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Accueil du site > Tribune Libre > Le rapport d’Hervé Bourges sur la francophonie

Le rapport d’Hervé Bourges sur la francophonie

Un récent rapport d’Hervé Bourges confirme que la France ne défend plus la francophonie :

"Pour Hervé Bourges, il faut donc ’décomplexer la francophonie’, rendre plus visible les actions de l’Organisation internationale de la francophonie qui compte 68 Etats et gouvernements, et mener une ’contre-offensive linguistique, en multipliant, comme l’ont fait les Etats-Unis, les dispositions linguistiques en marge des accords commerciaux ou diplomatiques’ pour imposer le français.

Il faut reprendre l’offensive pour développer le français de manière décomplexée, à l’anglaise, parce que la bataille linguistique n’est pas seulement culturelle ou esthétique : c’est la bataille dont les enjeux véritables sont l’influence politique et la croissance économique", écrit-il.

Le principal mérite de ce rapport est de reconnaître l’existence de la guerre des langues, de rappeler son intensité :

"Il souligne que le British Council vient de lancer un programme visant à faire passer le nombre de locuteurs anglophones de 2 à 3 milliards avec un investissement de 150 millions d’euros, alors que les programmes de l’OIF pour l’enseignement et la promotion du français se montent à environ 6 millions."

Cependant, ce rapport oublie de dire qu’il faudrait commencer par balayer devant sa porte : cesser d’imposer l’anglais à l’école primaire (aucun choix, parfois allemand ou langue régionale), ainsi qu’en 6e (là encore, il n’y a souvent aucun choix), fermer French 24 (France 24), cette télévision anglophone financée par les Français, cesser de participer à l’anglicisation des universités genre Erasmus Mundus. A quoi bon ces propositions de fondations et de visa francophone, si dans le même temps nous organisons des cursus en anglais pour les étudiants étrangers, reconnaissance implicite de la domination anglophone dans l’UE ?

D’ailleurs, sur quelle base morale impose-t-on l’apprentissage de telle ou telle langue étrangère ? Libérez les langues et les enfants !

Si nous ne prenons pas ces quelques mesures de simple bon sens, et gratuites, les propositions du rapport ne seront qu’emplâtres sur une jambe de bois.

Sa deuxième faiblesse est qu’il ne voit d’autre chemin que la perpétuation de cette guerre des langues, ici essentiellement le combat de l’anglais contre le français – que beaucoup pensent perdu d’avance, comme c’est clairement apparent au sein de l’UE, dont la Commission roule à fond pour l’anglais lingua franca.

Les chantres de la francophonie oublient souvent que les locuteurs d’autres langues jugent en général que la leur est aussi précise, aussi riche, aussi digne que le français (ou l’anglais), et ne supplient pas à genoux qu’il leur soit accordé le bonheur de l’apprendre ! Quelle que soit la beauté de notre langue ou sa richesse culturelle, il y a quelque chose de paternaliste et de néocolonialiste dans cette attitude.

La seule solution rationnelle pour mettre fin à cette guerre linguistique, qui est également un incroyable gaspillage d’énergies, de ressources humaines et financières, c’est de soutenir l’espéranto comme langue auxiliaire de l’Union européenne. Et ce n’est pas un hasard si les pays les plus réticents à cette idée sont justement les langues autoproclamées "grandes langues", langues de grande diffusion hors de leur propre diaspora. Il faudra un jour choisir entre la guerre des langues ou la raison – c’est-à-dire le choix raisonnable qui provient de la réflexion sur un sujet donné, d’un cahier des charges et des essais qui en découlent, comme lorsque les ingénieurs font face à un problème. Le problème étant ici l’incommunicabilité entre les humains, la barrière des langues.


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106 réactions à cet article    


  • Krokodilo Krokodilo 6 juin 2008 15:23

    Entre autres mesures simples que le rapport oublie, l’usage du français ; peut-être faudrait-il que nos médias cessent d’ériger l’anglais en langue internationale, en langue branchée, comme par exemple avec le prochain festival "Main Square d’Arras 2008" :

     

    http://www.eparsa.fr/webredactions/index.php?2008/02/10/6362-main-square-festival-2008-a-arras

     

    Ou les innombrables "challenge des écoles" (défi, compét’, concours, rencontre, tournoi, critérium, épreuve), ou autres "best of" télévisés - florilège.

     

     

    L’arrogance n’est pas française, elle est anglophone !

     

     

    La faiblesse en langues n’est pas française, elle est anglophone !

     

     

    Seuls les bénéfices de l’impôt linguistique européen sont anglophones…

     


    • Krokodilo Krokodilo 6 juin 2008 18:14

      Constant danslayreur, bonjour,

      A vrai dire, le "destin universel du français." m’a toujours laissé sceptique, car si on regarde l’histoire, grosso modo et quoi qu’en disent certains défenseurs de la francophonie, l’influence des langues a toujours été liée à la puissance politique, commerciale, et au colonialisme. Que les idées et la culture aient joué leur rôle, oui, mais que seraient-elles, quelle serait la diffusion du français s’il n’y avait eu ni puissance ni colonies ? D’ailleurs, en tant que locuteur d’une autre langue, je me demande comment vous ressentez ce destin universel ?
      De toute façon, je milite davantage pour l’espéranto que pour la francophonie. C’est la seule voie possible autre que cette lutte d’influence entre les langues.

      Tout à fait d’accord, par contre, avec la question de réciprocité, et quand on voit les sommes investies dans l’anglais, on se dit que la réciprocité doit être à la hauteur de leur agressivité lingusitique.
      "Il souligne que le British Council vient de lancer un programme visant à faire passer le nombre de locuteurs anglophones de 2 à 3 milliards avec un investissement de 150 millions d’euros", lobbying intense pour faire accepter le protocole de Londres sur les brevets, pressions énormes pour en faire la lingua franca de l’UE, etc.

      Pour French 24, je connais l’argument de diffuser le point de vue français sur la marche du monde (si tant est que les hommes d’influence du monde soient à l’écoute) ; je pense que c’est une erreur, qu’on espère un avantage alors qu’en contrepartie, le message le plus évident qu’on diffuse au monde entier, c’est que la France accepte l’anglais comme langue mondiale.

      Au sujet de l’adhésion individuelle, c’est sous-estimer le rôle des structures : si la France et l’Allemagne s’écrasent et acceptent l’anglais comme langue de l’UE, le message sera clair : un Vietnamien, un Libanais, un Chinois, tous seront confortés dans l’idée qu’il vaut mieux choisir l’anglais. Par ailleurs, je viens de lire que l’Albanie misait sur l’allemand : l’anglais n’est pas encore la langue mondiale, malgré son influence, il s’en faut de beaucoup :

      http://www.newropeans-magazine.org/content/view/8031/259/


    • Krokodilo Krokodilo 6 juin 2008 19:58

      "mais je vous souhaite du courage dans votre militantisme tant le chantier me semble … pharaonique."

       

      Puisque vous dites à la fin que le sujet ne vous concerne pas, je ferai court et dirai simplement que c’est une question de masse critique, ainsi que de volonté politique dans l’UE. D’ailleurs, qui avait prévu la chute du mur de Berlin ? Parfois, les choses évoluent lentement, parfois elles s’accélèrent.
      Mon précédent court article sur un récent succès d’estime de l’Eo en chine, avec vidéos de la télé chinoise indiquées dans un des messages).

      http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=40105



      "parce que d’une certaine manière, la lutte en elle-même oblige à l’excellence de tous."
      Oui, mais ce n’est pas l’excellence des langues elle-même qui est en cause : l’anglais n’est pas meilleur sur le plan linguistique (si tant est que ça veuille dire quelque chose) que le français ou le chinois.

      French 24 n’est pas une chaîne polyglotte : 4 heures d’arabe ne servent que de prétexte, l’identité profonde ce sont des infos françaises en anglais. Comme je l’ai dit, je pense que l’intérêt que vous évoquez est largement inférieur sur le plan de la francophonie à l’inconvénient d’afficher au monde entier que la France parle anglais et le reconnaît comme dominant. Mais votre avis est majoritaire au gouvernement et dans les médias, à moins que ce ne soit de la solidarité professionnelle entre journalistes !
       


    • Krokodilo Krokodilo 7 juin 2008 09:54

      Constant danslayreur,

       

      J’ai clavardé un peu vite et ce n’était effectivement pas clair. Je ne parlais pas de vous, je voulais dire qu’à l’époque où N.Sarkozy a dit que les télévisions françaises avaient vocation à parler français, allusion au destin de France 24 et aux regroupement en un seul pôle, les médias français, journaux et télés, avaient très peu repris l’info et n’avaient pratiquement fait aucun commentaire ou dossier sur ce sujet, et je me demandais s’il s’agissait d’une crainte d’augmenter les rangs des "nonistes" de l’UE, ou d’une solidarité journalistique mal placée - mal placée car le sujet est important aussi bien pour la francophonie que pour l’avenir linguistique de l’Union.

      "Cette chaîne au milieu d’une concurrence féroce, a le mérite de donner une lecture française de l’actualité y compris lorsque l’expression et donc le public visé, sont arabophones ou anglophones."

       

      Je confirmais simplement que votre argument est majoritaire au gouvernement. Et votre français est très bon et très clair.
       


    • mat 8 juin 2008 23:06

      Si vous avez des hésitations sur une traduction ("way of life"), l’office Québécois de la langue française a mis en ligne un dictionnaire très complet (y compris pour les termes techniques, c’est vraiment un bel outil !) :

      http://www.granddictionnaire.com/

      Il faut avouer qu’ils sont beaucoup plus forts que nous au sein de la francophonie, alors qu’on pourrait imaginer leurs moyens bien moindre...


    • Adama Adama 6 juin 2008 17:08

      Certes la culture Française et son aura coule de par le monde,mais l’anglais doit rester la langue obligatoire partout dans le monde.

      Juste à titre d’information, l’anglais est appris en Israël dès l’âge de 7 ans , ensuite une autre langue est au programme, Arabe pour les Juifs et Hébreu pour les Arabes.

      Cela sans compter que beaucoup d’Israéliens apprenent à leurs enfants une autre langue, langue maternelle des parents la plupart du temps.

      Tout cela pour vous dire qu’il ne faut pas être cloisonner, l’enfant peut tout assimiler (je parle par expérience sur mes propres enfants) donc d’accord pour l’anglais les langues régionales, breton en Bretagne, occitan en occitanie etc et pourquoi pas l’espéranto du bon docteur !


      • Krokodilo Krokodilo 6 juin 2008 17:48

        Adama,

        Faut-il fusiller ou déporter les parents qui refuseraient l’anglais pour leurs enfants ? Blague (douteuse) à part, pourquoi toujours penser en termes d’obligation, de coercition, surtout quand on sait que la motivation est un élément essentiel pour l’apprentissage d’une langue étrangère ;


      • skirlet 9 juin 2008 10:08

        L’anglais obligatoire pour tout le monde ? Au nom de quoi ? Encore et toujours de la coércition...

        Alors, il faut rentrer dans la tête des enfants le français, une langue régionale et l’anglais... Encore une utopie, car les natifs eux-mêmes ne s’en sortent pas avec leur langue :

        http://education.guardian.co.uk/schools/story/0,,2284503,00.html

        English is too hard to read for children

        Baffling spelling system is blamed as literacy falls short of level in other European nations

        Anushka Asthana, education correspondent
        Sunday June 8, 2008
        The Observer


        The English spelling system is ’absolutely, unspeakably awful’. That is the conclusion of new research that has found that children face 800 words by the age of 11 that hinder their reading because of the way they are spelt.

        Monkey, asparagus, spinach, caterpillar, dwarf, banana, handkerchief, pliers, soldiers, stomach, petal and telescope have all been included on the long list of words that baffle children because they contain letter combinations that are more commonly pronounced in a different way.

        The words have all been identified as problematic for reading, as opposed to writing, because of their ’phonic unreliability’, according to the study The Most Costly English Spellings. It was presented yesterday at the conference of the Spelling Society, held at Coventry University. Masha Bell, the literacy researcher who carried out the work, argued that there were 200 words on the list that could be improved by simply dropping ’surplus letters’ such as the ’i’ in friend or the ’u’ in shoulder.

        ’English has an absolutely, unspeakably awful spelling system,’ said Bell, a former English teacher and author of the book Understanding English Spelling. ’It is the worst of all the alphabetical languages. It is unique in that there are not just spelling problems but reading problems. They do not exist anywhere else.’

        Bell argued that the spelling system was a huge financial burden on schools and was to blame for poor literacy results compared with the rest of Europe. In Finland, where words are more likelyto be pronounced as they look, children learn to read fluently within three months, she said. In the UK, academics have found that it takes three years for a child to acquire a basic level of competence. The tricky spellings make English particularly difficult for children with dyslexia and those from disadvantaged families, who are less likely to be read to regularly by their parents.

        In the research Bell highlights examples of words that have the same pronunciation but different letter combinations. Examples include to and two ; clean and gene ; same and aim ; day and grey ; kite and light ; and stole and coal.

        Then there are those that look alike but sound different with the combinations of ’ea’, ’ee’ and the letter ’o’ causing most trouble. Among the words falling into that category are eight and height, break and dreamt, and move and post. The letters ’ough’ can also be pronounced in a number of different ways.

        Simplifying the system would transform literacy results, according to Bell, but she said people were resistant to change. ’People feel that they have suffered so much at the hands of English spelling that they are reluctant to look at it,’ she said. Yet other countries have made changes. Last month the parliament in Portugal, where the spelling system is also thought to be complicated, voted to reform and simplify it, bringing it into line with Brazil.

