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Accueil du site > Tribune Libre > Le communisme et les fameux 100 millions de morts : une manipulation (...)

Le communisme et les fameux 100 millions de morts : une manipulation ?

Il ne s'agit pas ici de contester directement les énoncés du "Livre noir du communisme", des livres et des articles ont déjà été écrit à ce sujet et sont évidemment passés inaperçus, mais de faire parler les historiens eux-mêmes, et il n'est pas nécessaire d'aller au-delà des propres coauteurs de ce livre qui a fait couler beaucoup d'encre.

Nicolas Werth a occupé une place importante dans l'élaboration du livre en tant que spécialiste de l'URSS. Mais sa position ne l'a pas empêché d’émettre de sérieuses critiques et doutes sur les méthodes du directeur d'ouvrage, Stéphane Courtois. Il écrit par exemple : « Le Livre noir du communisme a suscité deux réactions dans les colonnes du Monde (de Lily Marcou le 14 novembre et d'Alain Blum le 18 novembre). Je ne m'attarderai pas sur la première. Avant de me calomnier, Lily Marcou aurait dû commencer tout simplement par lire ma contribution. Elle n'y aurait trouvé ni le chiffre mythique de 20 millions de victimes du communisme en URSS (chiffre avancé p. 14 de l'ouvrage par Stéphane Courtois, de sa propre initiative, et que j'ai, à plusieurs reprises, contesté), ni les prétendues « contradictions » avec les données que j'ai rapportées dans mes ouvrages... [1] ».

L'auteur de la partie soviétique du Livre noir conteste lui-même le fameux chiffre de 20 millions, qu'il estime "mythique", qu'auraient commis Staline en Union Soviétique et avance aujourd'hui pour sa part le chiffre d'« une dizaine de millions » [2], bien moins que le chiffre officiel.

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85 millions de victimes scande le bandeau publicitaire du livre à sa publication ci-dessus, aujourd'hui on est monté définitivement à 100 millions (94 millions pour être exact), cela fait plus vendeur ! Werth et Jean-Louis Margolin avaient effectivement reproché à Courtois son « obsession d'arriver aux 100 millions de morts » [3].

De même le coauteur Jean-Louis Margolin, spécialiste de l'Asie, conteste les comptes de Courtois, pour le Vietnam il écrit qu'il « n'a jamais fait état d'un millions de morts au Vietnam » contrairement aux affirmations du directeur d'ouvrage (Le Monde, 31/10/1997).

Antoinette Wieviorka, directeur de recherche au CNRS, résume : «  Deux auteurs du Livre noir du communisme, Jean-Louis Margolin et Nicolas Werth, dont les contributions donnent la véritable substance à l'ouvrage, ont formellement désapprouvé le texte introductif rédigé par Stéphane Courtois. Ce texte est difficilement admissible, et du point de vue « scientifique », et du point de vue moral » [4]. C'est dans ce texte qu'il faisait un "bilan" des régimes communistes et assimilait le communisme au fascisme. Elle continue : « Pour étayer son propos, il dresse une comparaison de la prise de conscience du génocide juif et de celle du communisme qui n'est qu'un tissu de contrevérités et d'approximations ». Evidemment, comme le souligne Wieviorka, l'objectif était de remplacer la barbarie nazie par le "totalitarisme communiste" dans les mémoires. Et les milliers de victimes de Mussolini - les communistes et les antifascistes italiens assassinés, les Ethiopiens massacrés par l'armée coloniale italienne et les républicains espagnols ne pourront pas répondre à Courtois qui affirme que "le fascisme italien est rarement allé jusqu'au meurtre". Il s'agit évidemment de décriminaliser le fascisme, mussolinien ou hitlérien, pour que le socialisme, la seule alternative, puisse être érigé en grand mal du siècle.

Dans ce contexte on ne peut résister à reciter Thomas Mann, pourtant tout le contraire d'un communiste : « Placer sur le même plan moral le communisme russe et le nazi-fascisme, en tant que tous les deux seraient totalitaires, est dans le meilleur des cas de la superficialité, dans le pire c’est du fascisme. Ceux qui insistent sur cette équivalence peuvent bien se targuer d’être démocrates, en vérité, et au fond de leur cœur, ils sont déjà fascistes ; et à coup sûr ils ne combattront le fascisme qu’en apparence et de façon non sincère, mais réserveront toute leur haine au communisme ».

Une personne ne connaissant rien du communisme, comme c'est certainement le cas de la plupart des gens de nos jours, en lisant ce livre, penserait que Lénine n'était qu'un méchant terroriste et un tyran assoiffé de pouvoir qui n'avait comme seul but que de tuer le plus de monde possible. Du fait de son manque flagrant d'analyses, Alain Blum, spécialiste de l'URSS, qualifie le livre de « cadre réducteur » et même « d'ouvrage qui devient une négation de l'Histoire » (Le Monde, 18/11/1997). Face à cela, Nicolas Werth répond... par l'affirmatif ! En effet il écrit dans Le Monde du 27 novembre 1997 : « La critique de fond que fait Alain Blum du Livre noir pose les véritables enjeux. Sur bien des points – manipulations des chiffres de morts, emploi de formules choc, juxtaposition des histoires pour affirmer le comparatisme, puis l’identité – je souscris entièrement aux critiques formulées par Alain Blum [5] ». C'est également la position de Claude Pennetier, responsable du magistral ouvrage Maitron et coauteur du Siècle des communismes (2000), livre qui se veut plus objectif : « Le Livre noir ne permet pas de comprendre comment fonctionne le système stalinien, il est focalisé sur la dimension criminelle, il a du mal à être dans l'interprétation ou dans l'analyse » (Le Monde, 21/09/2001). Il n'y a aucune remise en contexte, pas d'explications sur le fait que les partis communistes ont presque toujours pris le pouvoir dans des pays très pauvres, avec une industrie absente ou détruite dans un environnement international très hostile (notamment la jeune URSS), et qu'ils ont du construire leur nouvelle société dans ces conditions extrêmement difficiles. C'est pourtant essentiel pour comprendre la suite.

En réalité, et malgré « l'extrême médiatisation » (Werth, 27/11/1997) qui a entouré ce livre, celui-ci n'était pas aussi original et révélateur que l'on dit, l'essentiel des thèses exposées dans le livre ont été tout simplement reprises de recherches passées, en effet comme l'écrivait Wieviorka dans son article déjà cité, par exemple : « Le travail de Jean-Louis Margolin [sur l'Asie] se présente comme une synthèse qui n'est pas fondée sur des archives mais reprend des travaux antérieurs ». Et les "travaux antérieurs" sont bien souvent peu soupçonnables d'objectivité, par exemple sur la partie consacrée à la Chine 130 références de bas de pages indiquent les sources, parmi ceux-là Jean Pasqualini vétéran "prisonnier de Mao" (le titre d'un de ses livres), cité à 30 reprises, ou encore Jean-Marie Domenach, "spécialiste en anti-chinoiserie à Sciences-po de Paris" [6] (40 fois)...

Dans un article du Monde daté du 14 novembre 1997, Nicolas Werth et Jean-Louis Margolin résument les principaux points mis en cause du chapitre introductif de Courtois par la moitié des co-auteurs : « la centralité du crime de masse dans les pratiques répressives des communismes au pouvoir ; l'assimilation entre doctrine communiste et mise en application de celle-ci, ce qui fait remonter le crime jusqu'au cœur même de l'idéologie communiste ; l'affirmation qui en découle de la grande similitude du nazisme et du communisme, tous deux intrinsèquement criminels dans leur fondement même ; un chiffrage des victimes du communisme abusif, non clarifié (85 millions ? 95 ? 100 ?), non justifié, et contredisant formellement les résultats des coauteurs [du Livre noir] sur l'URSS, l'Asie et l'Europe de l'Est (de leurs études, on peut tirer une « fourchette » globale allant de 65 à 93 millions ; la moyenne 79 millions n'a de valeur que purement indicative) ».

La moyenne estimée par ces historiens bourgeois du Livre noir du communisme, non-pris en compte par Courtois aveuglé par son anticommunisme fanatique, serait de "79 millions", ce chiffre est encore surestimé, en réalité le chiffrage exact est assez difficile à réaliser, il a pour but de masquer les faits réels et d'asseoir une comparaison totalement minable avec le nazisme, ainsi il n'y aurait plus d'alternative à ce système de cynisme et de guerres qui conduit chaque jour un peu plus à l'écroulement social, aux problèmes écologiques et aux instabilités économiques. Mais si "par malheur" il y en aurait une, alors ce serait la Terreur, le goulag, le totalitarisme ! Voilà où veut en venir le Livre noir du communisme.

En effet Courtois insiste sur le "lien direct" entre la doctrine marxiste et le crime, hors pour démonter cette absurdité il est inutile d'aller plus loin que ses propres collaborateurs : "le lien entre doctrine et pratique n'est pas évident, contrairement à ce que dit Stéphane Courtois » (Margolin, Le Monde, 31/10/1997).

Même les méthode de compte sont erronés, abusifs, sans esprit critique. La guerre civile russe, la famine de 1921 et celle du début des années 1930 sont des "crimes du communisme" et seraient entièrement la faute des bolcheviks, ce qui est trop simpliste ou faux. Plus largement la plupart des morts comptabilisés sont dus à la disette/famine, pour des raisons diverses, et ne constituent pas des victimes directes. La guerre de Corée est également un "crime du communisme" car elle a été déclenché par le Nord (en réaction au massacre de centaines de milliers de communistes intervenus juste avant (notamment les massacres de la ligue Bodo et de Jeju), mais cela n'intéresse pas nos spécialistes bourgeois), on serait alors en droit de se demander quel est le rapport avec l'idéologie communiste ? De l'autre côté on ne met bien évidemment jamais les interventions militaires et les guerres menées par les pays occidentaux sur le compte du capitalisme et de l'idéologie libérale...

Alexandre Soljenitsyne, célèbre dissident soviétique qui avait passé de longues années au goulag, parlait en son temps de 66 millions de morts rien que pour le "stalinisme" [7]. Aujourd'hui ce chiffre peut faire sourire mais cela montre bien que la bêtise anticommuniste n'a pas de limite...

Mais il est vrai que ce chiffre de "100 millions" que nos anticommunistes utilisent comme un slogan, et c'est justement ce que voulait Courtois, est très pratique pour eux qui ont vivement besoin de propagandistes professionnels pour "penser" et répandre leur haine viscérale du socialisme à travers quelques chiffres derrière lesquels ils ne cessent de se cacher, bien qu'au fond ils s'en fichent totalement, tout simplement car ils n'ont pas d'arguments viables à donner. Laissons les faire, il arrivera un moment on l'on en rigolera...

On reproche sans arrêt aux communistes les "crimes du passé" mais qui, par exemple, reproche aux catholiques l'Inquisition, tous les crimes des monarchies chrétiennes ? Qui reproche aux américains les centaines de milliers de morts à Nagasaki et à Hiroshima en 1945, contre un pays déjà à genoux ? Absolument personne. Deux poids deux mesures.

Si on ne peut s'empêcher de reprocher aux communistes "leurs crimes historiques", qu'attend-on pour reprocher au FN nationaliste les millions de morts du nationalisme hitlérien et mussolinien, qu'attend-on pour reprocher aux partis "de droite" et à la classe dominante d'avoir massivement soutenu ces derniers ? Qu'attend-on pour demander des comptes au PS et à la droite pour leur collaboration active avec l'occupant nazi ? Alors qu'on nous casse les pieds avec la "collaboration" du PCF, LE parti de la résistance, des premiers mois d'occupation pour légaliser l'Humanité (donc rien de concret ou d'idéologique)... Reproche t-on à la gauche et à la droite d'avoir soutenu et œuvré pour la colonisation ? Au PS d'avoir mené la guerre coloniale en Algérie et le meurtre de centaines de milliers d'algériens ? Reproche t-on aux Etats capitalistes les guerres qu'ils ont provoqué ? Reproche-t-on à tous les capitalistes le bon million de morts de Suharto, les milliers de Pinochet ou d'Evren, tous commis au nom de l'anticommunisme ? Reproche-t-on aux capitalistes la famine et la mal-nutrition faisant 35 millions de morts chaque année (Jean Ziegler) alors que l'on a assez pour nourrir tout le monde, la misère et la famine dans un monde de surproduction portant bien la marque du capitalisme ? En 2003 l'ONU écrivait dans un rapport qu'éradiquer la faim dans le monde ne coûterait pas plus qu'un mois d'occupation d'Irak [8], comme l'a dit Jean Ziegler : "Un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné" [9]. Reproche-t-on au capitalisme ses 100 millions de morts du siècle dernier dénombrés par les auteurs du Livre noir du capitalisme ? Non bien sûr, cela ne marche que pour le vilain communisme ! La vérité est que même si les communistes auraient tués 100 millions de personnes, il est navrant de constater qu'ils seraient encore loin du capitalisme.

 

Notes

[1] : Nicolas Werth, Le Monde, 27 novembre 1997. Cité par Daniel Bensaïd dans Qui est le Juge : Pour en finir avec le tribunal de l'Histoire (1999). Et disponible en intégralité ici
[2] Nicolas Werth, interviewé dans le documentaire L’Atlantide, une histoire du communisme diffusé sur France 2 en mars 2011 et disponible en intégralité sur Dailymotion
[3] : Cité dans l'Humanité, 07/11/1997
[4] : Antoinette Wieviorka, Le Monde, 27 novembre 1997, disponible ici
[5] : Nicolas Werth, Le Monde, 27 novembre 1997, disponible ici
[6] : http://editions-proletariennes.fr/page44.htm
[7] : Alain de Benoist, Communisme et nazisme, édition du Labyrinthe, 1998, p. 16
[8] : http://www.deboutcongolais.info/international-10.html
[9] : http://www.spiritisme.com/2012/05/entretien-avec-jean-ziegler-par-jacques-peccatte

Source : https://progreshumain.wordpress.com/2014/11/15/lhistoire-contre-le-livre-noir-du-communisme-le-communisme-et-les-100-millions-de-morts/


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250 réactions à cet article    


  • César Castique César Castique 2 février 2015 10:10

    "« Placer sur le même plan moral le communisme russe et le nazi-fascisme, en tant que tous les deux seraient totalitaires, est dans le meilleur des cas de la superficialité, dans le pire c’est du fascisme. Ceux qui insistent sur cette équivalence peuvent bien se targuer d’être démocrates, en vérité, et au fond de leur cœur, ils sont déjà fascistes ; et à coup sûr ils ne combattront le fascisme qu’en apparence et de façon non sincère, mais réserveront toute leur haine au communisme  ».


