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Accueil du site > Tribune Libre > « La liberté de choisir », Charybde ou Scylla, encore ?!

« La liberté de choisir », Charybde ou Scylla, encore ?!

Vais-je continuer, sachant que des Hommes sont exploités, à m'habiller chez H&M, parce que mes finances ne me permettent pas de marques haut-de-gamme un peu plus respectueuses de la morale et de l'éthique, en sachant que je suis dans mon droit si je choisi de continuer ? 
Vais-je continuer à consommer des produits laitiers en sachant que l'impact économique, environnemental, sanitaire et moral est négatif mais que je suis dans mon droit ? Vous pensez que c'est une liberté de pouvoir faire ce genre de choix ? Et sans vouloir forcément développer la dessus, faire le choix d'encourager ce genre de propositions c'est enlever à d'autres celui que le monde se porte mieux... Le mal se fait par l'inaction des Hommes de bien qui donnent leurs possibilités d'action aux Hommes de biens (les possessifs).

Oui ou non ? Gauche ou droite ? 
Ce ne sont que des possibilités de choix mais ce n'est pas forcément une liberté d'être amené à choisir. C'est parfois faire des concessions, et je parle de ce genre de concessions que doivent malheureusement de temps à autres faire les médecins, entre sauver la mère ou l'enfant. L'objectif est de ne pas avoir à à être amenés à faire ce genre de choix ; que la médecine progresse par exemple. Sans entrave le choix ne s'impose plus, la liberté est donc totale. Les choix s'exportent ailleurs. Cela s'appelle évoluer, c'est inhérent à la vie. 
La liberté c'est pouvoir choisir de s'affranchir de ces choix. Des possibilités encadrées et imposées ne sont pas des passerelles vers la liberté, seulement vers une liberté limitée au pouvoir de raisonnement et de "libre-arbitre". Etre libre, ce serait donc non seulement avoir le choix, d'accord, mais aussi posséder la force de se déterminer soi-même de ne pas avoir à choisir entre une chose et une autre, déjà exposées. Cela s'appelle l'imagination. Elle est indépendante de la raison, et comme je me plais à le dire, l'imagination a toujours raison ! 
Penseur de la liberté par excellence, Sartre a ainsi montré que la liberté est angoissante justement parce qu'elle repose en son essence sur le choix, c'est-à-dire la prise de risque. Tout homme est amené pour être libre à faire des choix qui l'engagent totalement sans que la raison puisse par avance certifier que ce choix est le meilleur possible. 
Ne laissons personne nous imposer la réalité de leurs habitudes... 
Composons plutôt la nôtre.
"Tout est relatif" , de toute façon. 
En quoi le capitalisme serait-il plus viable qu'un autre modèle à inventer, qui serait défaillant, mais sur des points comme le fait de se reposer sur la bonne volonté de chacun, par exemple, plutôt que celui de la promesse de nouvelles richesses dans le futur ? C'est bien plus optimiste et tiré par les cheveux qu'une idée d'utopie participative et collaborative.
La société a failli en ce qui concerne la protection de ses citoyens. Aujourd'hui les États ne servent que l'argent, et ce n'est pas d'argent dont nous ayons fondamentalement besoin, mais de pouvoir vivre avec dignité. Combien n'ont plus accès à cette dignité aujourd'hui ? Si la société échoue, nous devons changer son modèle, et ignorer l'autorité de l'ancien qui s'obstine, motivé par les cafards arrivés à sa tête au mauvais moment qui ne veulent pas abandonner le navire, car ils ont justement leur précieux navire à perdre. Pas de navire, pas de navire, mais un avenir. Vous trouvez cela mieux de planter des graines de votre propre récolte et bien faites le (Mosanto). Vous ne trouvez pas cela mal de détruire ? Faites-le aussi. Mais chaque choix apporte des conséquences, toujours, et même la destruction peut semer la création. Ce qui compte c'est que nous soyons libérés des habitudes et de ce que l'inconscient a admis au fil des générations, qui faussent les possibilités qui s'offrent à nous. 
La plus infime évolution, d'après Charles Darwin, ne découle que de hasard.


