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Accueil du site > Tribune Libre > Notes sur la pédophilie et les seuils de consentement

Notes sur la pédophilie et les seuils de consentement

La pédophilie a été définie par l’UNESCO comme relation sexuelle avec un enfant de moins de 13 ans ; les Romains fixaient à 14 ans la fin de l’enfance.

La différence d’âge avec le partenaire doit être supérieure à 5 ans (p > e + 5) ; ainsi, une relation 11-15 n’est pas considérée comme de la pédophilie. Cette définition semble raisonnable. À 13 ans et demi, demandera-t-on, on est où ? L’ennui de ces limites d’âge est qu’elles supposent que tous les êtres sont construits sur le même modèle, alors que le temps de la maturité est différent de l’un à l’autre. Cela suscite des hésitations juridiques et des polémiques politiques.

La pédophilie a été définie lors d’un colloque de l’UNESCO à Paris en janvier 1999 comme relation sexuelle avec un enfant de moins de 13 ans (e < 13), faute d’un âge précis pour la fin de l’enfance – la puberté, que les Romains, eux, fixaient à 14 ans depuis le règne de l’empereur Justinien Ier. Selon cette définition, la différence d’âge avec le partenaire doit être supérieure à 5 ans (p > e + 5) ; ainsi, une relation 11-15 n’est pas considérée comme de la pédophilie. Nous adoptons cette définition qui semble raisonnable. À 13 ans et demi, demandera-t-on, on est où ? L’ennui de ces limites d’âge est évidemment qu’elles supposent que tous les êtres sont construits sur le même modèle, alors que le temps de la maturité est différent de l’un à l’autre. C’est valable aussi pour la majorité pénale des "jeunes" de nos banlieues.

« Au point de vue psychanalytique, il existe une différence considérable entre le pédophile qui cherche des aventures avec les jeunes impubères et l’homosexuel qui pratique son homosexualité avec des adolescents déjà pubères, même plus que pubères » (Dr Marcel Eck, "L’homosexualité", exposé aux Journées nationales de l’U.N.A.P.E.L., 7 et 8 juin 1975).

 Le sexologue Magnus Hirschfeld opposait aux gérontophiles les pédophiles « qui recherchent les enfants non pubères » (Anomalies et perversions sexuelles, 1957). La définition de l’Association des psychiatres américains retient, elle aussi, le rapport sexuel avec un enfant âgé de treize ans au plus. Selon une étude de Catherine Montiel et Renaud Fillieule (cf "La pédophilie", Synthèse, n°3, juin 1997, et La Pédophilie, IHESI, 1997), "il s’avère nécessaire de retenir la définition psychiatrique : la pédophilie est [...] une attirance sexuelle pour les enfants pré-pubères. Elle ne concerne pas les atteintes sexuelles sur les jeunes adolescents pubères, et il faut également la distinguer de l’inceste qui se limite strictement au cadre familial."

 « Le développement physique et moral de l’enfant variant suivant les races et les climats, nous devons trouver, dans chaque pays, une présomption [de consentement] différente ».

Le rapporteur Horstkotte concluait à la nécessité de réprimer ce qui correspond à peu près à la pédophilie, de fixer un âge précis, et proposait quatorze ans, soit le seuil romain qui a été repris par le droit canon.

La loi 98-468 du 17 juin 1998, dite loi [Ségolène] Royal, a renversé la tendance, en portant la peine à cinq ans d’emprisonnement et 500 000 F d’amende (article 227-25 du nouveau Code pénal) ; des parlementaires ont proposé, sans succès, d’y ajouter l’imprescriptibilité (Ppl N° 200 enregistrée à la Présidence de l’Assemblée nationale le 24 septembre 2002).

Dans une affaire aussi triste que celle du professeur Gabrielle Russier, cet article 227-27 offrirait un deuxième chef d’inculpation ; à l’époque, la malheureuse [elle s’est suicidée après son incarcération] n’avait été poursuivie que pour détournement de mineur (article 356 de l’ancien Code). L’Allemagne possède une disposition analogue (article 174).

La tolérance de la pédophilie attribuée à l’Ancien Régime français n’a jamais existé ailleurs que dans l’imagination de l’historien Philippe Ariès, comme le montrent de très nombreux témoignages littéraires, historiques et judiciaires. Selon le juge Horstkotte : « La thèse suivant laquelle les infractions sexuelles contre les mineurs sont des attaques contre une victime considérée individuellement, sa liberté et son intégrité, n’est pas une idée moderne, mais une idée profondément enracinée dans l’histoire du droit. » Cette déclaration souffre cependant de l’ambiguïté du terme de mineur : moins de 25 ans sous l’Ancien Régime ! Mais elle est vraie si l’on remplace mineurs par enfants. Contrairement à ce que Monseigneur Patenôtre avait pu déclarer à la télévision, à toutes les époques on avait clairement identifié la pédophilie.

Dans un entretien avec Michel Onfray (Philosophie Magazine, avril 2007) Nicolas Sarkozy assurair "incliner (...) à penser qu’on naît pédophile, et c’est d’ailleurs un problème que nous ne sachions pas gérer cette pathologie". Au micro de la radio R.T.L., Monseigneur André Vingt-Trois, archevêque de Paris, s’était élevé, début avril 2007, contre toute tentation d’eugénisme : "Surtout, ce que me paraît plus grave, c’est l’idée qu’on ne peut pas changer le cours du destin. C’est vrai quand on prend la perspective génétique, mais c’est aussi vrai quand on prend la perspective sociologique. Parce que dire que quelqu’un est pré-déterminé par la famille qui l’a entouré, par les conditions dans lesquelles il a vécu, ça veut dire que l’homme est conditionné absolument. » Curieux, cette promptitude de ces prélats à voler au secours des pédophiles …

L’enfant reste moins bien protégé qu’avant 1980 pour les atteintes non violentes ; en revanche la répression du viol sur mineur de moins de quinze ans et des agressions sexuelles a été renforcée. Par ailleurs l’adolescent est davantage contrôlé : un seuil de 18 ans est applicable depuis la loi du 23 décembre 1980 à l’entourage, familial ou éducatif ; cette disposition a pour origine un amendement du sénateur socialiste Laurent Tailhades (article 331-1 de l’ancien Code pénal) ; elle constitue aujourd’hui l’article 227-27 du Nouveau Code pénal et n’a rien à voir avec la répression de la pédophilie ; elle se rapprocherait plutôt de la lutte contre le harcèlement sexuel sur le lieu de travail ... - La loi 80-1041 du 23 décembre 1980 remplaça le crime d’attentat à la pudeur sans violence sur mineur de moins de quinze ans par un simple délit, punissable d’une peine de 3 à 5 ans d’emprisonnement et d’une amende de 6 000 F à 60 000 F ou de l’une de ces deux peines seulement ; il n’y avait eu, lors des débats, que les parlementaires communistes pour s’opposer à cette indulgence. Le Nouveau Code pénal en vigueur depuis 1993 a encore réduit, à 2 ans d’emprisonnement et 200 000 F d’amende (article 227-25), la peine encourue pour une telle relation sexuelle. Cette évolution a pu légitimement inspirer la théorie de la "société complice" (déclarations de l’archevêque Jacques Jullien à Ouest-France, 8 août 1997). Mais que dire de l’Église elle-même, bien avant le curieux comportement des évêques Jacques Gaillot et Pierre Pican dans l’affaire Vadeboncœur - À la fin des années 1970, une commission d’experts gouvernementaux des pays du Conseil de l’Europe étudiait la possibilité de réduire les peines appliquées aux infractions relatives aux seuils de consentement, donc aux infractions commises par les pédophiles. Cette volonté d’harmonisation des Codes pénaux européens allait à l’encontre de considérations climatiques anciennes, reprises par le juriste R. Garraud : – Au début du XIXe siècle, pédophilie signifiait "amour des enfants", sans implication sexuelle, comme en témoigne le dictionnaire Littré. L’expression pédophilie érotique, traduite de l’allemand, avait été proposée en 1906 par le Dr A. Forel. Par la suite, on abrégea en pédophilie, et le pédophile est devenu un type homosexuel parmi d’autres (efféminés, folles, hypervirils) la pédophilie homosexuelle masculine apparaissant prépondérante. - Il convient de distinguer entre pédophilie et pédérastie, : 4 ou, dans le cas de l’Éducation nationale, des autorités académiques, dans l’Eure et ailleurs ?
 

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121 réactions à cet article    


  • Capone13000 Capone13000 10 septembre 2009 10:52

    Hier sur RMC un auditeur a interpellé Yves Bertrand qui dans ses carnets parlait d’un ministre pédophile, et bien évidémment cette affaire a été éttouffée, pourtant ce ministre est encore vivant et à tendance à porter des chemises roses...


    • monbula 10 septembre 2009 12:55

      Je donne ma lang.... au chat.....


    • Gazi BORAT 10 septembre 2009 12:58

      Ah, bon ?

      C’est pas le neveu ?

      Heureusement que je ne suis pas parieur, j’aurais encore perdu..

      Voila ce que c’est que de ne pas lire « Gala », on n’est jamais au courant de la vie des personnalités..

      gAZi bORAt


    • Fredo Pattayand Fredo Pattayand 10 septembre 2009 13:49

      Des ministres pédophiles ? Allons, allons.


    • LE CHAT LE CHAT 10 septembre 2009 15:04

      @MONBULA

      Je donne ma lang.... au chat.....

      Merci bien , tu peux la garder , je préfère celles là !


    • french_car 10 septembre 2009 17:07

      Capone c’est une accusation grave et elle peut être attaquée en justice, je m’étonne de ce que la modération n’intervienne pas.


    • french_car 10 septembre 2009 17:11

      Ici un lien vers un article ancien de l’Obs qui récapitule les délires d’Yves Bertrand le parano :

      http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2294/articles/a386428-le_grand_manipulateur.html


    • Mmarvinbear mmarvin 10 septembre 2009 23:29

      Comme pour les mariages !

      S’il a un nom à dire, qu’il le donne, ou qu’il se taise à jamais !


    • Jiache 10 septembre 2009 11:13

      @ l’auteur

       « Le développement physique et moral de l’enfant variant suivant les races et les climats, nous devons trouver, dans chaque pays, une présomption [de consentement] différente ».

      Cette phrase nous est jetée à la figure sans aucune explication. Ça sort d’où, c’est de qui, ça veut dire quoi ?


      • Gazi BORAT 10 septembre 2009 12:13

        « Le développement physique et moral de l’enfant variant suivant les races et les climats, nous devons trouver, dans chaque pays, une présomption [de consentement] différente ».

        Là, je verrais bien une certaine justification du tourisme sexuel.

        Les amateurs de ce genre de voyages vous expliquent en général doctement qu’en Thaïlande, les petites filles deviennet « femmes » plus tôt qu’en nos latitudes..

        gAZi bORAt


      • ZEN ZEN 10 septembre 2009 12:28

        @ Gazi
        Assez d’accord
        Je trouve cet article trés équivoque


      • Karl-Groucho 10 septembre 2009 13:44

        Eh oui... Il a dit ou cité « race » (il n’y en a qu’une, la race humaine).
        Pour le reste, il faudrait autrechose que de l’info en vrac, comme un puzzle collage... Un peu d’analyse et de synthèse. Non ? Au passage, il m’a même semblé voir réapparaître les monstruosités rétros du genre homosexuel = pédophile.


      • ZEN ZEN 10 septembre 2009 13:51

        @ K.Groucho
        Désolé
        Il y a une espèce humaine
        Le terme de race est inadapté pour le genre humain, en toute rigueur
        Je suis aussi perplexe devant cet article désordonné , qui reste de ce fait équivoque


      • faxtronic faxtronic 10 septembre 2009 14:53

        Les races, rangees par categories et selon la forme du crane ou la couleur du prepuce, et que chaque race a ses qualites et ses defauts, et peuvent classe par ordre de grandeur, de taille, d utlite ou de force, se transmettent par la mere dans le sud, par le pere dans le nord et par le saint esprit partout dans le monde. Enfin c est que j ai lu dans un vieux bouquin.

        Plus serieusement : Une race (transmissions des traits morphologique et physiologique), c est comme pour les chiens, cela existe mais on s en fout. Un chien est un chien. Comme un humain est toujours un humain, quelque soit sa race.
        Y a t il des imbeciles que considerent un rapport hierarchique entre un teckel et un labrador ? Et pourtant la plasticite morphologiques des canins est infiniment superieure a celle des humains, et il y a aussi un continuum des variations des traits morphologiques.

        Il y en assez de coller aux mots des tabous, sous pretextes qu il y a 30% d imbeciles dans le monde. Supprimez le mot « Race », il le remplaceront par « Religion », ou « Nationalite ». Cela ne change rien a l affaire.


      • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 10 septembre 2009 17:58

        Effectivement, il manque un passage dans le texte. Je rétablis l’ensemble :

        À la fin des années 1970, une commission d’experts gouvernementaux des pays du Conseil de l’Europe étudiait la possibilité de réduire les peines appliquées aux infractions relatives aux seuils de consentement, donc aux infractions commises par les pédophiles et une partie des pédérastes [M. H. Horstkotte, L’Âge et les conditions du consentement dans le domaine sexuel, volume XXI des Études relatives à la recherche criminologique, Strasbourg : Conseil de l’Europe, 1984, pp. 186, 215, 220, 222]. Cette volonté d’harmonisation des Codes pénaux européens allait à l’encontre de considérations climatiques anciennes, reprises par le juriste R. Garraud : 

         « Le développement physique et moral de l’enfant variant suivant les races et les climats, nous devons trouver, dans chaque pays, une présomption [de consentement] différente ». [Traité théorique et pratique de droit pénal français, Paris : Sirey, 1924, tome 5, § 2071.]