    C’est son point de vue à c’t’Homme-là. 

    N’empêche qu’on peut tout à fait mettre sur le même plan deux systèmes qui assument la mise à mort de millions de personnes, dans le but de faire le bonheur des survivants. Et je ne vois rien de fasciste dans ce constat. 

    • soi même 2 février 2015 15:36

      Le communiste est la plus grande imposture de l’humanité et ceux qui s’élèvent contre se fait sont complices tacitement de tous leurs crimes !


    • soi même 2 février 2015 16:31

      Ett pour faire plaisir à l’auteur je rajoute le nazisme, le fachisme, le capitalisme,l’américanisme le sioniste, le nationalisme et tous les ismes que l’on utilise comme cache sexe pour légitimé la cruauté !


    • eric 2 février 2015 18:18

      En réalité le communisme est bien pire que le fascisme sur le plan théorique et pratique.

      Dans les deux cas, on a affaire à des abominations de type socialiste, avec régression de la société civile sous contrôle de l’état, enrégimentement, totalitarisme, économie très contrôlée voir étatisée etc...

      Dans les deux cas, la terreur et les massacres de masse permettent de défendre de renforcer et de justifier le système.

      Tous les régimes violents livrent des minorités en pâture aux angoisses sociales des sociétés en crise.

      Mais le Nazisme est rationnel : il désigne des boucs émissaires limités et qui peuvent faire penser aux masses qu’elles passeront entre les gouttes. En caricaturant, un allemand de base peut vaguement espérer ne pas être défini comme juif. Cela ressemble un peu aux laïques socialisants Turques avec les Arméniens.

      En désignant comme catégories à supprimer des gens aux contours extrêmement flous, le communisme a partout déclenché une guerre de tous contre tous. Tous les récits, toutes les statistiques,les anecdotes mêmes en URSS, en Chine, montrent l’impossibilité de prouver que tu n’es pas un bourgeois, un Koulak, un réac, un ennemi de classe.

      Du reste, il y a eu des luttes à mort pour le pouvoir dans les deux systèmes entre individualités.
      L’éradication assez systématiques entre communistes, la folie meurtrière généralisée non seulement sur les peuples, mais entre eux, au nom de leur propre idéologie, on n’a pas l’équivalent ailleurs.

      Les fachos étaient des salauds, qui recherchaient un minimum d’efficacité. Les socialistes internationalistes eux, étaient clairement, collectivement, des fous meurtriers. Non pas comme individus, mais parce que leurs idées ne pouvaient déboucher que sur cela. Du reste cela est arrivé partout ( Russie, Chine, Éthiopie, etc...).

      Dans les socialismes laïques de type nationalistes, on massacre des « autres », dans le socialisme internationaliste, on massacre tous le monde avec équanimité, en commençant par les siens.

      C’est le côté suicidaire, nihiliste, auto génocidaire du communisme qui en fait quelque chose de réellement effrayant.
      Tuer ses voisins, c’est pas beau. cela c’est vu et se verra.
      Tuer ses voisins et soi même, on manque de mots pour qualifier ce genre d’idées ? Il parait que l’Amok collectif serait un concept qui s’appliquerait bien aux communisme, en particulier dans les périodes de crise.

      Après, le vrai drame, c’est que les résultats concrets sont encore pires même si moins visible et spectaculaire dans le communisme de paix ( voir plus bas).


    • Venceslas Venceslas 2 février 2015 22:25

      20 millions de morts, (et rien que sous la période stalinienne), c’est aussi le calcul que font les deux historiens Michel Heller et Aleksandr Nekrich, remarquablement bien documentés. Les ouvrages sérieux ne manquent pas. Quant à idéaliser le communisme à la sauce russe, bien plus meurtrier que le tsarisme (et je vote à gauche), c’est prouver son inculture. Documentez-vous chez Pasternak, Grossman, pour ne citer que ceux-là, et après, revenez parler. 

      De toute façon, quand bien même le régime soviétique n’aurait fait « que » dix millions de morts, je ne considère par que cela soit un point de détail.
      Pour mémoire, le Dimanche Rouge en a provoqué 5. 000. Et ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. C’est 5.000 morts de trop. Mais par rapport à 20 millions, excusez-moi !!!

    • Aldous Aldous 3 février 2015 08:20

      Bah, y’a des couillons pour croire encore aujourd’hui que c’était le prolétariat qui imposait sa dictature.

      Et les marmottes, elles plient le papier alu...

    • sven 6 septembre 2017 19:21

      @César Castique Il y a quand même un aspect remarquable aux victimes du communisme : Leur nombre décroît au cours du temps. En Urss ; Soljénitsyne 66 millions, Stéphane Courtois 20 millions, Nicolas Werth 10 ou 15 millions, l’ouverture des dossiers de l’URSS tend à montrer moins d’un million...On ne sait pas où ça va s’arrêter ! Ça rappelle étrangement les déclarations du Général Graves, chef du corps expéditionnaire américain en Sibérie en 1919 : contrairement à ce que je lis dans les journaux américains, les blancs commettent au moins cent fois plus d’atrocités que les rouges. Il ajoute d’ailleurs que les blancs fabriquent ainsi des bolchéviques à un rythme soutenu.
      Par ailleurs, ceux qui écrivent sur ces crimes et les condamnent (à juste titre) évitent curieusement des parler des crimes occidentaux. Par exemple, la famine de la « guerre civile » de 1919-22 (en fait une intervention extérieure, sont largement liés à un blocus occidental. On parle de plus de 5 millions de morts ! Faut-il assimiler le président Wilson qui a organisé la politique du blocus alimentaire à une émule de Hitler ? A ce compte là, qui y échappe ? (pour rappel : discours de Wilson au Congrès en 1919) « Il parait impossible d’arrêter militairement la progression du communisme. Il peut être arrêté par la nourriture ».."


    • wesson wesson 13 janvier 2018 13:50

      @César Castique
      Vous serez bien aimable de nous dire à quelle page dans les divers écrits fondamentaux communistes il est question de tuer des gens pour le bonheur des autres.. alors qu’en réalité son idéologie fondamentale est le vivre ensemble. 



    • robert 2 février 2015 10:23

      Puérile bataille autour de chiffres comme si cela était les jeux olympiques. Il faudrait plutôt commencer à dresser le bilan du monde « libre » depuis 1942...


      • eric 2 février 2015 19:43

        Déjà fait. Toujours et partoout, le peuple a jugé. Il a voté avec ses pieds. Tous ceux qui le pouvaient ont fuit vers le « monde libre » et les socialistes ont du construire des murs pour limiter les départs.
        Le peuple a toujours raison non...


      • Aldous Aldous 3 février 2015 08:28

        Le monde « libre » tue chez les autres. En Irak, en Libye, en Ukraine, en Syrie, au Vietnam...


        Et c’est bien pour ça que les gens préfèrent y fermer lâchement leur gueule. (sauf, il faut le reconnaitre, pour le Vietnam)

      • eric 2 février 2015 10:24

        Ce livre est évidemment une manipulation. Il sous évalue terriblement le nombre de victimes du communisme, en particulier en URSS. Et c’est grave.

        Oui il y a sans doute eu un ou deux dizaines de millions de victimes directes du communisme dans cette zone. Mais, entre guerre civile, famines organisées, dékoulakisation, etc..les circonstances étaient un peu exceptionnelles.
        C’est la stagnation brejnevienne qui donne la vraie mesure des méfaits du communisme.

        Période de paix et de stabilité, un des pays les plus riches du monde par ses ressources naturelles, des théories socialistes appliquées systématiquement au moins formellement.

        On arrive au seul exemple mondial de baisse de l’espérance de vie en période paix.

        20 ans de moins que pour des pays « capitalistes » à un moment pour les hommes ( désespoir, alcoolisme, dépression violence, mauvais soins mauvaise alimentations.

        300 millions de soviétiques en 89, un petite moitié d’homme, 20 ans non vécu par tête de pipe en moyenne, espérance de vie descendue à 57 ans. Un tiers de moins que chez nous !
        Des dizaines de millions de vie non vécue sous l’effet concret du socialisme réel.
        La sont le vrai crime et le vrai jugement de ce système.


        • Phoébée 2 février 2015 11:04

          Ne devrait pas être facile d’estimer le nombre de morts, la baisse de l’espérance de vie suscités par la spéculation au quotidien sur des matières alimentaires de base au niveau mondial. Cela s’appelle l’ultra-libéralisme et ressemble comme deux gouttes d’eau aux deux fascismes. Le brun et le rouge.


        • julius 1ER 2 février 2015 11:25

          l’Histoire vue par Eric est celle que les pinguins voient de la ...pollution !!!


        • Alren Alren 2 février 2015 14:34
          D’abord une question : 20 millions, 85 millions, 100 millions de cadavres ! Où sont-ils enterrés ???
          Aucun témoin ne peut nous le dire alors que l’on a retrouvé facilement les corps des officiers polonais massacrés à Katyn ou ceux de la famille du tsar !!! 
          Ou alors quels fours crématoires les a réduits en cendres ???
          Quand on voit l’étendue des cimetières militaires des deux guerres mondiales et le mal qu’ont eu les nazis à brûler leurs victimes des camps d’extermination, il est incroyable qu’aucun document ne fasse état des fours crématoires bolchéviks !

          De plus, une pareille saignée aurait été visible dans la démographie et cela n’a pas été le cas.

          Éric dit que la durée moyenne de vie sous Brejnev était très inférieure à celle de la population de l’ouest de l’Europe. Mais qu’en était-il du temps des tsars avec l’effroyable misère qui régnait, la faim et l’alcoolisme déjà, beaucoup couchant dehors pendant l’hiver russe ? 
          Cette durée de vie est toujours inférieure maintenant que le « communisme » s’est « effondré ».

          Les tsars ont les premiers créé la déportation et les bagnes en Sibérie avec des conditions de vie, de climat qui décimaient déjà les bannis et les forçats dont Dostoïevski ? 
          Depuis longtemps, les Russes avaient compris que la Sibérie était leur Far-West prometteur et qu’il fallait absolument la peupler. De la même façon qu’on envoyait aux galères du temps de Louis XIV les protestants et les braconniers tant on avait besoin de rameurs au vu de la mortalité qui régnaient sur ces bateaux et de la même façon qu’au temps de Louis XV on a envoyé, bon gré mal gré, des hommes et des femmes au Canada et en Louisiane afin d’y créer des richesses pour la métropole.

          Pour maximaliser la mortalité due au « communisme », on lui a attribué les victimes de la guerre « civile » qui a suivi la prise du pouvoir par les bolchéviks. Or cette guerre qui n’était que partiellement civile a été suscitée par les puissances de l’ouest et le Japon qui l’ont soutenue à bout de bras, en armes en hommes et en financement. Un peu à la manière dont « l’Occident » a déclenché les guerres civiles en Irak, en Libye, en Syrie. N’est-il pas responsable des milliers de morts ainsi causées ?
          N’oublions pas que la France a obligé ses mobilisés de l’armée d’Orient, non-volontaires donc, à combattre directement les Rouges (cf. le roman de Roger Vercel, « Capitaine Conan »).
          Le « cordon sanitaire » entourant la jeune URSS équivalent à l’embargo infligé à l’Irak de Saddam Hussein ou à l’Iran n’a pas été pour rien non plus dans la surmortalité russe.

          En déclenchant la Seconde guerre mondiale, Hitler, héraut des droites ouest-européennes avant la guerre (à la notable exception de Churchill qui craignait un déséquilibre européen en faveur de l’Allemagne au détriment du Royaume-Uni), a causé la mort de 60 000 millions d’être humains.
          Il fallait absolument, absolument, que les communistes en aient tué davantage !

          D’où les chiffres fantaisistes et variables qui sont avancés notamment par le Front National, chiffres qui sont rejetés par tous les historiens sérieux. 

        • Hétérodoxe 2 février 2015 14:39

          "Période de paix et de stabilité, un des pays les plus riches du monde par ses ressources naturelles, des théories socialistes appliquées systématiquement au moins formellement."
          @ Eric

          Que penser du bilan de 25 années de guerre civile au Zaïre/RDC ?? 5 ? 10 millions de morts ?

          Pour te paraphraser : Période de paix et de stabilité (pour toi et ton nombril), l’un des pays les plus riches du monde en ressources diverses, des théories ultralibérales appliquées systématiquement ... pour que ton téléphone puisse ne pas te couter cher et rapporter des milliards au duo Samsung-Apple.


        • Phoébée 2 février 2015 15:16

          @Alren

          ’Ou alors quels fours crématoires les a réduits en cendres ???’

          J’irai jusqu’à dire quelles chambres à gaz les a réduits en combustible pour fours crématoires ???


        • eric 2 février 2015 16:26

          Phoebe, effectivement ce ne devrait pas être facile puisque l’espérance de vie a augmenté partout hors monde communiste et le plus souvent, d’autant plus que les régimes étaient plus libéraux.


        • eric 2 février 2015 17:48

          Aux autres, si j’étais à gauche, je dirai « votre révisionnisme négationnisme répugnant et nauséabond me donne envie de vomir »

          Mais comme je vote à droite, c’est à dire ne suis que paix, amour, humanisme et dialogue, je vous dirai comme notre seigneur Jésus Christ à Thomas en lui proposant de mettre ses mains dans ses plaies :

          Prenez le bateau entre Moscou et Saratov : sur le canal mosckva volga, on voit les ossements et les cranes des ZEKS qui sont morts en le construisant dépasser des berges. C’est un exemple.

          La tranchée démographique produit par le communisme violent se voit très bien dans les stat. démographiques soviétiques en comparant avant que Staline ne les interdisent en tuant tous ses principaux démographes, et quand il y a eu à nouveau publication ( voir notamment Alain Blum justement).

          La catastrophe Brejnev, celle du socialisme réel en temps de paix est lisible directement.

          A hétérodoxe, qualifier une période de guerre civile de temps de paix et de stabilité m’incite a ne pas même tenter de vous répondre. On parle pas le même français.


        • Agafia Agafia 2 février 2015 19:14

          Bonsoir


          Eric n’a pas tort sur un point. Il suffit de se promener dans les alentours des grands camps du Goulag, qui couvraient un territoire immense du Nord au Sud et de l’Ouest à l’Est, ou dans certains coins de la taïga pour voir affleurer les os et les cranes des Ze-Ka.
          Relisez Chalamov sur ces cadavres sans tombeau que rejette la terre à chaque dégel.

