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Accueil du site > Tribune Libre > Politique autoritariste de santé publique et accidents post-vaccinaux

Politique autoritariste de santé publique et accidents post-vaccinaux

Sujet débattu et controversé s’il en est ! D’un côté, des laboratoires pharmaceutiques qui réalisent, sur la vente de vaccins, de colossaux chiffres d’affaires et ne veulent donc pas perdre ce marché, marché que les obligations vaccinales décrétées par le gouvernement rendent captif. De l’autre côté, des militants qui s’inquiètent du nombre d’accidents post-vaccinaux, s’appuyant sur des publications de plus en plus nombreuses recensant le nombre et la gravité de ces accidents. N’y aurait-il pas moyen de trouver un terrain d’entente ? Est-ce utopique de rêver, d’un côté, à des vaccins moins dangereux et, de l’autre, au respect du droit de chacun à disposer de son propre corps ?

De nombreux exemples montrent que la vaccination peut entraîner des effets secondaires graves à court, moyen et long terme, voire même être létale. D’où une crainte bien compréhensible répandue dans l’opinion, qui incite bien des parents à se montrer réticents pour faire vacciner leurs enfants. Par exemple, l’incidence des allergies, qui reflètent des dysfonctionnements du système immunitaire, a augmenté massivement depuis quelques décennies et affecte un quart des enfants en bas âge, sans qu’il soit prouvé que les vaccinations en soient responsables.

Il en résulte une situation conflictuelle, les autorités sanitaires jugeant que, statistiquement, les bénéfices des vaccinations l’emportent très largement sur les risques d’effets indésirables, tandis que les parents refusent de laisser leurs enfants courir ces risques. Pour sortir de cette situation bloquée qui ne peut se résoudre par la force, il y a une seule solution définitive : éliminer ou rendre négligeables les effets secondaires des vaccins.

Or, plusieurs facteurs principaux peuvent rendre un vaccin dangereux :
1. Des facteurs liés à la conception du vaccin :
- Virus atténués qui peuvent recouvrer une virulence sous l’effet d’une recombinaison in situ avec une autre variété virale présente dans l’organisme (il y a, dans nos cellules, des centaines de virus dormants et dont nous ignorons l’existence... jusqu’au moment où ils se manifestent). Ces virus, dits "pseudotypiques", ont une virulence et une cible imprévisibles ;
- Virus ou bactéries atténués dont l’enveloppe porte des facteurs immunogènes de cellules humaines (la cellule infectée produit des virus qu’elle enveloppe avec certains de ses propres constituants). Ces virus peuvent provoquer une réaction immunitaire contre notre propre organisme (conditions auto-immunes : sclérose en plaques, affections rhumatismales, diabète...).

2. Des facteurs liés à la production du vaccin :
- Vaccin produit sur des cellules animales contaminées par des virus animaux : cas des vaccins contre la poliomyélite cultivés sur des cellules de singe contaminé par le virus oncogène SV40, cas probablement des vaccins contre l’hépatite B contaminés par le SIV (virus de l’immunodéficience simien, extrêmement proche du HIV responsable du SIDA), expérimenté pour la première fois sur la population "gay" de San Francisco chez qui a débuté l’épidémie du SIDA ;
- Vaccins contaminés par des produits biologiques variés responsables de pathologies de gravités variables ;
- Vaccins complémentés par des adjuvants destinés à stimuler la réaction immunitaire, comme l’éthyl mercure. Ce produit se trouvait dans les injections "triple associées" données aux nourrissons dans l’Etat de Californie. On pense qu’il est responsable de l’augmentation massive des cas d’autisme (dont les symptômes sont proches de ceux consécutifs à l’empoisonnement par le mercure) dans cet Etat, passant de 18 000 cas répertoriés entre 1968 et 1992, à 118 000 cas entre 1992 et 2002.

3. Des facteurs liés au moment de la vaccination : au cours d’une maladie virale ou peu de temps après, une vaccination augmente les chances de production de virus pseudotypiques et la mobilisation massive des ressources immunitaires peut favoriser l’émergence de globules blancs ne reconnaissant pas le "soi".