        Le rapporteur Horstkotte concluait à la nécessité de réprimer ce qui correspond à peu près à la pédophilie, de fixer un âge précis, et proposait quatorze ans, soit le seuil romain repris par le droit canon. 


      • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 11 septembre 2009 14:19

        @ Renève :

        avant de vous exciter contre moi, voyez plus haut, le message de 10 septembre 17:58 qui rétablit le texte exact ; ce qui vous dérange n’est qu’une citation.


      • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 11 septembre 2009 14:22

        @ Renève :

        Par ailleurs je vous signale que la Constitution de 1958, le Préambule de 1946 et 17 articles du Code pénal disent : race.


      • Gazi BORAT 10 septembre 2009 12:10

        @ L’Auteur

        Un peu facile, non ? votre attaque contre Mgr Vingt-Trois dont vous jugez curieuse cette promptitude de prélat venant au secours de pédophiles..

        Je n’y vois nulle défense de la pédophilie ni de ses adeptes mais une réfutation des prétentions de Nicolas Sarkozy à plaquer du « génétique » sur les comportements humains « déviants ».. et une certaine confiance en la modifiabilité comportementale de l’homme à titre général et non point dans le cadre des pulsions pédophiles.

        gAZi bORAt


        • monbula 10 septembre 2009 12:49

          En regardant bien, l’Eglise Catholique se montre de plus en plus moderne.

          Ses positions sur la génétique, l’euthanasie et sur la pédophilie par exemple paraissent tout à fait dans le sens de l’Histoire.

          L’Eglise Catholique donne une ligne générale. A nous, de savoir lire entre les lignes


        • Gazi BORAT 10 septembre 2009 13:06

          @ MONBULA

          Je me situe comme Sigmund Freud : très tolérant en matière de liberté sexuelle, m^me si, personnellement, je n’en use pas et suis plutôt « classique » en ce domaine.

          Mais pour ce qui est de la « tolérance » à la pédophilie : NIET !

          Il est trop facile au désir de l’adulte de manipuler l’enfant...

          gAZi bORAt


        • monbula 10 septembre 2009 13:46

          Pour gAZi bORAt

          Il est trop facile au désir de l’adulte de manipuler l’enfant...

          Mais l’inverse existe aussi et il faut gérer...


        • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 10 septembre 2009 18:14

          A Monbula :

          Il y a bien longtemps que l’Eglise catholique a des problèmes avec ses prêtres pédophiles ; quelques exemples parmi beaucoup d’autres :

          - En 1868, fut publié l’ouvrage d’E. Alexis, Les Immoralités des prêtres catholiques ; l’auteur proposait la solution de la castration des prêtres.
          - En 187., scandale du vicaire de Villiers-le-Bel (Val d’Oise actuel). « Sous prétexte de continuer leur instruction religieuse, il emmena un jeudi sept ou huit de ces garçonnets dans la forêt d’Ermenonville, et là, dans un fourré, il se déshabilla, se mit complètement nu, et entourant son corps de petites branches et de tiges de lierre arrachées aux arbres du fourré, il prit devant ces enfants des poses de faune au bois et les excita par des caresses – auxquelles quelques uns se prêtèrent. Au retour l’un d’eux, que ce spectacle avait révolté, en fit le récit au chef de l’institution, qui prévint immédiatement, non pas le parquet, de crainte d’un scandale qui portât préjudice à la maison, mais l’évêque de Versailles : celui-ci se contenta de changer le vicaire de commune. » (L. Fiaux, La Police des mœurs en France, Paris : E. Dentu, 1888).
          - En 1873, L. Baudier publie chez Millière Arlequin démocratique et on y trouve, pp. 89-240, une partie intitulée « Sur les genoux de l’Église ».
          - « En 1885, dans la commune de Gleizé [Rhône], la plupart des enfants de l’école congréganiste furent souillés par un de leurs maîtres », écrit le Dr Alexandre Lacassagne en 1886 (Article « Pédérastie », Dictionnaire Encyclopédique des Sciences Médicales, vol. 22).


        • monbula 10 septembre 2009 21:00

          Pour Courouve

          D’accord avec vous, mais je ne suis pas là pour défendre l’Eglise Catholique.

          il faudrait marier leurs curés. C’est plus sain chez les orthodoxes.


        • jidejeandominique jidejeandominique 11 septembre 2009 08:25

          J’apprécie la culture de Courouve, mais je constate que, dans la réponse que je commente, il commet une faute majeure et qu’il manque de perspective :

          La faute

          Parler de prêtres pédophiles, c’est faire croire que les prêtres condamnés pour abus sexuels sur mineurs étaient principalement attirés par des enfants prépubères. Or c’est faux et de nombreuses études américaines, dont les résultats sont reproduits dans le Boston Globe, montrent que, dans 80% des cas, les prêtres américains condamnés le furent pour avoir accomplis des actes sexuels avec des garçons pubères. Il serait plus juste de parler de prêtres pédérastes.
          En réalité Courouve (en pleine contradiction avec lui-même), comme tous les journalistes, étend le vocable « pédophile » à toute personne ayant accompli un acte de nature sexuelle avec une personne mineure de moins de 18 ans.

          Le manque de perspective

          Stigmatiser la « pédophilie » des prêtres catholiques, c’est oublier de considérer la situation des autres religions. Les statistiques dans ce domaine manquent. Mais d’après les études les plus sérieuses (encore américaines) réalisées sur ce sujet, rien ne permet d’affirmer que les prêtres catholiques comprendraient dans leurs rangs un pourcentage de « pédophiles » plus élevé que les popes orthodoxes ou que les imans musulmans. Rien ne permet d’ailleurs d’affirmer que ces prêtres catholiques, au contacts d’« enfants », se comportent différemment des éducateurs et professeurs laïcs placés dans les mêmes situations.

          Conclusion

          Ce sujet est trop sensible pour en espérer un traitement sérieux. Dommage !


        • Gazi BORAT 11 septembre 2009 08:39

          @ jidejaendominique

          Etablir des statistiques en ce domaine est complexe et leur analyse plus encore.

          Pour ce qui est des personnes que leur professon met en contact avec les enfants.. Comment séparer ceux s’étant vu « révélés » des pulsions à l’occasion de cette mise en situation et ceux ayant choisi ce type de professions pour être le plus en contact possible avec leur objet de désir.

          Il n’existe pas de profil unique du pédophile : entre celui qui sera soulagé d’être condamné car conscient du caractère destructeur de ses pulsions et celui qui se situera dans une attitude de déni complet..

          Le sujet est délicat, vous avez raison de le souligner..

          gAZi bORAt


        • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque 20 avril 2010 11:52

          « Prêtres pédophiles », je suis bien d’accord, est un abus de langage de la presse. Je le déplore d’autant plus que dans mes notes, j’ai bien insisté sur la distinction à faire, et connue depuis Platon, entre les pédophiles et les pédérastes.

          Sur les écarts sexuels des religieux d’autres religions commis en France, je n’ai encore trouvé aucune donnée.

          http://laconnaissanceouverteetsesdetracteurs.blogspot.com


        • lord_volde lord_volde 10 septembre 2009 12:36

          Comment se nomme le type rouquin, éducateur de profession, qui se faisait toucher le zizi par des enfants allemands à l’occasion de leur encadrement parascolaire ? Un rouquin Franco-Allemand qui avait été expulsé par le minsitre de l’intérieur Marcelin à la suite d’une émeute estudiantine contre les forces de l’ordre en 1968 que le général de Gaule qualfiait de « chienlit ».


          • Gazi BORAT 10 septembre 2009 12:55

            Personnellement et pour des raisons idéologiques, je n’apprécie pas Daniel Cohn Bendit.

            L’affaire que vous évoquez est la polémique tirée d’un extrait de son livre « Le Grand Bazar » où, travaillant dans une crêche « militante » en Allemagne, il évoque son desarroi devant des manifestations de sexualité enfantine et surtout son incapacité à se situer dans une telle situation et en restant en accord avec l’esprit de l’époque : c’est à dire les théories anti autoritaires brouillonnes de l’après soixante huit... et aussi le rejet expérimental de toutes normes, notamment sexuelles.

            On ne peut lui reprocher une certaine honnêteté dans cet écrit et il est difficile d’y voir une incitation à la pédophilie ou une justification de celle ci.

            « « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas les autres gosses ?”. Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même »

            Des écrivains »spécialisés« comme Bourgeade ou Matzneff ont été nettement plus équivoques, voire carrément »glauques«  sur ces questions, sans que l’opinion, ni ne s’en émeuve, ni n’empèche les bonnes ventes de leurs ouvrages, ni non plus ne les rende »personae non gratae« sur les plateux des émissions télévisées littéraires..

            Certains, que l’on pourrait qualifier de »personnalités perverses« se sont engouffré dans cette brêche, profitant de la »parole libérée« à la fin des années soixante dix : c’est ainsi que je me souviens des confidences sordides d’un type se revendiquant »violeur d’enfants" dans un n° de Libération.

            Voilà pour le contexte..

            Il y a tellement de choses à reprocher à Cohn Bendit que ces accusations de pédophilie, que relança dernièrement son ami Bayrou ne sont pas des plus pertinentes..

            gAZi bORAt


          • french_car 10 septembre 2009 16:26

            Quel rapport avec le sujet ?
            Tout a déjà été dit sur le sujet, aussi bien par le grand benêt qui a pris sa claque aux Européennes que par l’intéressé lui-même.


          • french_car 10 septembre 2009 16:33

             Gazi effectivement la pédophilie de Matzneff semblait tout à fait tendance il y a 30 ans, je me souviens d’une émission de Pivot où ce dernier se montrait tout à fait complaisant et la seule à réagir fut la Canadienne Denise Bombardier avec sa véhémence habituelle. L’auditoire en était aussi scandalisé que Matzneff et pourtant le mot pédophilie ne fut pas prononcé, Denis Bombardier évoquant simplement l’avenir des fillettes de 13 ou 14 ans que Matzneff alors agé de plus de 40 ans se vantait de déflorer à la douzaine !


          • lord_volde lord_volde 10 septembre 2009 17:16

            Ok. Si j’ai bien compris ton raisonnement, et tu me corrigeras en cas d’erreur d’interprétation, les aveux de son laisser-faire ou de son laisser-aller à l’endroit des enfants dont les mains carressant son membre viril lui prodiguaient des plaisirs non dissimulés l’exonère de l’accusation stigmatisante de pédophilie. C’est au nom de son honnêteté à retranscrire dans un ouvrage ses expériences sexuels avec des petits enfants innocents qu’il doit être absous de toute condamnation, fut-elle morale.

            S’il est vrai que bcp se taisent sur leur penchant sexuel envers les enfants, celà n’excuse en rien l’attitude et le comportement de ce vilain rouquin à la mine effaré qui bondit de stupeur à la moindre évocation de son passé pédophile.
            J’ai vu des personnes qui ont été condamnées avec sévérité pour moins que ça, mais ce Monsieur sérieux qui a des amis bien placés dans les hautes sphères d’influence, doit absolument échapper aux récriminations tendant à lui reprocher un passé pour lequel il n’a jamais rendu compte à la justice. 
            Le plus grave dans cette affaire, c’est d’abord qu’il occupait des fonctions d’éducateur spécialisé, et qu’il a profité de la situation conférée par sa fonction pour s’adonner à une activité ludique mêlant éducation sexuelle et édonisme teinté d’égotisme, ensuite qu’il ne s’est jamais repenti de ses actes qu’il glorifiait dans un livre à la mode d’autrefois, et enfin, qu’il ose donner des leçons de morale partout où il passe tout en se taisant sur les horribles crimes perpétrés par l’armée sioniste sur des enfants en particulier et des civils en général.
            A mon sens, il n’a aucune crédibilité et ses discours politiquement corrects sont formatés par le modèle de la pensée unique. 


          • lord_volde lord_volde 10 septembre 2009 17:19

            erratum : expériences sexuelles.


          • Gazi BORAT 10 septembre 2009 17:27

            @lord_volde

            Vous me mettez en position de défendre Chn-Bendit..

            Ce que je ne ferai pas.

            J’ai cité le passage du livre pour lequel Chn Bendit fut mis en cause et aussi le contexte idéologique dans lequel il fut écrit.

            A chacun de juger..

            gAZi bORat


          • lord_volde lord_volde 10 septembre 2009 17:47

            Il a tout une armada de politicards véreux prête à défendre son honneur perdu en cas d’accusation tirées de son passé sulfureux. T’as pas envie de lui reprocher ses actes pédophiles au prétexte que c’était l’air du temps, mais tu ne le défendras pas pour des raisons différentes, si j’ai bien compris.
            Une petite condamnation de principe, ça ne mange pa de pain et ne devrait pas déranger outre mesure ta conscience tranquille.

            Un petit zeste en ce sens ne serait pas de refus ! Allez GaZi, un peu de peps et de courage. 


          • lord_volde lord_volde 10 septembre 2009 17:48

            rectificatifs : d’accusations.