        ’In 1928 the Turks changed their entire alphabet from Arabic to Latin,’ said John Wells, professor of phonetics at University College London and president of the Spelling Society. ’It happened in the Soviet Union.’ In Germany there were changes made in the 1990s to make the writing system more consistent. English has also developed with words such as ’olde’ and ’worlde’ dropping the ’e’.

        Wells wants to see things change again and feels there are two possible approaches. The first would be to simplify the way in which words are spelt and then allow people to choose whether to use the new or old system, while the second approach would involve a complete change. ’The Spelling Society favours the first,’ he said.

        Chris Davis, spokesman for the National Primary Headteachers’ Association, said the spelling system had a major impact on children’s literacy progress : ’It definitely slows English children down. In international comparisons, languages that are phonetically uniform always come top.’

        But he said that teachers would be reluctant to see things change. ’It would be such a major revolution that people would find it very difficult to contemplate,’ he said.


      • Qual 9 juin 2008 10:41

        Il est amusant de voir le nombre de mensonges créés par les désperanteux pour défendre leurs thèses ridicules et aberrantes de mauvaise foi. Répétés ensuite comme des mantras, ils deviennent des vérités d’évangile, des ajouts au dogme, enfermant un peu plus cette communauté dans la folie, et la coupant de la réalité.

        Non, messieurs et truie les despéterreux, non l’anglais n’est pas "imposé" à d’innocentes têtes blondes qui auraient préféré le klingon. Sachez qu’au moment où l’apprentissage des langues débute sérieusement, à l’entrée en sixième, je n’ai jamais vu un collège "imposer" l’anglais aux élèves et à leurs parents qui avaient le choix entre la langue de Goethe et celle de Shakespeare. Seulement, très peu d’élèves préfèrent l’Elbe à la Tamise, et les germanistes sont extrêmement minoritaires. Lorsqu’il n’y en a plus ni en LV1 ni en LV2, la prof d’allemand est priée d’aller en trouver ailleurs, et c’est bien normal.

        L’anglais est un choix rationnel, que l’on fait ou ne fait pas pour de plus ou moins bonnes raisons. Ma soeur n’a jamais fait d’anglais, et personne ne lui a "imposé" de le choisir avec un pistolet sur la tempe.

        L’espéranto est le choix irrationel d’une bande d’illuminés massoniques, présentant toutes les caractéristiques de la secte.

        J’aime pas les sectes !

        Typhon


      • Qual 9 juin 2008 10:46

        J’avais pas lu le grommentaire de la truie fangeuse : encore un mythe !

        Les millions de gens qui communiquent chaque jour en anglais sont ravis d’apprendre qu’il est impossible d’utiliser cette langue que même les locuteurs natifs ne peuvent maîtriser. LOL !

        Je me demande sincèrement comment on peut nier à ce point l’évidence. Ma thèse c’est que vous souffrez du syndrome du vide inter-temporal...

        Typhon


      • Krokodilo Krokodilo 9 juin 2008 11:20

        Et moi je n’aime pas les menteurs et les obsessionnels qui pourrissent tous les articles sur les langues.

         

        Allez enquêter à l’école primaire et vous verrez si un choix de langues est proposé aux parents - ou pas... 

         

        Quant à la 6e c’est l’oeuf et la poule : la poste d’allemand est absent parce qu’il n’y avait pas assez de candidats. Et l’espagnol près de l ’Espagne (ou le catalan) et l’italien près de l’Italie ? Comment savoir combien il y aurait d’élèves si ces langues ne sont aps possibles ne LV1 ?


      • Qual 9 juin 2008 11:46

        Et moi je n’aime pas les menteurs et les obsessionnels qui pourrissent tous les articles sur les langues.

        Vous ne devez pas vous aimez vous-même alors... Je suppose que vous ne parlez pas de moi, puisque jamais je n’ai menti.... Quant à l’obsession, je ne suis pas le plus gravement touché. Et de loin.

        Et puis ne qualifiez pas d’ "articles" vos interminables rabachages insipides censé prouver que le noir est blanc, que 0=1 et que l’espéranto est une "solution rationnelle"...

        Et l’école primaire... Mon dieu, vous connaissez le niveau des "cours d’anglais" dispensés en primaire ?

        Franchement, il n’y a pas réellement d’enseignement des langues avant la sixième, où, pour peu que suffisamment parents en fassent la demande, n’importe quelle langue peut en théorie être choisie. Après s’il n’y a pas assez de demande, voire aucune, hé bien, il arrive ce qui doit arriver.

        Typhon


      • Krokodilo Krokodilo 9 juin 2008 15:22

        Encore un mensonge par ignorance ou volontaire : apparemment, vous ignorez que certaines Académies ont refusé la création de postes de langues alors qu’il y avait suffisamament de candidats pour une classe de 6e.

        Nous ne sommes pas dans la loi de l’offre et de la demande : c’est l’offre de langues qui conditionne la demande.


      • Qual 9 juin 2008 16:25

        Lesquelles ? "certaines " c’est un peu vague...

        Certains intervenant ici sont des cons...

        Certains intevenant ici sont injurieux...

        Certaines bêtises ne devraient jamais être publiées...

        Apparemment pour vous, dès qu’on a tors, on est un "menteur". Hé bien même en tenant compte de cette définition fort éloignée de la réalité

        (un menteur c’est quelqu’un qui, sciemment, ne dit pas la vérité ; exemple : "il y a deux millions d’espérantistes) ,

        vous ne parviendrez pas à me convaincre que j’en suis un en sortant des exemples aussi vagues. D’ailleurs, il peut y avoir des centaines de bonnes raisons au refus des académies, à commencer par "on n’a pas de profs/ d’argent/ etc."

        Typhon ; certains ici feraient bien d’apprendre le français avant de pontifier sur la francophonie... smiley


      • Henri Masson 9 juin 2008 17:00

        Krokodilo, tu as dû sacrément l’énerver en écrivant ça puisqu’il en a perdu son français ! smiley

         
        Lesquelles ? "certaines " c’est un peu vague...

        Certains intervenant ici sont des cons...

        Celui qui a écrit ça doit se reconnaître smiley

        Certains intevenant ici sont injurieux...

        Idem, et même grossiers, porcins smiley

        Certaines bêtises ne devraient jamais être publiées...

        Enfin quelque chose de sensé ! Tout à fait d’accord ! Et la secte aspique en connaît un rayon en matière de franchissment du mur du çon (orthographe favorite du "Canard Enchaîné" smiley

        Apparemment pour vous, dès qu’on a tors, on est un "menteur". Hé bien même en tenant compte de cette définition fort éloignée de la réalité

        (un menteur c’est quelqu’un qui, sciemment, ne dit pas la vérité ; exemple : "il y a deux millions d’espérantistes) ,
        (manque les guillemets de fermeture)

        vous ne parviendrez pas à me convaincre que j’en suis un en sortant des exemples aussi vagues. D’ailleurs, il peut y avoir des centaines de bonnes raisons au refus des académies, à commencer par "on n’a pas de profs/ d’argent/ etc."

        Typhon ; certains ici feraient bien d’apprendre le français avant de pontifier sur la francophonie...

        Oh que oui ! ! smiley

        En dehors des insultes, des grossièretés et des "TA GUEULE MASSON !", la commère de la secte aspique s’accroche bien à n’importe quoi, y compris à la plume de son maître à penser Asp Explorer qui se la met là où tout être civilisé devrait déjà le savoir, jamais au-dessus de la ceinture.

        Eh bien ce cher Alain, auquel il s’accroche, avait écrit quatre ans plus tôt, le 5 septembre 1906, dans ses "Propos" : "Apprendre le français, cela n’est point facile. Il ne m’arrive pas une fois sur dix de dire exactement ce que je veux dire."
        http://citationsphilo.blogspot.com/2008/02/quil-est-difficile-de-matriser-une.html

        Et c’est bien ce qu’il a démontré là.

        Estimable à bien des égards, Alain a été excellent chaque fois qu’il a parlé de ce qu’il connaissait. Or, il ne s’est fait une idée sur l’espéranto que sur la base du ouï-dire, pas sur celle d’une recherche et d’une comparaison personnelles. Et c’est le même cheminement pseudo-scientifique qu’a choisi Asp "Explorer".

        Quand je suis venu à l’espéranto, par moi-même, c’était par curiosité et en sachant déjà ce qu’était l’anglais. À 17 ans, faute de savoir réellement ce qu’était l’espéranto (je ne le connaissais à peine plus que par le nom, j’avais déjà vu des textes en espéranto dès l’âge de 8-9 ans), j’étais à fond pour l’anglais et je pensais qu’il n’existait rien d’autre pour communiquer à travers le monde. À 27 ans, l’étude de l’espéranto m’a permis de découvrir qu’une alternative était possible et qu’on ne nous donnait pas le choix. Ce choix n’existe réellement aujourd’hui que dans le pays d’origine de Sarko. On n’a pas eu de là-bas ce qu’il y avait de meilleur smiley

        Alain écrivait en 1910 : "Il y a donc encore des espérantistes ?".

        Eh bien oui, et de plus en plus, et dans des pays de plus en plus nombreux. Et Alain est sans l’ombre d’un doute moins connu que l’espéranto en dehors de l’hexagone. S’il s’était abstenu d’écrire de telles âneries, il aurait mérité d’être traduit dans cette langue et d’être porté à la connaissance du monde, en particulier par ses écrits pacifistes. Romain Rolland fut à cet égard plus intelligent.

        Bon, ça y est, ça va encore déclencher une crise d’hystérie smiley

      • Qual 9 juin 2008 17:36



        Estimable à bien des égards, Alain a été excellent chaque fois qu’il a parlé de ce qu’il connaissait.

        Un type intelligent, donc...

        Or, il ne s’est fait une idée sur l’espéranto que sur la base du ouï-dire, pas sur celle d’une recherche et d’une comparaison personnelles.

        ...mais qui eut le malheur d’émettre des opinions différentes des vôtres sur le sujet qui (ne) nous intéresse (pas), opinions immédiatement invalidées puisqu’elles étaient contraires au dogme massonique.

        Et c’est le même cheminement pseudo-scientifique qu’a choisi Asp "Explorer".

        Vous voulez dire qu’il sont tout les deux estimables et que leurs excellents raisonnements sont d’une limpidité qui confine à la perfection. Autant de choses qui les séparent de certains...

        Quand je suis venu à l’espéranto, par moi-même, c’était par curiosité et en sachant déjà ce qu’était l’anglais. À 17 ans, faute de savoir réellement ce qu’était l’espéranto (je ne le connaissais à peine plus que par le nom, j’avais déjà vu des textes en espéranto dès l’âge de 8-9 ans),

        Pauvre gosse ! Au passage, comment avez-vous pu tomber si tôt sur des textes espéranto et rester si longtemps dans l’ignorance ? Vous avez un organe de la curiosité ou on vous l’a enlevé ?

        j’étais à fond pour l’anglais et je pensais qu’il n’existait rien d’autre pour communiquer à travers le monde.

         L’analyse d’Alain ne tiendrait donc pas, et votre imbécillité aurait précédé votre espérantisme ? Voila qui est prodigieusement intéressant !

        À 27 ans, l’étude de l’espéranto m’a permis de découvrir qu’une alternative était possible et qu’on ne nous donnait pas le choix.

        Vous êtes resté bête et vous vous êtes converti. Quand vint le fanatisme ?

        Ce choix n’existe réellement aujourd’hui que dans le pays d’origine de Sarko. On n’a pas eu de là-bas ce qu’il y avait de meilleur

        Du Tokay ! Du Tokay !

        Alain écrivait en 1910 : "Il y a donc encore des espérantistes ?".

        Eh bien oui, et de plus en plus,

        de moins en moins, vous voulez dire...

        et dans des pays de plus en plus nombreux. Et Alain est sans l’ombre d’un doute moins connu que l’espéranto en dehors de l’hexagone.

        C’est qu’il lui manque des sectateurs zélés pour répandre sa prose, autrement plus intéressante que vos âneries...

        S’il s’était abstenu d’écrire de telles âneries, il aurait mérité d’être traduit dans cette langue et d’être porté à la connaissance du monde, en particulier par ses écrits pacifistes. Romain Rolland fut à cet égard plus intelligent.

        Il était très intelligent, mais il était dubitatif face à l’espéranto. Brûlons ses livres en un grand auto-da-fé à Zam ! Au passage, être traduit en espéranto ne porte rien à la connaissance d’un monde qui ne le parle pas. A moins que "le monde" signifie "toute l’humanité à l’exception de 99,97 % d’entre elle"...

        Bon, ça y est, ça va encore déclencher une crise d’hystérie

        Personne n’est hystérique, à part vous. Personnellement, je m’amuse de votre bêtise.

        Et c’est très intelligent de m’attaquer sur la forme, quand on voit la manière d’écrire d’espérantulo.

        J’ai tendance à oublier les marques du pluriel, et ce, depuis ma plus tendre enfance . D’autres souffrent de problèmes plus graves, au niveau de la compréhension du français (ex : "vous avez torts" devient "vous êtes un menteur"). On a tous nos petits travers, mais, quand ceux-ci empêchent la communication, il est temps de s’en débarasser.

         Allez  </EUL> !

