inéluctablement, le modèle de société économique qu’on nous impose depuis un (trop) bon moment...

          Dommage qu’il faille toujours attendre d’être au pied du mur (avec beaucoup de malheur) pour que l’homme revienne au cœur des préoccupations...


        • Traroth Traroth 8 octobre 2009 15:27

          A noter, la Wikipedia en espéranto, pour ceux qui ne connaissent pas :

          http://eo.wikipedia.org

          119.000 articles, tout de même !


        • Bobby Bobby 8 octobre 2009 19:52

          Merci pour le lien Traroth !


        • Jurassix Jurassix 8 octobre 2009 13:26

          J’ai toujours trouvé le concept de l’esperanto intéressant, malgré une réticence bien naturelle à son apprentissage et son utilisation.

          Maintenant, si on se fie à notre bon vieux français, les nouvelles générations gavées de twiteriseries, de sms et autres condensés d’information montrent les limites d’une langue somme toute géniale car riche et douce, mais dont les subtilités sont de moins en moins en phase avec l’évolution de la société.

          Pour preuve : plus ça va, plus les lettres de candidatures que je reçois sont parsemées d’horreurs lexicales, de maladresses d’écriture etc. Ayant pour habitude, dans une sélection de jeter :
          - les lettres de motivation imprimées dont le contenu est trop général
          - les lettres de motivation avec des erreurs à chaque ligne
          , je me demande, avec le peu qu’il me reste, s’il ne va pas falloir faire le premier tri autrement, car sur 15 lettres, 3 sont respectables, et ce quelques soit le niveau d’études (aller, j’y vais un peu fort, 50% de bonnes pour les cadres).

          La dernière en date, écrite par un lycéen en recherche de stage : je me suis demandé s’il n’était pas dyslexique (ça arrive). Mais non, aucun effort n’a été fait. Vu que le profil était intéressant, j’ai rappelé, en demandant une autre lettre de motiv’ soignée.. et manuscrite. Erreur, grave erreur, ce fut bien pire, car les même fautes étaient reproduites, mais avec une écriture digne d’un CP écrivant avec les pieds.

          Alors quid de l’esperanto ? Une grammaire simplifiée, et une possibilité d’internationalisation, c’est intéressant, mais j’ai bien peur que cela ne reste que du domaine du rêve...
          J’vais me renseigner quand même. Avons nous des stats sur le nombre de personnes qui parlent l’esperanto, par pays ?


          • Krokodilo Krokodilo 8 octobre 2009 14:16

            La chute du niveau des élèves en français fait les beaux jours de divers blogs d’enseignants, et le sujet de nombreux livres ! Hormis le cliché (vrai) que c’est le siècle de l’image, que les jeunes lisent probablement moins (de livres, mais davantage sur Internet qui n’existait pas), je n’ai pas réellement d’avis pertinent.

            L’Eo n’a pas « une possibilité d’internationalisation », celle-ci est une réalité : ici en Chine
            (choix des langues en haut)

            « Avons nous des stats sur le nombre de personnes qui parlent l’esperanto, par pays ? »
            Je répondrai « Avons-nous des stats sur l’anglais ? ». Nous connaissons le nombre de locuteurs natifs, ainsi que le nombre d’élèves qui l’étudient à l’école, mais c’est tout. La plupart de ceux qui en ont fait à l’école se situeront entre balbutiant et médiocre. Il n’existe en fait aucune étude sérieuse sur le niveau en langue étrangère par rapport à une échelle de niveau (comme le récent CECRL, ou cadre commun) les tests TOEFL et TOEIC concernent une population particulière, et Eurobaromètre ne sort que des sondages basés sur des questionnaires du type « maîtrisez-vous une langue étrangère ? », question à laquelle les gens modestes ou réalistes répondront pour la plupart : non. Comme les Hongrois.
            C’est pareil pour les échecs : combien de gens dans le monde savent jouer aux échecs ? La question fait-elle référence à un niveau précis, ou à la seule connaissance des règles du jeu ?
            Mais il y a quelques indices : on estime à la louche les locuteurs de l’Eo à un million, parmi ceux-ci, certains ont les notions de base, d’autres lisent mais ne pratiquent pas à l’oral (de même qu’en anglais ou autre on est souvent meilleur à l’écrit, à la lecture qu’en expression orale), et le nombre réellement à l’aise sera plus faible.
            Le nombre de votants pour la liste EDE aux européennes n’est pas non plus fiable, car on peut être sympathisant sans avoir fait l’effort régulier pour l’apprendre.
            « Une centaine de Toulousains pratiquent l’espéranto »