          Nombreux sont les russes vivant à proximité des anciens camps et possédant un potager, et qui en le bêchant chaque année remontent des morceaux squelettes à la surface. En général, ils vont l’enterrer un peu plus loin. Que faire d’autre ? Il est impossible de les identifier. 

          Mais j’ai envie de rappeler à Eric que l’espérance de vie des hommes russes a fortement baissé depuis les années de plomb, c’est à dire les années 90, sous la présidence de Eltsine.

        • eric 2 février 2015 19:50

          Vous dites cela parce que sans doute, vous n’avez pas du étudier la démographie. L’espérance est un indicateur qui contient des tas de trucs (par exemple et en particulier les mortalités natales néo natales et post néonatales qui ont une influence déterminante et reflète l’état sanitaire et social d’un pays) et se construit sur le long terme.
          Par ailleurs c’est déjà en 76 qu’Emmanuel Todd constate dans la démographie soviétique les stigmates de la stagnation et du déclin à venir.


        • CN46400 CN46400 2 février 2015 20:27

          Tout n’est pas faux dans vos explications mais à qui doit-on les même phénomènes (baisse espérance de vie et hausse de la mortalité infantile) que l’ont constate aujourd’hui en Grèce ?


        • eric 2 février 2015 21:16

          http://data.lesechos.fr/pays-indicateur/grece/esperance-de-vie-a-la-naissance.html
          Je pourrai vous répondre que de 1993 à 2012 si on compte la période d’union, il ne s’est passé que deux ans sans socialistes au pouvoir...
          Mais en fait ce sont des sujets sérieux. la Grèce à un espérance de vie en tendance un peu supérieure à la moyenne OCDE, à part cela je ne sais rien de leur démographie, ni d’ailleurs d’une baisse de l’espérance. Je m’en voudrai d’affirmer n’importe quoi sans connaitre.


        • julius 1ER 3 février 2015 14:46

          et dire que çà existe encore les « cons » nourris au biberon de Paris-Match et Jours de France !!!!!!


        • eric 4 février 2015 09:30

          Eh oui, c’est une des caractéristiques des pensées socialistes...un conservatisme aigu, une incapacité à vivre dans son temps et à comprendre son environnement, la projection sur les périodes contemporaines de schémas déjà dépassés à l’époque où ils ont été commis.. ;De même que les plus purs voient le monde comme en 1847, julius réfléchit en fonction de catégories d’il y a 25 ans ! De façon amusantes, il fait référence à un titre de presse qui a disparu il y a 25 ans (!), à peu prêt à la même époque que l’URSS.....


        • Le p’tit Charles 2 février 2015 10:24

          A l’ouverture des archives de feu le KGB..les historiens dénombrèrent entre 23et 29 millions d’assassinats sous Staline...Comme dirait l’autre..c’est écrit noir sur blanc.. !


          • CN46400 CN46400 2 février 2015 12:12

            Exactement 790 000 durant la terreur 37-38 (Association du Mémorial). On est loin de vos chiffres. Reste qu’il n’y en aurait eu qu’un seul que c’est déjà trop.


              En fait il suffit de connaitre le but recherché par le régime stalinien pour évaluer l’étendue du pb. Ayant, pour accumuler le capital primitif nécessaire à l’industrialisation de l’URSS, refusé de convoquer le capital étranger, et bien que les moyens financiers soient insuffisants, il fût décidé, à partir de 1927 (fin de la NEP) d’avoir recours au travail gratuit, volontaire ou forcé. Dans ce cadre les crimes ne servent qu’à terroriser pour faire avancer la mécanique. S’ils sont trop nombreux ils tendent à comprimer la force de travail disponible, ce qui est l’inverse du but poursuivi. Voilà pourquoi les chiffres de Courtois sont fantaisistes. 
               En fait Courtois, et d’autres, obsédés par leur désir d’assimiler Staline à Hitler ont refusé de noter que les buts poursuivis par les deux dictateurs étaient totalement différents. Un, Hitler, voulait éradiquer de la Terre des peuples catalogués par lui comme parasitaires et adoptait des moyens adaptés à cet objectif( industrialisation de la mort). L’autre, Staline, obsédé par par le retard industriel de son pays sur les empires capitalistes, a cru pouvoir le combler rapidement en utilisant le travail forcé. Pour lui, cette solution n’était pas pire que celle qui a présidé à la constitution primitive du capitalisme occidental qu’on peut lire chez Zola ou Dickens.

          • Aldous Aldous 2 février 2015 14:30

            La réalité est que l’ensemble des Tzars, depuis le 9e siècle, ont fait condamner et emprisonner un nombre infiniment plus petits de gens que les communistes.


            Et il se trouvent encore pour considérer les premiers comme des tyrans et les seconds comme des progressistes.

            On juge un arbre à ses fruits.

          • doslu doslu 2 février 2015 15:40

            ET le livre noir du FN c’est pour quand


          • Aldous Aldous 2 février 2015 15:43

            Oui, partout où il y a eu des régimes athées ça s’est traduit par des génocides.


            C’est pas la faute aux partisans, ils ne comprennent simplement pas la portée de l’athéïsme de la même manière que les dirigeants.

            Un coco de base est aussi chrétien qu’un enfant de coeur. Aimez vous les uns les autres, Il n’y a plus Ni Grec ni Juif, ni homme ni femme, ni riche ni esclave, mais tous sont un... sauf que dans la bible c’est « tous sont un en Jésus Christ. »

            Et le coco de base il croit que le communisme consiste à se débarrasser de Jésus Christ.

            Le dirigeant, lui, il ne se débarrasse pas juste de Jésus Christ, il se débarrasse aussi de l’ethique chrétienne. Fini les « tu ne tueras point », « Tu ne mentiras point »

            Il ment et il tue.

            Et le coco de base il gobe et il nous pond une bafouille pour nous expliqué que non, les dirigeants communistes n’ont pas tué.


            Ha bon ? Et pourquoi ils se seraient gênés ? C’est Darwin qui leur dit d’y aller franco, l’avenir appartient au plus fort. Le nihilisme tue.

          • CN46400 CN46400 2 février 2015 16:45

            @ aldous


              Si on en juge par la nostalgie, Staline bât nettement tous les tzars....

          • Aldous Aldous 2 février 2015 17:26

            la vôtre de nostalgie ?



          • julius 1ER 3 février 2015 14:49

            @CN

            là tu perds ton temps avec des cons comme Eric grand admirateur de Franco et zélateur de ce type de régime !!!!!

          • julius 1ER 3 février 2015 18:11

            @Aldous,


            tu connais la différence entre un chrétien et un communiste ???
            le chrétien dit : tout ce qui est à moi est à vous !!!!
            le communiste dit : tout ce qui est à vous est à moi !!!!
            mais bien sûr, c’est une blague !!!!

          • lsga lsga 3 février 2015 18:12

            le communisme dit : tout ce qui est à vous est à NOUS


          • howahkan Hotah 2 février 2015 10:28

            La pièce de théâtre qui est jouée devant nos yeux ébahis depuis 5000 ans ..comporte 3 rôles principaux...

            le mouton (80%) qui a peur de tout et cherche un abri absolu...le peuple, moi, toi lui, eux etc

            le méchant (7%)qui fait peur aux moutons ( pseudo communistes, pseudo gauche, nazislamistes, les barbus , les arabes et Soral Dieudonné , poutine vu de l’ occident etc etc )

            le sauveur(12%) qui est gentil et vers qui les moutons apeurés vont se retourner pour être sauvés.......( le sauveur peut etre la pseudo gauche, la pseudo droite, l’église, la police, l’armée , la pseudo justice etc...)

            le rôle principal n’est pas attribué il représente environ 1 % ....

            c’est l’auteur de la pièce...

            le 11 janvier est l’exacte description de cette pièce..........ça marche à tous les coups...

            Mais tout ayant une fin en tant que tel !!!

            Cela dit, sœur Anne , je ne sais pas pour vous mais moi :

            « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? »
             « Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie » .

            • Aldous Aldous 2 février 2015 14:32

              Norlal. Aujourd’hui Anne sniffe ce qui poudroie et fume ce qui verdoie.


            • julius 1ER 3 février 2015 19:10

              @howahkan,


              il y a du nouveau !!!! d’après des études sérieuses le nombre de psychopathes serait de 4% dans la société, chiffre qui serait constant donc ceci explique cela !!!

            • Robert GIL Robert GIL 2 février 2015 10:56

              C’est lors d’un de ces nombreux sommets Est-Ouest en pleine guerre froide, qu’un émissaire américain, pour répondre aux soviétiques qui accusaient les « impérialistes de tous les maux », lâcha cette phrase : « Vous n’avez aucune leçon à nous donner, le communisme c’est cent millions de morts ! ». Il aurait pu se contenter de cinquante millions, comme il aurait pu également dire cinq cent millions ou un milliard, mais dans la joute verbale qui l’opposait à son homologue russe, il a dit cent millions. Ce chiffre a jailli comme ça, sans réfléchir, spontanément, et finalement cent millions ça ne sonne pas trop mal ! D’ailleurs ce chiffre a rapidement été repris pour devenir une vérité historique, et un puissant symbole d’anticommunisme primaire.

              Ce chiffre, que l’on n’a pas à justifier, simple, que l’on retient facilement et qui fait froid dans le dos, ouvre la porte à...lire la suite


              • Aldous Aldous 2 février 2015 14:37

                Et les plus primaires ce sont ceux qui y ont survécu, au communisme. 


                Ils sont retourné à l’orthodoxie. C’est les mêmes bons sentiments, avec les morts en moins.


              • Ariane54 Ariane54 2 février 2015 18:48

                @Robert Gil. Merci de votre commentaire.


              • Julien30 Julien30 2 février 2015 11:00

                « Des traits fondamentaux appartiennent et au communisme et au nazisme : culte du chef, parti unique, fusion de l’Etat et du parti, dislocation de la société civile par cet appareil, obligation d’adhérer à l’idéologie du régime, assimilation de la politique à la guerre, mobilisation des masses, propagande permanente, surveillance des esprits, mécanique répressive, exacerbation de la violence, mépris du droit, élimination des élites traditionnelles, embrigadement de la jeunesse, haine des valeurs anciennes et de toute religion. » Jean Sévilla, Le terrorisme intellectuel


                Liste à laquelle je rajouterai : la volonté d’éliminer une partie déterminée de la population.
                 
                Il est vrai il faut vraiment être un fasciste pour comparer nazisme et communisme, hihihihi !!!!!

                • Robert GIL Robert GIL 2 février 2015 11:36

                  C’est vrai que pour confondre les deux faut vraiment etre borné et avoir un certain parti pris :
                  .
                  voir : NAZISME ET COMMUNISME, ATTENTION AUX AMALGAMES !


                • Julien30 Julien30 2 février 2015 11:41

                  Je vous remet, apparemment une fois ne suffit pas (mais je doute qu’avec quelqu’un comme vous 500 fois y suffisent) : 

                   
                  « Des traits fondamentaux appartiennent et au communisme et au nazisme : culte du chef, parti unique, fusion de l’Etat et du parti, dislocation de la société civile par cet appareil, obligation d’adhérer à l’idéologie du régime, assimilation de la politique à la guerre, mobilisation des masses, propagande permanente, surveillance des esprits, mécanique répressive, exacerbation de la violence, mépris du droit, élimination des élites traditionnelles, embrigadement de la jeunesse, haine des valeurs anciennes et de toute religion. »

                  Et élimination d’une partie de la population en fonction de critères raciaux ou sociaux, sans oublier bien sûr la création de l’homme nouveau. Non vous avez entièrement raison, attention aux amalgames !

                • Julien30 Julien30 2 février 2015 11:59

                  Et puis pour des gens qui passent leur temps à traiter tout ceux qui ne pensent pas comme eux de « fasciste » je vous trouve subitement étrangement subtile et chipoteur...


                • Robert GIL Robert GIL 2 février 2015 12:08

                  effectivement, traiter les autres de fascistes est contreproductif, pas la peine d’enfoncer des protes ouvertes, la bonne solutions est d’analyser objectivement les faits. La propagande occidentale s’est accaparée le stalinisme, le maoïsme avec hystérie et n’a pas laissé la place à l’intelligence, la raison ni l’analyse. On a immédiatement joué de l’émotionnel pour que les éventuels révolutionnaires soient à tout jamais découragés et dégoûtés.
                  Cependant, on ne peut que constater une chose : l’URSS s’est effondrée. Le capitalisme a triomphé. 1991 n’est pas le point de départ de la victoire du capitalisme. Mais son point d’arrivée. De 17 à 91, communisme et capitalisme se sont opposés en URSS. Alors, les crimes dont on parle, étaient-ils communistes ou capitalistes ? Toujours est-il qu’ils étaient bel et bien à mettre sur le compte de la lutte des classes... et lire la suite


                • CN46400 CN46400 2 février 2015 12:18

                  « Des traits fondamentaux..... » On peut, sans beaucoup se forcer, trouver des correspondances dans toutes nos chères démocraties occidentales... peut-on pour autant les assimiler au Nazisme ?


                    En fait, pour y voir plus clair, il faut analyser les buts poursuivis !

                • soi même 2 février 2015 12:21

                  Non vous avez entièrement raison, attention aux amalgames !

                  J’en rajoute une couche dans le même sens, chipoté sur tel chiffre est bien sur un non sens, car il est évident avec toute les belles pratiques que le communisme à mis en place, qu’il est aussi ubuesque d’annoncer un chiffre à la louche que de contesté ce chiffre  !

                  Dernièrement j’ai lue un lire de Suvorov Victor - Le brise glace, il est évident que ceux qui tiennes aux mythes et légendes du communiste vont élever la la voix contre c’est ouvrage, il y a de quoi, car ce qui révèle se livre n’a rien d’enchanteur et brise encore une fois cette image d’Épinal du communisme comme étant un mouvement profondément humaniste ! 


                • julius 1ER 2 février 2015 17:09

                   guerre, mobilisation des masses, propagande permanente, surveillance des esprits, mécanique répressive, exacerbation de la violence, mépris du droit, élimination des élites traditionnelles, embrigadement de la jeunesse, haine des valeurs anciennes et de toute religion. »

                  @julien, 
                  t’es en train de décrire la vie dans les banlieues pourries ..... en France

                • julius 1ER 2 février 2015 17:34

                  pour ceux qui essaient d’analyser au delà des mots et des apparences le combat est ...............entre le Capitalisme essentiellement privé et le capitalisme monopoliste d’état .........et là on peut dire que l’ex URSS qui s’appuyait sur ce type de Capitalisme d’état a perdu ........ mais le problème c’est que le Capitalisme monopoliste privé qui a semblé l’emporter est à l’agonie car victime de ses propres contradictions dont la première est qu’il phagocyte toute l’économie ce qui est l’antithèse d’un capitalisme ouvert et concurrenciel et exactement à l’opposé si je puis dire........