        TYPHON


      • Krokodilo Krokodilo 9 juin 2008 18:09

        Pour le collège, le Ministère de l’intérieur pas plus que les Académies ne communiquent à ce sujet ! Il faut comprendre que le domaine des langues à l’école est un navire sans capitaine qui ne sait pas où il va, ni de combien de carburant il dispose. En témoigne le rapport du sénateur Legendre, pas tout récent mais fouillé :


        "Dans la situation actuelle, la mission des inspections générales a constaté que les incertitudes
        du pilotage national se traduisent par la diffusion d’instructions peu explicites, l’absence de
        fixation d’objectifs chiffrés, de moyens spécifiques pour y parvenir et de cadrage des
        pratiques académiques. Les rectorats ne sont pas amenés à rendre des comptes sur leur
        politique de manière précise.
        Même si les académies ont désormais une connaissance satisfaisante de l’existant en matière
        de carte des langues enseignées, elles sont loin cependant de disposer d’un schéma directeur
        pluriannuel qui fixerait le cadre de leur politique linguistique et servirait de document de
        référence pour l’ensemble des écoles et EPLE."


        Je me cite moi-même (article sur la réforme de l’ensiegnement des langues) :

        " La politique des langues à l’école est forcément dirigiste, arbitraire, car elle dépend de facteurs logistiques, comme le nombre de profs dans telle ou telle langue (qui sont engagés à vie pour une langue donnée), ou la langue que valident les PDE (ex-instituteurs) dans les IUFM (Instituts universitaires de formation des maîtres) qui est majoritairement l’anglais, en un cercle vicieux car les écoles primaires ne disposent pratiquement que de l’anglais, après quoi on conseillera en 6e de poursuivre la langue débutée au primaire !"



        Sinon, voici un compte-rendu par une association de parents d’élèves qui détaille certaines fermetures de poste :

        http://www.snes.edu/s4pub/spip.php?page=imparticle&id_article=240
         


      • Krokodilo Krokodilo 9 juin 2008 18:20

        Pour un gars que le sujet n’intéresse pas, comment avez-vous déniché un vieux texte d’Alain sur l’espéranto ?!

         

        Ca prouve juste que les gens très intelligents peuvent aussi dire des bêtises, ne savent pas tout, et ont même souvent de grandes lacunes qu’ils s’efforcent de cacher. Einstein lui-même a eu du mal à accepter la physique quantique - trop radicalement différente, même pour quelqu’un comme lui qui avait déjà pondu une théorie novatrice qu’une poignée de gens comprend.

         

        Le défaut des grandes intelligences est parfois leur manque de modestie, surtout quand on leur demande leur avis sur tout, jamais ils n’osent dire qu’ils ne connaissent pas tel ou tel sujet !

         

        Et le défaut des gens plus ordinaires, c’est de répéter l’avis des cerveaux plutôt que de se renseigner et de réfléchir par eux-mêmes : certes, sur la relativité, c’est pas évident (!), mais sur l’espéranto, chacun peut se faire son idée en quelques heures, pas besoin de répéter l’avis de tel ou tel linguiste ou présumé intellectuel.


      • Krokodilo Krokodilo 9 juin 2008 18:23

        HM,

        "Krokodilo, tu as dû sacrément l’énerver en écrivant ça puisqu’il en a perdu son français !"

        Simple retour à l’envoyeur quand on voit à quel point il(s) peut être énervant !


      • Qual 9 juin 2008 20:06

        Comment ai-je déniché un vieux texte d’Alain sur l’espéranto, alors que le sujet ne m’intéresse pas ?

        Hé bien, pour ne rien vous cacher, je n’ai pas eu besoin de consulter ma vaste bibliothèque rassemblant cent ans d’archives sur l’espéranto. En effet, je dispose d’une technologie de pointe connue sous le nom d’"internet wifi" qui me permet de faire ce que vous me conseillez de faire : me renseigner, trouver des sources, des textes, des chiffres et documenter mon argumentation. Ce qui fait que je suis tombé sur l’année 1910 des propos d’Alain. Ce fut une heureuse surprise dans la mesure où, non seulement l’extrait sur l’espéranto présenté plus haut est d’une grande justesse, mais en plus les pages qui suivent sont une argumentation bien étayée contre la proportionnelle, qui est un complément intéressant à celle de Me Eolas.

        Typhon


      • skirlet 9 juin 2008 20:07

        Aspounet !!! Notre mignon tout plein !..

        Meuh bien sûr, vous avez raison sur toute la ligne  smiley L’anglais est hyper facile, mais les espérantistes ont investi The Observer pour faire dire des bêtises aux natifs (évidemment, l’avis des natifs ne vaut rien comparé à celui de notre Aspinou ravissant et joli comme un coeur smiley )

        "Certains intevenant ici sont injurieux..."

        Là aussi, vous avez raison. Il vous suffit de voir dans la glace  smiley


      • Qual 9 juin 2008 21:45

        Ce n’est pas la peine de préciser que dans toute population, il existe des individualités fortes aux idées farfelues.

        Ce n’est pas la peine de préciser que mon affirmation était ironique, puisqu’elle suivait une affirmation insultante de ma part.

        Ce n’est pas la peine parce que votre inaptitude à comprendre le français, à comprendre quoi que ce soit, a été démontrée à mainte reprises.

        Typhon


      • skirlet 10 juin 2008 00:03

        Ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement.

        "mainte reprises " -> "mainteS reprises".

        Aŭtoro, lernu la francan !

        Et décidez-vous enfin pour un pseudo destiné à cette incarnation, Aspquon smiley


      • Numero 19 Numero 19 6 juin 2008 17:24

        >cesser d’imposer l’anglais à l’école primaire

        Euh là je ne pense pas que cela soit une très bonne idée pour nos têtes blondes. Si l’idée d’avoir la liberté de choisir peut être bonne, au niveau pratique, je ne pense pas que cela soit très efficace.

        Il faut bien se rendre compte qu’aujourd’hui, et surtout avec l’avènement d’internet, l’anglais est devenu la nouvelle lingua franca. Lorsque je recherche une information sur wikipedia, il y a des chances que l’article en anglais soit plus complet que celui en français. Si j’ai besoin de trouver des informations rapidement, je peux discuter avec un indien, un brésilien ou un japonais en anglais. Le français ou l’allemand sont des langues qui peuvent servir à communiquer, mais pas tant que cela. Les langues régionales... ouais, c’est sympa, mais c’est pas ca qui me permettra de trouver un boulot dans un monde... mondialisé.

        Quel est le problème si l’on impose une langue pour assurer à un enfant son avenir ?

        On ne progresse pas en ayant une politique isolationniste centrée sur soi-même ! Notre pays aura du mal à progresser en nous fermant au monde !

        Il faut s’ouvrir, donner aux autres l’opportunité d’apprendre le français pour ensuite avoir un avenir dans le monde francophone. Donner la possibilité aux francophones d’aller et venir, de gagner honnêtement sa vie grâce au français.

        La promotion du français ? Cela se fait à coup de millions d’euros, et c’est un investissement rentable. Il faut aussi avoir un rayonnement économique et culturel. Tokio hotel a réussi à rallier de nombreuses personnes à la cause germanophone, Harry Potter à la cause anglophone. Vous voyez, une langue attire parce qu’elle DONNE quelque chose, elle s’ouvre, elle vit. Comme une fleur qui offre son nectar et attire les abeilles.

        A quoi bon apprendre l’esperanto quand je connais l’anglais ? On n’impose pas une langue, on offre les moyens de l’utiliser, des débouchés. Un BESOIN de connaître cette langue.

        Un anime fansubbé ? J’en aurais trouvé 10 versions anglaises et 2 françaises avant d’en trouver une en espéranto.

        Il n’y a pas de guerre linguistique. C’est une course au contenu. Et apparemment, vous avez bien plus d’oeuvres intéressantes en anglais qu’en français. Et par « oeuvre », cela comprend aussi le contenu des chats, discussions dans les jeux et autres forums.

        Simple et dure réalité. Avec du français uniquement, je m’emmerde, avec de l’anglais je m’amuse plus. Tiens, par exemple je ne capte pas france 24 avec la freebox, tandis que je capte la BBC et CNN.


        • Krokodilo Krokodilo 6 juin 2008 18:36

          "Quel est le problème si l’on impose une langue pour assurer à un enfant son avenir ?"

           

          Toute éducation est un conditionnement, je suis d’accord, mais à l’exception des pays dictatoriaux, ce sont la plupart du temps les parents qui choisissent pour leurs enfants la religion, les valeurs morales, le sport, un instrument de musique, et plein d’autres choses, du moins lorsqu’ils sont jeunes.
          Jusqu’à présent, il y avait un relatif choix des langues à l’école. Nous sommes brutalement passés à l’anglais quasiment obligatoire, au primaire et en 6e, ce qui représente un changement pédagogique majeur, sans qu’aucun média n’en ait parlé !

           

          D’autre part, qui connaît l’avenir de ses enfants ? Auront-ils besoin du chinois pour vendre des voitures là-bas ? Sera-t-il violoniste à l’opéra de Lyon, auquel cas le langage de la musique lui suffira, prof de maths à Bordeaux, auquel cas on se demande ce qu’il fera d’un super niveau en anglais ? Jardinier à Marseille ? Ou encore ethnologue en Amazonie où, m’a-t-on dit, l’anglais est assez peu connu…
          De plus, si tout le monde fait un peu d’anglais, ce n’est plus un avantage en terme d’embauche, car les employeurs exigeront un très bon niveau, ce qui renforcera encore les bénéfices des pays anglophones.


          "A quoi bon apprendre l’esperanto quand je connais l’anglais ? On n’impose pas une langue, on offre les moyens de l’utiliser, des débouchés. Un BESOIN de connaître cette langue."

           

          L’usage de l’anglais au boulot si nécessaire n’empêche nullement d’apprendre une autre langue, ni de plaider pour une solution plus équitable à la communication dans l’UE. La construction européenne est une question à long terme. Qui a inventé le "fair-play", où est-il passé ? Gagner des milliards par son hégémonie linguistique, c’est du fair-play ? C’est une question de justice, d’égalité des peuples et des langues dans la construction européenne : de quel droit 5 à 8% de la population européenne obligeraient les autres 90% à sacrifier 10.000 heures de leur vie pour apprendre leur langue (au demeurant très difficile quoi qu’en dise la propagande), à devenir des citoyens de 2e zone - position d’infériorité systématique dans les négociations, les discussions, le recrutement.

           

          Le maître qui arrive à faire croire à son esclave qu’il est heureux comme ça, qu’il a de la chance, celui-là est un maitre intelligent, mais l’esclave reste un esclave.
          Sont-ils malins ou sommes-nous bêtes ?

           

          "Il n’y a pas de guerre linguistique" c’est votre avis, mais ce rapport nous rappelle justement le contraire, juste avant que la France prenne la présidence de l’UE ...


        • skirlet 10 juin 2008 00:07

          Tiens, au sujet des pays dictatoriaux : dans le mien, à savoir l’URSS, on avait 3 langues étrangères au choix (allemand, anglais, français). Pas souvent, mais il y avait l’espagnol et l’italien. En France, pratiquement la totalité de la LV1 "proposée" est l’anglais... Mauvais point pour un pays prétendu démocratique.


        • Qual 10 juin 2008 10:13

          En France, il y a le choix dans 80 % des cas entre allemand et anglais. Curieusement, les élèves, en accord avec leurs parents, préfèrent apprendre la langue illisible et imprononçable de la perfide Albion et de l’infâme ploutocratie d’outre-atlantique plutôt que celle des chaussettes-dans-les-sandales.

          Je me demande pourquoi je me répète sans cesse alors que, de toute évidence, les truies ne savent pas lire.

          Typhon


        • Krokodilo Krokodilo 10 juin 2008 10:43

          Sources des 80% ?


        • skirlet 10 juin 2008 13:40

          Dans le monde imaginaire des personnes qui se perdent entre ses pseudos, ne savent pas se servir de la Toile et copient les chiffres du plafond - oui, c’est plausible (précision : le pourcentage se calcule sur la totalité des établissements, pas sur un ou deux, notre mignon et ravissant tout plein ! Faut réviser les maths, joli coeur smiley )

          Dans le monde réel, il suffit de se renseigner auprès des Académies pour connaître l’état actuel des choses.


        • Qual 10 juin 2008 18:11

          TA GUEULE MASSON ! SALE MULTIPSEUDO NAZI !

          ça va comme ça ?

          Je peux en rajouter, je croyais avoir amplement démontré mes aptitudes en ce domaine...

          Il est plus que temps de vous rendre utile ma chère. En vous transformant en saucisson, jambon, chorizo, mortadelle...

          Maintenant, si vous contestez le chiffre de 80 % , je peux bien, quant à moi qui me suis frotté au rapport grin, vous dire que le chiffre de 25 milliards de "pertes" n’est rien d’autre qu’une estimation au doigt mouillé, largement basée sur les présupposés idéologiques de M.Grin (qui est un sale con, soi dit en passant).

          J’ai remarqué que les gens qui prétendent démontrer les défauts de l’anglais, démontrent surtout leur méconnaissance de cette belle langue. Notamment, un universitaire prétendait que "world trade center" était intraduisible parce qu’il ne savait pas quel mot qualifiait quoi. Dans "world trade center" , groupe de trois noms propres,chaque nom qualifie le suivant selon la règle suivante :

          "a schoolboy is a boy , a boyschool is a school" disent les anglais , donc "world" "monde" qualifie "trade" "commerce" pour former "world trade" qui signifie "commerce mondial", lequel est adjoint à "center" pour former le nom des ruines bien connues, "world trade center", le centre du commerce mondial.

          Pourquoi je perd du temps à déverser des arguments dans vos vides intertemporaux, je vous le demande. Probablement parce que je n’ai rien de mieux à faire...

          TA GUEULE LA TRUIE ! TA GUEULE VENDREDI ! TA GUEULE !

          TYPHON.

           


        • Krokodilo Krokodilo 10 juin 2008 18:34

          Il faut vraiment qu’AV trouve une solution pour que ce genre de messages reste lisible pour la liberté d’expression, mais n’encombre plus les débats. Le mieux à mon avis, est que l’auteur puisse les réduire directement, sans jouer à ce petit jeu stérile des plus et moins, qui en amuse certains.