          • R.L. 8 octobre 2009 14:24

            Oui, il y en a. Mais elles sont assez vagues et difficilement vérifiables.
            Mais, ne serait-ce que pour ses incontestables qualités d’apprentissage pour la connaissance de sa propre langue et des langues étrangères (j’ai appris ou abordé quelques langues étrangères « rares » grâce à l’esperanto puisque je ne trouvais pas de livres assez bon marché ou assez variés).
            Sa puissance est indiscutable. On peut l’entrevoir avec sa poésie originale mais aussi avec des traductions d’œuvres majeures de qualité souvent supérieures à celles de nombreuses langues ? y compris les grandes véhiculaires.
            Lisez ainsi le Kalevala en français, en anglais, en espagnol, en russe...
            Alors, quand il s’agit d’oeuvres moins connues ou pas traduites...
            C’est, enfin, un jeu intellectuel, cérébral, passionnant : traduire de sa langue maternelle vers une autre, sans plus de difficulté, c’est le privilège de l’esperanto.

            Toutes les expériences ont montré son avantages :
            Sur Lyon, une classe pilote avec l’esperanto avant la 6ème a conduit les enfants a de bien meilleurs résultats en langues étrangères et en français ensuite.

            Quant aux doubles traductions :
            - 2 groupes de Japonais. Le premier a discuté en anglais ; le second en esperanto. Sur le même thème et avec des bornes pour s’assurer de l’homogénéité de ce qui se dirait.
            - On a demandé a des individus de 2 autres groupes, observateurs des discussions, de retranscrire chacun la discussion à laquelle ils ont assisté.
            Il n’y a pas eu photo au développement...
            Ce n ’est pas pour rien que l’esperanto fut interdit par les régimes autoritaires entre les 2 guerres.
            Par les pays démocratiques, mais faisant partie d’un même bloc idéologique, le résultat fut le même mais en douceur...


          • Markoff 9 octobre 2009 00:34

            Attention Jurassix, la teneur de votre message pourrait faire croire que vous souhaiteriez remplacer la langue française par l’esperanto si cette dernière se répandait sensiblement, et ceci pour pallier aux graves lacunes en français que nous constatons sur les générations actuelles.
            Or si on présente l’esperanto avec cette vision, c’est le meilleur moyen de conforter ses nombreux détracteurs. La langue nationale doit rester la première et si elle se dégrade, il faut prendre des mesures au niveau Education Nationale pour lutter contre le fléau civilisationnel qui en est la cause ( manque de lectures, SMS, etc....). La suppression des téléphones portables dans les écoles et collèges est un début de bonne mesure.
            Il faut toujours présenter l’esperanto comme une langue annexe, mais importante, pour les échanges internationaux, politiques, économiques, touristiques.
            Aprés la langus nationale, ce devrait être la première langue obligatoire.


          • Jurassix Jurassix 9 octobre 2009 08:27

            Rien a dire, je pense que vous avez tout juste !


          • LE CHAT LE CHAT 8 octobre 2009 15:10

            la route est jeepable pour les jeeps comme elle pourrait être carrossable pour les carrosses , rien de choquant après tout !


            • Krokodilo Krokodilo 8 octobre 2009 15:57

              Très juste, sans oublier navigable (hors des routes !), et je l’ai trouvé nouveau, pas choquant. Je suis tout à fait en faveur des néologismes logiques et intuitifs, qui plus est lorsqu’ils remplacent des anglicismes mal ficelés et modifiés.


            • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 12 octobre 2009 18:25

              « Je suis tout à fait en faveur des néologismes logiques et intuitifs »

              Des mots intuitifs, cela n’existe pas. Il est complètement impossible de trouver une règle générale qui permettrait de deviner le sens d’un mot à partir de son orthogrpahe, de son contexte, et de sa prononciation. C’est pourquoi, l’espéranto est linguistiquement stupide, et que ses concepts de base sont ineptes.

              Je paie une bière à celui qui réussit à prouver que j’ai tort.

              Pour prouver qu’une assertion est fausse, il faut et il suffit de lui trouver au moins un contre-exemple.