                • Erdal 2 février 2015 21:13

                  Il peut peut effectivement y avoir des similitudes sur ces points (propagande, répression...) mais n’essayez pas de camoufler les différences idéologiques et politiques qui font que les deux sont incomparables. Et de toute façon quelles démocraties n’ont pas utilisé ces méthodes, avec la manière douce évidemment, qui est finalement plus efficace ? Que ce soit la surveillance de toute la population ou l’abrutissement idéologique des médias... 


                • Aldous Aldous 3 février 2015 08:31

                  C’est bien le problème. Et ça ne justifie pas que les communistes l’ait fait.


                • julius 1ER 3 février 2015 17:26

                  @R Gil,


                  très bon article sur conscience citoyenne, merci pour le lien.

                • antyreac 2 février 2015 11:18

                  La vérité est que le communisme a fait sans doute plus de victimes que 100 millions de morts qui est sans doute l’estimation basse du nombre des victimes


                  30 millions en urss
                  etre 60 et 70 millions en chine
                  3à 5millions en corée du nord
                  2 à 3 millions en Cambidge
                  2 à 3 millions en Etiopie
                  2à 3 millions dans les autres démocraties populaires

                  • Robert GIL Robert GIL 2 février 2015 12:12

                    pas Cambidge, mais Cambodge je presume. Alors pour ne pas mourrir idiot et lire autre chose que la pensée dominante et la propagande mediatique :
                    .
                    voir : CAMBODGE ET KHMERS ROUGES … ou comment l’occident réécrit l’histoire


                  • soi même 2 février 2015 12:35

                    @ Robert réécrire l’Histoire, c’est un reproche de t’as par hautement conique, si il y avait pas derrières tous ces cortèges de morts, victime du communisme, d’ailleurs ce mouvent était tellement cannibale, il n’a pas existé à sacrifier leurs propres militants !

                    Quand à croire a la véracité du travail communisme sur l’exactitude de l’histoire est tous simplement la plus grande tromperie de tous les temps !

                    Au je sais tu te réfère à Marx comme excuse, et tu oublies les enfants qu’a produit cette idéologie, d’ailleurs t’es pas crédible dans ton dénis en de désolidarisant des autres qui non rien compris à Marx !


                  • Aldous Aldous 2 février 2015 14:51

                    Quel rapport entre les Khmer rouges et les Islamistes ?



                    Une photo pour aider :


                  • soi même 2 février 2015 15:26

                    @ Robert, explique à tous tes lecteurs que fessait le grand Thorez à Moscou en 40 ?


                  • Erdal 2 février 2015 21:15

                    30 millions de morts en URSS... on n’utilise plus vraiment ce chiffre au moins depuis l’ouverture des archives.


                    En réalité les historiens du Livre noir du communisme, réputés plus sérieux, trouvent « 79 millions de morts » en moyenne comme l’a fait remarquer Nicolas Werth (voir l’article), c’est Stéphane Courtois qui a ensuite manipulé les chiffres. C’est triste... 

                  • Aldous Aldous 3 février 2015 08:06

                    Ca change quoi que ce soit 30 ou 79 ? A partir de combien on peur dire que c’etait un regime chouette ? 


                  • julius 1ER 3 février 2015 14:56

                    2 à 3 millions en Cambidge


                    @antireac
                     tu voulais dire Cambridge, mais là-bas ce sont des étudiants !!!!! je ne savais pas qu’il y avait eu autant de morts là- bas............... si maintenant étudier tue, où va t’on ma bonne dame !!!!!!!

                  • Rmanal 2 février 2015 11:22

                    Effectivement faire une bataille de chiffre c’est juste stupide. A quoi ça sert de comparer 10 millions à 12 millions de mort ? Dans les deux cas c’est inacceptable.
                    Il faudrait mieux faire le détail du pourquoi on associe aujourd’hui Communisme avec l’URSS, et enfin couper les ponts entre les deux. Si Marx était vivant, je ne suis pas sûr qu’il aurait beaucoup aimé l’URSS et Staline. Et c’est bien là la faute des Communistes Français, c’est de rester pour une part toujours accrocher à ce mythe de la Russie, et pour les progressistes à continuer à s’appeler Communiste sans avoir clairement dénoncé toute cette période et la dictature du prolétariat.
                    Maintenant il est clair que la différence majeure entre les Communistes et les Fascistes, c’est d’un côté de vouloir œuvrer pour la paix et construire un monde tous ensemble (ce qui n’a pas été le cas un URSS, en Chine ou à Cuba, on est d’accord, pas besoin de revenir dessus), de l’autre de rester dans la haine des communautés pour construire un monde avec un groupe gagnant et les autres perdants. En terme de moral et d’humanisme, cela fait effectivement une grosse différence.


                    • Erdal 2 février 2015 21:21

                      Une guerre des chiffres c’est effectivement stupide, mais on n’en serait pas là si Courtois, contre ses propres coauteurs, n’avait pas « manipulé les chiffres de morts » (Werth).


                      Sinon, il faut admettre que l’URSS a été une tentative d’application du communisme, au moins jusqu’à Staline, après lui les dirigeants avaient perdus l’objectif de socialisme et de communisme. C’était juste que les conditions de la Russie de l’époque étaient tellement compliqués que le socialisme ne pouvait pas être installé complètement tout de suite. 

                    • Aldous Aldous 3 février 2015 08:09

                      la révolution bolchevique a été d’abord et avant tout inoculée par l’Allemagne pour se débarrasser du front de l’est pendant la 1 ere guerre mondiale.


                      C’est une arme de guerre.

                    • julius 1ER 3 février 2015 18:29

                      cette guerre des chiffres c’est juste de la propagande d’extrème-droite pour dézinguer l’idée même du communisme .... because There must be no alternative...... dixit M Thatcher !!!

                      la plupart des chiffres sont farfelus, alors que l’on a même pas réussi à chiffrer le nombre de victimes du nazisme , on a des chiffres très précis du nombre de victimes du communisme et sous le vocable communisme on englobe tout , les morts de la 2ie guerre mondiale en URSS deviennent des victimes du communisme, ceux de la 1iere aussi ainsi que les victimes de la guerre civile qui a duré plus de 5 ans mais bon c’est comme dans le cochon tout est bon du moment que çà frappe bien les esprits c’est pour çà que 100 millions c’est un chiffre qui « pète » bien........
                      mais la réalité ne correspond pas du tout à ces chiffres et les archives staliniennes comme le souligne CN ne corroborent pas ces chiffres monstrueux mais çà c’est un détail puisque le but est de discréditer totalement l’idée même de communisme....... mais çà c’est déjà une autre histoire !!

                    • julius 1ER 3 février 2015 18:37

                      @aldous, 


                      çà c’est l’argument le plus crétin qu’on puisse imaginer !!!! la preuve en est que il y avait déjà eu une révolution en 1905 alors trois révolutions en 12 ans...... juste pour obéir au Kaiser....il faut s’appeler Aldous pour sortir ce genre de conneries !!!!!
                      tu devrais retourner à tes bondieuseries et pas polluer l’espace intellectuel !!!

                    • Gabriel Gabriel 2 février 2015 11:24

                      Bof devant l’immensité de l’horreur, nous n’en sommes plus à un millions près. De Staline en passant par Mao, Pol Pot et consœur… Il faut dire que dans le camps adverse, côté capitaliste, ils ne font pas mal non plus. 60 millions d’indiens massacrés, des pays envahis au nom d’une pseudo démocratie, un continent africain pillé où des populations entières crèvent pour que ces messieurs de Wall street ou de la City fassent des bénéfices. Bilan, un partout balle au centre. Les salauds, quel que soient leurs bords n’ont qu’un objectif, pouvoir et argent. Pour cela, ils se servent de mots tel que : Communisme, socialisme, capitalisme, libéralisme, islamisme, judaïsme, christianisme ect… Il faut se méfier des mots en isme car ils génèrent à chaque fois un séisme...


                      • antyreac 2 février 2015 11:28

                        Reproche-t-on aux capitalistes la famine et la mal-nutrition faisant 35 millions de morts chaque année (Jean Ziegler)


                        Le capitalisme n’est pas une idéologie mais fait partie de l’économie alors due le communisme est une idéologie qui demande expressément l’élimination d’une partie de population 

                        • Laulau Laulau 2 février 2015 11:48

                          Et l’idéologie que porte le capitalisme ça ne serait pas le libéralisme économique ?
                          « Le capitalisme fait partie de l’économie » ... capitaliste. Mais encore ?Du moment que c’est de l’économie ça ne tue pas, ou quand ça tue, ça ne compte pas ?
                          Vous partez en brioche !


                        • Rmanal 2 février 2015 11:51

                          « Le capitalisme n’est pas une idéologie ».
                          Vous deviez hiberner ces dernières années. Depuis Smith les théories économiques sont des idéologies sociétales. Va falloir reprendre l’école.


                        • CN46400 CN46400 2 février 2015 12:51

                          « le capitalisme n’est pas une idéologie.... » Faut vous réveiller, Adam Schmit et consort, et les quatres abonnés de chez Calvi chaque soir, c’est quoi ?


                            Par contre le communisme, selon Marx, c’est une société sans police, ni armée, donc sans état. Je vois mal la correspondance avec l’URSS ou un quelconque état récent sur cette terre ! 

                        • soi même 2 février 2015 14:38

                          @] tonimarus45 je vais pas tortiller du cul devant tes affirmations, les faits parle d’eux mêmes !

                          http://voyages.ideoz.fr/holodomor-ukraine-urss-histoire-ukrainienne/


                          Le culte de Lénine, vital pour masquer ses crimes, ses échecs et sa faillite. Des armées de fonctionnaires du PCUS, du Komintern, de la Tcheka, la presse et l’édition soviétique avec des millions d’« idiots utiles » répandent l’évangile bolchévique, Moscou présentée comme une nouvelle Jérusalem, un tissus épais et large de mensonges servant de masque à Lénine, meurtrier de masse, anti-ouvrier, anti-paysan, anti-soviet et anti-russe, psychopathe cruel n’hésitant jamais à proférer les promesses qui rendent les fous joyeux, tout en sachant qu’elles ne seront jamais tenues. La conséquence des mensonges, une répression quotidienne passant par des paroxysmes pour terroriser le peuple, dont une partie n’est pas dupe du maître en belles promesses. Car, la propagande, le désinformation, le conditionnement et le lavage de cerveau, n’arrivent jamais à anhiler totalement une population. Il demeure toujours quelque individus réfractèrent, dont la simple existence peut mettre en péril le régime communiste ; d’où cette « chasse aux sorcières » permanente qui a sert de diversion et de terrorisme intellectuel pour empêcher l’horrible réalité bolchévique d’être connue.

                          Lénine : un bilan humain, économique, culturelle catastrophique

                          On est bien loin des cérémonies délirantes présidant à l’embaumement de la dépouille de Lénine avec la lutte à couteaux tirés pour s’emparer de son pouvoir absolu sur la Russie et le Komintern. 80 ans plus tard, parmi les média francophones, seul FranceInter (2000 ans d’Histoire) et Arte, organes officiels de propagande socialiste payés par le contribuable français, ont marqués le coup, débitant toujours les mêmes mensonges.

                          (1) La « grande révolution d’octobre » ne fut qu’un coup d’état contre un gouvernement et une assemblée constituante légitimes. St-Petersbourg prise par des commandos payés au moyen de l’argent du Kaiser, un bande d’assassins se constituent en un soi-disant comité des commissaires du peuples qui va imposer dans le sang et dans les larmes son pouvoir provoquant la misère et le désarroi de 150 millions de Russes. En décembre, il rend officiel le gang d’espions et de tueurs à la solde des bolcheviks sous le nom ronflant et mensonger de Tchéka. En janvier, Lénine use de la force pour empêcher de siéger l’assemblée constituante composée de députés régulièrement élus et représentants le peuple, politiciens pourchassés et terrorisés suite à de nombreux assassinats organisés et effectués par des hommes de mains. Comme les Bolcheviks y étaient très minoritaire, Lénine agit pour les dissoudre. Dès le départ, les Bolcheviks ne représentaient donc pas le peuple. Quand un commando, les armes à la main, prend le pouvoir par la force contre les élus du peuple, cela s’appelle du fascisme. C’est ainsi que Mussolini procédera 5 ans plus tard : des hommes armés menacent un gouvernement légitime.

                          (2) Le slogan en 1917 de Lénine « la paix et la terre » se traduisit par la guerre civile déclenchée par Lénine et les réquisitions par la force. Ce mot d’ordre n’était qu’une double tromperie consciente de Lénine dont le programme était la déclaration d’une guerre sociale visant à transformer en esclave les survivants. Le coup d’état d’octobre, c’est le déclenchement de la terreur rouge !

                          (3) N’étant plus d’aucune utililité et devenu des foyers d’opposition, les soviets ont été rapidement privés de tout pouvoir. Et pour mettre un terme à ce dernier contre-pouvoir, Lénine donna l’ordre à l’armée rouge de liquider le dernier soviet autonome de Kronstat en mars 1921. C’est Trotski qui s’en chargea : 1’000 fusillés, 10’000 déportés.

                          (4) Staline a trahi. Le rappel de 3 faits démontre l’imposture de cette allégation :

                          • Décembre 1917 : création de la Tchéka sous la main de fer de Félix Dzerjinsky qui n’obéissait qu’aux ordres de Lénine. Officiellement chargée de semer la terreur chez les « contre-révolutionnaires », elle fût surtout, et ceci dès le début, l’instrument de Lénine pour liquider tous ses ennemis y compris dans son propre camp. L’efficacité de la Tchéka dans l’extermination donnait à Lénine un pouvoir contre lequel toute opposition conduisait à la mort. De plus, le 5 avril 1920, lors du IXe congrès, Lénine affirme : « car le bon communiste est aussi un bon tchékiste ».
                          • Décembre 1920 : Lénine impose au moyen du centralisme-démocratique l’interdiction des fractions dans le parti bolchévique. Dès cet instant, grâce à la Tchéka, le secrétaire du bureau politique du comité central du parti bolchévique devenait le nouveau tsar avec des pouvoirs qu’aucun tsar n’a jamais eu. Staline a repris en main l’outil forgé par Lénine, il n’est que le disciple de son maître, appliquant à la lettre le marxisme-léninisme, le programme du Manifeste communiste de 1848, la genèse de l’horreur et de la tromperie..
                          • Les purges ne doivent pas cacher la réalité : les principales victimes en nombre furent les ouvriers, les petits paysans, et les petites gens déportés ou liquidés. Le socialisme, c’est l’épuration sociale.
                          • La famine de 1922 selon rapport de la Tchéka Archives centrales de la Sécurité d’État.