        • Krokodilo Krokodilo 10 juin 2008 18:37

          Sans oublier que bon nombre de prétendus choix sont en 6e entre anglais et une classe bilingue anglais-allemand, donc un faux choix d’allemand avec anglais obligatoire. Et on attend toujours les sources des 80%. Et l’espagnol ou l’italien, ça compte plus ?


        • Qual 10 juin 2008 20:39

          ça existe , mais c’est négligeable face à l’allemand , qui est déjà ultraminoritaire.

          Concernant votre premier message, sachez que si Agoravox était modéré, le site serait mort.

          En l’occurence, je ne comprend pas comment vous pouvez refuser de débattre, comment vous pouvez demander que l’on censure des messages. Oh, merde ! J’oubliais que vous êtes contre la liberté d’expression et ne pouvez tolérer celle d’une opinion qui diffère de la vôtre, méprisable petit inquisiteuraillon.

          Typhon


        • skirlet 11 juin 2008 13:12

          Je peux en rajouter, je croyais avoir amplement démontré mes aptitudes en ce domaine...

          Meuh bien sûr, on sait déjà, à quel point vous êtes mignon smiley Et attendrissant avec ça, comme un gamin de la grande maternelle qui a appris quelques gros mots et l’opération "copier-coller" sur l’ordi scolaire... et maintenant il trépigne à montrer ses nouveaux acquis (+ quelques rudiments d’anglais, en s’imaginant que les autres ne le connaissent pas, et qu’avec ça il a déjà appris la langue) à tout le monde. Avec le temps, il apprendra peut-être de bonnes manières, mais rien n’est moins sûr. Ce qui ne l’empêche pas d’être si ravissant, à ce joli coeur smiley


        • Qual 11 juin 2008 20:50

          Won’t you shut the fuck up, esperantist scum !

          I mean, you have no idea about what you’re talking, you are rude, arrogant and you seem definitely enable to understand what you read. You should’nt post anymore, because you have nothing to add, except crap. I know it is you usual meal, but you and your fellow friend M&Ms are the only one to like it.

          So, SHUT THE FUCK UP, SKRAPLET, FILTHY WHORE !

          Typhon, insulting is a science...

           


        • skirlet 12 juin 2008 14:59

          Oh, il est tellement chou, notre joli coeur ! Maintenant Asp Irateur a appris quelques gros mots en anglais et trépigne de le montrer, ravissant tout plein qu’il est smiley


        • Qual 12 juin 2008 21:36

          马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马虎虎马马

          à l’écrit le chinois est largement plus beau que le despémêrdo...

          Typhon


        • gerardlionel 6 juin 2008 18:30

          Posons nous la question :

          -étranger, quel intérêt ai-je a apprendre le français, plus que l’anglais, le chinois....c’est vite vu quand on voit la qualité de l’acceuil pour les étudiants étrangers, et les candidats à l’émigration !

          Il y a à mon sens un francocentrisme impénitent dans notre pays ! le français "langue de culture, si nuancée et si adaptée à décrire le monde, les sentiments."....Beurk ! (j’en passe et de meilleures des perles prescriptives à la Pivot !).

          C’est sans compter l’idiotie congénitale des français qui se battent becs et ongles pour refuser la mondre réforme orthographique qui aiderait tant les enseignants de FLE, et qui ferait moins "suer" les apprenants.

          Quasiment toutes les grandes langues de communication modernes ont des commissions de réforme et d’adaptation.(pas de ça chez nous !)

          Tout cela est trop chargé ; plus ou moins débarassé d’arrières pensées colonisatrices ; la civilisation française, la langue française, la francophonie....la francoconnerie !


          • Krokodilo Krokodilo 6 juin 2008 18:48

            Pourquoi ne pas exiger des pays anglophones une réforme de leur phonétique, qui est une des plus aberrantes au monde ?

             

            Par contre, tout à fait d’accord qu’il faut accueillir correctement les étudiants étrangers, les aider dans leurs démarches administratives, leur recherche de logement, sous réserve de ne pas leur organiser des cours en anglais, illégaux mais comme tout le monde s’en fout…, mais tout simplement en français. Erasmus Mundus est un cheval de Troie de l’anglais dans le monde universitaire européen.


          • Qual 6 juin 2008 19:35

            Vous avez les moyens d’ "exiger" quelque chose des USA, vous ? Vous connaissez le nombre de réformes de l’orthographe qui ont été engagées et celui de celles qui ont abouties ?

            Vous avez été réaliste, à une époque ?

             

            Typhon.


          • Asp Explorer Asp Explorer 6 juin 2008 22:44

            Pourquoi ne pas exiger des pays anglophones une réforme de leur phonétique, qui est une des plus aberrantes au monde ?

             

            J’aimerais bien savoir comment "les pays anglophones" l’appliqueraient, vu que les pays anglo-saxons ont une culture que certains appellent individualiste, d’autres libérale, et que par conséquent, leurs gouvernements n’ont aucune légitimité à réguler l’orthographe par ordonnance (et du reste, il faudrait songer à s’interroger sur la légitimité du gouvernement Français à le faire). Ça va même plus loin que ça : saviez-vous que, dans le but de permettre à ses citoyens de parler librement la langue de leur choix, les USA n’ont pas de langue officielle ? L’anglais n’est que la langue d’usage courant... que tout le monde se dépèche d’apprendre, si ce n’est pas déjà fait, dès qu’il pose le pied hors de l’aéroport.


          • Hermes esperantulo 6 juin 2008 22:47

            et comment faire pour avoir une phonétique identique alors qu’en Gb on ne parle pas forcment pareil d’un bout’a l’autre du pays ou que certians mots sont différents entre la GB et les USA ou l’australie


          • Asp Explorer Asp Explorer 6 juin 2008 23:00

            Visiblement, le problème n’a pas l’air trop préoccupant, puisque de toute évidence, ça marche, l’anglais.


          • Hermes esperantulo 7 juin 2008 06:47

            l’anglis dit vehiculaire est ni l’l’anglais parfait des USA ni ce lui de la GB ni celui de l’australie, c’est un mélange de l’ensemble


          • gerardlionel 8 juin 2008 21:33

            Cher ami on réforme la grammaire car la langue parlée évolue en permanence(voyez-vous qu’on comprenne toujours la langue de Rabelais sans l’adapter au lecteur actuel) ; on réforme l’orthographe puisqu’on écrit et ce de façon officielle ; la langue est formelle et formalisée pour et par l’état pour son administration (voyez donc la langue judiciaire et dites moi si un quidam y comprends quelque chose et pourtant il s’agit bien de français, et pourtant il y a bien eu des réformes de ce jargon).

            mais nul, et nulle comission ne réformerait la phonétique car il s’agit de sons ; certes les sons évoluent de personne en personne (de locuteurs en locuteurs : d’idiolecte en idiolecte...) et de région en région ( ce qui s’appelle des variations), la phonétique se contente de décrire la matière sonnore, c’est une des branche de la science linguistique, elle se contente de décrire !

             A l’opposé des censeurs et autres académiciens, qui eux sont prescripteurs (et pensez-y bien ils prescrivent le plus souvent en préservant leur outil de prédilection, la langue de l’élite, qui n’est rien d’autre qu’une façon (entre mille autres) de rester entre soi( en excluant ceux qui ne feraient pas l’effort d’apprendre cette langue prescrite( celle qui convient !

            N’y voyez pas de moquerie, j’ai fait quelques études de linguistique et vraiment on ne réforme pas la phonétique(au fait savez vous qu’il existe un alphabet phonétique international, qui peut décrire toutes les langues parlées ?) smiley


          • mat 8 juin 2008 23:40

            au fait savez vous qu’il existe un alphabet phonétique international, qui peut décrire toutes les langues parlées ?

            Justement, je pense que krokodilo voulait simplement souligner que prononcer un mot anglais a partir de son écriture est quasi impossible : il faut quasiment avoir entendu le mot prononcé par un anglophone pour savoir le prononcer correctement. Il s’agit donc d’un problème de prononciation vis à vis du mot écrit.

            C’est la raison pour laquelle George Bernard Shaw a toujours milité pour une réforme de l’orthographe anglais. On lui doit la fameuse blague sur l’écriture du mot poisson, "fish", qui pourrait s’écrire "Ghoti"

            C’est aussi une des raisons (parmi d’autres) pour laquelle "l’anglais est la langue la plus facile à mal parler" (Churchill)

             

             


          • gerardlionel 9 juin 2008 12:35

            Sur le plan linguistique, il n’y a pas coïncidence entre le son et la graphie, d’ou tout ces problèmes orthographiques ; c’est l’histoire complexe et tortueuse de chaque langue, qui explique ce iatus ; vous pouvez donc rapprocher la graphie du son, mais pas l’inverse ; et c’est donc bien de réforme orthographique qu’il s’agit, et non pas phonétique !

            On peut rêver de ce rapprochement, mais il supposerait que tous les locuteurs d’une même langue soient en accord sur les sons qu’ils utilisent, ce qui n’est bien sûr pas le cas ! Il y a donc un "accord" une convention qui se fait de différentes façon et qui permet l’intercomprehension ; apprendre une langue étrangère débute par l’apprentissage d’une forme standard et peut se poursuivre plus en profondeur dans des variations (mais peut-être faut-il comprendre qu’on apprends jamais tout à fait une langue !)

            Vu la difficulté qui existe en France pour le moindre de ces changements, imaginez vous que cela soit si facile pour quelque langue que ce soit, anglaise y compris !

            L’évolution des langues"parlées" est constante et la tendance au conservatisme "à l’écrit" est forte !


          • Qual 9 juin 2008 12:47

            De fait , l’orthographe du français, bien qu’elle fasse des concessions à l’usage et à la prononciation, est globalement basée sur l’étymologie. Les réformes de l’orthographe restent généralement innapliquées sauf lorsqu’elles se contentent d’entériner un usage déjà passé dans la langue. Je trouve, quant à moi, que c’est un bonne chose, dans la mesure où je n’aime pas qu’on me dicte ma façon de parler.

             

            Typhon


          • Qual 6 juin 2008 19:29

            Un récent rapport d’Hervé Bourges confirme que la France ne défend plus la francophonie :

            KIKOO !

            "Pour Hervé Bourges, il faut donc ’décomplexer la francophonie’, rendre plus visible les actions de l’Organisation internationale de la francophonie qui compte 68 Etats et gouvernements, et mener une ’contre-offensive linguistique,

            Arrêtons nous un instant : "contre-offensive linguistique" ça a quelle signification concrète ? On recolonise et on force les indigents indigènes à apprendre le français ?

            en multipliant, comme l’ont fait les Etats-Unis, les dispositions linguistiques en marge des accords commerciaux ou diplomatiques’ pour imposer le français.

            C’est oublier que notre gouvernement est ouvertement anti-national, notamment au niveau des abandons de souveraineté à Bruxelle, qui se tamponne de la francophonie...

            Il faut reprendre l’offensive pour développer le français de manière décomplexée, à l’anglaise,

            On va découvrir un nouveau monde et y fonder une colonie de langue française qui deviendra la prochaine hyperpuissance ? c’est comme ça que les anglais ont fait. Notons au passage le vocabulaire militaire..."offensive" comme s’il y avait une guerre en cours ! La notion de "guerre des langues" est ridicule.

            parce que la bataille linguistique n’est pas seulement culturelle ou esthétique :

            Culturelle, je vois bien, mais esthétique ? quoi toi vouloir dire ?

            c’est la bataille dont les enjeux véritables sont l’influence politique et la croissance économique", écrit-il.

            Vous en connaissez des masses, vous, des gens qui parlent chinois ou hindi sans descendre de Chinois ou d’Indiens ? Ben pas moi ! Et je vais vous apprendre quelque chose qui va détruire votre raisonnement comme l’aquilon détruit un château de cartes :  "l’influence politique et la croissance économique" d’un pays sont les causes de la progression de sa langue, et non sa conséquence. 

            Le principal mérite de ce rapport est de reconnaître l’existence de la guerre des langues, de rappeler son intensité :

            J’ai déjà exprimé mes doutes quant à la pertinence de ce concept pour le moins étrange.

            "Il souligne que le British Council vient de lancer un programme visant à faire passer le nombre de locuteurs anglophones de 2 à 3 milliards avec un investissement de 150 millions d’euros

            Et moi, ce midi, j’ai mangé des frites...Sans blague ? Et alors ?

            , alors que les programmes de l’OIF pour l’enseignement et la promotion du français se montent à environ 6 millions."

            C’est beaucoup trop ! De toutes façon, vu la manière dont les natifs le connaissent, faudrait peut-être le leur réapprendre.

            Cependant, ce rapport oublie de dire qu’il faudrait commencer par balayer devant sa porte : cesser d’imposer l’anglais à l’école primaire

            Vous connaissez le niveau des "cours d’anglais" dispensé en primaire ? Franchement il n’y a pas de quoi se dresser sur ses ergots.

            (aucun choix, parfois allemand ou langue régionale),

            Je sépare ce module afin d’en souligner l’absurdité. S’il n’y a aucun choix il n’y a pas "allemand ou..." et vice versa...

            ainsi qu’en 6e (là encore, il n’y a souvent aucun choix),

            En général , il y a le choix entre anglais et allemand, mais les élèves choisissent peu ce dernier, étonnant non ? 

            fermer French 24 (France 24), cette télévision anglophone financée par les Français,

            Il faut que tous les locuteurs du français retirent leurs argent des organismes non-francophones ? Vous vous rendez compte que vous nous mèneriez à la cata ?

            cesser de participer à l’anglicisation des universités genre Erasmus Mundus.