              Typhon


            • Kali 12 octobre 2009 18:44

              Mon cher troll Typhon. Pourriez vous êtes plus clair, car je n’ai pas très bien compris votre logique et je dirais même, plus, je n’ai absolument rien compris à vos propos.


            • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 12 octobre 2009 21:31

              Pour tout X, mot appartenant à une langue Y.

              Quels que soit Y connu.

              Il est impossible de déterminer le sens de X à partir de son orthographe, de sa prononciation , de son étymologie et de son contexte.

              On va me dire « mais si, on peut deviner que par exemple »portemanteau« ça vient de »porter« et de »manteau« .

              Oui. Mais c’est un cas particulier. ça ne marche pas pour tout les mots (d’où le »pour tout X")

              Typhon


            • Kali 12 octobre 2009 21:42

              Votre nouveau commentaire est encore moins « limpide » que le précédent.


            • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 12 octobre 2009 22:29

              J’ai autre chose comme objectif dans la vie que de mettre ma prose à la portée du premier con qui passe.

              Donc, pour cette fois, je m’explique, mais il ne faut pas y compter tout le temps.

              Krokondildo dit que l’espéranto est agglutinant ET isolant.

              Or, ces deux notions sont incompatibles l’une avec l’autre. Une langue ne peut pas être À la fois isolante et agglutinante, puisque l’un est le contraire de l’autre.

              D’où ma remarque sur le chaud et le froid. L’eau peut être chaude, tiède, ou froide, mais pas le premier et le dernier à la fois.

              Typhon


            • docdory docdory 8 octobre 2009 15:21

              @ Krokodilo


              Le chinois et le vietnamien ne sont pas classés dans les langues agglutinantes , mais dans les langues tonales monosyllabiques d’Asie.
              Comme exemple de langues agglutinantes , on peut citer le mongol ( dans l’étude duquel je suis plongé ces derniers temps ) , le turc et ses dérivés , le finnois , le hongrois etc ...


              • Krokodilo Krokodilo 8 octobre 2009 15:55

                Il y a un certain flou dans ces classements de langues, tout simplement je pense, parce que beaucoup ne sont pas seulement ceci ou seulement cela : l’espéranto est à la fois agglutinant et isolant, de même que le français est très flexionnel mais utilise aussi l’agglutination, comme j’en ai donné quelques exemples ci-dessus.Ce sont davantage des caractéristiques variables que des catégories différentes.


              • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 12 octobre 2009 21:39

                « l’espéranto est à la fois agglutinant et isolant »

                C’est comme moi, je buvais de l’eau chaude et froide tout à l’heure.

                Typhon


              • Kali 12 octobre 2009 21:59

                Encore un manque de clarté de notre troll préféré.


              • Kali 12 octobre 2009 22:31

                Pour apporter de l’eau au moulin aux propos de kroko. Selon mes connaissances aucune langue n’est uniquement fusionnelle, ou uniquement agglutinante, ou uniquement isolante. Chaque langue est un mélange de ces trois formes dont l’une peut dominer sur les autres et autres possibilités. Par exemple, l’anglais est majoritairement flexionnelle ( fusionnelle (men) et agglutinante (kats) ) mais elle possède certaines caracéristiques de langues isolantes ( to, adjectifs invariables) Le français est bien plus fusionnel que l’anglais mais possède des éléments isolants comme les fameux mots invariables.

                L’esperanto est une langue en apparence à majorité agglutinante, ce qui donne son apparence est l’écriture latine (ou tout autre alphabet de même type donnerait cette illusion), il suffit de transposer les radicaux espéranto en idéogrammes pour se rendre compte que cette langue est aussi isolante que le chinois.

                Par exemple mi vidas botelon, je vois une boutelle, peut se dire « moi » « voir » « maintenant » « bouteille » « subissant »


              • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 12 octobre 2009 23:11

                Mon poussinou, si tu veux parler de subtilités linguistiques, je te conseille d’aller voir ce qu’en pense un vrai linguiste (attention, c’est en anglais, ton petit cerveau va exploser sous la surchauffe, procure toi un ventilateur au préalable).

                Typhon


              • Kali 13 octobre 2009 06:16

                Ce linguiste là, très facile de répondre, il présente très peu ses sources voir quasiment jamais. Ce qui ne permet pas de vérifier ses écrits.

                Et pour ma part ayant un peu étudié cette langue il y a 20 ans, je pourrais en recherchant un peu, démontrer que sur certains points ce monsieur à tord.