                            « Lénine : Au camarade Müzenberg, secrétaire du Secours ouvrier international », fait partie de l’anthologie de la mauvaise foi et de la falsification, activité coutumière de Vladimir Oulianov, alias Lénine. Cet homme qui est le responsable du déclenchement de la guerre civile ose déplorer les conséquences de son action, à savoir la famine de 1921-22. De plus, il a la mémoire courte car il oublie son action contre l’Eglise orthodoxe de mars 1922 qui détruisit les réseaux d’assistance de cette institution et amplifia ainsi les conséquences de la famine.

                            En fait, en plus de faire croire à sa fausse sollicitude pour les victimes de la famine dont il est responsable, Lénine donne à son acolyte, Willy Müzenberg, des directives pour instrumentaliser le secours au profit de son régime, seule chose qui compte pour le fossoyeur du Printemps démocratique de 1917, car le peuple il s’en fout, comme tous les dirigeants communistes. Flatter les ouvriers, leur faire croire qu’ils seront les rois dans un état socialiste après la révolution, Lénine expert es démagogie et mensonge dès le 1er mai 1904 !

                          Parmi les impostures et les falsifications de l’histoire, le trotskisme, ou plutôt les trotskistes tant il y a de bandes différentes mais ayant un point commun : faire croire que parce que Trotski a été liquidé par Staline, il aurait été un chef évitant l’horreur soviétique ! Sans blague, car durant les années 1917-1925, Troski a autant de sang sur les mains sauf un seul cas ; il n’a pas été impliqué dans l’assassinat de la famille du tsar, le 16 juillet 1918. Mais, pour le reste, la militarisation de l’économie (faire des ouvriers des esclaves entièrement aux mains du parti-état, la terreur, les crimes de guerre, Kronstat, etc autres crimes de masse, difficile de déterminer qui, de Staline et Trotski, est le pire !

                          L’enfer bolchevik à Pétrograd. Sous la Commune et la Terreur rouge. En 1918, le journaliste suisse Roger Vaucher est envoyé en Russie par “L’Illustration” et ses articles seront publiés en 1919 dans le livre “L’enfer bolchevik à Pétrograd. Sous la Commune et la Terreur rouge”. Arrivé à Mourmansk le 18 avril 1818, il quitte la Russie par la Finlande le 17 septembre, heureux car Vaucher avait été arrêté et de plus, les bolcheviks ont mis sur pied un réseau d’informateurs sur les articles publiés en Occident. Les articles de Roger Vaucher montre la réalité du régime qui a enclenché la terreur bien avant l’attentat contre Lénine du 30 août 1918, et qui a provoqué de nombreux drames en prônant la haine de classe, jetant le peuple russe dans la famine et la terreur.

                          Vous excusez les crimes des communistes-socialistes en mettant toujours la faute aux Blancs, aux colonialistes, aux réactionnaires, aux fascismes ou l’impérialisme américain. Bizarre ! cette indulgence complice pour Lénine, Mao, Ho Chi Minh, Castro and Co ! Quant à Staline, on lui met tout sur le dos pour “sauver” les autres. Staline était-il de droite, un super fasciste ?

                          Un livre : Le vrai Lénine selon les archives secrètes du PC de l’URSS

                          Izvestia de 1993 : Les publications d’archives secrètes changent-elles l’idée que nous nous faisons de Lénine ?

                          Lénine : un mythe, une imposture pour mystifier les idiots utiles ; Lénine touché par une maladie vénérienne ou devenu fou en réalisant l’horreur de ses crimes ? Dans le massacre de Kronstat, en mars 1921, Lénine a joué le rôle des Versaillais. Il est alors confronté à sa propre horreur, c’est son apocalypse ! Et tant pis pour les dizaines de millions de victimes ! Lénine a-t-il été empoisonné par un produit élaboré par le « Laboratoire des poisons » qu’il avait créé pour liquider plus ou moins discrètement ses ennemis ?

                          Lénine à Genève

                          Lénine a vécu à plusieurs reprises en Suisse et fit de longs séjours à Genève (1895, 1900, de 1903 à 1905, 1908) totalisant quatre années. Selon la légende, il se tuait au travail mais en fait, il ne se privait jamais de prendre du bon temps comme son excursion en Suisse centrale. Il utilisait souvent le tram pour se rendre à la Société de Lecture (lettre de Lénine, 2e partie) située dans le parc des Bastions, face au mur des Réformateurs. Si seulement un jour, alors qu’il traversait la place Neuve, arrêt du tram face à l’entrée des Bastions, un de ces véhicules électriques l’avait écrasé, la vie de centaines de millions de personnes aurait été épargnées soit parce qu’ils n’auraient pas été ainsi dépouillés, affamés, torturés, déportés ou assassinés, soit parce qu’ils durent, pour sauver leur propre peau, s’exiler ou pire encore, survivre en commettant tant de petites lâchetés ou de grandes saloperies.

                          Genève célèbré encore Lénine. Voilà ce qui arrive quand on accorde stupidement l’asile à n’importe qui. Et la Suisse a aussi accueilli, à bras ouverts, d’autres assassins dont des génocideurs du Rwanda qui s’étaient fait passé pour des victimes. Se faire passer pour une victime, c’est le truc qui marche toujours avec les naïfs, imbéciles et autres idiots utiles.


                          Bas-relief de Paul Baud sur la Tour du Molard

                          Combien de criminels, de la Russie au Rwuanda ont-ils bénéficiés de l’asile politique de la Suisse afin de poursuivre leurs crimes contre l’humanité ou éviter de payer leurs actes criminels ? Mais aujourd’hui, dans un contexte différent, ce sont les trafiquants de drogue et autres dealers qui sont accueillis à bras ouverts !

                          La question de fond : « Comment rester humain dans un système inhumain ? » Quelques exemples sont illustrés par l’excellent film Est-Ouest brocardé comme par hasard par la critique : il ne faudrait pas briser les illusions véhiculées quotidiennement par la presse sur "l’autre monde" !

                          Lénine : agent du Kaiser : Un film et un livre qui retracent la légende du « wagon plombé » de mars 1917. Lénine, sans le sou au Speigelgasse 14 (Zürich) et sa suite prennent le train à Zürich le 28 mars 1917. Par la Suède, il arrive le 3 avril 1917 à Petrograd. Il publie les “Thèses d’Avril” en oubliant qu’il était un agent du Kaiser car ce wagon n’était pas plombé mais doré. Cette collusion été prouvée par l’accès aux archives de l’ex-URSS.

                          Pour paraphraser l’excuse standard et tellement méprisante pour les victimes assimilées à des oeufs, à savoir "on ne fait pas d’omelette sans casser des oeux", les socialistes ont cassés des centaines de millions d’être humains, mais le paradis qu’ils promettaient, on ne l’a jamais vu et on ne le verra jamais. Faillite économique, sociale (aujourd’hui, le revenu des ouvriers sud-coréen est 25 fois supérieur à celui de la Corée du Nord), artistique, écologique, tout ce qu’ils prétendaient révolutionner se transforma en plomb. Après avoir dépouillé la noblesse, la bourgeoisie, le clergé, les classes-moyennes, la petite-bourgeoisie, les paysans riches ou pas, la liquidation des soi-disantes classes exploiteuses pour ériger le mode de production socialiste décrit par Karl Marx, tout cela ne produit que la misère pour tous, y compris pour les ouvriers et les kolhoziens. Ces derniers résument le progrès par cette formule : "je fais semblant de travailler parce qu’on fait semblant de me payer".

                          Remarque : Lénine utilisa le terme de communiste, car celui de socialiste était totalement déconsidéré d’une part par la faillite de la Ière Internationaliste ( AIT, fondée à Genève en 1862), et d’autre part et surtout, par la trahison d’août 1914 de la IIe Internationale. Mais le projet de Lénine, ce fut l’URSS, accronyme de Union des Républiques Socialistes Soviétiques, union faite par les armes dans le sang. L’Arménie, la Géorgie, la Mongolie, l’Ukraine, et d’autres nations qui essayèrent de profiter de la fin de l’Empire russe pour retrouver leur liberté furent recolonisées avec la plus extrême brutalité : sauf la Pologne qui échappa de peu à cet « union » mais cela ne sera que partie remise : 17 septembre 1939, invasion de la Pologne orientale par l’URSS, suite au pacte Ribbentropp-Molotov.

                          Derrière le masque du bienfaiteur de l’humanité, une cruauté sans limites et une inhumanité totale !
                          Extrait de son ordre du 22 mars 1922 pour liquider l’Eglise orthodoxe : « Maintenant, et seulement maintenant, au moment où, là où règne la famine, on mange de la chair humaine et que des centaines, sinon des milliers, de cadavres gisent sur les routes, nous pouvons et nous devons procéder à la confiscation des objets précieux des églises, avec une énergie impitoyable, sans hésiter à écraser toute résistance. »

                          Comment Lénine planifia et ordonna la liquidation de l’Eglise orthodoxe qui aidait les paysans à s’opposer aux réquisitions dans les campagnes et aussi pour voler les biens de l’Eglise. Mais en liquidant l’Eglise orthodoxe, Lénine brisa également son système de charité et d’assistance, ce qui amplifia la famine qui sévissait à la même époque. Le pouvoir à tout prix même sur des monceaux de cadavres d’innocents, voilà la réalité du marxisme-léninisme. Et puis, si cela ne marche pas, c’est de toute façon la faute au capitalisme !

                          Encore de la propagande pour Lénine, le fossoyeur du printemps démocratique de 1917 Comment Marzio Pescia de swissinfo (27 août 2009) parle de Lénine dans une série “La Suisse, terre d’accueil de figures illustres”, et cela en 2009 !

                          Le communisme ce n’est pas du tout le soviet plus l’électricité, c’est la terreur et la propagande pour produire et occulter l’horreur avec en plus la misère du peuple, traité comme du bétail. Le marxisme-léninisme, un remède pire que les maux qu’il prétend soigner : c’est donc une totale et sanglante escroquerie !

                          Le socialisme marxiste, la plus sanglante des escroqueries de l’Histoire !
                          Des millions la subissent encore et d’autres n’ont pas encore compris l’imposture,
                          agents infectés et infectants leurs proches !

                          http://www.fonjallaz.net/Communisme/True-Lenin/Lenine+mort.html


                        • CN46400 CN46400 2 février 2015 16:53

                          @soi-même


                          « 17 septembre 1939, invasion de la Pologne orientale par l’URSS, suite au pacte Ribbentropp-Molotov. »

                          En clair vous êtes donc pour rétablir la Pologne dans ses frontières de 1939 au dépends de la Lituanie, de la Biélorussie et de l’Ukraine.....bien du plaisir pour vous, mais ce sera sans moi !

                        • soi même 2 février 2015 17:29

                          En clair vous êtes donc pour rétablir la Pologne dans ses frontières de 1939 ) vous prêtez des intentions que je n’es pas !
                          Je n’es aucun avis sur le sujet !


                        • soi même 2 février 2015 17:57

                          ( je vous au demande de me citer « clairement » des textes de trotski, lenine, marx en fait de penseurs communistes disant qu’il fallait massacrer des polulations pour assoir leur ideologie et vous me repondez  ) a ma connaissance , il y a pas de textes dit le dit formellement, par contre il y a bien eu des ordres qui allait dans ce sens, à la lecture de réflexion et des actes de de Lénine et de Trotski, il y a aucun doute la dessus pour Marx , c’est différent dans le fait qu’il n’a rien de dit d’explicite si ce n’est de faire la révolution !

                          « Le peuple n’a pas besoin de liberté, car la liberté est une des formes de la dictature bourgeoise... » de Lénine

                          Nous nous assignons comme but final la suppression de l’État, c’est-à-dire de toute violence organisée et systématique, de toute violence exercée sur les hommes, en général. Nous n’attendons pas l’avènement d’un ordre social où le principe de la soumission de la minorité à la majorité ne serait pas observé. Mais, aspirant au socialisme, nous sommes convaincus que dans son évolution il aboutira au communisme et que, par suite, disparaîtra toute nécessité de recourir en général à la violence contre les hommes, toute nécessité de la soumission d’un homme à un autre, d’une partie de la population à une autre ; car les hommes s’habitueront à observer les conditions élémentaires de la vie en société, sans violence et sans soumission.

                          • L’État et la Révolution (1917), Lénine, éd. de Pékin, 1978, chap. Chapitre IV. Suite. Explications complémentaires d’Engels, p. 102

                          Je vous laisse juge ce que cela signifie comme arrière plan dans une action politique !


                        • eric 2 février 2015 20:05

                          Neue Rheinische Zeitung, revue dirigée par le grand Karl Marx lui-même :
                          - 1849 : Engels appelle à l’extermination des Hongrois et de faire disparaître les Serbes, Slaves puis les Basques, les Bretons et les Ecossais.
                          - 15-16 février 1849, Engels écrit :
                          "En dehors des Polonais, des Russes et peut-être des Slaves de Turquie, aucune nation slave n’a d’avenir car il manque à tous les autres slaves les bases historiques, géographiques, politiques et industrielles qui sont nécessaires à l’indépendance et à la capacité d’exister. Des nations qui n’ont jamais eu leur propre histoire, qui ont à peine atteint le degré le plus bas de la civilisation, ne sont pas capables de vie et ne peuvent jamais atteindre la moindre indépendance" Engels, défini l’« infériorité » Slave comme étant due aux données historiques dont l’amélioration est rendue impossible par le facteur racial.

                          Révolution et contre-révolution en Allemagne - Karl Marx 1852 : « Comment se débarrasser de ces peuplades moribondes, les Bohémiens, les Corinthiens, les Dalmates,etc »

                          Lettre de Engels à W. Borgius (1894) : « Pour nous, les conditions économiques déterminent tous les phénomènes historiques, mais la race elle-même est une donnée économique... »

                          The Listener (périodique) - Bernard Shaw 1933 : Souhaitant accélérer l’épuration des ennemis du socialisme : il faut "découvrir un gaz humanitaire qui cause une mort instantanée et sans douleur, en somme un gaz policé - mortel évidemment - mais humain, dénué de cruauté" Finalement, il aurait du toucher des droit de propriété industrielle sur la mise en place des chambres à gaz !!!