Dans l’état actuel des connaissance en immunologie, des biotechnologies et des tests biomédicaux, il serait possible d’éliminer la plupart des ces effets secondaires des vaccins en procédant de la façon suivante :

1. Vacciner non avec des virus ou des bactéries atténués, mais avec des composants immunogènes issus de ces virus ou bactéries, purs ou en cocktail, produits par génie génétique. Exprimer ces composants dans des vecteurs d’expression (microorganismes) cultivés sur des milieux synthétiques et non sur des milieux contenant des substances d’origine animale. Contrôler en permanence la pureté du vaccin, ne pas mettre d’adjuvants.

2. Préalablement à la vaccination, enquêter obligatoirement (interrogation des parents, examen sanguin...) pour s’assurer de l’absence d’une charge virale importante ; retarder la vaccination de l’enfant jusqu’à ce que son système immunitaire soit établi (il est montré qu’une vaccination trop précoce peut être ultérieurement sans effet protecteur).

En attendant que les mesures soient prises pour réduire de façon substantielle, ou même annuler, les effets secondaires, la liberté de décider de la vaccination de leurs enfants devrait être laissée aux parents (immunitas en latin signifie "exemption de charge").

Claude Reiss, président d’Antidote Europe

Se documenter :

http://alis.asso.fr/

http://www.infovaccin.fr

http://www.indsp.org/pharmcropsFR.php

http://asso.e3m.free.fr/

http://wassil.free.fr/


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11 réactions à cet article    


  • jay 18 juin 2007 12:29

    Merçi pour cet article clair.

    « vaccins contre l’hépatite B contaminés par le SIV (virus de l’immunodéficience simien, extrêmement proche du HIV responsable du SIDA) expérimenté pour la première fois sur la population »gay« de San Francisco chez qui a débuté l’épidémie du SIDA »

    pourriez vous donner des détails sur cette hypothèse d’apparition du VIH (j’ai cru lire qu’il s’agissait d’une hypothèse mais peut-être ai-je surinterprété), bien que m’étant intéressée au sujet je n’en avait jamais entendu parler.

    bien à vous


    • Next-up organisation Next-up organisation 18 juin 2007 14:23

      Depuis quelques décennies une nouvelle pollution environnementale est apparue, les Champs ElectroMagnétiques (CEM) artificiels sont devenus une réalité.

      Depuis deux années leurs croissances exponentielles échappent à tout contrôle dosimétrique sanitaire. Leurs effets sur nos glandes neuroendocrines métaboliques et comportementales sont connues, mais d’autres effets collatéraux plus subtils sur certains "matériaux dits véhiculeurs" qui n’avaient jusqu’alors que des propriétés inoffensives suivent malheureusement eux aussi les lois de la physique universelle . . . Dossier Dr Jean Pilette : www.next-up.org/pdf/DrJeanPiletteAluminiumEtVaccins.pdf


      • Ronny Ronny 18 juin 2007 14:28

        @ auteur

        Article intéressant, mais parfois tendencieux. Attention à rester aussi objectif que possible.

        incidence des allergies, qui reflètent des dysfonctionnements du système immunitaire, a augmenté massivement depuis quelques décennies et affecte un quart des enfants en bas âge

        Au sens strict l’allergie ne peut être décrite comme seulement un dysfonctonnement du système immunitaire (ce serait d’ailleurs plutôt une hyper activité). Heureusement que vous précisez sans qu’il soit prouvé que les vaccinations en soient responsables. Effectivement il n’y a aucun lien prouvé (ce qui ne veut pas dire aucun lien du tout) entre vacination et allergies. Dans ce cas d’ailleurs, pourquoi mentionner ce point ?