                Je pense que ce linguiste cherche plus à convaincre qu’à prouvé, car ses propos montrent en outre une grande part de subjectivité.

                Je peux dire que sur certains points il a raison, mais sa formulation autour d’un certain nombre de ces points montre une certaine dose de moquerie mal placée ( au sens littéral comme figuré), ce qui ne rend pas son analyse très neutre.

                Donc la véracité des propos de ce linguiste est à prendre avec des pincettes. Désolé pour vous, surtout si vous vous êtes fié à ses écrit.


              • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 13 octobre 2009 12:49

                T’es incapable de compter jusqu’à dix sans t’aider de tes doigts et tu veux démonter en cinq minutes un travail écrit dans une langue que tu ne comprends que difficilement, écrit par quelqu’un de bien plus intelligent que toi ? T’es sur que tes chevilles vont supporter la pression ?

                Typhon


              • Kali 13 octobre 2009 13:58

                Petit exemple de l’incompétence de ce linguiste :
                "Esperanto was invented in 1887 by an oculist from Bialystok, Dr Ludwig L Zamenhof"

                L’espéranto n’a pas été inventé en 1887, c’est le projet d’esperanto, ou plutôt une des formes de ce projet qui a été publié à cette date. Ce projet est issu d’un ancien projet de langue proche de l’esperanto brulé par le père du docteur Espéranto. De plus entre 1887 à 1905 date du fundamento, la langue a évolué sur de nombreux aspects et le fundamento marque la date d’un noyau grammatical stable pour la langue. Donc l’espéranto n’a pas été créé à telle date ou telle autre date, c’est une langue qui depuis l’enfance de ce médecin, a évolué.

                En tout cas j’ai bien aimé votre argument d’autorité. Ainsi que mon niveau d’anglais, vous avez une force de conviction époustouflante.

                Ce que ce linguiste en étudiant cette langue n’a pas su mettre en valeur selon moi, c’est les erreurs objectives que l’on peut retrouver dans la langue. Ces erreurs ne sont pas due à la structure de la langue, mais à un problème de pratique chez certains locuteurs, et il me semble une grande majorité. Ce sont certains locuteurs qui manquent de logique lors de son utilisation.


              • Kali 13 octobre 2009 14:11

                Autre exemple/

                Au sujet du fundamento : Notre
                cher linguiste ne précise pas de quelle édition anglaise il puisse son fundamento. Est-ce celui de 1905 ou d’une des mises à jours ultérieures. De plus, malheureusement pour notre linguiste la version anglaise du fundamento est celle qui fut en 1905, la traduction la moins bien réussie, la traduction russe étant la meilleur, si je me souviens bien.

                Maintenant au niveau de certaines critiques de ce linguiste, il oublie à de nombreuses reprises de redonner le contexte historique, ces textes du fundamento ont été rédigés au tout début de la linguistique. Donc le vocabulaire n’était pas forcément celui que l’on utilise actuellement en linguistique.


              • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 13 octobre 2009 17:37

                Écoute, choupinou, moi, j’en ai rien à foutre. Le gars a une adresse mail, t’a qu’à lui écrire, si tu pense vraiment qu’il doit récrire son analyse.
                 Moi, j’ai fait le tour de la question, et je ne prendrais donc pas la peine de t’expliquer pourquoi ces deux pauvres étrons que tu viens de lâcher sont ridicules de bêtise.

                Donc, si tu pense que Mister Justin Byam Rye devrait reconsidérer quoique ce soit qu’il ait écrit, tu t’adresses à lui directement.

                Je pense que tu gagne au change, il est beaucoup plus sympathique que moi, ce type, il ne t’agonira peut-être pas d’insultes.

                Typhon


              • eugène wermelinger eugène wermelinger 8 octobre 2009 17:39

                Saluton !

                mi nur volas aldoni tion : (je veux seulement ajouter ceci) 

                4.la 89ème conférence internationale d’espéranto se tiendra en chine 

                port" a été fondé en 1959. deux sites internet officiels ont été établis pour la conférence, qui sont respectivement www.china.com.cn/esperanto/ 1013.htm et www.espero.com.cn/uk2004.

                http://french.china.org.cn/culture/txt/2004-07/15/content_2121985.htm -&nbsp2004-07-15

                Ma fille, à présent médecin français diplomée par les Facultés de médecine de Strasbourg et de Nancy est aussi titulaire d’un certifcat de médecine traditionnelle chinoise et acupuncture délivrée par la Faculté des sciences de Pékin, où les cours étaient dispensés en espéranto à des étudiants d’une quinzaine de nationalités.