          • Gazi BORAT 10 septembre 2009 17:48

            @french_car

            Je me rappelle, à propos de cette émission, d’un Brenard Pivot lisant avec un air de gourmandise des extraits de, si mes souvenirs sont bons, d’un journal écrit par Matzneff. Bien pire que le misérable passage reproché à Cohn Bendit...

            Matzneff, avec ses poses d’esthète raffiné.. bien loin d’une victime contraintes par des trop pressantes sollicitations de sexualités enfantines..

            gAZi bORAt


          • Gazi BORAT 10 septembre 2009 17:51

            @ lord_volde

            Le vertueux François Baÿrou l’a déja condamné..

            gAZi bORAt


          • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 10 septembre 2009 18:04

            Daniel Cohn-Bendit, Le Grand Bazar, Paris : P. Belfond, 1975. Dans le chapitre IX, « Little big men », on lit :

            « [page 198] J’ai travaillé pendant deux ans dans ce jardin. Il y avait des gosses entre deux et cinq ans. C’était une expérience fantastique. Si l’on est un peu ouvert, les enfants nous aident beaucoup à comprendre nos propres réactions. […] Au début j’étais plein d’énergie. Je jouais énormément, je me battais, bref je m’identifiais totalement à eux. Je me suis alors rendu compte que j’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi. Je crois que c’est le problème de toutes les grandes personnes avec les enfants. […] [199] Mon flirt permanent avec les gosses prenait vite des formes d’érotisme. Je sentais vraiment que les petites filles à cinq ans avaient déjà appris comment m’emmener en bateau, me draguer. C’est incroyable. La plupart du temps j’étais assez désarmé. […] [203] Les conflits avec des parents n’ont pas manqué. Certains enfants avaient souvent vu leurs parents faire l’amour. Un soir, une petite fille va voir sa copine chez elle, et lui demande : « Veux-tu faire l’amour avec moi ? » Et elle parlait de baisage, de bite, etc. Alors les parents de la copine, qui étaient des catholiques pratiquants, sont venus se plaindre, très, très choqués. Il m’est arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : « Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi vous m’avez choisi, moi, et pas les autres gosses ? » Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. Alors on m’accusait de « perversion ». Il y a eu une demande au Parlement pour savoir si j’étais payé par la municipalité, toujours au nom de la loi qui interdit aux extrêmistes d’être fonctionnaires. J’avais heureusement un contact direct avec l’association des parents, sans quoi j’aurais été licencié. En tant qu’extrémiste, je n’avais pas le droit d’être avec des enfants. […] Pendant toute une période, je m’étais identifié aux gosses. Mais à partir d’un certain moment, les problèmes des enfants ont [204] commencé à ne plus m’intéresser. Ces gosses venaient d’un milieu social en fin de compte inintéressant. Ce n’était pas un jardin d’enfants normal, et l’expérience n’était pas assez radicale.[…] [209] Reich, c’est la lutte pour la sexualité, et surtout la sexualité des jeunes. Un des problèmes du jardin d’enfants, c’est que les libéraux admettent, à la rigueur, l’existence de la sexualité, alors que nous, on essayait de la développer, d’avoir un comportement qui permette aux enfants de réaliser leur sexualité. » (Daniel Cohn-Bendit, Le Grand Bazar, Paris : P. Belfond, 1975, chapitre IX, « Little big men »).


             Sigmund Freud ne vit jamais dans la « sexualité infantile » une justification de la pédophilie ; cela apparaît dès 1905 avec le premier des Trois essais sur la théorie de la sexualité (section I, B) ; la même année, il déclarait à un quotidien viennois que la pédophilie homosexuelle devait être poursuivie devant les tribunaux, mais dans les mêmes conditions que la pédophilie hétérosexuelle 11 ; le seuil en Autriche était alors de quatorze ans (encore le seuil du droit canon !). Freud pensait qu’une activité sexuelle précoce diminuait l’éducabilité de l’enfant, et que la construction de la personnalité psychologique et sociale (acquisition du principe de réalité) requiérait que la fonction sexuelle ne soit pas sollicitée précocement. Quant au freudo-marxiste Wilhelm Reich, il considérait l’homosexualité comme une sorte de satisfaction parallèle à la satisfaction hétérosexuelle et souhaitait qu’elle soit dénuée de toute sanction pénale, sauf précisément dans le cas de séduction d’enfants (Die Sexualität in Kulturkampf, 1936).


            C’est donc à tort que Daniel Cohn-Bendit avait invoqué ces deux auteurs pour justifier à la fois ses écrits de 1975 et ses propos à Apostrophes en 1982.


          • lord_volde lord_volde 10 septembre 2009 18:47

            Vous passerez à mon buerau au 5 ème étage du 36 quai des orfèvres à Paris car j’ai le sentiment que vous avez bcp de choses à raconter qui pourraient heurter les convictions morales de nos amis lecteurs.
            je vous y attendrai mardi prochain entre 17 et 19 heures.


          • french_car 10 septembre 2009 22:39

            @Gazi effectivement je me souviens des oeillades obscènes de Pivot lors de cette émission, très décevant Pivot.
            @ lord volde DCB a émis des regrets, il dit n’être pas fier de ce texte destiné à provoquer le lecteur. Personne ne niera le caractère provocateurs du personnage.


          • monbula 10 septembre 2009 12:52

            Bravo pour l’auteur d’aborder un sujet difficile...

            Juste une remarque, vous n’abordez pas le puritanisme qui voit des dérives partout....


            • monbula 10 septembre 2009 13:42

              Pour l’auteur

              En tant qu’enseignant et fréquentant la jeunesse comme vous, on est en situation directe...
              Des jeunes qui font du grain à leurs profs, ça existe....Aussi....

              La gestion parfois ne doit pas être facile... la chair est faible ?
              Avez-vous une réponse ?


              • zelectron zelectron 10 septembre 2009 15:05

                ...font du gringue à leurs profs...


              • monbula 10 septembre 2009 15:15

                Merci pour la correction


              • french_car 10 septembre 2009 16:37

                Oui cela existe on appelle cela les risques du métier.
                Gabrielle Russier - jeune aggrégée de lettre en 1969 avait été condamnée et se suicida pour des amours interdites avec un élève de 16 ans.


              • Gazi BORAT 10 septembre 2009 17:33

                @ MONBULA

                Ce genre de phénomène s’appelle un transfert.. Médecins, enseignants, psychothétrapeutes, etc.. y sont confrontés.

                La jeune fille impubère qui teste son pouvoir de séduction ne sait pas où elle met les pieds.. l’adulte sollicité, si !

                En ce cas, s’il est troublé ou si il ne se sent pas capable de résister, qu’il entame une thérapie ou change de métier.

                Que penseriez vous de votre banquier s’il vous disait qu’il est sans arrêt tenté de détourner des sommes des comptes qu’il gère ?

                gAZi bORAt


              • Gazi BORAT 10 septembre 2009 17:33

                Oups !..

                PSYCHOTHERAPEUTES...

                gb


              • monbula 10 septembre 2009 18:28

                Votre réponse convient


              • brieli67 10 septembre 2009 18:55

                A la rentrée
                na na na ma maîtresse est bien plus belle que la tienne
                mélanie répond ; Jules T’as pas vu le string de la maîtresse de mon Papa !

                Le transfert/CONTRE-transfert je l’ai subit des deux côtés. Quoique je fasse, toujours chouchou de ces dames enseignantes.

                Tant que ce n’est que de l’érotisation.... de l’hystérie au sens psychiatrique c’est très jouable. Mais en pratique , c’est du « border-line » voire plus loin.
                La « passion amoureuse » est cette folie tolérée par la société, heureusement !
                Il parait ksa fait les plus beaux bébés.

                Classik des enseignants en fac de psycho :
                la fille te fais du gringue en cours
                la mère s’allonge sur ton divan
                et pis tu te retrouves avec la petite soeur (de la mère) ou le petit frère ..... selon/selon


              • sisyphe sisyphe 10 septembre 2009 14:32

                Que veut dire cet article ?

                Si quelqu’un peut m’expliquer...

                Par ailleurs, on peut y lire ceci :

                À 13 ans et demi, demandera-t-on, on est où ? L’ennui de ces limites d’âge est évidemment qu’elles supposent que tous les êtres sont construits sur le même modèle, alors que le temps de la maturité est différent de l’un à l’autre. C’est valable aussi pour la majorité pénale des « jeunes » de nos banlieues.

                Ça veut dire quoi la dernière phrase ?
                Que ce n’est pas valable pour les jeunes, s’ils ne sont pas « de banlieue » ??

                Comme le dit zen, article extrêmement équivoque, dont on voit pas où l’auteur vent en venir..


                • monbula 10 septembre 2009 14:52

                  Pour siphyphe

                  Ça veut dire quoi la dernière phrase ?
                  Que ce n’est pas valable pour les jeunes, s’ils ne sont pas « de banlieue » ??

                  Une coquille ou bien les jeunes de banlieues doivent être protégés plus que les autres. Des jeunes plus en situation difficile.....Peut-être ?


                • french_car 10 septembre 2009 17:03

                  Effectivement « de banlieue » est de trop, quoique la délinquance juvénile soit importante à Neuilly parait-il.
                  Mais la question est pertinente : le niveau de responsabilité d’un mineur ne peut s’apprécier sur le seul critère d’age quel que soit le champ d’application.
                  Malheureusement il faudrait cependant commencer par instruire l’action en justice avant que de pouvoir juger de la responsabilité ou non du délinquant putatif, ce n’est pas quelque-chose qui s’apprecie au premier coup d’oeil.
                  Juger quelqu’un pour savoir s’il est jugeable ...


                • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 10 septembre 2009 18:22

                  Les jeunes des banlieues apparaissent de façon (tristement) privilégiée dans la délinquance juvénique. Mais quelle que soit la majorité pénale choisie, elle s’appliquera à tous, qu’ils soient de Neuilly ou des centre ville.


                • monbula 10 septembre 2009 18:26

                  Pour Courouve

                  Merci pour la réponse.


                • sisyphe sisyphe 10 septembre 2009 18:32

                  Par Claude Courouve (xxx.xxx.xxx.135) 10 septembre 18:22

                  « Les jeunes des banlieues apparaissent de façon (tristement) privilégiée dans la délinquance juvénique.(sic) »

                  Oui ?

                  Et d’une, quelles sont vos sources ?

                  Et de deux ; quel rapport avec la pédophilie ?

                  Et avec l’âge légal de la sexualité ?

                  Bref, votre petite remarque était tout à fait inappropriée au sujet : on mettra ça sur le compte du « c’est plus fort que vous » ; votre petit racisme quotidien...


                • kitamissa kitamissa 10 septembre 2009 14:56

                  bien que n’étant pas ni rigoriste ni père la pudeur ...

                  pour les seuils de consentement ....

                  âge légal à 18 ans ,c’est à dire celui de la majorité pénale ,( et sous réserves que la jeune personne soit réellement consentante )

                  et cour d’assise encourue systématiquement pour les pédophiles et les amateurs de mineurs ( es) !


                  • LE CHAT LE CHAT 10 septembre 2009 15:12

                    @maxim

                    et peine maxi pour les touristes sexuels qui aiment les petites siamoises  !


                  • french_car 10 septembre 2009 16:39

                     Kitamissa si vous n’ajoutez pas une clause d’écart d’age, celà veut dire que 2 jeunes amants de 17 ans et 17 ans 1/2 devront faire 6 mois de chasteté faute de quoi quand le premier des 2 aura atteint l’age de 18 ans il ira en cabane !


                  • monbula 10 septembre 2009 21:06

                    Merci pour la propagande anti, anti, anti, mais l’auteur situe le problème en France et la LOI l’emporte sur toutes les religions.


                  • monbula 10 septembre 2009 21:08

                    Suite

                    C’est pour Andreas.


                  • kitamissa kitamissa 10 septembre 2009 21:12

                    salut mon pote le Chat...

                    ah ..la minette ..y’a rien de meilleur !


                  • Massaliote 11 septembre 2009 10:01

                    Entièrement d’accord, je plusse.


                  • chmoll chmoll 10 septembre 2009 15:16

                    l’UNESCO a dut ètre victime d’un pédophile sur’ment


                    • faxtronic faxtronic 10 septembre 2009 15:24

                      je dois dire que j ai encore du mal a comprendre le fait que la pedophilie soit criminalisee. Je sais, je scandalise. Je ne suis pas pedophile, j ai meme la facheuse tendance a avoir des partenaires de 5 a 6 ans plus agees que moi, mais j aimerais que l on eclaire la lanterne. 
                      Le viol est punissable, et tout ces formes doivent l etre, que ce soit par violence ou par influence, car c est une agression. Mais je ne comprends pas que la pedophilie soit punie, car elle n est en fait qu une perversion comme tant d autre. Car apres tout je ne vois pas la difference entre un humain de 12 ans et un humain de 18 ans ( ou de 21ans selon les pays...). Alors vous allez me dire :« oui mais un ado n est pas un humain, il ne pense pas ... » ou des trucs du meme acabit. mais la je me permet de mettre mon hola : quel adolescent ou adolescente boutonneux(se) n a pas envie de se taper le(la) pin up accroche au mur de sa chambre ?
                      Pour l instant je trouve que l hysterie anti pedophilie est digne de l ancienne hysterie anti-homosexuelle.

                      PS : que les histrions purement emotionnels s abstiennent de me repondre, je ne cherche qu une discussion constructive.