        N’oublions pas que l’allergie est le plus souvent due à des composés connus comme étant allergisants, tels certains fruits et graines (kiwis, bananes, noisettes et noix, cacahouetes, etc.). L’exposition à de plus nombreux polluants, à des composés « xénobiotiques » (pesticides, fongicides, bactéricides, etc.), dont on ne peut évoquer le rôle négatif potentiel en santé humaine, sans rappeler aussi leur rôle positif dans le même cadre, peut aussi être une cause de ces allergies. Enfin, n’oublions pas ce qui n’est plus une hypothèse aujourd’hui. dans ce cnombreux cas, l’allergie a une très forte composante « psy », ce qui est particlièrement vrai dans le cas des maladies de peau ou d’asthme.

        Il en résulte une situation conflictuelle, les autorités sanitaires jugeant que, statistiquement, les bénéfices des vaccinations l’emportent très largement sur les risques d’effets indésirables, tandis que les parents refusent de laisser leurs enfants courir ces risques.

        La situation est rarement conflictuelle. Seule une minorité - pour ne pas dire une infime minorité - de parents refusent des vaccinations obligatoires.

        Vaccin produit sur des cellules animales contaminées par des virus animaux : cas des vaccins contre la poliomyélite cultivés sur des cellules de singe contaminé par le virus oncogène SV40

        Situation que l’on ignorait bien sur lors de la préparation du vaccin, dont il faut quand meme rappeler qu’il a conduit (lui et l’amélioration des conditions de vie) à la disparition quasi totale de la polyo des pays occidentaux.

        Vaccins complémentés par des adjuvants destinés à stimuler la réaction immunitaire, comme l’éthyl mercure. Ce produit se trouvait dans les injections ...Etat, passant de 18 000 cas répertoriés entre 1968 et 1992, à 118 000 cas entre 1992 et 2002.

        Le problème des adjuvants est réel et pris en compte. On pourrait citer les sels d’aluminium, mis en cause dans d’autres pathologies humaines. Reste qu’à ce jour, et au mieux de ma connnaisance, on ne dispose d’aucune preuve pour affirmer l’existence d’une lien fort entre augmentation de cas d’autisme et vaccination.

        Vacciner non avec des virus ou des bactéries atténuées, mais avec des composants immunogènes issus de ces virus ou bactéries, purs ou en cocktail, produits par génie génétique... Contrôler en permanence la pureté du vaccin.

        Pour la pureté, c’est le cas ! Pour la première proposiiton, ceci est aussi le cas, mais pour un certain nombre de vaccins seulement. On n’utilise que des fractions vaccinantes, les antigènes. Jusqu’à présent, ces fractions étaient le plus souvent purifiées à partir du pathogène mais depuis peu on les obtient par ingénierie génétique, par exemple pour des vaccns contre le virus de l’hépatite B, de la fièvre porcine, etc. Des vaccins contre les shigelloses sont à l’étude et je crois (sans certitude) que le vaccin visant le virus responsable de 95% des cancers du col de l’utérus est obtenu de la sorte.

        En attendant que les mesures soient prises pour réduire de façon substantielle, ou même annuler, les effets secondaires, la liberté de décider de la vaccination de leurs enfants devrait être laissée aux parents .

        Malheureusement, et à mon avis, non ! Car comme vous l’avez dit, la vaccination , comme toute procédure, est appréciée en termes de coût et de bénéfice. Si nous (société) estimons que le coût de la vaccination est très inférieur au coût que représente la prise en charge des malades qui ne se sont pas fait vacciner, et à ce lui de la prise en charge d’éventuels accidents de vaccination, alors nous (société) avons le droit (et le devoir ?) d’imposer une vaccination obligatoire. Voila pour le principe de base.

        Pour l’application, en revanche, les intérêts des industries pharmaceutiques sont tels, que l’évaluation des bénéfices ne peut se faire que de façon strictement indépendante. Un effort doit absolument être mené, et c’est là qu’il se situe.