                • Krokodilo Krokodilo 9 octobre 2009 09:28

                  J’aurais aussi pu parler des adverbes, plus fréquents en Eo qu’en français, parce que plus faciles à généraliser :
                  On dira « Il répète comme un perroquet », car, à l’exception d’un écrivain amateur de néologismes, on hésitera à écrire « il répète perroquètement ».
                  En Eo : « Li repetas papage » (perroquet = papag-o, + finale -e des adverbes).


                  • Kali 12 octobre 2009 18:37

                    J’ai bien aimé et souri quand vous avez écrit l’espéranto est régulier. L’esperanto, ou plutôt les pratiques de ses locuteurs ne rendent pas cette langue régulière. Deux exemples simples, vortaro et krokodili qui seront deux mots à apprendre par coeur. Je pourrais citer d’autres exemples si je le souhaitais, mais l’espéranto est bourré de calques européens comme par exemple l’attribut du COD qui est compliqué à apprendre pour un certain nombre de non européens.


                    • Krokodilo Krokodilo 12 octobre 2009 19:10

                      « Krokodili » est un des rares idotismes de l’Eo, et le premier que j’ai appris, ce qui d’ailleurs est la raison de mon pseudo. Par contre, « vortaro » est normalement formé, d’un radical (« vort ») et d’un suffixe « ar » désignant l’ensemble.
                      Bon nombre de mots pourraient éffectivement être supprimés, l’avenir dira ce qu’il en sera.
                      Pour l’aspect européen du vocabulaire, on ne compte plus le nombre de réponses qu’on a fournies à ce sujet... Et pour la marque du COD, le « certain nombre de non Européens » se résume-t-il à vous-même, ou avez-vous des éléments plus précis à nous communiquer ? Ce sont essentiellement quelques Français qui s’en plaignent !


                    • Kali 12 octobre 2009 20:35

                      Vos propos me font bien sourire, car en tant qu’européen vous ne voyez pas tous les calques que les locuteurs européens peuvent produirent dans cette langue.

                       Par contre, « vortaro » est normalement formé, d’un radical (« vort ») et d’un suffixe « ar » désignant l’ensemble.

                      Justement si on suit la logique interne de la langue « vortaro » désigne « groupe de mots », ce qui peut signifier une liste de mots, comme une phrase ou encore un bout de phase, or les espérantistes désignent « vortaro » par « dictionnaire », dictionnaire si l’on devait être logique serait difinlibro ou difinalibro.

                      D’autres exemple duoninsulo, aliĝi ; martelo( marteau) donne marteli ( marteler) mais simio (singe) ne permet pas de comprendre simii (singuer) au moyen de l’exemple de martel, l’un va donner une action par outils, alors que le second donnera un état d’être. Je pourrais aussi parler de la transitivité des verbes dont certains sont à la fois transitif et intransitif comme fumi par exemple. Ou ce qui est relatif à um.

                      Et pour la marque du COD, le « certain nombre de non Européens » se résume-t-il à vous-même, ou avez-vous des éléments plus précis à nous communiquer ? Ce sont essentiellement quelques Français qui s’en plaignent !

                      Et si vous aviez mieux lu, ce n’est pas de cela que je parlais.


                    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 12 octobre 2009 21:35

                      De toute façon, ce qui pousse les gens à apprendre une langue, ce n’est pas la beauté de la grammaire, la régularité de la syntaxe, ou l’harmonie de la conjugaison.

                      Ce qui pousse les gens à l’apprentissage d’une langue, ce sont les avantages pratiques qu’ils espèrent en retirer. Avantages inexistants en espéranto.

                      Qu’est ce qu’on dit ?

                      On dit : MERCI CAPTAIN OBVIOUS !

                      Et maintenant, en route vers de nouvelles aventures !

                      Typhon


                    • Kali 12 octobre 2009 21:54

                      Mon cher troll Typhon, vos commentaires ont cette fâcheuse habitude de manquer de clarté. Quand on, ou plutôt dans mon cas personnel, quand je vous lit, il s’agit souvent de jouer aux devinettes ou de trouver les sens cachés de vos phrases.


                    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 12 octobre 2009 22:25

                      Must... not... make... fun... of other guy... idiocy...