                          Sur la Question Juive - Karl Marx 1843 : "Quel est le fond profane du judaïsme ? Le besoin pratique, la cupidité. Quel est le culte profane du Juif ? Le trafic. Quel est son Dieu ? L’argent« et le communisme est »l’organisation de la société qui ferait disparaître les conditions du trafic et aurait rendu le juif impossible"

                          Bon après, il y a une limitation du nombre de caractère en commentaire, je vous ferait pas l’intégrale, d’ailleurs je croit que personne n’y est jamais parvenu...Il n’est aps un seul père d’u seul socialisme historique qui n’ait pas en prticulier tenu des propos antisémite.


                        • CN46400 CN46400 2 février 2015 20:12

                          « Le peuple n’a pas besoin de liberté, car la liberté est une des formes de la dictature bourgeoise... » de Lénine


                          Copier-coller du journal expert en léninisme.......le Figaro qui ne situe évidemment pas cette citation...

                        • CN46400 CN46400 2 février 2015 21:04

                          @ eric


                          Attention de ne pas dépasser Goebels, Il est possible de critiquer le juif Karl Marx sans s’appuyer sur de la fausse monnaie. Pour Marx la religion juive est comme les autres religions, un opium, parfois nécessaire pour supporter la violence de l’exploitation. 

                        • soi même 2 février 2015 21:56

                          https://books.google.fr/books?id=aTXox4VJ1RcC&pg=PA18&lpg=PA18&dq=%C2%AB%C2%A0Le+peuple+n’a+pas+besoin+de+libert%C3%A9,+car+la+libert%C3%A9+est+une+des+formes+de+la+dictature+bourgeoise...+%C2%A0%C2%BB&source=bl&ots=EivDLZDlg_&sig=CIBoCawOf4foT9N_NunWZR9kUyM&hl=fr&sa=X&ei=huLPVL6BMoPuUtehgeAK&ved=0CBoQ6AEwATgK#v=onepage&q=%C2%AB%C2%A0Le%20peuple%20n’a%20pas%20besoin%20de%20libert%C3%A9%2C%20car%20la%20libert%C3%A9%20est%20une%20des%20formes%20de%20la%20dictature%20bourgeoise...%20%C2%A0%C2%BB&f=false


                        • Jean 3 février 2015 17:26

                          MAGNIFIQUE post soimême


                        • Hervé Hum Hervé Hum 2 février 2015 11:44

                          S’il y a eut 100 millions de victimes du communisme, ce sont les communistes eux mêmes qui furent les victimes.

                          L’URSS de Staline, de Mao, de Pol Pot, etc, n’ont jamais rien eut à voir avec le communisme. C’étaient des dictatures basés sur le culte de la personnalité de leur chef, tout ce que le communisme interdit.

                          Mais comme dit l’adage, l’histoire est écrite par le vainqueur et ici le gagnant c’est le capitalisme avec ses profiteurs. Un système dont les morts ne se comptent pas un millions, mais plutôt en milliards, car son histoire commence avec la colonisation de la terre, donc depuis quelques milliers d’années.

                          La réalité des crises économique, sociale, politique et écologique actuelle, ne prouve pas le succès du système capitaliste, mais son échec total, son incapacité à respecter les fondements mêmes de la charte des droits de l’humain censé représenter l’idéal social à atteindre.

                          Un enfant qui meurt de faim ou de violence, des humains traités comme des objets et des animaux traités comme de la matière à objet, ne sont pas des crimes contre l’humanité, mais des crimes de l’humanité, la notre. Et ce crime là, n’est pas l’oeuvre du communisme, mais du capitalisme.


                          • Aldous Aldous 2 février 2015 14:24

                            Les nones à qui ont administrait la « communion » au plomb fondu pendant la terreur rouge etaient donc des communistes ? 


                            Et les paysans Koulak aussi ? Ben mon neveu... On en apprends des choses ici.

                          • Hervé Hum Hervé Hum 2 février 2015 16:08

                            Il semblerait Aldous, que vous avez des problèmes à comprendre ce que vous lisez...

                            Faut il que je vous explique ?


                          • soi même 2 février 2015 16:17

                            Typique comme message des communistes qui non aucun courage d’assumer le passé ; Staline, de Mao, de Pol Pot, etc, il sorte d’où d’après toi  ?
                            A noté que Lénine et Trotski, ne sont pas évoquer, tu regarde trop la télé Hum, t’en devient lobotomisé !


                          • Aldous Aldous 2 février 2015 17:25

                            Je comprends très bien, ce seraient les communistes les premières victimes.


                            C’est oublier un peu vite l’extermination de ceux qui furent decretés « ennemis de classe » et qui n’avaient d’autre tord que d’exister.


                          • Hervé Hum Hervé Hum 2 février 2015 22:44

                            @Aldous, l’URSS n’a jamais été plus loin que le socialisme. Si l’URSS a motivé ses troupes en faisant rêver une société avec la dictature du prolétariat, celle ci n’a jamais été que la dictature d’une classe dirigeante s’étant approprié l’appareil d’état.

                            C’est que la manière de construire une société communiste n’était pas connu de l’époque et même aujourd’hui on continu de s’interroger, mais aussi et surtout, le pouvoir rend fou ceux qui le détienne et rare sont ceux qui acceptent de le rendre d’eux même. La majorité finissent par confondre servir l’état avec se servir de l’état.

                            Bref, le communisme comme système politique, social et économique n’a jamais été mis en oeuvre dans un pays. Cela dit, le communisme tel que pensé par Marx est une horreur, car il est dépourvu de sens, de spiritualité, mais cela n’empêche pas le fait qu’il n’a jamais été mis en pratique.

                            Pour finir, vous pouvez bien « voter » pour un chef sur ses promesses, si vous pouvez en changer régulièrement, vous pouvez toujours réparer votre erreur, mais si vous ne pouvez plus changer de chef quand bien même il fait l’inverse de ses promesses, vous ne pouvez plus incriminer l’idéologie lié à ses promesses, mais la dictature du pouvoir exercé par ce chef. En France et globalement en occident, changer de chef ne sert à rien car ils servent tous la même idéologie. Donc, à situation différente, réponse différente, mais volonté identique, détention du pouvoir afin d’exploitation du temps de vie des travailleurs, des prolétaires. Se réclamer du communisme ne fait pas de vous un communiste pour autant, encore faut il en appliquer les principes. C’est la même chose partout, même chez les religieux et comme disait Rabelais, « l’habit ne fait pas le moine ».


                          • Hervé Hum Hervé Hum 2 février 2015 22:47

                            @soi même, le jour où tu verra sur une télé de grande écoute parler du communisme autrement qu’étant un système totalitaire, avec comme exemple l’URSS, Mao, Pol Pot, la Corée du Nord et cie, fais moi signe, j’irai me faire lobotomiser... A ta place !


                          • soi même 3 février 2015 01:34

                            @ Hum, je note que visiblement tu écartes des points qui fâche et pour cause en voyant le résultat, il faut vraiment être inconscient pour pensé que le communisme est une alternative crédible !


                          • Hervé Hum Hervé Hum 3 février 2015 09:04

                            @soi même, le communisme tel que pensé par Marx n’est absolument pas crédible, je suis d’accord avec toi.

                            Tu dis qu’il faut éliminer toutes ces idéologies, certes, sauf que ces idéologies parlent des différentes manières de structurer une société, il ne s’agit donc pas tant de les éliminer mais de les dépasser en en faisant la synthèse. C’est pas très différent de ce que tu pense, sauf de ne pas rejeter le passé, mais de le faire évoluer. Ce qui ne peut pas et surtout ne doit pas s’éliminer, c’est le sens de l’histoire car la seule manière de s’affranchir de l’histoire est de la supprimer et pour la supprimer il n’y a guère que la destruction et le chaos. La première chose que la bourgeoisie à faite après la révolution, est d’avoir réintégré l’histoire dans son idéologie, à commencer par la religion, puis la noblesse, mais elle n’avait par contre rien changé au niveau du principe capitaliste basé sur la propriété. La révolution française n’a été finalement qu’une révolution de l’impôt et pour ce faire, dû prendre le pouvoir sur la noblesse. Aujourd’hui c’est pas tout à fait la même chose...


                          • Erdal 3 février 2015 10:17

                            Le communisme est bien une alternative crédible (dis comme ça c’est vrai que ça fait peur), l’histoire est là, il faut en tirer les leçons et éviter de reproduire les mêmes erreurs. Surtout qu’un gouvernement communiste en France ne serait pas pareil qu’une révolution en Russie en 1917, les conditions étaient telles (pays économiquement et culturellement arriéré menacé par tout l’entourage) qu’il fallait improviser et faire « avec les moyens du bord ». Ce n’était pas un environnement propice au socialisme, aujourd’hui c’est différent. On ne peut pas comprendre le communisme soviétique sans avoir une idée précise du contexte.


                            Mais surtout on ne peut pas balayer tout le socialisme sur la base de ces expériences, on ne peut pas dire : « There is no alternative »... 

                          • soi même 3 février 2015 12:53


                            Tout le problème que pose la communisme et cette aspiration que tous peut ce résoudre sous l’aspect purement économique, ce qui est entièrement faux , car si l’on peut voir qu’une des causes peut êtres de choix économique, il ne faut pas oublié que dès que l’on estime qu’il faut faire table rase du passé, il y a un oublie majeur c’est que c’est avant tous les hommes qui ont élaboré une civilisation sur un passé qui ne peut pas être gommé sur un simple idée l’on efface tous et l’on recommence !

                            Et c’est cela qui est la base de la revendication de Marx, il voie toute l’histoire des hommes sous le signe de l’exploitation et de la soumission, comme si l’analyse qui est vrai par ailleurs du XIX siècles était une constance de la société humaine , c’est cette étrange polarité à ramené tous sous des concepts simples de dominateur et de dominé qui est en réalité dévastateur dans l’idéologie de Marx !

                            En réalité, et cela à de commun avec le socialisme, c’est cette vue unilatéral que la civilisation n’est régit que par l’économie , et dès que l’on remonte dans le temps l’on voit que tous cela devient de plus en plus faux, et que c’est tous autre chose qui animaient les civilisations !

                            Et chaque époque historique ont été animé par tous autres choses que le simple fait de la domination économique et chaque fois on a affaire à une conception du Monde qui est animé par un esprit, une âme et corps social qui ne peut aucunement se comparer à l’époque du XIX siècles qui avait non seulement une vision matérialiste et athée de l’homme, avait aussi le corollaire de son exploitation économique de l’homme , car si vous faites le lien avec la Révolution Française vous voyez, la révolte vis à vis de la rupture avec le principe issue du moyen age où la noblesse étaient en charge de protéger ses administrés qui était devenue au fil du temps une tyrannie qui entretenait plus un rapport d’exploration et d’extorsion de fond pour leurs existences !

                            En réalité ce n’est que cette problématique à vue Marx dans son étude sur le capital, l’objet de l’oppression et en aucun cas il a soigneusement ignoré tous les autres aspects de cette révolution Française qui a été avorté , car elle n’a jamais produit les fruits à maturité, le motif de sa critique du XIX siècles qui il est vrai et un siècle qui n’a pas à envier sur la misère social où c’est tous la société est en passe de devenir esclave, qui sur le fond n’est pas régler car aujourd’hui nous nous trouvons à nouveaux dan la même le cas !

                            Et bien posez vous la question pourquoi, à un siècle d’écart nous retrouvons aujourd’hui devant les mêmes alternatives alors en apparence le communisme et le socialisme apportaient l’espoir d’une évolution de l’humanité dans un avenir radieux ?

                            Au fond qu’est qui manque et va manquer de plus en plus à l’avenir ?

                              
                             
                             

                             


                          • Hervé Hum Hervé Hum 3 février 2015 13:40

                            @ Erdal,

                            Le mot communisme a été sans doute trop dévoyé, trop dénaturé dans la conscience collective. Il est clair avec le recul, que le communisme au XXème siècle était encore une utopie irréalisable, mais plus aujourd’hui. Quand aux erreurs, la plus grave est d’avoir nié le besoin de spiritualité et d’avoir fait de la religion son ennemi.

                            En fait, communisme et libéralisme partent du même principe de base, la liberté individuelle. Ce qui n’a pas été compris, c’est la relation entre l’individu et la société. Et pour cause, cette relation fonde son équilibre sur la responsabilité, or, ni le communisme de Marx, ni le capitalisme font appel à celle ci, mais se fondent sur la propriété. Parler de « dictature du prolétariat » dans une économie communiste relève de l’aberration, de l’aporie car en économie communiste, il n’y a plus de prolétariat, sauf si la propriété du capital est maintenu, ce qui est impossible dans une économie communiste. C’est ce qu’on appelle une dissonance cognitive que je qualifierai d’aigu !

                            Ce qui signait la mort née du communisme, car on ne peut supprimer la propriété sans lui substituer une valeur au moins égale sinon supérieure et il n’y a que la responsabilité qui soit supérieure à la propriété en valeur. Ce qui veut dire, qu’en l’absence de valeur se substituant à la propriété, celle ci ne pouvait que résister, ceci en raison d’une autre valeur que Marx semble ignorer superbement, le mérite. Ici, on entre dans la pensée complexe présenté par Edgar Morin. Bref,beaucoup trop d’erreurs ou d’oubli de Marx pour rendre possible la mise en place du communisme.

                            Par contre, aujourd’hui, la mise en place d’un modèle alliant communisme et libéralisme peut être faite de suite et ce sans aucune difficulté technique, le système étant déjà en place !


                          • soi même 3 février 2015 14:25

                            @ Hum vous pouvez votre raisonnement jusque au bout, vous percevez en faite le communisme est la caricature qui i singe les véritable valeurs du Christianisme .

                            Qui sont Solidarité Fraternité , Équité !


                          • Hervé Hum Hervé Hum 3 février 2015 14:55

                            C’est vrai soi même, tu peux d’ailleurs noter que cette symbiose entre valeurs communiste et chrétienne a été le fer de lance en Amérique Latine, tel Hugo Chavez. Ce qui explique son succès car au lieu d’annihiler l’un par l’autre, il les as associés !