        En fin, un dernier point, certains vaccins sont particullièrement efficaces, ce sont souvent des vaccins dirigés contre des virus d’ailleurs, tels ceux contre la variole ou la polyo. Le vaccin antitétanique (bactérie) confère aussi une bonne protection. D’autres, sont moins actifs (BCG par exemple) et d’autres ne sont pas forcément justifiés (HBV) tant que les individus ne sont pas exposés au virus (personnel de santé, grands voyageurs, etc.).

        En matière de vaccination, ne jetons pas le bébéavec l’eau du bain svp !


        • Krokodilo Krokodilo 18 juin 2007 16:59

          Article lamentable qui procède dès l’intro par manipulation :

          « Par exemple, l’incidence des allergies, qui reflètent des dysfonctionnements du système immunitaire, a augmenté massivement depuis quelques décennies et affecte un quart des enfants en bas âge, sans qu’il soit prouvé que les vaccinations en soient responsables. »

          Quand on lit une phrase structurée comme ça, on ne déduit forcément que les allergies et les dysfonctionnements imunitaires sont dus aux vaccinations. C’est une méthode malhonnête qui augure mal du reste de l’article.

          Le lobby anti-vaccination profite d’AV, c’est la rançon de la liberté d’expression.


          • Krokodilo Krokodilo 19 juin 2007 15:57

            Merci Le Panda. Je reste anonyme car suite à mes enquêtes, j’ai récemment reçu des menaces d’extraterrestres dans ma boîte aux lettres : « Faites circuler ce message, sinon vous serez malédictionné ». Salut.


          • Douzillac 18 juin 2007 21:08

            Vous pouvez incriminer, prouver, supposer. Je peux constater une chose, non prouvée. Vacciné contre hépatite B à 42 ans par mon médecin du travail sans raison et ni information, juste pour respecter les recommandations du ministre. Mon métier ne justifie en rien cette vaccination. Le fait est que cinq jours après l’inoculation, épaule bloquée, anti-inflammatoire pendant plusieurs mois, radios et des tas d’examens. Multiples épisodes inflammatoires depuis dans différentes articulations, hanches, poignets, chevilles, doigts et diagnostic : polyarthrite rhumatoïde avec traitement de long terme. La grande majorité du corps médical rejette cette hypothèse. Que dire aussi de l’augmentation massive des scléroses en plaques ! Je vous laisse, je vais prendre mon traitment et dormir si je peux !


            • Krokodilo Krokodilo 19 juin 2007 15:53

              Douzillac, désolé de ce qui vous arrive, mais il faut rappeler que la PR et la SEP existaient avant la mise au point du vaccin contre l’hépatite B.

              Au pire, il fallait vérifier si le vaccin ne servait pas de facteur déclenchant, de co-facteur, et c’est ce qui a été fait, et refait en france, et dans plusieurs pays occidentaux. Toutes les enquêtes ont conclu à l’absence de lien. Et si une fois un tribunal en France a accordé une indemnisation à un patient atteint de SEP (contre l’avis de l’expert auprès du tribunal), c’est un geste compassionnel, pas une preuve scientifique.

              D’habitude, je ne suis pas tendre envers les labos, vous pouvez vérifier sur Natura Vox où une atatché de presse avait pondu un article de propagande sur comme ils sont gentils les labos. Mais cet article est comme la propagande évangéliste américaine, il y a les bons d’un côté et les très méchants de l’autre, ça ne correspond pas à la réalité, sauf à penser que des milliers de personnes de plusieurs pays différents complotent ensemble et sont parfaitement coordonnés.

              Alors, vive la liberté d’expression puisqu’elle permet d’aborder des sujets censurés par les médias (ça existe !), mais sur un sujet pareil, il faut un article un peu sérieux, avec quelques sources mentionnées.