                      • sisyphe sisyphe 10 septembre 2009 16:13

                        Par faxtronic (xxx.xxx.xxx.45) 10 septembre 15:24

                         Mais je ne comprends pas que la pedophilie soit punie, car elle n est en fait qu une perversion comme tant d autre. Car apres tout je ne vois pas la difference entre un humain de 12 ans et un humain de 18 ans ( ou de 21ans selon les pays...).

                        Si toi, tu ne la vois pas, eux la ressentent.

                        As tu des enfants ?

                        Rien à voir entre la façon de fonctionner : mentalement, physiquement, psychiquement, d’un pré-ado de 12 ans, et un jeune homme de 18 ou 21.

                        Alors, pas d’hystérie anti-pédophile, mais pas de laxisme non plus : une juste et légitime protection des mineurs.

                        Mais pas seulement sur le plan sexuel ; parce que c’est tout de même totalement antinomique, parfaitement hypocrite, et dégueulassement illégal d’évaluer l’âge de maturité sexuelle à 18 ans, et de vouloir emprisonner des enfants délinquants de 13 !!

                        Même âge, donc pour la maturité ; qu’elle soit civile, sexuelle, juridique ; et 18 ans est, sans doute un peu trop âgé : l’âge de la première relation sexuelle est antérieur ; aussi bien chez les filles que chez les garçons.


                      • french_car 10 septembre 2009 16:47

                        Faxtronic on pourrait être d’accord avec vous si déjà l’on pouvait définir ce qu’est le consentement.
                        A partir du moment où il y a un écart d’age et qu’il s’agit de mineurs quand peut-on considérer que le mineur est consentant ?
                        Quand il ne va pas se plaindre ?
                        Faut-il attendre qu’il se plaigne ?
                        Un ado abusé se plaint rarement d’abus par un adulte, on le sait bien puisque les affaires sortent soit parce-que dénoncées par un tiers, ou bien longtemps après les faits.
                        Peut-être imposer un écart d’age de 3 ans maximum ?
                        Mais alors aut-il sortir sa carte d’identité avant de faire l’amour ?
                        Pas simple ...


                      • lord_volde lord_volde 10 septembre 2009 17:29

                        En France, la majorité sexuelle juridique commence à l’âge de 15 ans.
                        Des relations sexuelles avec des mineurs de moins de 15 ans, même consentis, sont considérées, au regarde de la loi pénale comme équivalentes à un viol.
                        Au delà de 15 ans et avant la l’âge légal de la majorité, la prévention de détournement de mineur peut-être retenue si les circonstances démontrent que le major avait eu l’intention coupable de détourner le mineur à l’exercice de l’autorité parentale légale.
                        Le rouquin, même s’il a pu échapper à la justice, a eu un comportement condamnable. 


                      • Gazi BORAT 10 septembre 2009 17:43

                        @ FAXTRONIC

                        La question ici n’est pas celle du rejet des perversions ou de l’établissement d’une norme.

                        La question est celle du libre consentement : entre une personne ayant de l’experience, construit sa personnalité et une autre en pleine découverte, sans expérience, le jeu est inégal..

                        L’adulte a les outils intellectuels pour résister à des sollicitations sexuelles.. l’enfant est facilement manipulable.

                        Comparable à un commercial qui ferait signer un contrat de vente à un débile léger...

                        gAZi bORAt


                      • faxtronic faxtronic 10 septembre 2009 17:44

                        L age de la premiere relation est entre 13 et 15 ans, souvent un peu plus pour les garcons, c est ainsi.

                        Trois exemples de pedophilie :

                        L inceste : L inceste est tres souvent un viol par influence, c est a dire que qu une personne ayant autorite profite de sa situation pour obtenir de l enfant une faveur sexuelle.

                        Les cas de ses couples amoureux, comme l enseignante qui aimait un garcon de 16 ou 17 ans. Pour moi clairement il n y a pas crime, il n y a que l amour

                        La prostitution enfantine : Il s agit du probleme generale de la prostitution. Ce qui est grave est l esclavage, sexuelle ou pas. Que l on ait 12, 18 ou 30 ans.

                        Le consentement. Comme tu dis on reconnais pour les crimes la resposnabilite tres jeunes, il y a des gamins de 12 ans en prison ! Donc on les reconnait capable de decision et de savoir la difference entre le bien et le mal. D ailleurs quand un gamin de 14 ans poignarde, deal, massacre dans son ecole ou autre, on ne crie a l innocence bafoue, mais au monstre !. Si l on reconnait que l ado est capable de dscernement, alors on doit reconnaitre que l amour sincere entre un ado et un adulte est possible, et pas seulement une manipulation mentale de l adulte.


                      • faxtronic faxtronic 10 septembre 2009 18:02

                        Oui le probleme est le libre consentement, dans toutes relations !

                        Je me souviens parfaitement de mon adolescence, et l ado n est pas un debile leger. A 15 ans on sait ce que c est que le bien ou le mal, on est condamnable si l on tue, si on deale, si l on vole, et c est normal. L ado est capable de discernement, mais c est vrai il manque de discernement. mais cela ne s arrangera pas avec sa 18 bougie. Et souvenet cela ne s arrange jamais.

                        Trois cas de pedophilie : L inceste, la prostitution enfantine et l amour entre un ado et un adulte.

                        L inceste est tres souvent un viol par personne d autorite, il doit etre punie autant que le viol dans ce cas la

                        La prostitution enfantine est grave si il y a esclavage sexuelle, et l escalvage en generla est un crime de 7 a 77 ans. mais je rappele que les japonaises se prostituent des 15 ans pour se faire de l argent de poche, car au japon culturellement se prostituer est une activite normale.

                        L amour entre un ado et un adulte. Si l amour est reelle et sincere, alors je ne vois pas ou est le crime.

                        La penalisation de la pedophilie est une loi redondante. Il suffirait d appliquer les lois condamnant le viol, l esclavge et l aggression pour regler le probleme.


                      • faxtronic faxtronic 10 septembre 2009 18:02

                        Sorry, probleme avec AV


                      • brieli67 10 septembre 2009 18:19

                        faudrait quand même tenir compte de l’évolution physiologique récente !

                        Les filles ont leurs règles beaucoup plus tôt et sont de ce fait adultes plus tôt

                        Chiffres officiels du Brésil connus depuis 4 ans :
                        8o % des filles de 12 ans ont avorté ou mené une grossesse à terme !

                        Quid pédophilie, inceste, viol, tourisme sexuel ?

                        Dans le passé ce sont bien nos bourgeois et industriels, représentants du peuple qui ont instauré la « cellule familiale » à la base de notre politique dite familiale alors qu’ils troussaient les servantes, pavanait avec leurs maîtresses et honoraient je ne sais quand l’héritière qu’on leur avait confier..

                        Je vous renvoie vers Alfred Döblin pour son Berlin Alexanderplatz qui entre autre comme psychiatre analyse le milieu ouvrier de cette grande ville.


                      • Mmarvinbear mmarvin 10 septembre 2009 23:41

                        « Chiffres officiels du Brésil connus depuis 4 ans :
                        8o % des filles de 12 ans ont avorté ou mené une grossesse à terme ! »

                        Ca me parait beaucoup et tôt ! Quelles sont tes sources ?


                      • Gazi BORAT 11 septembre 2009 07:24

                        @ BRIELY

                        Tout à fait d’accord avec l’hypocrisie de la Bourgeoisie du XIX° siècle, qui d’un côté glorifiat les « valeurs familiales » et fréquentait les bordels.. La palme à sa variante victorienne et son goût pour les « petites filles ». La misère dans laquelle était maintenu le prolétariat anglais poussaient nombre de familles à confier elurs petites filles à des maisons closes, à tel point qu’à Londres, il était à cette époque aussi facile de consommer de la jeunesse qu’à Bangkock.

                        Certains, à l’instar de ce qui a été écrit plus haut, parlait de maturité sexulle plus précoces, non dans les peuplades exotiques mais dans les classes populaires.

                        Les petites ouvrières étaient considérées comme « mûres » plus tôt, tandis que la jeune fille bourgeoise était une plante délicate et chlorotique, qui demandait des sels toutes les deux minutes pour être réanimée et faidsait l’objet d’une telle protection qu’il était interdit d’évoquer devant elle la moindre allusion, même pédagogique, à la sexualité, de peur de choquer sa nervosité..

                        Pour nce qui est de l’Allemagne à cette époque, les vieux messieurs amateurs de chair fraîche prenaient leurs quartiers d’hiver à Capri.. A noter, à cette époque, un classique de la sculpture à dimension pédophilique : le « petit pêcheur napolitain, toujours représenté à poil mais la tête couverte de son petit bonnet.. Ca ne choquait pas dans les salons, c’était »de l’art« et la Reine Victoria de demander d’allonger les nappes pour couvrir les jambes des guéridons..

                        En France, une curieuse prostitution enfantine  : les magasins de curiosités, comme ceux situés dans le »Passage des Panoramas et autres, à proximité des Grands Boulevards.

                        Le Bourgeois achetait, fort cher, une babiole, se faisait livrer à domicile et s’envoyait la livreuse (ou le jeune livreur, c’est selon) apprentie. Ceal était compris dans le prix, l’achat de l’objet ne servant que de couverture.

                        gAZi bORAt


                      • brieli67 11 septembre 2009 10:28

                        Allons un peu plus loin Gazi ... si tu veux bien

                        La « pédophilie enseignante » dans les métiers des Armes de l’Ancien Régime Féodal : pages palefrenier, cadets.... l’entrée dans le métier....

                        Les vagins plus sales, avec des infections chroniques sont plus difficiles à soigner et à entretenir. iLs sont pour le soldat à pied. Du « mal français » _ cf la Petite France de Strasbourg n’en parlons pas, aucun traitement . C’était comme le Sida à vie... vers un tabès comme Maupassant par exemple. Ben oui un chancre se voit sur la verge, à l’anus mais pas dans le « continent noir » (expression de Freud)

                        Donc le choix délibéré du giton pour les seigneurs...

                        Ceinture de chasteté pour leur épouse choisie vierge propre non contaminée cf les infantes de Vélasquez à part que les habsbourgs espagnol étaient complètement dégénérées et gosses mis à l’encan des cours européennes. De tous les Habsbourg rien de brillant pas ces 6 cervelles de NS, le seul qui émerge c’est le père de Charles Quint. 

                        Les épouses, les soeurs, les maîtresses ont été fourrées dans les abbayes et monastères en attendant le retour du seigneur entre deux croisades, deux campagnes, entre deux grossesse ou pour y moisir pour toujours ;; ; Raison sanitaire et pour pondre le successeur.Loi salique oblige

                        Et les « Couchers du Roi » ... le« poulinage » devant la cour. Le membre royal ne pénétrait pas, Le masturbat par une Dame de Cour était introduit dans la matrice. Ce contrôle de visu se pratiquait chez tous héritiers mâles potentiels ... fils, petit fils

                        En dépit de son énorme phymosis Louis XVI est vrai père de ses gosses. A croire qu’on avait trouvé une main experte pour ces é/mission / insémination artificielle. 

                        Au Parc des Cerfs, plus intime ? 


                      • lord_volde lord_volde 10 septembre 2009 17:30

                        errata : même consenties. le majeur.


                        • monbula 10 septembre 2009 18:24

                          Lâche ta propagande sioniste.

                          Honte à toi, juif !


                        • rocla (haddock) rocla (haddock) 10 septembre 2009 18:34

                          Pour éviter ce problème faudrait simplement que les petits naissent directement à l’ âge de 18 ans .Si possible dans une famille culturellement évoluée , aisée et ayant pignon sur rue .


                          • beneolentia beneolentia 10 septembre 2009 19:38

                            GENÈSE 19

                            33 Elles firent donc boire du vin à leur père
                            cette nuit-là, et l’aînée vint et coucha
                            avec son père, qui ne s’aperçut ni de son
                            coucher ni de son lever.

                            34 Le lendemain, l’aînée dit à la cadette :
                            Voici j’ai couché hier avec mon père ;
                            faisons-lui boire du vin encore cette nuit
                            et va coucher avec lui, et nous aurons de
                            notre père une postérité.

                            35 Elles firent donc encore boire du vin à
                            leur père cette nuit-là, et la cadette se
                            leva et se coucha auprès de lui, et il ne
                            s’aperçut ni de son coucher ni de son
                            lever.

                            36 Les deux filles de Lot conçurent de leur
                            père.

                            +

                            conclusion : l’abus d’acool n’empêche pas l’homme d’avoir une érection en dormant,
                            mais l’empêche de s’en souvenir.

                            ps : posté sous l’empire d’un état alcoolique

                            ne doit pas être confondu avec posté en état d’ivresse manifeste.
                            http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9lit_de_conduite_sous_l%27empire_d%27un_%C3%A9tat_alcoolique

                            et pis si l’état est alcoooli , alcooml, alcoo, merdeuh, euh alcoolique, moi aussi j’ai droit nah

                            moi la question qui me tirbouchonne, c’est est-ceeeee que elles avaient l’âge les filles de l’autre, lot, surtout l’opel, ahhhh je voulais dire la kadett

                            paske sinon c’est de la pédophilieeee, en plus ke c de l’inceste.