                          • julius 1ER 3 février 2015 16:39

                            @hervé hum


                            heureusement qu’il y en a quelques uns qui réfléchissent et ne s’arrêtent pas aux caricatures !!!!
                            tu as raison de souligner que la dictature du prolétariat n’est pas inhérente au communisme, mais qu’elle a fait débat pendant des dizaines d’années...... si ce principe a été adopté c’est parceque à la manière d’une organisation militaire hiérarchisée, les laudateurs de ce mode de fonctionnement en vantaient l’efficacité, ce qui est vrai sur le principe, mais ce principe pyramidal de direction du haut vers le bas est une organisation efficace en temps de guerre, mais en temps de paix on voit que le système est confisqué par le haut de la pyramide........... d’ailleurs ce qui est comique c’est que le modèle de gouvernance capitaliste est calqué sur ce mode pyramidal de fonctionnement !!!
                            au départ ce mode de fonctionnement est soi-disant vanté comme démocratique parcequ’il devrait permettre la circulation de l’information du haut vers le bas et du bas vers le haut dans un mode idéal mais quand le haut de la structure confisque le pouvoir il s’avère que ce mode de fonctionnement est le pire de tous ..... et le modèle Stalinien de confiscation du pouvoir en est l’illustration !!
                            en vérité il ne pourra y avoir de communisme que démocratique sinon rien ne sera !!!!!

                          • Hervé Hum Hervé Hum 3 février 2015 22:40

                            @ julius 1ER

                            en vérité il ne pourra y avoir de communisme que démocratique sinon rien ne sera !!!!!

                            En effet, l’un ne va pas sans l’autre !


                          • philoxera philoxera 2 février 2015 11:45

                            Et la vieillesse, combien de millions de morts a t elle provoqués ?


                            • njama njama 2 février 2015 12:42

                              c’est comme avec la grippe espagnole, suivant les sources on lit « 30 millions de morts selon l’Institut Pasteur, et jusqu’à 100 millions selon certaines réévaluations récentes » sur Wikipedia
                              Que peuvent valoir les statistiques d’un grand marchand de vaccins ?

                              .
                              de 30 à 100 millions de victimes !!!! comment prendre au sérieux de tels chiffres pour une pandémie qui n’aurait duré que 6 mois ...
                              ebola c’est rien du tout à côté
                              d’autres sources parlent de 2 millions à 50 millions de victimes

                              Le nombre de victimes aurait été plus ou moins établi à partir de projections statistiques sur la population mondiale, ce qui est une modélisation mathématique qui n’a pas forcément quelque chose à voir avec le réel

                               Un bilan mal connu

                              Mais que sait-on de la grippe espagnole ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, pas grand-chose. À commencer par le nombre de vies qu’elle a réellement emportées. La fourchette traditionnellement donnée est de vingt à quarante millions. Des chiffres invérifiables, la maladie n’ayant épargné aucune région du Globe.

                              Les données semblent assez bien établies pour les États-Unis et l’Europe. On estime ainsi que plus du quart de la population américaine a été infecté par le virus et qu’entre 400 000 et 675 000 personnes en seraient mortes. En France, le nombre de morts serait compris entre 120 000 et 240 000 selon les estimations.

                              Mais l’on ne dispose de presque aucune information pour l’Afrique ou l’Asie. Ainsi, pour le sous-continent indien, les estimations vont de un à vingt millions de morts...
                              http://www.larecherche.fr/savoirs/sante/1-mysteres-grippe-espagnole-01-04-2005-88196

                              il est très probable que le nombre de victimes a été multiplié par 50 voire 100 pour impressionner les foules et promouvoir la vaccination, car comment une telle hécatombe de 20, 50 ou 100 millions de morts qui aurait fait exploser tous nos cimetières aurait pu passer quasiment inaperçue et être si peu documentée ?
                              S’agissait-il d’une « grippe » d’ailleurs, puisque l’âge moyen des personnes décédées était de l’ordre de la trentaine d’années, contre 55 à 60 ans lors d’une épidémie de grippe « classique », les canadiens contaminés par le retour de leurs soldats venus se battre en Europe appelaient cette maladie la maladie de la langue bleue. Elle touchait surtout les jeunes adultes

                              Sur certains documents comme celui-ci, on parle de 165.000 morts en France en 1918, et de 50.000 au Canada pour la même année, soit, en extrapolant (côte mal taillée) peut-être au maximum de quelques centaines de milliers de morts à un million de morts dans le monde.
                              Aujourd’hui on parle sans vergogne et sans preuves de 40 à 100 fois plus.
                              °
                              Rien d’étonnant à ce que le nombre de victimes du communisme aurait été largement trafiqué dans le contexte de propagande de la « guerre froide ».
                              °

                              La grippe espagnole de 1918 est due aux vaccins
                              http://www.wikistrike.com/article-la-grippe-espagnole-de-1918-est-due-aux-vaccins-89664859.html

                              «  J’ai été témoin sur place de l’épidémie de grippe de 1918 » par Dr Eleanor McBean, Chapter 2 from the book « Swine flu Exposed », 1977 ici
                              en anglais : « Swine Flu Expose  »a book by Eleanora I. McBean, Ph.D., N.D.
                              Excerpt:CHAPTER 2 : THE SPANISH INFLUENZA EPIDEMIC OF 1918 WAS CAUSED BY VACCINATIONS ici


                              • njama njama 2 février 2015 12:49

                                Le Livre noir du capitalisme est un ouvrage publié par la maison d’édition Le Temps des Cerises, dans lequel les auteurs entendent dresser un bilan des régimes capitalistes. Sa publication en 1998 suit de quelques mois celle du Livre noir du communisme, paru en novembre 1997, qui affirmait comptabiliser les victimes du communisme.

                                Le livre énonce ainsi un bilan de 100 millions de morts pour la période observée, allant de 1900 à 1997.

                                http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Livre_noir_du_capitalisme

                                1 partout, la balle au centre !


                                • soi même 2 février 2015 13:42

                                  @ njama, ce n’est pas tellement le billant comptable qu’il s’agit de faire à ce sujet, c’est de bien voir que ce soit le Capitalisme où le Communisme qui est un capitalisme d’État sont tous les deux pourvoyeur meurtries de l’hunamité et qu’il est temps de tourné la page à ces deux monstruosités encore il faudrait que tous soit honnête pour le reconnaître est d’arrêter que c’est une facétie de l’histoire du XX siècles !

                                  Il y a quatre idéologies à combattre , le Capitalisme, le Communisme et le Nazisme , le Nationalisme et tous les sous idéologies politiques qui en découles !

                                  Et si l’on a pas le courage, le jeux de massacre va continuer !

                                   


                                • antyreac 2 février 2015 13:38

                                  Le capitalisme est actuellement adopté par la quasi totalité des pays de la terre et fait vivre 7 milliards des personnes alors que le communisme a lamentablement échoué et en passant tué plus de 100 millions des personnes.


                                  • julius 1ER 2 février 2015 16:08

                                    @antiréac,


                                    dans ta vision « simplette » de l’histoire, la Chine qu’est-ce que c’est ??????

                                    A)un pays communiste selon la définition du début du 20ie siècle, ????

                                    B)un pays d’apparence socialiste qui tend vers le communisme où tous les citoyens deviendraient propriétaires des moyens de production et de distribution ?????

                                    C)ou tout simplement un soi-disant pays communiste qui aurait basculé vers le capitalisme total ????

                                    si tu as une bonne définition, on s’appelle et on se fait une bouffe !!!!

                                  • CN46400 CN46400 2 février 2015 17:29
                                    @ antiréac

                                    « Le capitalisme est actuellement adopté par la quasi totalité des pays de la terre »

                                    Le féodalisme, et avant, le communisme primitif ont été universels. Il ont été dépassé dès que les hommes ont trouvé des solutions plus sociales à leurs problèmes. Le capitalisme sera lui aussi, un jour, dépassé par un système encore plus social. Sur une longue période, la roue tourne toujours dans le même sens.

                                  • antyreac 2 février 2015 18:06

                                    Le capitalisme est indépassable car il a toujours existé et pas seulement depuis le 18ème siècle

                                    Dès que les hommes ont commercé à commercer ils ont initialisé le début de capitalisme
                                    Dès que les hommes ont commencé une production de masse comme la pierre taillé puis plus tard les pots c’était le début du capitalisme.

                                  • CN46400 CN46400 2 février 2015 19:08

                                    1% des individus possèdent 50% des richesses produites par les 7 milliards de bipèdes de la planète et d’aprés Antiréac c’est.... « indépassable ».


                                  • antyreac 2 février 2015 19:20

                                    Et alors ça fait beaucoup d’envieux et en tout cas ça ne contredit pas les préceptes du capitalisme qui sont dans tous les pays pareilles

                                    Sachez le quand même les millionnaires et milliardaires sont de plus en plus nombreux sur cette terre
                                    Bref la tendance se démocratise


                                  • CN46400 CN46400 2 février 2015 20:01

                                    Ce qui veut aussi dire que le travail des prolos continue d’être toujours plus accaparé par ceux qui ne travaillent pas


                                  • lsga lsga 3 février 2015 15:32

                                    prends les richesses des 1% et divise la par le nombre d’habitants sur la planète : ça te donne quelques milliers d’euros par personne : VIVA LA REVOLUCION !

                                     
                                    Le problème, ce n’est pas le partage des richesses.
                                    Le problème, c’est le partage du pouvoir. 

                                  • lsga lsga 3 février 2015 15:34

                                    le travail des prolos ne peux pas être « plus » accaparé : il l’est totalement, depuis 150 ans. 

                                     
                                    Une seule solution : l’abolition du salariat.
                                     
                                    Les petits bourgeois réactionnaires disent que ce n’est pas possible. 


                                  • julius 1ER 3 février 2015 15:59

                                    Le capitalisme est indépassable car il a toujours existé et pas seulement depuis le 18ème siècle

                                    @antiréac,

                                    ’c’est bien ce que je disais, avant de publier tu devrais étudier un peu ce qu’est le capitalisme, car tu n’as vraiment rien compris ..... au 16ie, 17ie, 18ie siècle le mode de production était la manufacture c’était le modèle de l’ entreprise familiale .....
                                    petite structure etc ..... le capitalisme n’existe que sur la base de l’actionnariat, sinon c’est tout sauf du capitalisme..............
                                    pour comprendre et être compris il faut appeler un chat ......un chat !!!!!!!!!!!!!

                                  • lsga lsga 3 février 2015 16:06

                                    la manufacture c’est le Capitalisme naissant. En fait, on peut considérer que le Capitalisme apparaît avec la VOC, qui est la première société multinationale fonctionnant pas actions et obligations. Mais bon, le Capitalisme ne devient vraiment le système dominant qu’avec la Révolution Française puis la révolution industrielle. 


                                  • julius 1ER 3 février 2015 16:53

                                    la manufacture c’est le Capitalisme naissant. En fait, on peut considérer que le Capitalisme apparaît

                                    @Isga,

                                    non isga la manufacture n’est pas capitaliste !!!!!! le capitalisme par essence, c’est l’actionnariat, sans actionnaire le Capitalisme n’existe pas !!!!!!
                                     c’est la multiplication du risque et aussi sa division sur plusieurs têtes qui permet de prendre ... le risque et voir plus grand, ce qui était la limite justement de la manufacture structure familiale par essence où tout le risque était assumé par une personne ou une famille..... c’est cela la genèse du capitalisme, le regroupement de plusieurs entités pour produire sur une plus grande échelle ...

                                  • lsga lsga 3 février 2015 17:35

                                    Julius : si tu veux. D’ailleurs, j’ai cité la VOC comme vrai début.

                                     
                                    L’important : c’est que tu comprennes bien qu’on ne retournera JAMAIS à la manufacture familiale. 

                                  • julius 1ER 3 février 2015 19:02

                                    L’important : c’est que tu comprennes bien qu’on ne retournera JAMAIS à la manufacture familiale


                                    @Isga,
                                    alors là permets moi de te contredire mais l’histoire n’est jamais écrite d’avance et des gens comme Stiglitz ou Krugman quand il parlent de l’avènement d’un système coopératif totalement relocalisé et déconcentré sont aux antipodes d’un système qui par sa concentration planétaire et maximale en arrive à ce qu’il n’y ait plus qu’une entreprise du genre Nestlé ou Unilever..... la world compagny pour faire un clin d’oeil aux Guignols.

                                  • lsga lsga 4 février 2015 17:48

                                    lol



                                    L’Histoire avance, elle ne recule pas.
                                    La concentration du Capital n’a jamais été aussi importante qu’aujourd’hui, et continue. Tant mieux.
                                     
                                    Pour info, c’est à cause de la baisse tendancielle du taux de profits. Dans une économie Capitaliste, les entreprises n’ont simplement pas le choix : elles doivent grandir.
                                     
                                    Bien sûr, les économistes petits bourgeois que tu cites refusent d’admettre cette loi. Pour eux : le capitalisme c’est les 30 glorieuses. D’ailleurs, ils refusent aussi d’admettre que les 30 glorieuses c’est l’exploitation néo-coloniale de l’Afrique, de l’Amérique du Sud.
                                     
                                    Bref : l’Histoire n’est pas écrite d’avance, mais le Capitalisme est très largement prévisible car il obéit des lois. La prévision : c’est toujours moins de PME, plus de multinationales, plus de concentration du Capital. 
                                     

                                  • Norbert 2 février 2015 13:51

                                    Excellent article. Merci pour le rappel concernant Thomas Mann dont la citation remet les pendules à l’heure avec beaucoup d’évidence.

                                    N’oublions pas non plus que parmi les victimes du stalinisme figurent en premier lieu les véritables communistes et que leurs bourreaux ont souvent commencé comme anti-communistes et anti-révolutionnaires avant de faire une carrière opportuniste quand il n’y avait plus rien à craindre.


                                    • Ukulele Ukulele 2 février 2015 13:57

                                      @ L’Auteur

                                      Il est toujours plus sain d’avoir des informations chiffrées les plus proches de la réalité.
                                      Mais au delà du nombre de victimes, le communisme tel qu’il à été appliqué jusqu’à présent à l’échelle de pays entiers n’est pas humainement acceptable. Et ça ne donne pas envie de réessayer…

                                      A lire :
                                      http://www.telerama.fr/livres/la-fin-de-l-homme-rouge-ou-le-temps-du-desenchantement,101351.php

                                      Un très bon recueil de témoignages qui raconte à la fois le cauchemar du communisme et l’enfer du capitalisme mafieux après la chute du bloc soviétique, suivi de la dictature sauce libérale de Poutine.

                                      Pauvres Russes… Ils n’en finissent pas d’en prendre plein la gueule de la part de leurs dirigeants successifs. En fait, ils n’ont jamais vécu de démocratie. Et c’est problématique pour la gestion des crises présentes et à venir.