            • fab 19 juin 2007 11:43

              Bonjour,

              Merci pour les liens (meme si un seul propose une liste de publications scientifiques) qui va peut etre m’aider pour introduire le sujet de ma these qui est justement la recherche de nouveaux adjuvants (a partir de bioploymere biocompabile et non toxique). Mais ça prends du temps : deux thèses de trois ans on deja été faite sur cette thématique et il reste encore de nombreux problèmes justement pour eviter tous risques eventuelle de toxicité. Je trouve un peux dommage cependant de voir encore des discours aussi orienter contre les vaccins qui on sauver de nombreuses vies. Si vous voulez informer sur les risques certains vaccins alors il faut le faire de façon plus precise, plus rigoureuse et plus objective... En science c’est le prix de la verité. Quand au solution que vous proposez, vous etes tres en dessous du dégree de complexité des thematiques de recherche en immunologie/vaccination...


              • rod 19 juin 2007 15:45

                euh fab gaffe à l’orthographe pour ta thèse...

                sinon +1 pour ta remarque...

                PS : @ Antidote Europe, c’est mesquin de mettre -1 à fab et de ne pas lui répondre, car on est tout prêt à entendre tes arguments...


                • Patrick FERNER 21 juin 2007 18:30

                  Tous les commentaires qui accompagnent cet article sont faussés par le fait qu’ils reposent sur le postulat que les vaccins sont efficaces, qu’ils ne produisent que des effets secondaires et par conséquent, on se met à disserter sur le bien-fondé ou non de l’obligation vaccinale. En fait, le principe même du vaccin repose sur une imposture scientifique de la part de Pasteur : tout le monde connaît l’histoire du petit Meister qui fut mordu par un chien prétendument atteint de la rage ; l’ennui, c’est que personne n’a démontré que le chien était enragé, lequel avait mordu plusieurs personnes dans le village et aucun cas de rage ne fut cependant signalé ! Autrement dit, Pasteur a fondé sa théorie vaccinale sur un CAS UNIQUE. Quand on sait que pour qu’un médicament ou un vaccin puisse être mis à la vente, il doit se voir délivrer une AMM (autorisation de mise sur le marché), cette dernière ne s’obtenant qu’au prix d’une longue série de tests sur une durée de 5 ans, et sur un échantillonnage de population significatif, il est permis, même pour des non-spécialistes dont je suis, de mettre en doute les thèses de Pasteur dont les thuriféraires risquent de voir le sol se dérober sous leurs pieds : « Le jeune Rouyer (12ans) fut mordu le 8 octobre 1886 par un chien inconnu, pasteur lui inocula un vaccin par la méthode intensive. Le 26 octobre, l’enfant mourut. Une enquête judiciaire dont fut chargée le Pr Brouardel fut alors ouverte pour déterminer les causes de la mort mais celui-ci, haut personnage bardé de diplômes, était un ami de Pasteur,. Dans le laboratoire d’Émile Roux, on inocula une partie du bulbe cervical de l’enfant à des cerveaux de lapins. Quelques jours plus tard, les lapins moururent de la rage mais Brouardel, en accord avec Roux, décida de porter un faux témoignage... Le rapport indiquait : « les lapins sont en bonne santé aujourd’hui ».  »Pasteur déclara que l’enfant était mort d’urémie...« (Philippe DECOURT, Les vérités indésirables : le cas Pasteur). Mais voici le pire concernant Pasteur : »...En 1886, les morts connus à mettre au passif de la méthode Pasteur s’élevaient à 74 ... Certains sont morts en présentant les symptômes de la rage ordinaire, d’autres ont succombé à une affection surnommée « rage des laboratoires ... »« (Sylvie SIMON, Vaccination : l’overdose, p.31)  »Ainsi, comme l’affirme de nombreux auteurs, Pasteur aurait menti : plusieurs historiens dénoncent aujourd’hui ce qu’ils appellent ses mensonges et ses mystifications que maintiennent le chauvinisme français et le loi du profit« . »...Les responsables de la Santé Publique le savent depuis le début du siècle [dernier] mais ont laissé véhiculer ce mensonge, constatant qu’il existait là un marché potentiel fabuleux !«  »Le Dr DE BROUWER écrit : « ...Le BCG prit rapidement un essor considérable et combla d’aise et d’argent l’institut Pasteur et un un corps médical d’une incompétence et d’une naïveté redoutables. Les promoteurs de cette affaire machiavélique, une vingtaine de familles tenant la santé en otage : mandarins, enseignants, propriétaires de laboratoires, etc... firent voter en 1949, à la sauvette, par l’Assemblée nationale et le Conseil de la République, la vaccination obligatoire par le BCG, lequel BCG, gratuit, est en réalité financé par le contribuable français... Curieusement, en 1949, le Président du Sénat était le PDG de l’institut Pasteur !... » « Près de 2000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédés, et les victimes (ou leur héritiers) accusent le vaccin contre l’hépatite B (Eric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Ed. Albin Michel).  »Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d’instruction à Paris. Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’hépatite B. Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de millions de scientifiques de tous bords, criant à l’empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité. Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc., du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :
                  - Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche,
                  - Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
                  - En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. ... Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui :
                  - Que les produits appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces,
                  - Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques : Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivées du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liées à l’apparition du Sida.
                  - Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’il sont censés prévenir !
                  - Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les épidémies. Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination. Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a connu plus de 4000 cas. Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité..." La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d’un empoisonnement collectif, et qu’il est plus que temps de réagir. En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu’ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n’ayant pour but que le profit, et surtout pas la SANTE... PUBLIQUE. Ces médecins dénoncent le fait que la quasi-totalité de leurs confrères est dans l’ignorance totale de ces informations, car l’information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques. Ces médecins indiquent également qu’une vaccination n’est pas un acte banal, et qu’un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires (arrêté du 28 février 1952). Il faut en effet, préalablement à tout acte vaccinal, que le sujet fasse l’objet d’un bilan clinique et biologique à savoir : a) Iconogramme complet, dosage de l’urée b) Lipidogramme c) Bilan endocrinien d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelle de l’organisme à fabriquer les anticorps g) Bilan radiologique :
                  - Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée.
                  - Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire. Or, jamais un seul de ces tests n’est proposé aux enfants, ce qui procède d’une négligence criminelle. Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n’est encore venu les contredire, les vaccinalistes se content de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies. Déjà le 5 décembre 1957, 101 Députés Socialistes déposaient une proposition de Loi tendant à abroger l’obligation vaccinale. Parmi eux MM. DEFFERRE, CAPDEVILLE, PROVO, SAVARY. La France est le seul pays d’Europe à avoir 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculose et de tétanos, mais c’est le 1er pays producteur de vaccins du monde... En outre, certaines vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d’autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple) vu le nombre de victimes paralysées à vie qu’ils ont faits."