            Il faut vite se fermer à l’étranger anglophone et ploutocrate ! Remarquez si on se retire de l’UE ce ne sera pas entièrement négatif.

            A quoi bon ces propositions de fondations et de visa francophone, si dans le même temps nous organisons des cursus en anglais pour les étudiants étrangers, reconnaissance implicite de la domination anglophone dans l’UE ?

            On n’a pas les moyens de faire cours dans chaque patois européen, donc si lesdicts étudiants ne parlent pas le français on passe par la lingua franca, je ne vois pas le problème.

            D’ailleurs, sur quelle base morale impose-t-on l’apprentissage de telle ou telle langue étrangère ? Libérez les langues et les enfants !

            Donc, je disais plus haut qu’a l’entrée en sixième, il y avait le choix entre anglais et allemand, la plupart du temps le dernier étant ultra-minoritaire...

            Les chantres de la francophonie oublient souvent que les locuteurs d’autres langues jugent en général que la leur est aussi précise, aussi riche, aussi digne que le français (ou l’anglais), et ne supplient pas à genoux qu’il leur soit accordé le bonheur de l’apprendre ! Quelle que soit la beauté de notre langue ou sa richesse culturelle, il y a quelque chose de paternaliste et de néocolonialiste dans cette attitude.

            Nous sommes d’accord sur ce point, même si je pense que, le français étant une langue de grande culture, on peut tout de même en encourager l’apprentissage, là où il y a demande.

            La seule solution rationnelle pour mettre fin à cette guerre linguistique, qui est également un incroyable gaspillage d’énergies, de ressources humaines et financières, c’est de soutenir l’espéranto comme langue auxiliaire de l’Union européenne.

            Ben voyons ! Et pourquoi pas le latin ? allez donc voir ici si j’y suis ! Et dire que c’est la "seule solution" c’st franchement exagéré. Mettons que j’accepte votre concept farfelu de "guerre linguistique", de combien de divisions dispose l’espéranto ?

            Et ce n’est pas un hasard si les pays les plus réticents à cette idée sont justement les langues autoproclamées "grandes langues", langues de grande diffusion hors de leur propre diaspora.

            Exactement ! Personne, en dehors de quelques illuminés, ne voit pourquoi il faudrait apprendre une langue ne permettant de communiquer qu’avec un très grand maximum de 2 millions de locuteurs, alors qu’on peut en apprendre un autre qui permet de communiquer avec 10, 20, 100, ou 700 millions de natifs, sans compter cuex qui apprennent une langue parce que c’est la lingua franca de leur pays.

            Il faudra un jour choisir entre la guerre des langues ou la raison – c’est-à-dire le choix raisonnable qui provient de la réflexion sur un sujet donné, d’un cahier des charges et des essais qui en découlent, comme lorsque les ingénieurs font face à un problème. Le problème étant ici l’incommunicabilité entre les humains, la barrière des langues.

            Problème résolu dans les faits par le baragouinage mondial de l’anglais et par le desperanto, dans la tête de kroko. Le desperanto, la langue des desperados !

            Lisez donc ceci, qui fut écrit en 1910 par Alain :

            l y a donc encore des espérantistes ? J’entendais dire, il n’y a
            pas longtemps, par un homme qui s’y connaît, que l’Espéranto
            était passé, comme le volapük, dans le royaume des ombres, et
            remplacé par l’Ido, autre langue beaucoup plus simple et plus
            logique encore. Ce n’est donc qu’un schisme ; et les Idistes sont
            donc un petit groupe de dissidents sans importance ? En somme,
            faut-il apprendre l’Espéranto ou l’Ido ? Grave question, à laquelle
            il est impossible de répondre pour le moment. Un Espérantiste
            vous dira : "L’Ido, ce n’est qu’une lubie de deux ou trois mathématiciens
            ou grammairiens." Mais l’Idiste prononcera avec autorité
            qu’il n’y a plus d’Espérantistes. Ma foi, pour pratiquer une de
            ces deux religions, j’attendrai que l’une ait tué l’autre.
            Les passions intellectuelles ont quelque chose d’effrayant. Ce
            sont des folies généreuses. J’ai connu un homme hautement cultivé,
            qui aurait pu se faire une place honorable, non pas sur les
            sommets, mais sur les hauts plateaux de la mathématique. Cet
            homme, autant que je sais, était à l’abri de l’amour, de l’avarice et
            de l’ambition. Mais il fit une faute, il apprit l’Espéranto. Sans
            doute y mit-il toute son application de grand travailleur. Sans
            doute fut-il émerveillé de cette puissance nouvelle, si
            promptement acquise. Toujours est-il que tout ce qu’il avait de
            passion sans emploi se précipita par ce chemin-là ; et sa vie,
            jusque-là un peu monotone, se trouva par là réchauffée et fouettée.
            Au bout d’un an, son destin était réglé ; il n’était plus
            qu’Espérantiste. Il ne pensait qu’à des traductions. Il s’y passionnait
            comme d’autres au baccara. Ces passions sont condamnées à
            convertir ; car on ne peut jouer seul au jeu de l’Espéranto. De là,
            une prédication, des colères, un autocratisme. De là, devait sortir
            l’Ido, et, par le même furieux mouvement, de l’Ido sortira quelque
            Progresso ou Perfecto ; toujours avec excommunications. On
            s’étonnera, après cela, qu’un curé tienne à sa religion. Quand je
            n’aurais à mettre au compte de l’Espéranto que l’anéantissement
            d’un homme, c’est assez pour que je haïsse cette grammaire
            nouvelle qui nous tombe du ciel. Comme s’il n’y avait pas mille
            choses à connaître et à expliquer, en français, au lieu de traduire
            des niaiseries en une espèce d’algèbre.
            Espéranto, Ido, Représentation proportionnelle3, je ne puis
            voir en tout cela que des manies qui guettent un homme vers la
            quarantaine, et qui détournent ses forces des vrais problèmes et
            des vrais progrès. Quand on saurait une langue parfaite, on n’en
            connaîtrait pas mieux le vaste empire des choses. Quand on aurait
            un calcul parfait des suffrages, cela n’avancerait en rien la
            culture et l’affranchissement des esprits ; on peut même dire : au
            contraire.
            17 mai 1910

            Vous conviendrez avec moi, qu’il est douteux que ce type ait communiqué avec moi, alors que pourtant, je trove son analys intéressante et pertinente au plus haut point.

            Typhon, allez, à toute à l’heure, je reviendrait avec un saut et une pelle pour faire des beaux patés !

             


            • HELIOS HELIOS 6 juin 2008 19:51

              Ne vous en faites pas, l’anglais est déjà presque mort !

              70 Millions d’americains ne parlent quasiment que l’espagnol cotrrectement el l’anglais... comme nous ! (30%, c’est ça !)

              Un nom est même donné au melange des langues, le Spanglish, qui malgré le fait qu’il ne soit pas enseigné, est déjà dans toutes les bouches de la jet set de NY. Pas un magasin de la 5eme ne l’ignore et la majorité des restos, de Little italy a China town, le pratique.

              Alors, vous voyez, le français la dedans... c’est déjà ringard.

              Dommage... Giethe, Victor hugo et autres Dantes sont morts, Cervantes va gagner malgré shakespeare ! Avec sa bite, comme aurait pu le dire P Sevran.


              • Qual 6 juin 2008 20:32

                Même en ne comptant que les locuteurs natifs, vous négligez le fait que le Royaume Uni, l’Australie, le Canada, sont aussi anglophones et que d’après votre calcul, 225 millions d’américains sont des locuteurs natifs. L’anglais n’est donc pas près de mourir, même si Cervantès et surtout Confucius, ont dépassé Shakespeare. L’anglais n’est pas près non plus de perdre le statut de lingua franca car ce terme désigne la langue parlée par la minorité de personnes par qui passe l’immense majorité des échanges (surtout économiques) internationaux. Par contre, il est vrai que le bilinguisme est de plus en plus indispensable.

                Typhon


              • Asp Explorer Asp Explorer 6 juin 2008 22:29

                La statistique des 70 millions d’américains non-anglophones, elle sort d’où ? Parce qu’elle sent quand même beaucoup l’officine d’extrême-droite... Par chez nous, dans les années 70, on disait qu’en l’an 2000, 80% des Français seraient arabes...


              • Hermes esperantulo 6 juin 2008 20:34

                 

                Oui la guerre des langues ou plutot « la guerre des langues par l’économie et la guerre economique par les langues » existe bel et bien. Elle a toujours exister, et reste toujours là car chaque nation pensent en tant que « moi je » francophonie, anglophonie, germanophonie, ect. Alors oui elle aurait une raison cette guerre si chaque pays n’était que pour soi-même pour sa survie, son renfort ou tout autre chose. Mais dans notre monde mondialisé et surtout dans notre Europe en pleine formation ce « moi je » n’a aucun interet car au lieu d’améliorer son économie nous restons sourd à la puissance de l’union des pays de l’europe. De nombreux rapports depuis des années montrent les lacunes de nos pays pour faire vivre nos langues et acceuillir celle des autres. Nous avons choisi concienment ou inconsciement, l’anglais comme vecteur de communication de maniere majoritaire entre chaque peuple du monde. Mais au lieu de nous renforcer cela nous a afaiblie, economique, politiquement, culturellement. Pour cela il suffit de voir les sommes colossales que nous injectons de plus en plus dans cette langue pour combler nos lacunes qui continue a perdurer( pour de plus amples détails google est notre ami), sans compter que maintenant il va falloir investir en plus dans le multilinguisme ( car nous l’avons oublier au profit de l’anglais).

                 

                Alors nous avons deux choix continuer dans cette voie sans jamais atteindre notre but ou alors suivre une autre voie une que l’on n’a pas laisser sa petite chance, l’esperanto, une langue bien plus économique que l’investissment dans l’angalis et permettant de dégager un temps considérable pour le multilinguisme ou tout autre activité que ce soit sur le plan culturel, social ou économique.

                 

                Bien sur pas une imposition dans les écoles, comme c’est le cas de l’anglais, mais une proposition d’option que les gens choisissent et si dans ce cas l’esperanto est validée, laisser le temps de modifier les differentes structures trop axées sur l’anglais.


                • Qual 6 juin 2008 20:58

                  Oui la guerre des langues ou plutot « la guerre des langues par l’économie et la guerre economique par les langues » existe bel et bien. Elle a toujours exister, et reste toujours là car chaque nation pensent en tant que « moi je » francophonie, anglophonie, germanophonie, ect.

                  NON ! C’est le contraire ! C’est parce qu’un pays acquière un pouvoir sur les autres, économique ou autre, que sa langue sera considérée comme un atout pratique.

                  Alors oui elle aurait une raison cette guerre si chaque pays n’était que pour soi-même pour sa survie, son renfort ou tout autre chose. Mais dans notre monde mondialisé et surtout dans notre Europe en pleine formation ce « moi je » n’a aucun interet car au lieu d’améliorer son économie nous restons sourd à la puissance de l’union des pays de l’europe.

                  Mais on peut améliorer son économie en parlant plusieurs langues, en adoptant celles qu’on veut etc. Lisez attentivement : LA POLITIQUE LINGUISTIQUE N’A AUCUN IMPACT SUR L’ECONOMIE, C’EST L’INVERSE ! 

                  De nombreux rapports depuis des années montrent les lacunes de nos pays pour faire vivre nos langues et acceuillir celle des autres. Nous avons choisi concienment ou inconsciement, l’anglais comme vecteur de communication de maniere majoritaire entre chaque peuple du monde.

                  Oui, parce que les USA sont le pays le plus puissant depuis la fin de la guerre froide, et même, depuis la fin de la premère guerre mondiale.

                  Mais au lieu de nous renforcer cela nous a afaiblie, economique, politiquement, culturellement.

                  Non, si nous nous somme affaiblis, cela n’a aucun rapport avec la politique linguistique.

                  Pour cela il suffit de voir les sommes colossales que nous injectons de plus en plus dans cette langue pour combler nos lacunes qui continue a perdurer( pour de plus amples détails google est notre ami),

                  Et les gens qui enseigneraient l’e-o le feraient gratuitement ? Sans compter que si on imposait l’e-o on se retrouverait face à un manque d’enseignants et au protestations des parents qui, croyez le ou non, ne verraient absolument pas le pourquoi de cette décision absurde.

                  sans compter que maintenant il va falloir investir en plus dans le multilinguisme

                   

                   Oui, c’est vrai.

                   

                   

                  Alors nous avons deux choix continuer dans cette voie sans jamais atteindre notre but

                  Lequel ?

                  ou alors suivre une autre voie une que l’on n’a pas laisser sa petite chance, l’esperanto, une langue bien plus économique que l’investissment dans l’angalis et permettant de dégager un temps considérable pour le multilinguisme ou tout autre activité que ce soit sur le plan culturel, social ou économique.

                   

                   C’est faux, l’e-o demande autant d’investissement que n’importe quel autre apprentissage. Il est IMPOSSIBLE d’apprendre quoi que ce soit sans effort.

                   

                  Bien sur pas une imposition dans les écoles, comme c’est le cas de l’anglais, mais une proposition d’option que les gens choisissent et si dans ce cas l’esperanto est validée, laisser le temps de modifier les differentes structures trop axées sur l’anglais.
                   

                  Bon, même si je suis sûr que ce serait un échec pitoyable, on n’est pas près de voir ça pour deux raisons :

                  Pas d’enseignants en nombre suffisant ni d’argent pour mettre en place ce genre de choses.