                            • kitamissa kitamissa 10 septembre 2009 21:19

                              alors comme ça ,les filles de Lot ont dormi avec leur père sans CU-LOT ( sans culotte pour les ceusses qui ont la comprenette difficile )


                            • rocla (haddock) rocla (haddock) 10 septembre 2009 21:40

                              Y a plus d’ genèse ..


                            • Jojo 10 septembre 2009 21:52

                              Je ne m’y ferai jamais, comment est-ce que des générations et des générations de croyants ont pu penser ça possible d’un prophète (et quel prophète) et de ses filles, simplement parce qu’un « -[-(-saint-homme-)-]- » (voire plusieurs) et des mieux intentionnés évidemment... L’ont ajouté à l’ancien testament. Triste…
                              N’en déplaise à qui ça déplaira, j’atteste pour ma part sur ce que j’ai de plus cher, que jamais Loth et ses filles n’auraient pu vivre une telle abomination. 


                            • baska 10 septembre 2009 22:02

                              Ton avatar benemachin signifie dans une langue semi-couchitique « super menteur », aucun respect pour un envoyé de DIEU. A moins que t’es en train de projeter tes propres névroses, ton cas alors relèverait plutôt de la psychanalyse.


                            • beneolentia beneolentia 10 septembre 2009 23:46

                              j’aimerais bien connaître tes sources baska (xxx.xxx.xxx.43) 10 septembre 22:02

                              parce que moi je cite mes sources : il s’agit de la bible

                              et pour mon pseudo je te renvoie a ceci :

                              http://fr.wikisource.org/wiki/Page:Dictionnaire_Gaffiot_Latin-Fran%C3%A7ais_1934.djvu/214

                              et ceci : Beneolentia ====> bonne odeur 

                              http://guy.joly1.free.fr/latin_mot.html

                              mais toi visiblement tu tu pues, pour t’attaquer a mon pseudo

                              +


                            • beneolentia beneolentia 11 septembre 2009 00:00

                              mais quelque part tu as raison, satan et ses suppôts t’ont bien renseigné, j’avoue, je suis un envoyé du trés haut, le Dieu tout puissant, le créateur de toutes choses, le Dieu vivant l’éternel.

                              DEUTÉRONOME 4

                              35 Tu as été rendu témoin de ces choses,
                              afin que tu connusses que c’est l’Eternel
                              qui est Dieu et que hors de lui, il n’y en a
                              point.


                            • beneolentia beneolentia 11 septembre 2009 08:51

                              Explications :

                              pourquoi aucun respect pour lot ?

                              parce que cet homme était prêt a donner ses filles vierges en pature comme jouets sexuels au lieu de les défendre.

                              GENÈSE 19

                              8 Voyez, j’ai deux filles qui n’ont pas
                              connu d’homme ; laissez-moi vous les
                              amener, et faites-leur ce qui vous plaira ;
                              mais à ces hommes, ne leur faites rien,
                              car c’est pour cela qu’ils sont venus
                              s’abriter sous mon toit.

                              alors qu’en plus ses filles étaient fiancées
                              (celà montre que lot n’avait de respect ni pour ses filles ni pour ses gendres)

                              14 Et Lot sortit et parla aux fiancés de ses
                              filles et leur dit : Levez-vous, sortez de ce
                              lieu, car l’Eternel va détruire la ville. Et il
                              sembla à ses gendres qu’il plaisantait.

                              aprés se pose la question de savoir qui a écris celà :

                              26 Et la femme de Lot regarda en arrière et
                              devint une colonne de sel.

                              pas sa femme elle est morte

                              30 Et Lot monta de Tsoar et habita à la
                              montagne, ayant avec lui ses deux filles,
                              car il craignait d’habiter à Tsoar ; et il
                              habitait dans une caverne, lui et ses deux
                              filles.

                              il ne reste que lui et ses deux filles dans un endroit isolé

                              33 Elles firent donc boire du vin à leur père
                              cette nuit-là, et l’aînée vint et coucha
                              avec son père, qui ne s’aperçut ni de son
                              coucher ni de son lever.

                              pas lot lui même car il dormait, était saoul, et ne se souviens de rien.

                              l’acte est allé jusqu’au bout (éjaculation/sperme)
                              (c’est fort d’y arriver en dormant bourré quand même)
                              puisque ses filles ont conçu de lui

                              36 Les deux filles de Lot conçurent de leur
                              père.

                              donc conclusion, il ne reste que ses filles pour avoir écris ce passage de la GENÈSE


                            • rocla (haddock) rocla (haddock) 10 septembre 2009 20:33

                              Beneolentia ,

                              C ’ était une Ford Kadett ou un Ford érection ? - :))


                              • beneolentia beneolentia 11 septembre 2009 00:24

                                c’était une forte érection

                                parce que : beneolentia, ae, f. : odeur agréable.

                                http://www2c.ac-lille.fr/verlaine/College/Projets/Latin/dictionnaire_fr_latin/Dicolat-B.html

                                et que Dieu a dit :

                                GENÈSE 1

                                28 Et Dieu les bénit, et Dieu leur dit :
                                Fructifiez et multipliez et remplissez la
                                terre et soumettez-la, et
                                assujettissez-vous les poissons de la mer
                                et les oiseaux des cieux et tout animal
                                qui se meut sur la terre.

                                +


                              • rocla (haddock) rocla (haddock) 10 septembre 2009 20:48

                                Y vont finir par ne plus nous faire bander avec leurs salades d’ académiciens...


                                • beneolentia beneolentia 10 septembre 2009 21:28

                                  mouahhhhhh, j’y étais pôa, je sais pas... je vas rechercher

                                  bon gogol me dit : erection+dieu= http://www.legastronomesexy.com/11-lotion-indienne-de-dieu.html

                                  je cite : « Lotion indienne de dieu : Retarde l’éjaculation + Préserve l’érection - Le plus puissant des retardants ! »

                                  ps : je ne sais pas si la salade empêche de bander

                                  ps2 : j’ai appris aujourd’hui grace a gogol que ford +dieu = http://www.purepeople.com/article/harrison-ford-dieu-vivant_a1362/1

                                  c’’est une bonne nouvelle car Dieu est vivant

                                  j’ai honte, snif, je vas m’autocensurer


                                  • Avalon_Girl 10 septembre 2009 22:00

                                    Il semble k Courouve prenne nettement ses DESIRS pour des réalités,
                                    entre ses chipotages oiseux & nauséeux sur l’âge présumé à partir duquel on peut engloutir de la chair fraîche et naïve sans états d’âme et surtout sans risQ pénal,
                                    et ses citations curieusement périmées de la loi (nous sommes effectivement passés de l’ère du Franc au règne de l’Euro, très cher) ...

                                    Pour commencer, la pédophilie d’après le Larousse :

                                    " Attirance sexuelle d’un adulte pour les enfants, filles ou garçons ;
                                    relation physique avec un mineur.
                                    (En France, la minorité qui, au plan pénal, était auparavant de 15 ans, va désormais jusqu’à 18 ans.)  "

                                    Ce qu’en dit l’Article 227-22 du Code pénal :

                                    " Le fait de favoriser ou de tenter de favoriser la corruption d’un mineur est puni de 5 ans d’emprisonnement et de 76.250 euros d’amende.

                                    Ces peines sont portées à 7 ans d’emprisonnement et 110.000 euros d’amende lorsque le mineur est âgé de moins de 15 ans,
                                    ou lorsque le mineur a été mis en contact avec l’auteur des faits grâce à l’utilisation, pour la diffusion de messages à destination d’un public non déterminé, d’un réseau de télécommunications ou que les faits sont commis à l’intérieur d’un établissement scolaire ou éducatif ou, à l’occasion des entrées ou des sorties des élèves, aux abords d’un tel établissement .
                                    Les mêmes peines sont notamment applicables au fait, commis par un majeur, d’organiser des réunions comportant des exhibitions ou des relations sexuelles auxquelles un mineur assiste ou participe. « 

                                    Un témoignage de poids pour continuer :
                                     » «  Nombre d’affaires sont encore étouffées, a constaté le commissaire Montiel, responsable durant neuf ans de la brigade des mineurs des Yvelines.
                                    Lorsqu’un enfant est victime de ce type d’abus, les adultes, que ce soient la famille ou des responsables d’établissement, ont souvent comme réflexe d’écarter le pédophile et de taire l’affaire afin de ne pas traumatiser l’enfant.
                                    Or, le mal est fait, le traumatisme existe.
                                    Et la parole est l’un des moyens essentiels dont dispose la petite victime pour exorciser cette agression.
                                    D’autant que le refoulement d’un tel acte peut avoir - ce n’est pas systématique heureusement - pour conséquence une reproduction de l’acte par la victime devenue adulte. »

                                    Les auteurs pointent aussi la nécessité de « prendre toujours au sérieux la parole d’un enfant.
                                    Les dénonciations sont très souvent vérifiées.
                                    Et, s’il y a mensonge, il reste de toute manière l’expression d’un malaise
                                     ».

                                    Source : http://www.humanite.fr/1997-06-05_Articles_-La-pedophilie-sous-la-loupe-d-un-commissaire-et-d-un-sociologue

                                    Par ailleurs, grosso modo, même pas 10% des crimes pédophiles sont dénoncés devant la loi,
                                    et 90% des plaintes n’aboutissent jamais, quelQ soit la cohérence et les preuves accablantes du dossier présenté ...
                                    Cà fait beaucoup de pédophiles en liberté et de victimes bafouées.

                                    Mais la franc-maçonnerie, étonnamment sur-représentée dans le milieu judiciaire DETESTE les scandales pédophiles.
                                    Ceci Xplique sans doute cela,
                                    la LOI DU SECRET, et non la loi, étant au fondement du serment franc-maçon ...

                                    Les nombreuses associations d’aide aux victimes regorgent d’Xemples en la matière,
                                    même s’il est avéré k certains parents manipulateurs et pervers n’hésitent pas inventer de faux témoignages pour nuire dans le contexte d’un divorce
                                    (cela restant l’Xception confirmant la règle du raz de marée pédophile).

                                    Le naufrage d’Outreau a été instrumentalisé et sciemment médiatisé afin d’envoyer un grand signal de découragement aux nombreuses victimes passées, actuelles et à venir.

                                    C ce qu’on appelle une entreprise de DIVERSION minutieusement préparée et parfaitement maîtrisée.

                                    Quel bonheur k de répandre l’idée même pas subliminale k la pédophilie et l’inceste n’Xistent pas ailleurs k dans les cerveaux détraqués d’adultes en manQ de sensations fortes !

                                    Et quel désespoir en face ...

                                    Ce sont nos enfants k nous sacrifions.


                                    • lord_volde lord_volde 10 septembre 2009 22:43

                                      Je me permets de rectifier une erreur commune fréquente qui confond la majorité civile avec la majorité sexuelle.
                                      Je répète et confirme ce que j’avais écrit précédemment, l’âge légal de la majorité sexuelle est de 15 ans. Cette définition légale entraîne des conséquences juridiques notamment sur les notions de viol, de détournement de mineur sans fraude ni violence, d’abus sexuels et d’incitation à la dépravation...
                                      En droit pénal, on parle de mineur de 15 ans et de mineur de 18 ans. Les régimes juridiques distincts appréhendant les abus sexuels et les crimes sexuels sont aggravés selon l’âge du mineur (- de 15 ans, [+ 15 et - de 18 ans.])
                                       



                                        • Gül 10 septembre 2009 22:51

                                          Dis-donc, t’es bavard Maxim, ce soir...... :- ))

                                          dsl


                                        • kitamissa kitamissa 10 septembre 2009 23:59

                                          salut Gul ...

                                          c’est le virus h1 n1 qui s’est installé dans mon pc !


                                        • Gül 11 septembre 2009 00:06

                                          Ben merde alors !

                                          Vade retro Maximus !!!! : -))

                                          Courage fuyons, Avox est infesté....Roselyiiiiiine !!! : -))

                                          Belle et douce nuit, incessament sous peu, l’heure du dodo !


                                        • kitamissa kitamissa 10 septembre 2009 22:50

                                          j’ai essayé de passer un lien ,ça a visiblement foiré !


                                          • Gazi BORAT 11 septembre 2009 07:36

                                            @ mcm

                                            Et, en intro de votre video, encore un renvoi sur « bivouac.id » et autres sites racistes du net. Vous n’en avez pas marre de faire les poubelles de la toile ?

                                            gAZi bORAt


                                          • maguen david 11 septembre 2009 06:44

                                            Il est exact que la pédophilie c’est comme la pornographie, c’est une question de géographie.
                                            Il y a une secte qui suit encore l’exemple de leur prophète pédophile, lire les hadith sur ce sujet...
                                            Indécrotable !


                                            • Gazi BORAT 11 septembre 2009 07:29

                                              @ MCM

                                              Cessez de multiplier les pseudos pour nous resservir en boucle votre obsession...

                                              GB


                                            • Gazi BORAT 11 septembre 2009 07:52

                                              Ooohh, sorry TJ, jamais MCM n’aurait fait figurer comme picto une étoile de David, sa vénération de St Paul l’en empêchant !

                                              GB


                                            • ZEN ZEN 11 septembre 2009 08:01

                                              Quoi ?
                                              Mcm s’est encore déguisé ?
                                              C’est courageux...


                                              • Gazi BORAT 11 septembre 2009 08:13

                                                @ ZEN

                                                Courageux ?

                                                Je ne sais pas..