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9 réactions à cet article    


  • Piotrek Piotrek 29 octobre 2014 14:15

    On a rêvé le commerce équitable (nous consommateurs aisés voulant une hausse de niveau de vie des petites mains) le système nous l’a donné (nous consommateurs pauvres nous approchant du niveau de vie des petites mains)

    La société a failli en ce qui concerne la protection de ses citoyens.

    C’est le citoyen qui a failli, il a laissé les commandes de la société aux pires escrocs sans se poser de questions.
    Il n’a fait qu’objecter lorsque l’on touchait à son droit de consommer.
    On a été des esclaves de la société de consommation imposée par la société
    On avait la liberté de choisir parmi 3 échantillons de rêve soigneusement emballés
    On avait la liberté de choisir les pacotilles qui nous donnaient l’impression de s’en approcher

    Attention : C’est le citoyen qui fait la société, pas l’inverse. Citoyen c’est un travail, une responsabilité. On voit ce qui arrive quand on ne fait qu’attendre que ça vienne d’en haut.

    Pour récupérer le pouvoir, faut commencer par se désinfecter des concepts qui ont infusés dans nos têtes pour revenir au fondamental.

    La plus infime évolution, d’après Charles Darwin, ne découle que de hasard.

    Ouais, mais la bonne grosse Révolution, d’après moi, c’est pas attendre que ça découle par hasard


    • Piotrek Piotrek 29 octobre 2014 14:19

      S’éduquer, lire, débattre, échanger c’est un début.

      Parlez avec vos proches, les commerçants... Ils savent qu’il y a une crise quelque part, mais ils ne savent rien. Parlez d’une démocratie directe, c’est nettement plus rassembleur et universel que de parler de votre/son parti préféré...

      C’est pas grand chose, mais c’est ce que j’ai a ma portée, allez au boulot !


    • Fauteur de Paix 29 octobre 2014 14:31

      Je ne suis pas tout à fait d’accord. Il ne faut quand même pas oublier qu’il y a des militants qui essaient de défendre leurs valeurs, quitte à se prendre des coups, voir des grenades... 

      Des illuminés, des casseurs, des utopistes, toutes ces expressions à connotation péjoratives qui tentent sans arrêt de discréditer ceux qui croient en un monde meilleur, où il n’y aurait pas de place pour les privilèges de seulement quelques uns.
      Bien sur que non, il ne faut pas attendre qu’elle arrive par hasard, la bonne grosse Révolution comme vous dites, je parle de hasard simplement parce qu’il faut oser, même si on ne sait pas, si on n’est pas sur, il vaut mieux éviter de trop compliquer l’aspect des choses, sinon on ne fait rien. C’est ce qui pousse à la léthargie. Si le hasard arrive à viser juste, pourquoi attendre d’avoir toute les clés en main pour se bouger le c** ? Il y a des urgences qu’on peut traiter, et pour le reste on avisera. 
      Parce que justement c’est le citoyen qui fait la société, nul besoin d’attendre que le système soit adapté, c’est lui qui doit suivre. 

      « Soyez le changement que vous voulez voir dans le Monde » à dit un grand Homme il y a bien longtemps. 


    • Fauteur de Paix 29 octobre 2014 14:33

      Je ne suis pas tout à fait d’accord. Il ne faut quand même pas oublier qu’il y a des militants qui essaient de défendre leurs valeurs, quitte à se prendre des coups, voir des grenades... 

      Des illuminés, des casseurs, des utopistes, toutes ces expressions à connotation péjoratives qui tentent sans arrêt de discréditer ceux qui croient en un monde meilleur, où il n’y aurait pas de place pour les privilèges de seulement quelques uns.
      Bien sur que non, il ne faut pas attendre qu’elle arrive par hasard, la bonne grosse Révolution comme vous dites, je parle de hasard simplement parce qu’il faut oser, même si on ne sait pas, si on n’est pas sur, il vaut mieux éviter de trop compliquer l’aspect des choses, sinon on ne fait rien. C’est ce qui pousse à la léthargie. Si le hasard arrive à viser juste, pourquoi attendre d’avoir toute les clés en main pour se bouger le c** ? Il y a des urgences qu’on peut traiter, et pour le reste on avisera. 
      Parce que justement c’est le citoyen qui fait la société, nul besoin d’attendre que le système soit adapté, c’est lui qui doit suivre. 

