La dualité des ondes-particules
Une onde ou particule venue d’une dimension originelle et à plusieurs endroits à la fois
Supposons qu’il pourrait exister une (mono) dimension où l’espace (3D) et le temps n’existent pas. Le temps s’écoule plus lentement dans un champ gravitationnel fort, on peut donc imaginer qu’il tend vers un point nul ou quasiment nul dans la contraction de l’espace-temps. Cette dimension "originelle" pourrait alors n’être constituée que d’un seul élément fondamental (peut être une "corde") à l’origine des ondes-particules. Cet unique élément (ou vibration, ou corde) se "déplacerait" simultanément (le temps n’existant pas dans sa dimension) en transitant par ‘N’ autres dimensions (supposées en théorie quantique). En fonction des différents "parcours" empruntés par cette vibration, résulterait des éléments (particules) élémentaires qui constituent notre univers comme par exemple le photon, lepton, boson, etc., dont même certaines que nous n’avons même peut-être pas encore identifiées.
Cette unique particule jouerait une sorte de yin et yang, positif et négatif, matière anti matière, etc. en fonction des diverses dimensions parcourues entre la sienne (source) et la notre, et qui donc alternativement, en adoptant des "vibrations" différentes, compose à elle seule, l’ensemble des particules de notre univers (et autres univers parallèle ?).
Partant de ce postulat, n’est-il pas concevable de penser qu’un photon (par exemple) est bien une et une seule particule, et non une onde, mais issue de la résultante d’une corde qui s’exprime à plusieurs endroits à la fois. Ceci concilierai le fait que lorsqu’on détecte (capture) le passage d’un photon, celui-ci disparaît. De mêle que dans un contexte d’intrication, les photons dits "jumeaux », ne le sont pas, mais il s’agirait d’un seul et même photon issu de la résultant d’une corde s’étant exprimée à deux "endroits à la fois".
L’expérience de la gomme quantique à choix retardé, ou la possibilité de conditionner le comportement dans le passé d’onde-particules, trouverait une réponse avec ce postulat, de même que « Démon de Laplace » qui disait qu’ « Une intelligence qui, à un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la compose embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome ; rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. » .
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