                                                Peut être une tentative de se mettre au diapason du sujet de l’article, tendance « reconnaissance du droit au travestissement ».

                                                Pour en revenir au sujet, quelque chose m’étonne, dans le fil ci dessu, quelques posts plutôt « compréhensifs » sur les relations sexuelles avec des très jeunes.. alors qu’un article sur le droit à l’adoption des couples homosexuels fait s’ériger une marée de boucliers ...

                                                Du coup, le renvoi de Briely aux moeurs bourgeoises du XIX° qui voyait cohabiter pratiques répandues relevant de la catégorie des « perversions » et glorification du modèle familial classique.

                                                gAZi bORAt


                                              • brieli67 11 septembre 2009 10:53

                                                @ gAZi je viens de complémenter plus haut !

                                                Le drame actuel c’est la bouffe des poulets surhormonés ( certains insecticides seraient de la partie.) Mais l’équivalent était obtenu par l’engraissement au fénugrec expl les Hottentotes.

                                                Le Bunda( watermelon/pastèque)des brésiliennes c’est du poulet ! 

                                                avec une maturation sexuelle accélérée chez les femmes PR autour des 1o ans.

                                                Maturation normale certains pensent retardée vers 16 ans pour les jeunes étalons.

                                                Le sexe c’est une chose.... plus grave c’est ce décalage de 5 ans. Les mâles restent trop longtemps bébés. Le matriarcat est inévitable, d’autant plus qu’elles deviennent plus facilement centenaires.


                                              • brieli67 11 septembre 2009 11:54

                                                Devine Gazi

                                                Quelle est la chanson la plus appréciée des Allemands dont Kohl et Schröder

                                                le Pêcheur de Capri 

                                                http://www.youtube.com/watch?v=Bk6yGWu40kQ l’original

                                                http://www.youtube.com/watch?v=WgcEVgOdCDc

                                                la version « crée » par la célèbre vedette Rudi  Schuricke qui devint le succés Schlager d’après_guerre de l’ère du DWW du deutsche Wirtschaftswunder et les premières vacances sur les plages italiennes.

                                                par le baryton_basse « Thalidomide » Thomas Quasthoff

                                                http://www.youtube.com/watch?v=BWDSGiJfX4A



                                              • Gazi BORAT 11 septembre 2009 14:47

                                                Ach !

                                                Capri, la grotte bleue.. et la merveilleuse maison de Kurt-Erich Suckert ..

                                                http://pds5.egloos.com/pds/200704/08/85/c0066085_07042119.jpg

                                                http://a7.idata.over-blog.com/630x470-000000/0/54/69/66/Naples/Capri-villa-Malaparte.JPG

                                                où vint se reposer Roger Vailland et se bronzer Brigitte Bardot..

                                                http://www.youtube.com/watch?v=ogZB-6yLSlQ&hl=fr

                                                gAZi bORAt


                                              • jmcn 11 septembre 2009 08:32

                                                L’auteur n’a pas parlé des enfants gérontophiles. Je le note.


                                                • pigripi pigripi 11 septembre 2009 11:22

                                                  Mon opinion à moi est que dans une relation humaine où l’écart d’âge est important, la plus jeune de ces personnes, enfant ou adulte, est, de fait, en état de sujétion.

                                                  Car, de fait, une personne plus âgée dispose de plus de moyens, de maturité, d’expérience, de techniques et de connaissances qu’une personne qui lui est plus jeune.

                                                  C’est valable entre un enfant de 3 ans et un enfant de 6 ans comme entre un adulte de 18 ans et un adulte de 30 ans.

                                                  A la différence d’âge, on peut ajouter la différence de genre, l’éducation, l’origine socio économique et le pouvoir économique qui, généralement croit avec l’âge.

                                                  Je pense donc que, généralement et de fait, les différences d’âge favorisent état de sujétion, manipulation, exploitation et domination sous toutes ses formes.

                                                  Je suis en conséquence plutôt défavorable aux relations entre humains de grand écart d’âge mais...il y a toujours des exceptions, des cas particuliers.

                                                  Légiférer sur les relations de grand écart d’âge est une base de protection des plus faibles indispensable mais ça ne résout pas tout ...
                                                  Il faudrait y ajouter l’éducation au respect d’autrui ...


                                                  • brieli67 11 septembre 2009 12:14

                                                    Oh Pipigri c’est vraiment ton opinion ! IL FAUT LEGIFERER et quoi encore

                                                    Toutes ces constellations anormales même avec enfant + : 2 lesbiennes, 2 PD, les séries de 3, vieux et jeunette, gendre et belle_mère etc...... CA SE PASSE TRES TRES BIEN ; C’est du béton et ils vivent très bien la pression familiale ou sociétale qui les guettent à tout coin de la rue.

                                                    Le vrai problème apparait lors de la dissolution de ces « couples » deuil, affection grave, séparation pour boulot, délinquances, faillites, départ de l’enfant... le retour à la « normalité » Il est presque impossible de faire le deuil de ce « paradis perdu » Malheur aux survivants.


                                                  • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 12 septembre 2009 08:50

                                                    Vous avez raison. Le texte publié n’est que le début d’un article beaucoup plus long, c’est pourquoi vous restez sur votre faim.

                                                    Je complète dans les commentaires, comme ci-dessous :

                                                    À la différence de l’homosexualité, la pédophilie n’avait jamais trouvé le moindre commencement d’adhésion chez les grands auteurs classiques ou modernes, à l’exception notable du marquis de Sade. Elle était explicitement rejetée par Platon (Symposium, 181 d-e), ce qui passe trop souvent inaperçu  : le convive Pausanias reprochait à ceux qui aiment les impubères de surprendre leur jeunesse et de profiter de leur crédulité pour les duper avant de les abandonner ; et il estimait que la loi aurait dû interdire les relations avec les garçons trop jeunes. Si l’interdiction semble conçue plutôt dans l’intérêt de l’amant que dans celui de l’enfant, il reste la notion de duperie dans le cas de l’enfant. Dans les Lois (II, 653 b-c), Platon réaffirmait l’incapacité morale de l’enfant dans les relations amoureuses. Le philosophe Aristoxène de Tarente pensait que l’apprentissage tardif de la sexualité était préférable, qu’il fallait empêcher l’enfant de chercher à avoir des relations sexuelles, et même de savoir ce dont il s’agit, avant l’âge de vingt ans (Stobée, Florilège, IV, xxxvii, 4). 

                                                    Ce n’est donc pas seulement le judaïsme qui rejetait la pédophilie – car on lit dans le Nouveau Testament  : «  Quiconque scandalise l’un de ces petits [...] mieux vaudrait pour lui qu’on lui passe une meule autour du cou et qu’on le jette à la mer  » (Matthieu, XVIII, 6 ; Marc, IX, 42 ; Luc, XVII, 2) – mais aussi une partie de la culture gréco-latine. 

                                                      Michel Onfray faisait erreur, dans son Antimanuel de philosophie (Rosny : Bréal, 2001) en affirmant : «  Un pédophile, dans la Grèce de Platon, n’est pas condamné ou condamnable  » (page 134) ou «  À l’ère atomique, Socrate croupirait en prison.  » (page 135). 

                                                      On l’a vu, le christianisme, avec son droit canon fixant l’âge de la puberté, conserva officiellement l’interdit évangelique. Enfin, dans ses deux premières brochures (1864) le magistrat allemand K. H. Ulrichs, grand défenseur des homosexuels et promoteur du concept de « troisième sexe », précisait que le pais grec n’était pas un impubère, ce qui a été confirmé depuis par plusieurs hellénistes chevronés (H. I. Marrou, K. J. Dover, F. Buffière, B. Sergent) : son âge allait de 12-15 ans à 20-21 ans. 

                                                      Montaigne déplorait le non-respect de « l’âge de choix et de connaissance » en amour (Essais, III, v, page 868 & xiii, page 1087 de l’édition P. Villey), ce qui correspondait au « consentement avec discernement » que l’on exige aujourd’hui  ; il ajoutait : « l’amour ne me semble proprement et naturellement en sa saison qu’en l’âge voisin de l’enfance » (III, v, page 895), mais l’âge voisin de l’enfance, ce n’est pas l’enfance (distinction reprise par Tolstoï dans Enfance, adolescence et jeunesse) ; il esquissait la description d’une véritable liberté sexuelle en écrivant «  qu’on aime un corps sans âme ou sans sentiment quand on aime un corps sans son consentement et sans son désir.  » (III, v, page 882). Des mots qu’on n’a hélas plus guère l’habitude d’entendre ... Le marxisme vulgaire et la sociologie aidant, les «  pratiques sexuelles  » ont remplacé l’amour. 

                                                      Montesquieu était choqué qu’une loi anglaise permette à une fille de sept [ou dix ?] ans de se marier : « Cette loi était choquante de deux manières : elle n’avait aucun égard au temps de la maturité que la nature a donné à l’esprit, ni au temps de la maturité qu’elle a donné au corps. » (Esprit des lois, XXVI, 3). Ces deux temps de la maturité sont en effet requis simultanément dans les relations amoureuses et sexuelles. Les critiques que Voltaire adressaient aux non-conformistes ne visaient pas la relation symétrique des « garçons qui s’aiment » (Traité de Métaphysique, chapitre IX), mais toujours une situation d’abus de pouvoir des jésuites et autres religieux (Desfontaines et Marsy, notamment) sur leurs élèves ; abus de pouvoir que la gauche anticléricale dénoncera vigoureusement sous la IIIe République. L’utopiste Charles Fourier imaginait que l’harmonie passionnelle, qui devrait réaliser une pleine « liberté en amour » (l’expression est de Molière dans Dom Juan) rejetterait quiconque « enseignerait aux enfants ce qu’ils doivent ignorer » (Le Nouveau monde amoureux). Encore le respect de l’âge des jouets et de l’étude, avant celui de l’amour. Marc-André Raffalovich, que l’on considère parfois comme un pionnier du militantisme homosexuel, écrivait en 1896 que personne n’avait le droit de « rendre plus courte ou moins complète la précieuse durée de l’enfance impubère [...] il est sot, il est inique à la minorité de se croire tout permis parce que rien ne lui est accordé » (Uranisme et unisexualité, page 12). 


                                                  • franc 11 septembre 2009 19:04

                                                    je fais la différence entre pédophile et pédosexuel -------------------------le pédophile est éthymologiquement quelqu’un qui aime les enfants tandis que le pédosexuel est quelqu’un qui pratique des relations sexuelles avec des enfants

                                                    A mon avis si le pédosexuel peut être condamnable, le pédophile au sens strict de ce terme me semble ne pas pouvoir ou devoir être rationellement et donc moralement condamnable ----------------en effet l’amour ne peut être l’objet d’aucune condamnation au contraire il ne peut être que glorifié et vénéré ,l’amour étant une valeur absolue et comme bien suprême il est équivalent au beau -----------------------------l’amour est au dessus de la loi ,bien plus ,il est l’origine et la fin de la loi ,l’amour transcende la loi---------------et si une loi doit être établie elle ne peut l’être que pour protéger l’amour

                                                    maintenant examinons en quoi la pédosexualité ,c’est à dire la relation sexuelle entre un adulte et un enfant est condamnable ou pas ------------pour cela il faut définir d’abord ce qu’est un adulte ,ce qu’est un enfant et ce qu’est une relation sexuelle

                                                    un homme est adulte physiologiquement lorsqu’il possède toutes les capacités physiques ,intellectuelles et spirituelles pour accomplir tous les actes de la vie quotidienne lui donnant l’ autonomie complète et permettant l’accomplissement de sa vie en sa vocation propre et réalisation de son bonheur -----------------------------expérimentalement et scientifiquement l’âge adulte est atteint vers 12 ou 13 ans environ ,ce qui correspond aussi à l’âge de la puberté et à l’âge de la reproduction humaine possible avec des relations sexuelles accomplies ,le garçon ayant des éjaculations de spermatozoïdes et la fille l’ovule qui permet la fécondation (c’est aussi l’âge adulte fixé par la religion juive) ----------------------------à 12 ou 13 ans ,on a vu qui sont champions olympiques ,résolvent des problèmes mathématiques compliqués ,inventer des systèmes techniques ingénieux , traversent seuls l’océan pacifique sur une barque ,il y en a qui sont des prophètes et d’autres des gangsters ,et bien sûr peuvent procréer --------------------donc pas de doute sur le caractère adulte vers cet âge avec cependant des nuances en terme d’expériences ,certains ont plus d’expériences que d’autres, plus matures que d’autres , et il y aurait donc des jeunes adultes qui sont aux premiers âges de l’adolescence et les adultes plus confirmés vers la fin de l’adolescence puis les vieux adultes

                                                    la définition de l’enfant en résulte par contraste ,un enfant est quelqu’un qui n’a pas atteint l’âge adulte ,donc les enfants sont des personnes humaines en dessous de 12 ans ,qui sont prébubères et n’ont pas le système des organes génitaux suffisamment dévelopé pourpouvoir acomplir des relations sexuelles pleines et entières permettant la procréation humaine

                                                    et justement une relation sexuelle est une relation physique amoureuse entre deux êtres humains établissant des contacts sexuels avec introduction ou pénétration effective des organes génitaux -------------de simples caresses entre deux partenaires ne peuvent être considérées comme des relations sexuelles au sens strict