      « Soyez le changement que vous voulez voir dans le Monde » à dit un grand Homme il y a bien longtemps. 

      D’accord avec le second message smiley
      Sortir de ce qui est admis par la conscience collective depuis trop longtemps. 


    • Piotrek Piotrek 29 octobre 2014 15:10

      Je ne suis pas tout à fait d’accord. Il ne faut quand même pas oublier qu’il y a des militants qui essaient de défendre leurs valeurs, quitte à se prendre des coups, voir des grenades...

      Oui mais :
      - C’est du cas par cas
      - C’est des gens déjà politisés
      - Les français y sont habitués
      - Ils sont trop peu

      Or
      - Il faut un projet simple, rassembleur et fondamental
      - Faut s’adresser au citoyen lambda
      - Pour proposer quelque chose de nouveau
      - Pour s’accorder à l’unanimité

      Le but n’est pas de faire passer un point de vue particulier sur un sujet particulier, mais de changer le cadre pour que tous les points de vue passent sans parasitage. Démocratie directe, Etienne Chouard, rassembleur et universel (car facilitateur de la démocratie)

      Si l’on ne prend pas conscience de cela, si l’on ne fait pas prendre conscience de cela au plus grand nombre, on se retrouvera tout aussi bêtes en 2017 à faire un choix entre deux messies auto-proclamés vendant leurs promesses sans garantie. Il faut réveiller la conscience générale.

      J’ai été frappé par l’ignorance la plus totale autour de moi sur la situation de la France et dans le monde. Comme si rien existait en dehors de la vie du quotidien. (Heureusement qu’il y a Agoravox)

      Votre texte est bon, on est d’accord, j’ai juste été bougon sur la tournure de ces deux phrases smiley


    • Fauteur de Paix 29 octobre 2014 15:36

      Merci pour ces conseils. Je suis conscient de cela, j’ai du mal à pervenir à savoir si je réussi à m’adresser au plus grand nombre. J’ai écrit ce texte avant mon article sur le Crédit municipal, qui était le plus lu de la section citoyenneté ce week-end, j’ai donc progressé ^^. Cet article à été modéré bien plus tard alors que je l’avais posté avant.
      C’est vrai que je constate de plus en plus l’ignorance des gens sur ce qu’il se passe. C’est ce qui me fait penser qu’il y a un problème d’analyse des choses. Mes exemples du début ne sont pas prit au hasard, ce sont des réponses à des commentaires que j’ai lu par rapport à d’autres articles. J’essayais donc de répondre à une lacune dans l’analyse que les gens se font de la liberté et du choix.
      Au plaisir de partager avec vous :)


    • soi même 29 octobre 2014 20:08

      Sans vouloir rentré dans une polémique, il est bon de lire ceux d’autres peuvent en pensé !

      1. d’une part sur la liberté en tant que questionnement sur la capacité de choisir et de faire ,
      2. d’autre part comme questionnement sur l’exercice concret de ce pouvoir de choisir et de faire.

      Dans la mesure où ces deux perspectives se recoupent de diverses manières, leur chevauchement peut provoquer des erreurs d’interprétation dans les analyses et la confusion dans les débats. Il faut donc prendre soin de distinguer les différents sens de ce mot.

      Charybde et Scylla sont deux monstres marins de la mythologie grecque, situés de part et d’autre d’un détroit traditionnellement identifié comme étant celui de Messine

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Charybde_et_Scylla

      RUDOLF STEINER

      LA PHILOSOPHIE

      DE LA LIBERTÉ

      PRÉFACE DE LA NOUVELLE ÉDITION

      (1918)

      Les sujets qui ont été traités dans ce livre se ramènent à deux questions primordiales concernant la vie de l’âme humaine.