                      Il n’est pas possible de deviner le sens de tout les mots d’une langue grâce à une règle magique.

                      C’est bon là ? T’as pigé ?

                      Mon idée, en fait, est un peu plus compliquée, mais, faut bien se mettre à ton niveau, tu m’as l’air d’être une sacrée lumière.

                      Typhon


                    • Kali 12 octobre 2009 22:43

                      Mais mon cher troll préféré, si j’essaye de comprendre vos phrases, je peux deviner ce que vous voudriez dire, du moins le raisonnement que vous sembleriez avoir. Mais comme je n’ai pas envie de passez des heures interminables à essayer de retraduire vos propos de manière plus précise. Je passe directement à la conclusion : vous n’êtes pas clair quand vous écrivez.


                    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 12 octobre 2009 22:53

                      D’une manière générale ou dans ce cas précis, cher faire-valoir ?

                      Typhon


                    • Kali 13 octobre 2009 05:50

                      Je remarque très souvent que vous avez un problème pour exprimer par écrit votre pensée, mon cher troll.


                    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 13 octobre 2009 12:43

                      Peut-être, et même surement, que vous êtes un crétin et que vous ne comprenez rien à rien.

                      Typhon


                    • Kali 13 octobre 2009 14:53

                      Blablabla, et votre réponse reflète bien votre personnage. Si au moins vous vous donniez la peine de vous posez la question au sujet de votre clarté.

                      Si je dois m’ateller à la tâche explicative, je vais montrer en premier que votre raisonnement est absurde et si je cherche à vous comprendre, je vais montrer que vous n’étiez pas clair.

                      Prenons un exemple : utilité de l’espéranto.
                      Vous disiez qu’une langue est apprise par les gens que s’ils y trouve une utilité, et vous disiez que l’espéranto n’a pas d’utilité. Malheureusement des gens ont appris et apprendrons cette langue car il y trouve une utilité quelle soit ludique, de communication ou tout autre. Que vous le vouliez ou non cela est un fait établi.

                      Si je devais interpréter vos propos, je pourrais penser que vous parliez d’utilité professionnelle. Et sur ce point, je vous dirais encore « vous avez tort », car il existe certaines personnes qui utilisent cette langue professionnellement.

                      Si je devais interpréter d’une autre manière, je pourrais penser que vous parliez d’utilité de façon importante par rapport à la population mondiale. Là je serais d’accord avec vous. Globalement l’esperanto est quasiment inutilisé dans notre monde devenu international.

                      Donc j’ai pu prouvé que vous aviez tort et que vous n’êtes pas clair.


                    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 13 octobre 2009 17:40

                      La seule chose que tu n’aura jamais aucun mal à prouver, c’est ton idiotie abyssale.

                      Typhon


                    • Kali 13 octobre 2009 18:22

                      Mais oui, mon choux tu a parfaitement raison comme toujours.

                      Et pour ce linguiste, mais alors j’en ais rien à cirer de discuter avec lui. Vous m’affirmez qu’il est magnifique, moi je démontre qu’il n’est pas aussi intelligent que cela, qu’il peut faire des erreurs comme tout le monde. Sur ce sujet il est incompétent ou plus politiquement correct, il n’est pas fiable, rien a redire de plus jusqu’à preuve du contraire.

                      Après si vous avez envie de faire de ce linguiste votre icône, votre dieu, ça vous regarde uniquement. Faites lui des prières, demandez de l’eau bénite, faire avec lui ce que vous voulez, j’en ai rien à cirer

                      Moi ce ce que je constate, c’est votre bonne habitude de troll, c’est à dire insulter au lieu d’argumenter, et jusqu’à preuve du contraire j’ai raison.

                      La différence entre vous et notre kroko, c’est que lui quand il est en panne d’arguments, il va finir par se taire. Remarque, au moins il a la politesse de ne pas insulter.


                    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 13 octobre 2009 19:31

                      Je ne t’ai jamais insulté. Tout au plus, je t’ai dépeint tel que tu étais. Si tu ressent ça comme une insulte, ça te regarde. Tu en as parlé à ton psy ?

                      Typhon


                    • Kali 13 octobre 2009 20:37

                      « Je pense que tu gagne au change, il est beaucoup plus sympathique que moi, ce type, il ne t’agonira peut-être pas d’insultes. » Je ne sais plus qui a dit cette phrase. Auriez vous une idée, mon bon ami troll ?