                                                    à partir de ces définitions on en déduit que la pédosexualité est condamnable en ce que l’organe génital de l’enfant n’est pas assez développé pour avoir une relation sexuelle au sens strict avec un adulte et même avec un autre enfant ,et d’ailleurs une trop grande différence de tailles des organes génitaux ,mâles ou femelles ,empêchent mécaniquement la réalisation du rapport sexuel plein et entier ne permettant pas la pénétration sans douleur et blessure

                                                    par contre la relation pédophilique qui exclut toute pénétration sexuelle en ne se contentant que de caresses ou d’attouchements semblent rationnellement et au premier abord envisageable voire acceptable ou du moins non pénalement condamnable ,comme d’ailleurs la pratique sexuelle infantile entre enfants ,-------------encore faut il préciser et déterminer les conditions où cette relation purement pédophilique et donc non pédosexuelle pourrait être envisageable

                                                    d’abord cela doit être une relation amoureuse réciproque comme d’ailleurs cela est une condition générale préalabre à toute relation sexuelle -------------------------cela veut dire que c’est une relation librement consentie de part et d’autre avec désir réciproque ---------------mais justement c’est là qu’il ya un hic ,est ce qu’un enfant peut choisir et consentir librement et est ce qu’un enfant a des désirs --------------------à ces questions on ne peut répondre de but en blanc ,et il faut nuancer

                                                    qu’un enfant ait des désirs spontanés cela semble hors du doute par l’observation,mais qu’un enfant puisse choisir et consentir librement sans être manipulé par les autres cela semble plus difficile et délicat à répondre ----------------------------a priori et en théorie cela semble possible qu’un enfant puisse choisir et consentir librement et spontanément du moins vers un âge où les psychologues ou pédagogues affirment être l’âge de raison ,c’est à dire vers environ 7 ans ,âge où l’on a conscience déjà de ce qui est bon ou mauvais ,ce qui est juste ou injuste,de ce qui est vrai ou faux ,de ce qui est bien ou mal ----et àcet âge l’enfant semble bien savoir ce qui lui plait ou déplait et monter son agrément ou son désagrément ,son accord ou son désaccord manifeste ,----------------mais en théorie et a priori seulement ,car dans la réalité pratique et a postériori ,bien de choses et de personnes peuvent entraver son libre arbitre ,des personnes adultes peuvent facilement les manipuler ,surtout ceux qui leur sont chers comme ses parents ou des personnes ayant une autorité ,tout comme les adultes aussi -------------------------------et les affaires dites de « pédophilie » qui sont justement condamnables par la justice relèvent des relations pédophiliques où il n’y a pas de choix et consentement vraiment libre de l’enfant et où il y a des manipulations de la part des adultes 

                                                    donc la relation pédophilique pure excluant les relations sexuelles en théorie pourrait rationnellement ne pas être pénalement condamnable si les conditions strictes de consentement réciproque et et de choix libre sont respectées --------toutefois même dans l’apparente existence de ces conditions ,comme la réalité pratique souvent ne remplit pas ces conditions préalables absolument nécessaire et qu’il est tès difficile de constater si le choix est réellement libre et s’il n’ y a pas de manipulation ou d’influence de la part de l’adulte ,celui -ci doit donc s’abstenir de faire le premier pas et même de ne rien agir et que toute l’initiative de la rencontre et de la relation amoureuse doit être l’apanage exclusive de l’enfant

                                                    quant à la condamnation morale ,chacun est juge selon sa conscience


                                                    • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 12 septembre 2009 08:56

                                                      La revue L’Infini publiée par Gallimard (avec le concours du Centre National des Lettres) et dirigée par Philippe Sollers (signataire de la pétition de 1977) a consacré l’ensemble de son numéro 59 d’automne 1997 (142 pages) à « La Question pédophile », avec une suite, une réaction publiée dans le numéro 60 d’hiver 97-98. Un questionnaire a été proposé, quarante-deux réponses de personnalités sont publiées. 

                                                      Roger Dadoun définit la pédophilie comme « intérêt sexuel pour l’enfant avec passage à l’acte » ; le pédophile selon Catherine Millot est un « adulte ayant des relations sexuelles avec un impubère ». Bertrand Boulin (1949-2002, fils de l’ancien ministre R.P.R. Robert Boulin) constatait que « l’enfant est aujourd’hui le mineur » ce qui est certes une confusion regrettable [encore faite par Roland Castro sur La Cinquième Ripostes, 11 mars 2001, et par Philippe Sollers sur LCI, 14 mars 2001]. Frédéric-Charles Coulet posait une question : « Y aurait-il par hasard un rapport entre la criminalisation [il s’agit plutôt de stigmatisation, puisque la pédérastie est en grande partie légale] de la pédérastie, l’éclipse d’une certaine beauté chez les jeunes et la délinquance des mineurs qui insiste chaque matin dans les colonnes des journaux ? » Florence Dupont déplorait un « déferlement de bonne conscience fondé sur la haine » et Gilles Chatelet (dans le n° 60) une « hystérie anti-pédophile ». Le magistrat Yves Lemoine constatait que « le sort de l’enfant est d’être abusé », mais on peut ne pas s’y résigner. 

                                                      Renaud Camus y écrivait, bien naïvement : « Si la sexualité, comme je crois, n’a strictement rien de répréhensible en soi, on ne voit pas pourquoi elle le serait chez les enfants, ou avec les enfants. Il est absurde de considérer qu’elle serait illicite jusqu’à un certain âge, et deviendrait licite du jour au lendemain, dès que cet âge est dépassé. Les enfants ont une sexualité et des pulsions sentimentales bien connues, qui peuvent très bien se porter sur des adultes, en particulier sur de jeunes et beaux adultes, professeurs de gymnastiques ou moniteurs de colonies de vacances, comme nous l’avons tous vu » ; il considèrait la pédophilie comme une « arme absolue de langage ». Sur son site web, visité le 18 mai 2001, il persistait : «  Les enfants sont le dernier bastion de la haine du sexe. Autant dire qu’il est farouchement protégé. Pourtant, si on pensait vraiment que le sexe est tout à fait innocent ; si on était tout à fait convaincu, comme je le suis, que par essence il est tout entier du côté de la douceur, de la bienveillance, de la gentillesse, de l’humour, et bien sûr de la plus complète liberté de chacun ; si on acceptait de l’envisager comme un des plus grands bonheurs de la vie, certes, mais aussi comme l’un des rapports humains les plus riches, les plus complexes, les plus chargés de civilisation et de sens ; si on croyait vraiment tout cela, que l’on dit croire, mais que l’on ne croit pas sérieusement, la preuve, on ne trouverait pas si monstrueux que des adultes initient des enfants à ces plaisirs-là, pourvu qu’il s’agisse bien de plaisirs, et véritablement de liberté.  » 

                                                        Sylvain Desmille caractérisait pertinemment la pédophilie comme un « métissage des temps », ce qui est également vrai de la pédérastie grecque ou gidienne, et bien souvent même de l’homosexualité entre adultes ; comme l’écrivait Frédéric Nietzsche dans ses notes de lecture sur Dühring, «  toutes les fois que la différence d’âge ou de caractère produit un contraste semblable à celui de l’homme et de la femme, ce contraste peut aussi bien nourrir une expression dans la sensibilité  », ce qu’il n’était pas le premier à remarquer (car Horace et Montaigne avant lui). Enfin, deux exemples de l’inexistentialisme selon Marcel Gauchet : pour Philippe Forest, « l’enfance n’existe pas, elle est le rêve du pédophile » ; pour Michel Houellebecq, « les pulsions sexuelles de l’enfance n’existent pas ». 


                                                    • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 12 septembre 2009 08:59

                                                      Le fait que depuis une trentaine d’années une argumentation en faveur de la pédophilie (argumentation souvent purement idéologique) ait été soutenue, ait fait l’objet de pétitions, est une innovation radicale dans notre société, comme l’a aussi remarqué le journaliste Jean-Claude Guillebaud dans La Tyrannie du plaisir (Paris  : Le Seuil, 1998) ; après avoir relevé d’une conception révolutionnaire de l’homosexualité, cette argumentation post-moderne a semblé pouvoir se rattacher à ce courant dit du politiquement correct qui vise à exacerber hic et nunc les exigences d’égalité des droits des minorités ou pseudo-minorités de toutes sortes – ici la catégorie des enfants, qui ont trouvé de bien curieux libérateurs ; cette évolution est elle-même un des avatars, une conversion, de l’utopie marxiste, comme le sociologue Paul Yonnet l’a montré dans le cas de l’antiracisme. Dans une « Tribune libre », le G.R.E.D. (Groupe de recherche pour une enfance différente) affirmait : 

                                                        «  L’enfant, même très jeune, a une sexualité très « ouverte » : qu’il s’agisse d’onanisme, de jeux sexuels avec d’autres enfants ou avec des adultes, que les partenaires soient du même sexe ou non, cette sexualité polyvalente n’a pas à être réprimée  ». 

                                                      Il se proposait d’aider à l’organisation de l’enfance : 

                                                        «  Comme l’ont fait tous les groupes humains aspirant à l’émancipation (travailleurs, esclaves noirs, peuples colonisés, femmes ...) les jeunes (enfants et ados) doivent s’inventer des structures radicalement en rupture  », pour créer «  l’expérience (et le réflexe mental) de la lutte collective pour leur liberté et leurs revendications ; peut-être la solution à la crise générale du militantisme ...  » 

                                                          Parce que la nouvelle morale sexuelle rejette les formes asymétriques de sexualité (viols et tournantes, mariages forcés, polygamie, inceste), elle a été amenée à admettre désormais l’homosexualité ; mais elle ne pourrait se faire, sous couvert d’une revendication des «  droits égaux  » de l’enfant et de l’adulte à la sexualité, à une relation aussi inégale que celle existant entre un(e) impubère (garçon ou fille âgé de moins de 13 ou 14 ans) et un(e) adulte.

                                                       

                                                          On connaît la boutade : «  avec l’évolution des mœurs, les gens finiront par accepter les pratiques sexuelles de l’Église catholique  ». Justement, non, cela ne passe pas. Le simple bon sens et l’état de l’opinion publique étaient exprimés par Claude Sarraute (Mme Revel) dans son billet « Pétitions » : 

                                                        « Quand on en est arrivé au droit des petits gamins à disposer de leur corps, à se plier aux exigences de vieux messieurs libidineux, moi, j’ai calé. » (Le Monde, 14 février 1986).

                                                       

                                                      Dans sa chronique « Une vieille réalité », Pierre Georges évoquait les réseaux pédophiles, « appuyés sur de solides complicités et de fumeux théoriciens du légitime droit de l’enfance à l’amour. » (Le Monde, 14 mars 1997). Aurions-nous oublié que «  toutes choses ont leur saison  »  ?

                                                       


                                                      • franc 12 septembre 2009 16:48

                                                        Courrouve ,vous avez fait un énorme contre sens en citant un passage de l’Evangile : « Quiconque scandalise l’un de ces petits [...] mieux vaudrait pour lui qu’on lui passe une
                                                        meule autour du cou et qu’on le jette à la mer  » (Matthieu, XVIII, 6 ; Marc, IX, 42 ; Luc, »

                                                        les« petits »en question ce sont les apôtres et plus généralement les disciples qui parcourrent les villes et les rues et frappant à la porte des maisons pour annoncer la bonne nouvelle de l’Evangile « cela est sans équivoque dans le contexte ,le mot petit est employé dans le sens de humble ,de pauvre et d’innocent

                                                        par ailleurs aucune part l’Evangile ne condamne la pédophilie ,au contraire un passage de l’Evangile pourrait être interprété comme une condamnation de la condamnation de la pédophilie ,passage qui raconte que lorsque les enfants venaient à Jésus ,l’entouraient et s’accrochaient à lui ,les apôtres les rabrouaient pour les faire partir ,mais Jésus les interpelaient en disant :----------- »laissez venir les enfants à moi ,ne les empêchez pas ,car c’est à eux et à leurs pareils qu’appartient le royaume des cieux "

                                                        oui toutes choses ont leur saison ,et la sexualité a ses saisons aussi en fonction de l’âge -------------------------la sexualité infantile innocente est de tout autre nature que la sexualité pure et fraîche des adolescents laquelle est différente de celle des adultes confirmés et expérimentés qui pratiquent certains phantasmes--------------mais dans tous les cas et en toute saison l’amour doit être un préalabre ,l’origine et la fin de la sexualité 

                                                        comme dit le dicton populaire -------------------------------------l’amour n’a pas d’âge


                                                        • Avalon_Girl 13 septembre 2009 21:55

                                                          Vous lire donne envie de vomir, Courouve ...

                                                          Où voulez-vous en venir au juste, avec vos déclarations nauséabondes ?
                                                          Quel est votre objectif personnel, au-delà du fait de noyer le poisson et de créer des leurres minables ?

                                                          Vos déclarations sont fausses car biaisées et partielles, ce k vous dissimulez derrière des formules aussi alambiquées qu’interminables.

                                                          La sexualité enfantine est réelle mais différente par essence de celle de l’adulte.

                                                          Il est normal k l’enfant teste sa capacité de séduction sur l’adulte,
                                                          mais çà n’est certainement pas dans l’optiQ d’un passage à l’acte,
                                                          c pour s’assurer de la reconnaissance affective et esthétiQ INCONDITIONNELLE de l’adulte.