                  Typhon

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                  }
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                • Hermes esperantulo 6 juin 2008 21:28

                  &Oui la guerre des langues ou plutot « la guerre des langues par l’économie et la guerre economique par les langues » existe bel et bien. Elle a toujours exister, et reste toujours là car chaque nation pensent en tant que « moi je » francophonie, anglophonie, germanophonie, ect.

                  NON ! C’est le contraire ! C’est parce qu’un pays acquière un pouvoir sur les autres, économique ou autre, que sa langue sera considérée comme un atout pratique.&

                  C’est exactement ce que je viens de dire, l’économie met en marche la langue qui elle à son tour génere plus déconomie et ensuite effet boule de neige

                  Alors oui elle aurait une raison cette guerre si chaque pays n’était que pour soi-même pour sa survie, son renfort ou tout autre chose. Mais dans notre monde mondialisé et surtout dans notre Europe en pleine formation ce « moi je » n’a aucun interet car au lieu d’améliorer son économie nous restons sourd à la puissance de l’union des pays de l’europe.

                  &Mais on peut améliorer son économie en parlant plusieurs langues, en adoptant celles qu’on veut etc. Lisez attentivement : LA POLITIQUE LINGUISTIQUE N’A AUCUN IMPACT SUR L’ECONOMIE, C’EST L’INVERSE !&

                  Au contraire si voir Rapport Legendre et du commissaire Orban

                  &De nombreux rapports depuis des années montrent les lacunes de nos pays pour faire vivre nos langues et acceuillir celle des autres. Nous avons choisi concienment ou inconsciement, l’anglais comme vecteur de communication de maniere majoritaire entre chaque peuple du monde.

                  Oui, parce que les USA sont le pays le plus puissant depuis la fin de la guerre froide, et même, depuis la fin de la premère guerre mondiale.&

                  Non pas seulement, effet de vassal de la part de certains pays européeens ou admiration exessive de la part d’autres

                  &Mais au lieu de nous renforcer cela nous a afaiblie, economique, politiquement, culturellement.

                  Non, si nous nous somme affaiblis, cela n’a aucun rapport avec la politique linguistique.&

                  La poursuite du tout à l’anglais conduit à des abération du genre parler anglais quand il n’y a que des francophones voir Hagege

                  &Pour cela il suffit de voir les sommes colossales que nous injectons de plus en plus dans cette langue pour combler nos lacunes qui continue a perdurer( pour de plus amples détails google est notre ami),

                  Et les gens qui enseigneraient l’e-o le feraient gratuitement ? Sans compter que si on imposait l’e-o on se retrouverait face à un manque d’enseignants et au protestations des parents qui, croyez le ou non, ne verraient absolument pas le pourquoi de cette décision absurde.&

                  aucun rapport,

                  Premierement on propose au départ et non on ne l’impose pas et par la suite si plus de parents veulent l’eo comme enseignement, on augmente les profs et par une bonne information, il se placerait naturellement comme élément de préparation des autres langues donc comme premiere langue sans en produire aucun surcout ( voir les refferences sur google et dans mes articles sur avox)

                   

                   

                  &Alors nous avons deux choix continuer dans cette voie sans jamais atteindre notre but

                  Lequel ?&

                  Augmenter la performance en anglais des personnes tout en permettant la même performance sur deux autres langues au moins, c’est ca la globalisation, les interactions sont de plus en plus forte et donc il faut de plus en plsu d’outils pour communiquer éfficacement c’est la loie de la concurrence, toujours plus toujours plus

                  &ou alors suivre une autre voie une que l’on n’a pas laisser sa petite chance, l’esperanto, une langue bien plus économique que l’investissment dans l’angalis et permettant de dégager un temps considérable pour le multilinguisme ou tout autre activité que ce soit sur le plan culturel, social ou économique.

                   

                  C’est faux, l’e-o demande autant d’investissement que n’importe quel autre apprentissage. Il est IMPOSSIBLE d’apprendre quoi que ce soit sans effort.&

                  toute langue demande un effort, mais l’effort d’apprentissage entre l’eo et une autre langue national est plus faible à fournir pour l’eo car on enleve le plus d’obstacle inutiles, docn économie de temps et donc d’argnet et donc réinvestiment ailleur donc amélioration économique( voir claude piron le défi des langues et son site)

                   

                  &Bien sur pas une imposition dans les écoles, comme c’est le cas de l’anglais, mais une proposition d’option que les gens choisissent et si dans ce cas l’esperanto est validée, laisser le temps de modifier les differentes structures trop axées sur l’anglais.

                  Bon, même si je suis sûr que ce serait un échec pitoyable, on n’est pas près de voir ça pour deux raisons :

                  Pas d’enseignants en nombre suffisant ni d’argent pour mettre en place ce genre de choses.&

                  Et alors il faut un comencement un jour, ce fut le cas pour les ordinateurs, le teléphone, l’adsl, ect, un inverstisement est fait au départ et ensuite la rentabilité se met en place.

                  Remarque j’avais fait une hipothese à une époque pour augmenter la diversité des langues par ville il suffirait par exemple que les profs de langues soit bilingues eo plus une autre langue ce qui permettrait à des langues peut connues d’arriver ( un enseignant de langue apprend l’esperanto en à peine 6 mois tout en ayant en plus déjà le bagage pédagogique)

                   

                   


                • Qual 6 juin 2008 21:45

                  "Oui, parce que les USA sont le pays le plus puissant depuis la fin de la guerre froide, et même, depuis la fin de la premère guerre mondiale.&

                   

                  Non pas seulement, effet de vassal de la part de certains pays européeens ou admiration exessive de la part d’autres"

                  Vous vivez dans quel monde ? Moi, je vis dans un truc qui s’appelle la "réalité" r.é.a.l.i.t.é. et dans la réalité, les américains, quoique concurrencés par les chinois et dans une moindre mesure par les indiens, sont la première puissance mondiale, tant en terme d’économie (la bourse de Wall Street fait partie des trois bourses les plus influentes les deux autres étant soit aussi anglophone commme Londre, soit dans un pays occupé par les américains depuis 63 ans et sous influence culturelle américaine, à Tokyo.)

                  que de puissance militaire, Malgré quelques mémorables échecs.

                  Par ailleurs, si l’économie a une grande influence sur la langue, la réciproque n’est pas vraie, sinon les autres pays anglophones concurrenceraient bien plus les Etats Unis.

                  Typhon

                   


                  • Hermes esperantulo 6 juin 2008 21:57

                    J’ai dit pas seulement donc je dit oui mais aussi d’autres facteurs entre en compte et les langues influence en partie l’economie mais pas en totalité d’autres facteurs interviennent le prix du logement des matieres prmieres, du pouvoir d’achat, ect


                  • Qual 6 juin 2008 22:08

                    Mais puisque je vous répète que les langues ont une influence négligeable sur l’économie. Les fluctuation des taux d’intérêt de la FED ont des répercussions économiques mondiales chaque jour. La croissance du ombre de locuteurs n’a qu’une influence marginale sur l’économie dans la mesure où les frais d’interprêtariat, de traduction et d’apprentissage sont rigoureusements négligeables quand on les rapporte aux courants majeurs de l’économie mondiale ou même européenne...

                    Vérifiez si vous ne me croyez pas...

                    Typhon


                  • Hermes esperantulo 6 juin 2008 22:14

                    Négligable peut êter bien que oui peut être bien que non, écoutez ce q’ont dits certains dirigeant ou députés anglosaxons 25 milliard pour la GB ce n’est pas rien


                  • Asp Explorer Asp Explorer 6 juin 2008 22:26

                    Non, et 50 milliards non plus. Et 200 milliards encore moins ! Et 3552000000 googolplex quintizilliards d’euro encore moins moins.

                     

                    Vous voyez, moi aussi, je peux faire comme dans le rapport Grin, sortir des chiffres absurdes et invérifiables de mon chapeau et les brandir en guise d’étendard.


                  • Hermes esperantulo 6 juin 2008 22:30

                    vous pouvez croire ce que vous voulez croire, moi de mon coté j’ai lu la bio du monsieur et de ses nombreux communiqués et bien ils sont bien fouillés


                  • Qual 6 juin 2008 23:14

                    Ce n’est pas parce que c’est touffu et verbeux que cela recèle du sens.

                    Moi, je me suis frotté au rapport Grin, et le M. enfume beaucoup son monde avant de fournir une estimation, biaisée par ses convictions, au doigt mouillé...

                    Typhon


                  • Hermes esperantulo 7 juin 2008 07:20

                    j’ai pas dit touffu mais fouillé, si on lit les 127 pages c’est otu a fait logique et je me demande comme on peut dire qu’il a tiré les chiffre sde son chapeau puisque qu’il aditione les chiffres offciels formi par le gouvernemant britanique, il suffit de lire à partie des pages 80.

                    Au paasagge c’était 17milliard d’euro de gains pour la Gb et non 25, étonant que vous n’ayant pas fait cette remarque. Mais maintenant ce chiffre doit être vrai vu qu ele rapport date un peu du fait de l’augmentation annuel du chiffre d’affaire de la langue anglaise.

                    Au passage ce que j’aime bien dans se rapport c’est que l’on retrouve exactement les mêmes raison de l’apprentissage du multilinguisme dans le rapport Orban mais pour ce denrier on a en plus l’évaluation des chiffres.


                  • Asp Explorer Asp Explorer 6 juin 2008 22:23

                    Je donne raison à Krokodilo lorsqu’il souligne l’utilité de défendre le français en soutenant son enseignement à l’étranger, et lorsqu’il pointe du doigt le peu de moyens financiers consacrés à ce sujet.

                     

                    Je suis en revanche assez dubitatif sur les autres moyens qu’il préconise. Je ne vois pas bien, en effet, le rapport entre le fait d’interdire aux enfants de France d’apprendre l’anglais et la défense de la francophonie à l’étranger. Et à moins d’être singulièrement paranoïaque, il est difficile de percevoir un danger immédiat, ou même à moyen terme, sur la pratique de la langue de Molière dans nos contrées (bien que le niveau de ladite langue puisse être jugé par beaucoup peu satisfaisant, mais ceci n’est pas un problème récent). C’est une évidence que l’on ne défend efficacement une langue qu’en l’illustrant, c’est à dire en l’utilisant de façon plaisante et utile afin d’en démontrer les avantages. On ne la défend pas par des interdits, comme on le fait, hélas, en France, à coups de lois et de quotas.

                     

                    En tout cas, je rejoindrai l’auteur dans son panégyrique de l’espéranto, "seule solution rationnelle". Un petit trait d’humour est toujours le bienvenu pour conclure ce genre d’article, LOL !


                    • Hermes esperantulo 6 juin 2008 22:28

                      C’est bien vous qui avez dit un jour que la culture francaise était moribonde et que l’on avait en fait besoin que de l’anglais, ouitls des gens utiles


                    • Qual 6 juin 2008 23:11

                      En même temps, il faudrait peut-être commencer par apprendre le français aux français, qui le parlent de moins en moins. Et cette remarque ne concerne pas qu’Espé...

                      Où le Grouïn a-t-il dit que la culture française était moribonde ? Je me demande si les esperateux déforment sciemment les propos d’autruis ou s’ils les comprennent de travers. Je pense que certains font les deux et on aboutit alors à un dialogue de sourds, qui finit en insultes...

                       

                      Typhon



                    • Qual 7 juin 2008 18:30

                      c’est un problème de production culturelle. Et c’est un autre débat.

                      Typhon


                    • Qual 7 juin 2008 18:37

                      C’est aussi un problème de maintien de cette culture, cette langue. Car les deux sont liés et quand on voit votre façon d’écrire, M.Je-passe-du-coq-à-l’ane, on se dit qu’effectivement la culture française a connu des jours meilleurs. AU NIVEAU DE LA PRODUCTION d’œuvres, la culture française est moribonde et ternie. 

                      Typhon 

                       


                    • Hermes esperantulo 8 juin 2008 00:28

                      Non , je pense que ce qu’il a dit sur l’utilité du francais par rapport à l’angalis est en rapport avec l’histoire des brevets et du mouvement international, il a par la même occasion parlé de la culture moribonde ( chose sans rapport avec le sujet de départ) Qui selon moi est due à un effet massif des films américains, à une envie frnacise de faire du mauvais plagiat des films américains et aussi à un manque d’imagination ( les canadiens , d’après ce qu’il parait ont beaucoup moins ce problème), bien sur il existe d’exelents films frnacsi dont certians réussissent à sortir de l’hexagone, mais bon film francais VS film américain est un autre débat, où de nombreuses choses s’entremellent


                    • Wlad Wlad 11 juin 2008 11:26

                      "AU NIVEAU DE LA PRODUCTION d’œuvres, la culture française est moribonde et ternie."

                      Tu rigoles ? On a Marc Lévy et ses intrigues en mousse, Guillaume Musso et ses livres interchangeables...


                    • Krokodilo Krokodilo 7 juin 2008 11:03

                      Etonnant à quel point ce sujet intéresse peu les grands médias. Apparemment, sur la Toile, hormis la Croix et de nombreux journaux régionaux, c’est le silence radio...


                      • Qual 7 juin 2008 18:43

                         

                        Étonnant de voir qu’en dehors de quelque trolls qui aiment le flood, personne ne s’intéresse à une langue marginale et inutile. On se demande pourquoi personne n’en parle. Il n’ya probablement aucun rapport avec le fait que tout le monde s’en foute...

                        Pour ce qui est de la francophonie, Il n’y a qu’a voir la façon dont les DOM-TOM sont traités : On en parle peu et ça passe après les chiens écrasés et les chats noyés...

                        Typhon, Jesus Christ Pose.