                      Ne croyez pas mon cher, que vos insultes me touchent. Bien au contraire, j’ai plutôt pitié pour vous et je me suis fais une très bonne idée de votre personne.

                      Si vous étiez un animal par compassion je vous abattrais, car je n’aime pas voir les bêtes souffrir


                    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 13 octobre 2009 21:10

                      C’est faux, tu adore voir les bêtes souffrir, sinon, tu te serais foutu en l’air.

                      Typhon


                    • Kali 13 octobre 2009 21:27

                      Disons que certaines choses ne sont relatives que par rapport à soi, mon cher monsieur (ou madame).


                    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 13 octobre 2009 22:42

                      I am the arm, and i sound like this WOOWOOWOOWOOWWOOWOOWOOOWOOOWOOO !

                      Typhon


                    • Kali 14 octobre 2009 09:10

                      C’est tout ! Je qui pensais que vous aviez plus de verve. Je suis fort déçu de cela. En tout cas vous m’avez fort bien amusé. A bientôt.


                    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 15 octobre 2009 12:34

                      À BAS LA CENSU


                    • ulysse 15 octobre 2009 17:33

                      Sur le blog de Léonard Orban ,le commissaire ayant la charge du multilinguisme dans l’union européenne, la question suivante est posée :« Les langues ont elles influencé votre entreprise ou votre carrière ».
                      Je leur ai soumis le texte suivant :
                      "Sur internet cet article a attiré mon attention.
                      L’expérience de la société Triballat de Noyal-sur-Vilaine .
                      Ayant reprit une entreprise italienne , certains salariés des deux entreprises devaient pouvoir communiquer entre eux.
                      Le temps et le coût sont les préoccupations constante de tout chef d’entreprise , le patron du groupe, Monsieur Olivier Clanchin a choisis une solution peut commune.
                      Une formation qui va se déroulée en deux fois cinq jours avec trois Français et trois Italiens.Ils devrons être capable de parler, de se présenter, de prendre des rendez-vous puis de travailler ensemble.Le budget de cette formation est de 200 euro par jour et par élève.
                      Ces employés seront former à l’espéranto.
                      À travers cette expérience, les promoteurs du projet veulent démontrer qu’il est possible, à travers l’espéranto, de constituer au sein des entreprises des équipes internationales capables de communiquer entre elles.
                      Tout ce qui peut nous faire progresser mérite qu’on y prête attention.
                      Ceci n’est pas mon expérience personnelle."
                      Les liens :
                         http://www-prod.jde.sdv.fr/editions/35/actualite/conjoncture/esperanto-le-pari-fou-de-triballat-06-03-2009-63090.php

                      http://www.triballat.fr/international.html

                      Les modérateurs du site n’ont pas publier ce texte.
                      Cela peut être dût au fait que je ne témoignais d’ une expérience personnelle,ou, que le patron de Triballat est considéré comme un doux rêveur irresponsable, allant à contre courant de ce qu’il est convenu de faire.
                      OU....
                      Comme dit Typhon
                      À BAS LA CENSU


                      • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Rorschach 16 octobre 2009 07:39

                        Peut-être que vous devriez ouvrir un blog.

                        Typhon


                      • guzi 17 novembre 2009 11:56

                        AVez-vous un retour sur le résultat de cette expérience. je pense, en effet, que l’espéranto n’a un avenir que s’il sort de son milieu (très respectable) d’espérantistes militants et prouvent son efficacité en tant que langue des affaires et scientiqfiques. Bref il doit redescendre sur terre.

                        cordialement

                        Guzi


                      • ewropano 16 janvier 2010 14:48

                        Saluton !

                        Je verrais plutôt g’ipebla, puisque j se prononce dj en anglais et que jeep vient de « general purpose ».

                        Ce qui fait du même coup de g’ipi un verbe transitif, signifiant parcourir X en jeep, X étant le complément à l’accusatif, et signifiant un nom de lieu.
                        ex : (?) mi g’ipas la dezerton

                        Si on veut éviter le risque de collision (pas en jeep, mais avec d’autres formes grammaticales qui exigeraient que g’ipi soit intransitif), il vaut mieux utiliser le suffixe-joker « um », g’ipumi , d’emploi plus souple.

                        Ce qui n’empèche pas que, dans une conversation courante, j’ipebla serait compréhensible smiley , même si le puristes peuvent y trouver à redire. smiley

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