                  Sources : http://www.onnouscachetout.com/themes/medecine/vaccins-mensonges.php

                  - Vaccins, l’avis d’un avocat, on nous aurait menti ? Par Maître J.-P. JOSEPH


                  • Laurent Dycha 13 juillet 2009 16:17

                    Bonjour,

                    il y a deux aspects dans ce débat : l’un est politique, l’autre est scientifique.

                    Dans l’aspect politique, le fait d’injecter un produit dans le corps d’un être humain, c’est à dire de toucher à son intégrité physique sans son consentement constitue un viol.
                    Un moyen de lutter contre est de demander systèmatiquement au médecin de faire un certificat dans lequel il certifit qu’il n’y a aucun risque dans la vaccination et qu’il engage sa responsabilité civile et pénale en cas d’accident. Aucun médecin ne vous signera jamais un pareil document.

                    Le second est d’ordre scientifique et tout porte à croire que le risque d’accident vaccinale est réel mais rarement reconnu.

                    Toujours est-il que quand des familles, particulièrement sensiblent aux vaccins et où le risque d’accident est grand se retrouvent confrontées à la législation, c’est un véritable parcours du combattant pour éviter la vaccination de force qui, je vous le rapelle, constitue ni plus moins qu’un viol.

                    Aux vues des dégats causés (autisme, choc anaphyleptique etc..) graves que peuvent engendrer les accidents vaccinaux, le principe de précaution devrait être retenu et une recherche des causes réelles de la transmission de ces maladies mise en place avec un suivi systèmatique des populations.

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