                      • Hermes esperantulo 8 juin 2008 00:29

                        Et surtout on a Elysée-show


                      • Qual 8 juin 2008 08:52

                        Non, les média sont obnubilés par ouah ouah, partce que c’est un moyen facile de cacher son incompétence. Après, d’autres journalistes viennent gloser sur l’omniprésence médiatique de caniche.Mais ce sont les média qui se plient devant Sarko, plus qu’il ne les fait plier directement.

                        « l’idéal, c’est que la presse soit organisée avec une telle finesse qu’elle soit en quelque sorte un piano sur lequel puisse jouer le gouvernement ».

                        Typhon, qui qu’a dit ?


                      • Qual 8 juin 2008 08:54

                        Bon je parlais de l’incompétence des journaleux , pâs de celle de s4rK0 le sUx0rz

                        Typhon


                      • Hermes esperantulo 8 juin 2008 10:01

                        Certains journalistes d’autres non, Par exemple JFK à bien analysé le personnage


                      • Qual 8 juin 2008 10:38

                        John Fitzgerald Kennedy est mort voici 44 ans...et n’était pas plus journaliste que Jean François Kahn.

                        Jean François Kahn n’est pas un journaliste, c’est un vendeur de soupe. Cet étron a vu un jour qu’il existait une forte demande pour du PQ anti-sarkozyste et il s’est dévoué a en imprimer de kilomètres. Cet être est un crachat à la face de l’honnêteté et de la déontologie journalistique qui a recours tant au sensationnalisme à deux anciens francs qu’au mensonge pur et dur. Je ne lui reprocherai pas de faire preuve de démagogie, de toute façon avec tout les ""journalistes"" qui en font preuve...

                        Ce margoulin de la presse nuit en fait très peu à Sarkozy, au contraire, comme disait Dali "parlez de moi. Même en bien" .

                        Par contre, il nuit aux véritables adversaires de Sarkozy, en se faisant passer pour l’un d’entre eux.

                        Typhon


                      • Hermes esperantulo 8 juin 2008 11:16

                        Franchement non car au niveau journaux Marianne donc JFK s’est fait linché par les autres qui l’ont rejouint depuis janvier. Et si tu regarde bien, maintenant les journaux sont tous d’accord sur les faits, ce qui n’était pas le cas il y a encore 6 mois ( sauf bien sur pur l’huma qui a une vision tunel) . On a dit par exemple haut que c’est beau les francais propriétaire , ha oui pratiquement tous les journaux ont applaudis sans aller voir ce qui s’était fait en espagne ou au danemark. Et maintenant on dit que ce n’est pas aussi génial que cas le crédit d’impot sur l’immobilier du fait qu’il a contribuer à augmenter le prix des logements donc l’éffet bénéfique est caduc au final,


                      • Qual 7 juin 2008 18:51

                         Message de Krok’ :A vrai dire, le "destin universel du français." m’a toujours laissé sceptique, car si on regarde l’histoire, grosso modo et quoi qu’en disent certains défenseurs de la francophonie, l’influence des langues a toujours été liée à la puissance politique, commerciale, et au colonialisme. Que les idées et la culture aient joué leur rôle, oui, mais que seraient-elles, quelle serait la diffusion du français s’il n’y avait eu ni puissance ni colonies ? D’ailleurs, en tant que locuteur d’une autre langue, je me demande comment vous ressentez ce destin universel ?

                        Je suis d’accord avec vous, surtout quand vous expliquez que la puissance d’un pays est le meilleur promoteur de sa langue.(nonobstant le fait que le "destin universel du français." est une notion inusitée depuis les années 30) 

                         Laissez moi donc vous dire ceci :

                        A vrai dire, le "destin mondial de l’espéranto." m’a toujours laissé dubitatif, car si on regarde l’histoire, grosso modo et quoi qu’en disent certains défenseurs de l’espéranto, l’influence des langues a toujours été liée à la puissance politique, commerciale, et militaire.

                        Typhon, have the cake and eat it !


                        • Hermes esperantulo 8 juin 2008 00:32

                          Oui, mis une donnée importante peut changer la donner la donne là dessus c’est l’association de plusieurs pays, ce qui est en train de se faire petit à petit en Europe, qui dans cette association doit se produire un effet d’échange entre chaque pays,mais là c’est une autre histoire où l’on tergiverse sur des futurs hipothétiques


                        • Qual 8 juin 2008 08:44

                          Oui, mais ces pays restent, heureusement, indépendants.

                          Et les rapports entre eux sont toujours un problème de rapport de force. De combien de divisions dispose l’espéranto ?

                          Typhon


                        • Hermes esperantulo 8 juin 2008 08:52

                          Independant oui et non par exemple au sujet de la TVA c’est Bruxelle ( par convention entre les pays) qui choisi ainsi que sur de nombreux sujets, et plus le temps passe et plus d’accord se font entre pays


                        • Qual 8 juin 2008 08:57

                          Oui, mais c’est parce que les pays ont signé des convention qui les ont amenés à bien vouloir suivre les directives de Bruxelle, mais si elles devenaient ridicules de déraison, plus personne ne les suivrait.

                          Typhon


                        • Hermes esperantulo 8 juin 2008 09:59

                          Oui a condition que tout le monde puisse le faire, regarde bien Pour la TVA du petrole pour les pecheurs Sarko ne peut rien faire sans l’aval des autres pays


                        • Qual 8 juin 2008 10:26

                          Bruxelle tue sciemment la pêche en europe. Se plaindre de la montée des prix du pétrole auprès du pouvoir, c’est ridicule, c’est comme un chat qui se plaint de la pluie auprès de son maître et lui demande le soleil.

                          Pour ce qui est de politique linguistique, si Bruxelle pondait une directive imposant une langue X comme langue européenne, l’UE cesserait d’exister. Ce ne serait pas totalement néfaste, mais la directive ne serait guère appliquée.

                          Typhon

                           


                        • Hermes esperantulo 8 juin 2008 10:35

                          Non Bruxelle ne tue pas la peche, c’est la peche elle même qui est en train de mourrir elle même toute seule comme une grande comme cela est arriver dans certains pays outre europe. Et pour la langue commune pas besion d’une circulaire elle est déjà appliquée en pratique par le renforcement de l’anglais dans toutes les ecoles européennes comme langue de base avec un peut des autres langues pour faire embalage cadeau


                        • Hermes esperantulo 8 juin 2008 10:38

                          Au passage ce n’est pas le petrole en tant que ressource qui monte actuellment mais en tant que spéculation boursiere pour renfluer le problème de l’immobilier américain, comme d’autres produits élémentaire comme les métaux et l’alimentaire


                        • Qual 8 juin 2008 10:46

                          Bien sur que Bruxelle tue la pêche, avec ses quotas et ses règlements. C’est peut-être une bonne chose, mais il faudrait avoir les couilles de le dire aux pêcheurs... Or, se couper lesdicts organes est un préalable à la poursuite d’une carrière politique.

                          Et si le pétrole est cher, c’est parce que les rares coins où il pourrait être vendu à bas prix sont tenu par des gens qui ne sont pas spécialement altruistes.

                          De toute façon, ou on est libéral, ou on est protectionniste. Je suis plutot protectionniste quant à moi, mais l’UE n’a pas pour habitude de me demander mon avis avant de forcer ses membres à ouvrir grand les frontières économiques pour se faire enculer par les multinationales. Et après on se demande pourquoi la croissance n’est pas au rendez-vous. Elle est au rendez vous là ou elle le veut : en Asie.

                          Typhon


                        • Hermes esperantulo 8 juin 2008 11:00

                          Quand tu a pecheur qui se plein des quotas et qui n’est pas capable de comprendre la raison des quotas , justement pour essayer de protéger son outils de travail pour que le dit pecheur puisse vivre et vendre son affaire à la retraite ( vu le prix d’investissement d’un bateaux), tu fait quoi rien car dans les deux cas le pecguer se plaindra et c’est ce qui se passe depuis des années aucune remise en question.

                          Et non le plus gros problme actuellment du petrole c’est de la spéculation pure sans aucun rapport avec les possibilité de réserve du pétrole, juste gagner de l’argent par l’argent spéculatif, de nombreux journaux économiques en parle, actuellment le vrai pric du petrole est àenviron je crois les 100 dolalrd et les 50 dolalrd restant ce n’est que de la spéculation qui risque de se tranformer en bulle spéculative comme l’immobilier ou l’internet


                        • Hermes esperantulo 8 juin 2008 11:03

                          et même actuelement au niveau alimentaire l’alarme est lancé du fait d’une mauvaise production cette année associer à une spéculation sur les biocarburants, au mexique je crois que cela devient une vrai catastrophe ainsi que dans d’autres pays


                        • Qual 8 juin 2008 11:19

                          Si le pétrole dépasse des niveaux "historiques", c’est aussi en partie parce que le Dollar vaut de moins en moins. La raison principale de la montée des prix est une hausse de la demande face à une offre qui stagne pour des raisons diverses. Accuser le "marché" de tout les maux est typique d’un attitude gauchiste un peu bébête.

                          Typhon


                        • Hermes esperantulo 8 juin 2008 11:37

                          "Si le pétrole dépasse des niveaux "historiques", c’est aussi en partie parce que le Dollar vaut de moins en moins."

                          cela était vrai encore en janvier, la baisse du dollar entrainait une monté du petrole mais aussi une monté de l’euro ce qui fesait que le pétrole étatiat stable en europe alors que l’exportaiton européenne voir airbus devenait plus diffcille du fait de la monté de l’euro. Quand on regarde les chiffres de croissance de demande du pétrole qui existe, cela n’explique pas une telle monté du prix du baril, la croissance de demande est bien moindre que la croissance du prix du baril, donc un effet spéculatif, regarde sur le web du figaro en pasant par marinane et aussi dans les journaux internationaux économique c’est tuut bien expliquer, une bulle spéculative est en train de se créer sur les matieres premieres




                        • Hermes esperantulo 8 juin 2008 11:46

                          De toute facon l’augmentation des matieres premeires est du à une augmentation de la demande , à une "baisse " de capacité de production, à une faiblesse du dollar et à l’ajout de la valeur spéculative, bon il existe d’autres causes encore mais bon n’entromps pas dans le détail car on s’y perd ensuite


                        • Krokodilo Krokodilo 9 juin 2008 19:35

                          Une autre analyse qui confirme le pessimisme de Hervé Bourges, cette fois en provenance du Québec, et très détaillée, très intéressante , qui démontre pourquoi les chiffres rassurants sur le nombre de locuteurs du français sont biaisés :

                           

                          http://www.action-nationale.qc.ca/index.php?option=com_content&task=view&id=694&Itemid=1


                          • Qual 9 juin 2008 20:17

                            Parce que les natifs ne le maîtrisent plus ?

                            Au passage, une nouvelle confirmation de votre ridicule : pondre un soi-disant "article sur la francophonie" où la perfidie d’Albion et de sa langue est longuement décriée, avant d’amener le desperato comme un cheveu sur votre soupe insipide et obsessionnelle.

                            Typhon, fallait il que je vous visse...


                          • Henri Masson 10 juin 2008 17:58

                            Gneugneuscron, mais ça roupille là-dedans ! Et la fin du monde, c’est pour quand ? Puisque Qual cale... je vais essayer de lui procurer des munitions pour sa mitraillette à conneries. C’est à peu près du niveau de ce qu’a écrit Alain (pas besoin de chercher ! smiley
                             
                            Spé́cialiste de philologie romane, Karl Vossler (1872-1949) avait é́crit en 1925, dans “Geist und Kultur in der Sprache“ (Heidelberg, 1925, p. 185) : “Le bolchevisme et le communisme internationaux ont péné́tré́ la grammaire de l’espéranto“.


                            • Henri Masson 10 juin 2008 18:46

                              Ah ! Au fait ! j’ai oublié que ce même Karl Vossler, après la seconde guerre mondiale,  avait exṕrimé́ un avis tout à̀ fait différent dans “Volkssprachen und Weltsprachen“ (Drei Fichten Verlag R. Vonficht 1946, p.25) : “Pourquoi donc pas maintenant, après les épreuves et expériences terrifiantes des deux guerres mondiales, ne doit pas apparaître, où que ce soit, une sorte de vrai poète de la ré́conciliation entre les peuples. Le poè̀te de la compréhension mondiale libre, non imposée, non censurée, du coeur à coeur battant loin de toutes les envies nationales. Pourquoi ne chanterait-il pas son espoir et sa foi dans l’humanité dans une langue n’appartenant à aucun peuple, la langue n’ayant ni des sortes de ré́miniscences ni d’orgueil, qui ne cultive pas dans son vocabulaire la jalousie et la vengeance ? Et pourquoi cette langue ne serait-elle pas l’espéranto ? Il nesera pas la langue parentale, mais la langue fraternelle. Je ne souhaite pas prophé́tiser, je ne connais pas l’avenir. Qui aurait aussi le courage de pré́voir les motifs et la langue d’un futur écrivain ! Si j’avouerai et serai sincè̀re, je ne peux que dire : J’ai de l’espoir, et c’est, certes, le sens de l’espéranto...

                               smiley


                              • Qual 10 juin 2008 18:50

                                "pourquoi cette langue ne serait elle pas l’espéranto ?"

                                Et pourquoi le serait -elle ?

                                Typhon


                              • Finvinkisto 10 juin 2008 19:12

                                "Et pourquoi le serait -elle ?" Tout simplement parce qu’elle est plus efficace que les langues de communication internationale actuellement sur le marché ... Il suffit de sortir de sa condescendante psychorigidité pour en convenir !


                              • Qual 10 juin 2008 20:44

                                Vous voulez dire qu’il suffit de l’acquérir. J’ai déjà dit, et répété, que les "qualités intrinsèques" de l’espéranto, quoique douteuse à mes yeux, étaient peut-être tout à fait avérées.