                                      • julius 1ER 2 février 2015 16:16

                                        il ne faut pas croire tout ce que les médias racontent 

                                        en ex URSS il y avait beaucoup de gens heureux contrairement à ce que les médias racontent tout comme ici .....
                                        et crois -tu qu’en France à la minute où tu écris les 5 millions de chômeurs et les 12 millions de pauvres aient envie de faire la fête ...
                                        il faut peut-être aller au delà des apparences premières ...............
                                        il y en a quelques milliers qui partent faire le Djihad qui ne doivent se sentir si bien ici !!!
                                        alors vaut mieux éviter les raccourcis simplistes !!!

                                      • Ukulele Ukulele 2 février 2015 17:37

                                        @ julius 1ER

                                        Oui, bien sur… Il y avait beaucoup de gens heureux aussi sous pinochet et il y a beaucoup de gens heureux en ce moment en Corée du nord… Ça n’en fait pas des démocraties, loin s’en faut.

                                        Je ne fais pas que lire les médias dominants, et je lis assez d’écrits d’horizons politiques différents pour me faire un jugement cohérent, merci.

                                        Comparer la France d’aujourd’hui et le bloc soviétique est une aberration. Je préfère être au chômage dans une démocratie imparfaite qu’avoir du boulot sous une dictature. 1000 fois…

                                        Quant au djihad, je m’informe aussi sur le retour de ces paumés et ce qu’ils racontent montre bien la misère intellectuelle et culturelle de l’islam radical en politique appliquée.

                                        Les individus qui sont ostracisés ou rejetés dans notre société ont raison de s’en plaindre, mais ouvrir quelques bouquins a part le coran leur ferait le plus grand bien. C’est à eux de ne pas faire de raccourcis simplistes.


                                      • soi même 2 février 2015 22:40

                                        alors vaut mieux éviter les raccourcis simplistes !

                                        Bien sur, tu as un sommeille du juste , au fond au niveau de la moral t’es pas mieux qu’un Goebbelsl !


                                      • CN46400 CN46400 2 février 2015 13:58

                                         Une occase de mourir un peu moins idiot consiste à jeter un oeil sur un livre en langue anglaise de 2007 publié 7 ans plus tard en français. L’universitaire irlandais Geofrey Roberts a commis une somme de plus de 500 pages qui en dit long sur la manière de gouverner et de commander les armées, de Staline. Ce titre, « les guerres de Staline », même si le début ,consacré au procés Toukatchevski, peut se discuter à la lumière de nouvelles trouvailles d’archives, mérite, si on veut secouer les idée reçues sur ce dictateur, le détour. (30€ à la FNAC)


                                        • lsga lsga 3 février 2015 16:17

                                          donc, non seulement tu es Keynésien, MAIS EN PLUS, tu défends Staline ???????

                                           
                                          Hey putain : arête de prétendre communiste, merci. 

                                        • antyreac 2 février 2015 14:09

                                          Il faut savoir que le communisme vit très mal sous un régime démocratique ,le communisme est une dictature

                                           alors qu’au contraire le capitalisme se porte comme un charme dans un régime démocratique
                                          de plus la démocratie est demandeuse du capitalisme pour que le pays vive en harmonie
                                          Même la Grèce avec son nouveau président va vivre avec le capitalisme sinon gare au retour du levier.

                                          • Ukulele Ukulele 2 février 2015 14:25

                                            le capitalisme se porte très bien aussi dans un régime communiste comme la chine.
                                            Pour rappel, il existe encore des goulags en Chine, ce qui ne pose pas de cas de conscience à Apple et coca cola (entre autres)…

                                            http://blogs.mediapart.fr/blog/poj/271011/chine-largent-des-camps-de-concentration


                                          • Rmanal 2 février 2015 15:26

                                            On pourrait même rajouter que la capitalisme/libéralisme s’est toujours parfaitement adapté à toutes les dictatures du monde, aussi bien l’extrême droite de Pinochet que le communisme en Chine.


                                          • antyreac 2 février 2015 16:03

                                            Le capitalisme s’adapte à toutes sortes de régimes à la démocratie comme à la dictature 

                                            C’est sa force c’est pourquoi il est irremplaçable.

                                          • julius 1ER 2 février 2015 16:45

                                            @antiréac,

                                            avant de publier tu devrais apprendre le sens des mots !!
                                            le capitalisme est un mode de production économique .....il peut être privé ou d’état !!!
                                            le communisme n’est pas un mode de production économique sauf dans son stade ultime où tous les moyens de production et de distribution seraient au service ....du et par le peuple !i
                                            mais de stade ultime il n’y a jamais eu puisque la tentative des soviets( usines ou services autogérés par les ouvriers) n’a pas duré Staline y a mis fin .....
                                            en ex URSS ce qui a existé comme régime économique était un Capitalisme monopoliste d’état ou l’état gérait l’appareil de production et de distribution ainsi que le système bancaire .......par l’intermédiaire de fonctionnaires d’état ....... c’est ce que Lénine et Trotsky ne voulait pas d’où l’expérience de la NEP (nouvelle économie politique) où il s’agissait de laisser aux privés tous les secteurs pas directement stratégiques eau, énergie, armement etc...... là aussi fin de l’expérience par Staline......
                                            alors la Chine où la situer ?????
                                            un régime politique communiste encore que c’est leur vision du communisme pas celle de Marx ou d’autres penseurs et un mode de production capitaliste monopoliste d’état au départ puis largement ouvert au privé néanmoins je pense que l’état chinois garde le contrôle de l’essentiel de l’économie mais est- ce que cela fait de la Chine un pays au communisme abouti........ rien n’est moins sûr !!!!

                                          • CN46400 CN46400 2 février 2015 17:16

                                            @ Julius


                                            La Chine actuelle est dans une reprise de la NEP, que Lénine définissait comme un « capitalisme d’état » où l’état commande au capital alors que c’est le capital qui commande l’état sous les régimes occidentaux. La Chine est en train de prouver que l’accumulation primitive du capital est possible sans utiliser les contraintes du « socialisme dans un seul pays » cher à Staline, et à ceux qui lui ont succédé, ni les misères humaines sur lesquelles sont bâties les sociétés capitalistes occidentales.
                                              Reste à savoir comment les communistes chinois pourrons gérer la situation lorsque les crises classiques du capitalisme vont arriver en rafales...


                                          • julius 1ER 3 février 2015 15:49

                                            @CN,


                                            au moins avec toi on positive et on réfléchis et on sort des débats stériles, c’est bien continue !!!!

                                          • lsga lsga 3 février 2015 16:09

                                            la Chine actuelle comme celle d’hier est TOTALEMENT Capitaliste.

                                            il n’y a ABSOLUMENT RIEN en Chine qui rapproche son régime du Socialisme : RIEN.
                                             
                                            Entendre dire que Cuba est socialiste : je peux le comprendre, beaucoup ignorent que l’appareil de production cubain est dans les mains de l’armée et que la démocratie cubaine est donc bourgeoise (elle ne porte pas sur l’essentiel).
                                             
                                            Mais franchement : LA CHINE ?????
                                             
                                            Peux-tu me dire CN ce qu’il y a, ou ce qu’il y a eu, de socialiste en Chine ?
                                             
                                            Les USA d’aujourd’hui sont 10000x plus proches du Socialisme que la Chine.
                                            La concentration des moyens de production y est largement supérieure. 

                                          • Aldous Aldous 2 février 2015 14:20

                                            « On reproche sans arrêt aux communistes les »crimes du passé« mais qui, par exemple, reproche aux catholiques l’Inquisition, tous les crimes des monarchies chrétiennes ? »


                                            Heu ? Plein de monde. Ca serait trop long de faire une liste.

                                            • antyreac 2 février 2015 14:25

                                              On pourrait le faire, pourqoui pas, mais ce n’est pas sujet


                                            • Aldous Aldous 2 février 2015 15:27

                                              Vous n’avez pas encore la TV en URSS ? smiley


                                            • njama njama 2 février 2015 15:28

                                              Le livre noir, c’est très tendance chez les Editeurs !
                                              est-ce un nouveau genre littéraire ? il est trop tôt pour le dire, mais autant de monuments funéraires

                                              Le livre noir de l’inquisition
                                              Le livre noir de la CIA
                                              Le livre noir de la Gauche
                                              Le livre noir des Banques
                                              Le livre noir de la révolution française
                                              Le livre noir des religions
                                              Le livre noir de l’Islam
                                              Le livre noir de l’Union Européenne
                                              Le livre noir de l’AFP
                                              Le livre noir des serials killers
                                              Le livre noir de la psychanalyse


                                            • soi même 2 février 2015 15:40

                                              Dans la liste il manque le livre noir de la connerie idéologique, au bas 300 millions de victimes . !


                                            • CN46400 CN46400 2 février 2015 21:11

                                              @njama


                                               Et toujours pas de livre rose sur les bienfaiteurs du capitalisme, Bill Gates, Soros, Mme Bétancourt...etc

                                            • Esprit Critique 2 février 2015 15:31

                                              « Qui reproche aux américains les centaines de milliers de morts à Nagasaki et à Hiroshima en 1945, contre un pays déjà à genoux ?.... »

                                              Normal , il n’y avait pas assez d’habitants dans ces deux ville. Entre ces deux bombes Staline a déclaré la guerre au Japon, vous l’ignoriez ?Quelques mois avant Hiroshima les américains ont effectués un bombardement de Tokyo avec des bombes incendiaires qui lui a fait des centaines de milliers de mort, et ça n’a pas suffit a faire capituler le Japon. de même que le Blitz et ses 40 000 civils morts a Londres n’ont heureusement pas fait plier Churchill . Après Hiroshima le Japon ne capitulait toujours pas.

                                               Les américains souhaitaient avec bon sens que le Japon capitule face aux USA et personne d’autres. D’où Nagasaki.

                                              Si vous avez un peu de temps étudiez la géopolitique et l’histoire.

                                              PS les crimes du communisme sont « incommensurables » ça dit bien ce que cela veut dire , laissez tomber les chiffres.


                                              • soi même 2 février 2015 15:46

                                                @ Esprit critique, rien ne vous empêches de faire un nouveaux procès de Nuremberg élargie, car il est évident que cela a été une face est atrape ce procès et qu’ils y a eux d’ autres comparses qui ont échapper au jugements dans cette affaire , URSS et les États-Unis et l’Angleterre !


                                              • antyreac 2 février 2015 15:59

                                                Il faudrait effectivement un Nuremberg pour juger les bourreaux soviétiques qui n’ont jamais été inquieté


                                              • julius 1ER 2 février 2015 16:19

                                                les bourreaux de qui plus précisément !!!

                                                arrêtes la fumette !!!

                                              • antyreac 2 février 2015 16:37

                                                arrêtes la fumette !!

                                                Tout le monde a compris sauf toi.

                                              • soi même 2 février 2015 16:40

                                                Julius avant de dire quoi que ce soit , d’après toi combien il a eu de massacre identique à Katyń en 1939 ?


                                              • CN46400 CN46400 2 février 2015 20:39

                                                Pour Katyn, voir Geofrey Roberts : « les guerres de Staline »


                                              • soi même 2 février 2015 22:44

                                                Pour Katyn et d’autre charnier voir Suvorov Victor - Le brise glace


                                              • christophe nicolas christophe nicolas 2 février 2015 16:28

                                                Le nombre de morts de l’URSS est sans doute très exagéré mais les morts sont le résultat de cette inquisition de l’esprit bien dénoncée dans le film « la vie des autres ». La dénonciation pour améliorer le système, c’est tout de même un pousse au vice systémique pour les fous. Mieux vaut l’image de Jésus et Marie pour améliorer l’état d’esprit que la gestapo ou le NKVD

                                                 

                                                Je n’ai jamais compris pourquoi la démonstration des bombes atomiques n’a pas été faite sur l’eau à part le fait que Truman et Vannevar Bush étaient franc-maçons et qu’ils ont choisi des fêtes catholiques symboliques.

                                                • 1er essai de la bombe pour la fête de Notre Dame du Mont Carmel et Hiroshima le 6 août pour la transfiguration du Seigneur sur le Mont Thabor, ils adorent la destruction des symboles.

                                                L’inquisition tient tout de même du syndrome de Barbe noire, il ne faut pas exagérer. Les seigneurs n’étaient pas tendres et les évêques souvent carriéristes, on est d’accord mais il y avait des procès avec des taux d’acquittement de 99%... il y a des erreurs et des repentances dans l’histoire de l’église, ça ne peut pas être autrement.
                                                 

                                                Ce n’est pas l’église qui justifie la foi mais les apparitions mariales, les miracles, les évangiles, les Saints, ce n’est pas pareil, surtout que c’est un pouvoir spirituel et non temporel. C’est pareil pour Karl Marx on peut dire qu’il s’est trompé mais on ne peut pas l’accuser de crime.

                                                • antyreac 2 février 2015 16:51

                                                  Ce qui est encore à préciser ce que les communistes ont non seulement tué de nombreux citoyens de leur pays mais en plus ils faisaient régner la misère la plus noire qui a fait sans doute autant de morts que le maintient du régime lui même

                                                  En urss avant la guerre le pays comptait environ 7 millions d’enfants abandonnés c’était en même temps la conséquence des emprisonnements massives des parents mais aussi l’insuffisance des ressources des citoyens de ce pays.

                                                  • Jean J. MOUROT Jean J. MOUROT 2 février 2015 18:23

                                                    "mais qui, par exemple, reproche aux catholiques l’Inquisition, tous les crimes des monarchies chrétiennes ? Qui reproche aux américains les centaines de milliers de morts à Nagasaki et à Hiroshima en 1945, contre un pays déjà à genoux ? Absolument personne.« Ecrit l’auteur.

                                                    Sans entrer dans le fond de ce long et interminable débat, je dois dire qu’ont été nombreux ceux qui ont dénoncé ces crimes...

                                                    Quant à savoir combien de morts sont imputables au communisme....Quelle importance ? Sont-ils d’ailleurs imputable au »communisme" (qui n’a jamais été établi en URSS) ou au stalinisme et à ses variantes asiatiques ?


                                                    • soi même 3 février 2015 02:05

                                                      @ jean c’est avec quoi tu as lue Marx , il faut pas sortir de Science Po pour comprendre que cette philosophie politique tue la liberté humaine !


                                                    • alinea alinea 2 février 2015 18:45

                                                      Puis-je savoir ce qui motive cet article aujourd’hui ?

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