      La première est celle-ci

      Est - il possible de se former de l’être humain une conception qui permette de fonder sur lui, comme sur un point d’appui inébranlable, les données diverses de l’expérience et de la science ? En effet, ces données nous donnent l’impression de ne point pouvoir se fonder sur elles – mêmes ; le doute et le jugement critique les relèguent dans le domaine de l’incertitude. Quant à la seconde question, nous la formulerons ainsi : L’homme, en sa qualité d’être volontaire, a - t -il le droit de s’attribuer la liberté, ou bien cette liberté n’est - elle qu’une pure illusion, due à ce que l’homme ignore les liens par lesquels la nécessité enchaîne sa volonté comme elle enchaîne tous les phénomènes naturels ? Cette dernière question n’a pas été posée à la suite d’opérations logiques artificielles. Dans certaines conditions de la vie intérieure, elle se présente tout naturellement à l’esprit humain ; et l’on a le sentiment qu’il manquerait quelque chose au développement complet de l’âme s’il ne lui arrivait point une fois, au cours de sa vie, d’envisager avec le plus grand sérieux le dilemme que nous venons de poser : liberté ou détermination de la volonté humaine. Il sera montré dans cet ouvrage que les expériences intérieures qui sont liées, pour l’être humain, à la seconde de ces questions, diffèrent selon la réponse qu’il a pu donner à la première. Nous tenterons de prouver qu’il existe une conception de la nature humaine selon laquelle on peut fonder sur cette nature, avec sûreté, tout le reste de nos connaissances ; et nous tenterons ensuite d’indiquer que cette conception - là permet de justifier entièrement l’idée de la liberté du vouloir humain, à condition seulement que l’on trouve l’accès du domaine de l’âme où cette libre volonté peut réellement s’épanouir. La conception dont nous parlons, qui permet de répondre aux deux questions posées, se transforme dans l’âme qui l’acquiert en véritable force vivante. Elle ne fournit pas une réponse théorique que l’intelligence puisse simplement admettre, et la mémoire conserver. Une réponse de cette sorte ne serait, du point de vue de ce livre, qu’une apparence de réponse. Aussi n’a - t - on point émis ici des conclusions achevées et définitives ; mais on a montré le chemin expérimental d’un domaine intérieur où l’activité de l’âme humaine peut, à chaque fois qu’il en est besoin, trouver elle - même la solution renouvelée et revivifiée de ces problèmes. En effet, il suffit que nous ayons eu l’accès du domaine intérieur où ces deux questions se posent, pour que la véritable connaissance de ce domaine nous procure tous les éléments nécessaires à leur solution, et nous permette ensuite d’explorer l’ampleur et la profondeur des mystères de la vie, dans la mesure où notre désir et notre destinée nous invitent à le faire. Il semble donc que l’on a défini, en cet ouvrage, une connaissance qui, par sa nature propre, et par l’étroite parenté la reliant à toute la vie de l’âme humaine, porte en elle - même sa légitimation et sa valeur. C’est ainsi que je concevais le contenu de ce livre alors que je l’écrivis, il y a vingt - cinq ans. Et je ne puis aujourd’hui que répéter, en ce qui le concerne, les mêmes phrases. Au temps où je l’écrivis, je me fis une règle de ne rien dire qui ne fût en rapport étroit avec les deux questions fondamentales dont il traite. S’il est quelqu’un pour s’étonner de ce qu’on ne trouve encore, en ce livre, aucune allusion au domaine d’expérience spirituelle dont j’ai parlé dans mes ouvrages suivants, je le prierai de considérer que je ne voulais pas encore, en ce temps - là, décrire les résultats de l’expérience spirituelle, mais seulement établir les fondements sur lesquels cette expérience peut s’édifier. Cette « Philosophie de la Liberté » ne renferme aucun résultat spécial ni de l’expérience spirituelle, ni de l’expérience naturelle ; mais ce qu’elle renferme est, à mon avis, la première condition de la certitude que l’on tient à établir en ces deux ordres de science. Les exposés de ce livre peuvent parfaitement être admis par ceux qui, pour des raisons dont ils sont les seuls juges, ne veulent rien accepter du résultat de mes investigations spirituelles. Mais pour ceux qui se sentent attirés, au contraire, par ces investigations spirituelles, la tentative faite en cet ouvrage pourra également paraître d’une grande importance ; on a essayé d’y démontrer qu’un examen libre et sincère, s’appliquant uniquement aux deux questions que nous avons signalées ici comme étant la base de toute connaissance, fournit la certitude que la vie de l’homme plonge dans un véritable monde spirituel. Ce livre tente de légitimer la connaissance du domaine spirituel avant que l’on ait l’accès de ce domaine. Et cette légitimation a été faite de telle manière qu’on n’ait à aucun moment, en lisant ce livre, le besoin de justifier ce qui s’y trouve en y raccordant les expériences dont j’ai donné communication plus tard ; pour admettre ce qui est dit ici, il suffit que l’on puisse, ou que l’on veuille bien entrer dans la méthode même selon laquelle ces considérations ont été conçues. Ce livre me paraît donc, d’un côté, occuper une place tout à fait à part de mes écrits de science spirituelle ; d’un autre côté, il leur est étroitement lié. Toutes ces raisons m’ont amené à publier maintenant, après vingt - cinq années, cette nouvelle édition dont le texte ne diffère presque pas de la première. J’ai seulement ajouté des appendices à certains de mes chapitres. Car la compréhension erronée de ce que j’avais écrit m’avait averti de la nécessité de ces explications supplémentaires. Je n’ai changé mon texte que lorsqu’il m’a semblé, aujourd’hui, avoir exprimé maladroitement ce que je voulais dire il y a un quart de siècle (il faudrait être bien mal intentionné pour déduire de ces corrections que j’aie altéré en quoi que ce soit mes convictions premières). Cet ouvrage est épuisé depuis de nombreuses années. Quoique, comme il ressort de ce que je viens de dire, il me paraisse extrêmement utile d’exprimer aujourd’hui encore ce que j’ai dit il y a vingt - cinq ans de ces questions fondamentales, j’ai longtemps hésité à livrer au public cette nouvelle édition. Je me demandais constamment si je ne devais pas, dans tel ou tel passage, discuter les innombrables conceptions philosophiques qui sont apparues depuis la première édition de mon livre. Mais, accaparé par mes recherches purement spirituelles, j’ai été empêché de le faire comme je l’aurais souhaité. D’ailleurs je me suis convaincu, par un examen aussi sérieux que possible des travaux philosophiques contemporains, que, si séduisante qu’eût été une telle discussion en soi, elle n’avait rien à faire avec les intentions véritables de ce livre. J’ai exposé, d’un point de vue analogue à celui de cette « Philosophie de la Liberté », tout ce qu’il m’a paru nécessaire de dire des tendances nouvelles de la philosophie on trouvera cet exposé dans le second volume de mes «  Énigmes de la Philosophie ».