                                Seulement les gens n’apprennent pas une langue parce qu’elle est facile, mais parce qu’ils y voient un avantage, à l’un ou l’autre titre. Et ceux de l’espéranto sont loins d’être évidents, si tant est qu’il en ait.

                                Typhon 


                              • Hermes esperantulo 10 juin 2008 22:48

                                Toute chose évolue quand les personnes auront de réelles informations au sujet de cette langue c’est à dire que les préjugés auront été éliminés et qu’il y aurat une information réelle et complete là dessus, ils décideront en toute connaissance de cause. Des cas il en existe tout plein le début du téléphone, le début de la télé avec tout son lots de préjugés, d’autres n’ont pas réussi comme la visiophonie ( qui fu remplacé par la web cam) ou le concorde ou l’avion de chasse francais ( rafale je crois).

                                Bien sur la mise en place de l’esperanto ne se ferait pas du jour au lendemain, la premiere :option au bac, la seconde : création de postes d’enseignant d’esperanto pour sa valeur propédeutique comme premiere langue à apprendre (voir un de mes articles).

                                Ensuite mise en place de la langue dans d’autres pays. A partir d’une masse critique d’éleves la proportion de personnes ayant apprise l’esperanto serait égale à celle ayant apprise l’anglais, effet accelerateur et surtout zone critique refus ou acceptation de l’esperanto comme langue de travail plus performent que l’anaglis dans le monde des entreprises. En cas de refus, rechercher les causes, tendance nationaliste, peur de l’autre, ou tout simplement pas de besion réel d’une langue internationale, ect. En cas d’acceptation modification en profondeur des programmes, et mise en place d’un réel projet de plurilinguisme diversifier et efficasse ( LV1 esperanto et LV2 et LV3 deux langues nationales ou régionales).

                                Qu’en est’il actuellement la premiere étape n’est m^me pas franchie et sans elle rien ne peut comencer à avancer.

                                Un exemple concret avantageset inconvéient de MS office et Open office. MS le plus répandu mais payant. Open office peu répandu mais gratuit. Comme il existe un probleme de compatibilité entre les deux systemes de traitement de texte et du fait du monopole de MS, forcement l’un l’emporte ( effet blue ray) par contre l’effet gratuité est avantageuse pour des particuliers qui ne cherchent pas à échanger les documents ou dans les services d’administration n’ayant pas de contact avec le monde extérieur de l’entreprise.

                                Donc actuellement l’open source gratte de plus en plus sur MS et avec l’arrivé de googgle et de son service de document open source par internet, augmantation possible de l’open source. Ha un moment une masse critique arrivera qui fera que MS perdra le monopole voir s’éffondrera selon l’envie du monde industriel. Bien sur il est possible que cela ne se face pas dans le cas ou MS réussi à garder une longueur d’avance sur la capacité de ses programmes.

                                Bon d’autres exemples par exemple le livre électronique, quand il sera possible d’avoir des livres nulériques ayant un prix sufissament bas pour rentabiliser l’appareil qui ce dernier doit avoir encore quelques améliorations ( coleur et capacité de comenter), il est tout a fait possible d’imaginer une nouvelle facon de lire, comme ce fut le cas de la machine à écrire à sa forme informatique.

                                Autre exemple linux vs windows, windows restera premier tant que linux ne sera pas plus simple d’utilisation et tant que les programmes ne seront pas tous compatibles linux. Donc comme la majorité des gens regardent des films ou font des jeux vidéo il est actuellement néccesaire d’avoir windows, mais si par contre on ne veut qu’un traitement de texte et internet, linus suffit amplement

                                Pour ma part je suis sous windows, mais j’utilise les logiciels libres mais certaines de mes applications professioneles ne fonctionnent que sous windows Le reader electronique pas maintenant car pas rentable pour moi et l’esperanto non utile au niveau professionel, comme l’anglais, mais qui m’apporte pleins de joies personelles


                              • Qual 10 juin 2008 23:02

                                Ensuite mise en place de la langue dans d’autres pays. A partir d’une masse critique d’éleves la proportion de personnes ayant apprise l’esperanto serait égale à celle ayant apprise l’anglais, effet accelerateur et surtout zone critique

                                Ce qui n’arrivera jamais.

                                 

                                refus ou acceptation de l’esperanto comme langue de travail plus performent que l’anaglis dans le monde des entreprises.

                                Non, l’e-o n’est pas "plus performant" , et ça ne veut rien dire, une langue n’est pas plus ou moins performante qu’une autre, elles sont justes différentes...

                                 

                                 En cas de refus, rechercher les causes, tendance nationaliste,

                                Et voila, le mot est laché "nationalisme" comme si c’était honteux de préférer sa langue nationale à un sabir pseudo-international parlé par trois pelés et un tondu.

                                peur de l’autre,

                                Aucun rapport.

                                ou tout simplement pas de besion réel d’une langue internationale.

                                On en a déjà une : l’anglais, et il semble que personne ’ait besoin d’une deuxième, auquel cas un autre langue nationale y suppléerait.

                                En cas d’acceptation modification en profondeur des programmes, et mise en place d’un réel projet de plurilinguisme diversifier et efficasse ( LV1 esperanto et LV2 et LV3 deux langus nationales ou régionales).

                                Hop, alors on imposerait l’espéranto en LV1 ? Ce qui serait la seule manière d’en répandre l’usage. Réfléchissez, si l’e-o n’est pas plus répandu, il y a peut-être une raison...

                                Typhon


                              • Hermes esperantulo 10 juin 2008 23:34

                                Typhon il ya une énorme difference d’approche entre nous, moi de mon coté je projete des hypotheses, vous de votre coté ne faites que croire.

                                Et d’autre part mon raisonnement se fait par l’acceptation des gens de leur propre concience au départ et non par imposition.

                                Au passage oui l’esperanto est mieux plus facile à apprendre tout en donnant les mêmes qalité qu’une langue nationale donc laisse plus de choix à la diversité des langues. Nationalisme, pas celui que vous croyez, c’est celui de ma langue est la meilleur et la seule, donc la loie de la jungle, on peut amier sa langue et justement selon moi promouvoir l’esperanto c’st promouvoir sa propre langue grace à l’effet d’une augmentation de la diversité par l’esperanto.

                                Mais bon quel est l’interet d’en parler ici, l’internet regorge d’information la dessus, donc pas besion de chercher à faire un roman ici


                              • Henri Masson 11 juin 2008 14:32

                                Évidemment qu’on ne nous met pas le pistolet sur la tempe pour nous contraindre à apprendre et à utiliser l’anglais. Mais il existe des façons plus subtiles de pousser des populations à faire ce qui va à l’encontre de leurs intérêts sans avoir l’air de les contraindre, de les obliger. Il n’y a que des décervelés pour ne pas s’en rendre compte. Et les anglolâtres sont impardonnables du fait que c’est un pur anglophone, pas une pâle copie d’anglophone, qui a dénoncé le mécanisme d’aliénation et d’asservissement : le professeur Herbert I. Schiller, dans (entre autres) "Décervelage à l’américaine" http://www.monde-diplomatique.fr/1999/08/SCHILLER/12381

                                Il y a pas mal d’ouvrages qui touchent ces sujets :

                                EN "Linguistic imperialism". Robert Philippson. Oxford : Oxford University Press. 1992.
                                EN "English-Only Europe ?". Robert Phillipson. London : Routledge. 2003.
                                EO "Ĉu nur-angla Eŭropo ?". Robert Phillipson. Rotterdam : UEA. 2004 .
                                EN "The Cultural Politics of English as an International Language". Alastair Pennycook. London : Longman. 1994).
                                EN "English and the discourses of Colonialism". Alastair Pennycook. London : Routledge. 1998.
                                FR "Le défi des langues". Claude Piron. Paris : L’Harmattan. 1994.
                                FR "La mise en place des monopoles du savoir". Charles Durand. Paris : L’Harmattan. 2002).
                                FR "La nouvelle guerre contre l’intelligence". Charles Durand. Paris : François Xavier de Guibert. 3 vol., 2002-2003.

                                Un autre anglophone, pur jus lui aussi, Aldous Huxley, avait mis en garde en 1931 : "A une époque de technologie avancée, le plus grand danger pour les idées, la culture et l’esprit risque davantage de venir d’un ennemi au visage souriant que d’un adversaire inspirant la terreur et la haine."

                                L’Anglo-American Conference Report 1961 avait déjà mis le processus en branle pour que les gouvernements et les peuples non anglophones n’y voient que du feu.

                                J’ai été maintes fois accusé d’"anti-américanisme primaire" par des gens victimes de ce décevelage. Je n’aime et n’estime ni plus ni moins les habitants des EUA que ceux de Grande-Bretagne et d’autres pays. Ce n’est pas rendre service à des amis que de les encourager sur la voie d’une dérive.

                                À propos de la régression de l’enseignement de l’allemand et des autres langues, j’ai l’impresssion qu’il y a quelque chose qui cale dans les sources de Qual, comme de son gourou Asp Explorer (sic ! que sait-il explorer hormis son garage à plumes ?). Ce sont les mêmes, tout comme la manière d’agir sacrément "scientifique" qui consiste d’abord condamner puis à s’efforcer ensuite de trouver coûte que coûte des raisons de condamner ! Alors, plutôt que de faire des recherches autour d’Alain, qui a contribué à répandre des préjugés sans même bien savoir ce qu’était l’espéranto (à son époque il y avait les grands linguistes Michel Bréal, André Martinet, Baudoin de Courtenay, qui avaient un avis tout à fait différent), mieux vaudrait revenir dans le monde réel d’aujourd’hui. Alain à fait amalgame du volapük, de l’espéranto et de l’ido sans en connaître la différence, sans savoir que le déclin du volapük a commencé et 1889, deux ans après la publication du premier manuel de Langue Internationale du Dr Espéranto, et que l’Ido commençait déjà à faire des petits toujours plus parfaits que l’original dont les noms sont de loin plus ignorés aujourd’hui que celui du volapük :

                                Dutalingue 1908
                                Romanizat 1908 (l’auteur a ensuite rallié l’espéranto)
                                Itlico 1909
                                Ispirantu et Occidental 1909
                                Adjuvilo 1910
                                Nuv-Esperanto 1910
                                Latin-Ido 1911
                                Esperanto de Stelzner
                                Etem 1917
                                Unesal 1923
                                Idiome Federale 1923
                                Ido avancit 1925
                                Esperido 1925
                                Cosman 1927
                                Novam 1928
                                Mundial 1930
                                Sintesal 1956
                                Intal 1956
                                Kosmolinguo 1956
                                Globaqo 1956

                                Pour en revenir à l’allemand, il est connu que bon nombre de classes d’allemand sont fermées, toujours au profit du seul anglais. Et les rapports Legendre (1995-1996, puis 2003-2004) et Herbillon (2003) sont éloquents sur la débâcle des langues face à “l’hégémonie écrasante de l’anglais.

                                Rapport Legendre
                                Rapport d’information n° 73 (Sénat) 1995
                                p.5 - "L’évolution actuelle se traduit en effet par l’hégémonie écrasante de l’anglais, une régression des grandes langues européennes de proximité et une disparition progressive des langues dites rares qui sont pourtant utilisées par des populations considérables de la planète.
                                Le recul de l’allemand et de l’italien, "le naufrage lusitanien", la place résiduelle laissée à certaines langues de l’Union européenne, néerlandais, grec, langues scandinaves, la part restreinte réservée aux grandes langues de la planète, russe, chinois, japonais, arabe, constituent autant d’éléments d’une évolution qui tend à élargir le "cercle des langues disparues
                                ".

                                Il parlait aussi de “pari manqué de la diversification des langues”, et signalait ”une régression des grandes langues européennes de proximité et une disparition progressive des langues dites rares qui sont pourtant utilisées par des populations considérables de la planète”...

                                Ça fait déjà pas mal d’années que des inquiétudes sont exprimées par des professeurs d’allemand du fait de la suppression de classes même lorsqu’il y a de la demande et même dans des zones frontalières franco-germaniques

                                http://site.voila.fr/alsacezwei/francais/alaune/actualites/CCImars2007.htm


                                • Qual 11 juin 2008 18:23

                                  Cher M. Masson, permettez moi de vous dire que j’ai trouvé votre principal défaut : vous avez parfois de bonnes idées mais vous êtes incapable de le les développer.

                                  J’ai lu votre message et je note un effort louable : la documentation est toujours un plus, lorsqu’on veut crédibiliser ses thèses ridicules. Cependant, je doit vous avertir que le synopsis de votre théorie du complot est bien trop pauvre et trop linéaire : le complot anglosaxon pour la domination mondiale manque de détails horrifiants, est à peine ébauché. L’ensemble de la rédaction est bâclé comme ce n’est pas tolérable, et la mise en scène souffre d’un manque criant de réalisme. M. Masson, ressaisissez-vous, car vous pouvez mieux faire. Révisons quelque points fondamentaux :

                                  • Les aliens : Une bonne conspiration doit être accompagnée de son délire ufologique, sans lequel on ne pourrait pas lier les satellites de la NASA, la CIA et les hommes qui n’ont jamais marché sur la lune, sans oublier les tyrannosaures geek cyclistes
                                  • Les trahisons : Un bon complot est, par définition, tortueux et à géométrie variable, alors que vous ne montrez pas le moindre retournement de situation poindre.
                                  • Le suspens et le rythme sont également importants...

                                  Bon, allez, 8/20 pour vous encourager, mais c’est bien payé...

                                  Mais si vous ne faites pas le moindre effort, le redoublement tombera comme un couperet !

                                  Typhon

                                   

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