                                                          Il est par ailleurs prouvé qu’une initiation sexuelle précoce coupe le développement psycho-émotionnel de l’enfant, qui n’a pas eu le temps de s’édifier en tant k personne, d’élaborer son rapport personnel à lui-même ni de définir par là-même son identité.

                                                          A ce titre, l’enfant est hautement influençable et « paramétrable ».

                                                          Tous les pédophiles se prennent d’ailleurs pour des Pygmalions ...

                                                          Le rapport sexuel avec l’autre présuppose d’être passé non seulement par la découverte d’autres formes d’intimité avec lui (affective, psychique, intellectuelle, spirituelle, corporelle) mais aussi d’être passé par l’Xploration de son propre corps et de son propre plaisir (masturbation).

                                                          Sauter des étapes en la matière, c rompre les équilibres psycho-physiologiQ Xtrêmement subtils et fragiles de l’être humain.

                                                          Mais, bizarrement, j ne vous ressens pas humaniste.

                                                          Il n’y a rien qui palpite entre la tête et le caleçon ...

                                                          Votre théorie, c « j le baise, donc j l’aime », ou encore « j l’aime, donc j le baise ».

                                                          C étrangissime, puisQ nous savons k même dans les rapports adultes, il n’en est rien, il n’y a pas de causalité logiQ ou d’équivalence s’appliquant de facto entre l’amour et le sexe !

                                                          La bienfaisance du lien adulte-enfant, ce devrait +tôt être
                                                          « j l’aime, donc j le protège de mes démons, au lieu de l’enfourner avec,
                                                          et j vais par contre me défouler avec des adultes consentants si g les couilles de le faire » ...

                                                          La pédophilie n’a rien à voir avec l’amour, et tout avec le rapport bourreau-victime, dominant-dominé, sans compter le syndrome de Stockholm en 2ème effet Kiss Cool quasi garanti.

                                                          Ceux qui n’ont pas le cran d’affronter leurs semblables dans un rapport minimal d’égalité vont s’attaquer aux enfants dans un rapport maximal de toute puissance.

                                                          & j n’évoQ même pas en détail les troubles graves encourus dans leur vie adulte par la majorité des anciens enfants sexuellement abusés
                                                          (absence totale de désir ou/ et de plaisir sexuel, compulsions diverses, auto-sabotage, autodestruction, addictions polymorphes, dépression cycliQ, isolement social, etc).

                                                          C marrant çà, si le dressage sexuel forcé des enfants est tip top, comment se fait-il qu’ensuite les adultes soient aussi déglingués au lieu d’être des petits génies du cul et des athlètes de la confiance en soi ?

                                                          Bien le bonjour à votre conscience ...


                                                          • Senatus populusque (Courouve) Claude Courouve 14 septembre 2009 08:31

                                                            Si vous croyez que je défends la pédophilie, vous n’avez rien compris à l’article.

                                                            Apprenez donc à lire avant de poster des commentaires !


                                                          • franc 14 septembre 2009 17:24

                                                            Avalon girl ,vos propos sont très pertinents et d’une grande importance ,mais je ne puis être d’accord avec tout ce que vous dites

                                                            d’abord votre charge contre Courouve est tout à fait injuste et excessive-------------------je ne vois rien dans l’article qui soit nauséabond ,au contraire il est plein d’équilibre et très instructif ,en aucun cas il ne prêche la pédosexualité ,il l’a même clairement condamné mais de manière injuste et erronée en citant un passage de l’Evangile qu’il interprète faussement comme une charge violente contre la pédosexualité, et vers la fin il conclut par la déclaration que « toutes choses ont leur saison » montrant par là qu’il ne faut pas interférer et mélanger la sexualité enfantine avec la sexualité des adultes

                                                            oui vous avez raison de dire que l’enfant en général teste sa capacité de séduction sur l’adulte et qu’il ne faut pas y interpréter comme un désir de passage à l’acte sur la quasi totalité des cas -----------------------------cependant il est des cas phénoménaux où ,extrèmement rare ,de l’ordre de la grâce divine ,où le passage à l’acte est opéré spontanément par l’enfant lui-même sur certains adultes qui ont un rayonnement psychologique ,sexologique,esthétique, et moral en même temp qu’une physiologie et psychisme proche de l’enfant voire fusionnel avec l’enfant en question tel que cela déclenche une onde amoureuse qui crée ce passage à l’acte spontané d’amour ---------------cela se produit sur certaines personnes habitées par la grâce telles que des poètes et des prophètes authentiques ,la personne de Jésus en est un exemple tel qu’il est raconté dans certain passage de l’Evangile --------------------------cest là un moment de grâce ,une présence divine ,un miracle de la beauté

                                                            oui tous les pédophiles se prennent pour des pygmalions sauf intervention du surnaturel

                                                            et il est très important comme vous le dites de ne pas sauter les étapes en la matière,de ne pas rompre l’équilibre psycho-physiologique extrèmement subtil et fragil de l’être humain ---------------------------il ne faut donc pas faire de l’éducation sexuelle forcenée à l’enfant ni aux adolescents d’ailleurs encore moins de dressage forcé des enfants ,mais laisser libre cours à la spontanéité de l’enfant et à son développement naturel et normal selon le temps ,la physiologie ,la psychologie ,la maturité ,bref la nature propre de chacun et en respectant l’orientation propre de chacun et son désir naturel ------------cependant une information des erreurs possibles à ne pas commettre et des dangers possibles semble bienvenue---------------------------------------------------l’éducation sexuelle s’il devait y en avoir devrait se limiter à l’enseignement des différentes orientations sexuelles et de la morale du respect de la liberté et de la dignité de chacun ,en aucun cas on ne devrait forcer en quoi que ce soit en la matière

                                                            mais il faut savoir qu’on ne peut généraliser des recommandations et des affirmations péremptoires car chaque cas est individuel surtout en matière de sexualité et que les enfants peuvent avoir des rapports avec la sexualité très différents les uns des autres ,les uns pouvant être très portés sur la chose ,d’autres pas du tout ,les uns sont très précoces et matures ,d’autres tardifs et longtemps immatures et il ne faut pas agir et réagir de la même manière

                                                            le domaine de la sexualité qui est l’expression immanente de l’amour est le domaine de la liberté transcendante par excellence et il ne faut en aucun cas limiter ,entraver ou forcer une orientation de quelque manière que ce soit


                                                            mais quand vous dites que la pédophilie n’a rien à voir avec l’amour ,je ne puis être d’accord si je prend le mot pédophilie au sens strict d’amour pour les enfant comme l’indique son éthymologie et non au sens de pédosexualité impliquant une relation sexuelle effective au sens strict -------------------------on peut avoir de l’amour pour un enfant sans avoir le désir d’avoir un rapport sexuel proprement dit c’est à dire avec utilisation et contact des organes génitaux et encore moins avec introduction ou pénétration de quelque manière que ce soit ,la relation amoureuse restant purement platonique ,à la rigueur des caresses et attouchements propres à la sexualité infantile pourraient être envisageables a priori et en théorie ,mais dans la pratique l’adulte devrait s’en abstenir et laissant l’initiative de l’acte amoureux uniquement à la spontanéité de l’enfant

                                                            quant aux troubles graves encourus à la vie adulte de la majorité des anciens enfants abusés sexuellement ,cela est incontestable,mais comme vous le dites vous même c’est dans les cas où les enfants sont abusés et manipulés par les adultes sans amour et désirs spontanés de l’enfant ,cela ne relève donc pas exactement des cas de relations amoureuses pédophiliques authentiques où il y a amour réciproque avec consentement et choix libre et spontané réciproques---------et d’ailleurs et même dans les cas d’abus sexuels avérés tous les anciens enfants abusés ne subissent pas un traumatisme identique ,il y en a qui s’en sortent presque sans dommage,et même certains vivent heureux à l’âge adulte avec le phénomène de résilience 

                                                            donc la pédophilie en soi n’est pas la cause essentielle et unique ni même la cause en soi des troubles que pourraient subir la majorité des enfants anciennement abusés à la vie adulte ,et je le dis avec gravité ,il y a beaucoup d’injustice faites envers les pédophiles et même envers les pédosexuels pervers non criminels c’est à dire qui n’ont pas commis de viols caractérisés ,d’agressions violentes ,de kidnapping et bien sûr de meurtres , à les accuser de tous les maux et d’en être la cause unique des troubles graves faites à l’enfant et à sa vie adulte,bref d’en faire des monstres pour en faire des boucs émissaires et la chasse aux sorcières ----------------------------souvent les troubles graves que révèlent des anciens enfants abusés proviennent de l’environnement familial et sociétal qui n’ont pas déployé les attitudes justes et la conduite adéquate pour accompagner l’enfant mais au contraire excitent et incitent les bas instincts de jalousie et de haines à se manifester qui détruisent le dévelopement normal psychique de l’enfant ,et d’autre part la répression par la criminisation de la pédophilie elle -même fait que l’adulte anciennement abusé sexuellement pendant l’enfance par le souvenir de cet acte qui pourrait l’inciter à faire de même s’en touve frustré à son tour et doublement frustré par le fait que son abuseur ait pu accomplir l’acte sexuel défendu et que lui ne le peut à son tour chargé de trop d’émotions et d’interdits faits par l’entourage familial et sociétal -----------d’où la haine concentrée et dirigée contre son ancien abuseur pour se venger de la situation de troubles commis plus par la société elle-même que par l’abuseur pédosexuel --------------------------------il y a là une situation d’injustice faite à la fois à l’enfant abusé et à l’adulte abuseur

                                                            c’est pourquoi j’en appelle à l’opinion publique , aux experts scientifiques de l’enfance,de la psychologie , de la sexualité ,et de la politique de prendre à corps ce problème douleureux et délicat de la pédophilie et de l’étudier autrement suivant une perspective nouvelle et sans concession à la la vérité afin de faire changer la mentalité et progresser le débat dans un sens positif à l’humanité pour le bien de l’enfant et des adultes et de toute la société entière car le statut quo actuel est insoutenable chargé de trop d’injustices et de crimes 


                                                            • Avalon_Girl 15 septembre 2009 23:52

                                                              Vous êtes bon pour aller passer des vacances épatantes au Maroc ou en Thaïlande avec l’auteur, à ce k j vois de vos diarrhées verbales communes ...

                                                              Vos propos sont tout simplement répréhensibles par la justice
                                                              & j ne comprends pas qu’Agoravox ne limite pas vos délires.

                                                              Une seule réponse : BEURK !


                                                            • franc 16 septembre 2009 13:39

                                                              La vérité vous dérange tant que ça pour que vous ayez des maux d’estomac


                                                              • Traroth Traroth 6 novembre 2009 11:16

                                                                Curieux, cette manière d’envisager que les criminels puissent être conditionnés par leur histoire, que ça soit la naissance ou le vécu.
                                                                Comment pouvez-vous ne pas comprendre que seule la croyance au libre arbitre rend les crimes, tous les crimes, punissables ? Si nos actes n’étaient que la conséquence de notre conditionnement, cela voudrait dire qu’ils ne seraient que la le fruit de la fatalité. Pourquoi et au nom de quoi dans ce cas punir les crimes ? Ca n’aurait aucun sens, puisque ça voudrait dire qu’on sanctionne quelqu’un pour un acte qu’il n’aurait eu d’autre choix que de commettre. Toute l’idée de justice repose sur le libre-arbitre, sur le choix de commettre un crime, ou de ne pas le commettre. On punit la personne qui fait le mauvais choix !


                                                                • JBSERBIST 29 mars 2010 17:18

                                                                  Un des problème majeurs de la pédophilie réside dans le terme lui-même. Elle peut commencer avec la simple pulsion refoulée ou sublimée et aller jusqu’au viol suivi du meurtre. La société ne fait pas de différence entre le geste affectueux et l’acte monstrueux : tout cela est désigné sous le même nom : pédophilie. Ce despotisme de l’étiquetage n’est pas sans rappeler la période stalinienne, quand des termes comme « révisionniste bourgeois » pouvaient suffire pour vous envoyer au goulag.

                                                                  Cette hystérie de masse fut magnifiquement décrite par Fritz Lang dans son film M. Dans cette affaire on ne sait qui l’emporte entre la bêtise et l’hypocrisie car, ceux la mêmes qui dénoncent la pédophilie le plus violemment , sont indifférents au pourrissement dont est victime l’enfance, par la télévision, l’internet, la publicité commerciale, quand ce n’est pas par les éducateurs eux-mêmes car, en France, les enfants apprennent à mettre un préservatif avant d’apprendre à tenir un crayon. Cette manie (au sens que les anglais donnent au mot maniac), si l’on n’y prend garde nous conduira t’elle à une nouvelle folie iconoclaste ? ; car, soyons logiques et , si possible honnêtes ; l’art Greco-Romain ainsi que l’art occidental entre la Renaissance et le XIX ième siècle ont, dans la statuaire et la peinture, usé et abusé parfois du corps du jeune garçon. Le Baroque du sud de l’Europe centrale pare ses église et ses frontons d’une profusion de putti. Faudra t-il détruire ces motifs décoratifs qui datent d’époques où les psychologues et les psychiatres n’ayant pas encore existé, le monde n’était pas pervertis par la simple pensée de sa propre perversion ?

                                                                  Je crains que cette folie collective se poursuive ou qu’elle débouche sur une contre-réforme dont les enfants seraient les premières victimes. Le mal étant déjà fait, les relations entre l’adulte et l’enfant resteront, hélas, empoisonnées à jamais.

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