      Avril 1918 RUDOLF STIENER .

      http://anthroposophie.doc.pagesperso-orange.fr/pdf/PhiloLib_RS_GC_1923.pdf

      A moins que votre article doit être prid pour une galéjade au vue du sujet traité ?


      • Fauteur de Paix 31 octobre 2014 05:59

        Sans vouloir non plus provoquer de polémique, votre copier/coller ressemble a un dégueuli. Vous vous permettez bien des remarques sans compter une conclusion insultante, sachant que les seules fois où le texte est de vous il est bardé de fautes d’orthographe. Sachez que j’utilise Charybde et Scylla en connaissance de cause et qu’avant de vouloir lire ce que d’autre en disent il serait bon de correctement lire ce que vous avez déjà sous les yeux. 

        J’ai grand mal a lire ce gros pâté, et même si ma pensée est enfantine ou sous développée au moins elle est un minimum accessible et je m’applique a y mettre une forme.
        Si vous avez des remarques constructives a faire je vous écouterai volontiers mais je me dois de donner une réponse à la hauteur de la votre afin que vous mesuriez à l’avenir vos paroles. La technique du miroir en somme.
        De plus l’expression Charybde ou Scylla est utilisée dans un livre appelé « Les 48 lois du pouvoir » vendu à 2 million d’exemplaire. Si vous lisiez ceux que d’autres en disent avant de me dire quoi faire vous le sauriez. 
        Cordialement.

      • soi même 31 octobre 2014 15:08

        Vous mettez liberté à toute les sauces, en aucun cas vous la définissez clairement, vous êtes un phraseur sans intérêt !

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