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Accueil du site > Tribune Libre > Pourquoi je n’aide pas les pauvres

Pourquoi je n’aide pas les pauvres

Etre pauvre ça n'existe pas, on "est" pas pauvre, on le devient, c'est le fruit d'un processus. On devient pauvre parfois dès la naissance, parce que la famille dans laquelle l'enfant arrive est elle-même devenue pauvre (On est pauvre par rapport aux autres, donc non, aucune famille n'a toujours été pauvre. Quand personne n'avait rien, personne n'était pauvre). Il est aussi possible de devenir pauvre plus tard dans la vie si on a pas "la chance" d'avoir un travail... La chance d'avoir un travail...

Une chance oui, mais pour qui ? Pour celui qui passe ses journées à faire un boulot de survie sous peine de ne plus pouvoir manger, se loger, nourrir sa famille, ou une chance pour ceux qui retire des bénéfices colossaux de ce travail que ce soit directement ou indirectement.

La pauvreté n'est pas une fatalité, c'est un calcul pour nous faire accepter de travailler dans des conditions de plus en plus mauvaises et de perdre de plus en plus de nos "acquis sociaux" (qui ne sont plus si acquis que ça). Il existe d'ailleurs un indicateur économique le NAIRU déterminé par l'OCDE qui est le taux de chômage minimum pour un pays afin d'éviter une augmentation des salaires. Parce que, oui, quand il y a peu de chômage, les gens demandent de plus gros salaires (les ingrats) et nos petits salaires sont la garantie des grosses rentes des nantis.

A celui qui m'objecte qu'une augmentation des salaires provoque une inflation, je rétorque que si il y a indexation des salaires sur l'inflation, je m'en fiche. Seuls les gens qui ont un énorme tas de monnaie se retrouvent dans la position désagréable de le voir fondre. Peu importe que mon café coûte 200€ si j'en gagne 200.000 par mois.

Je ne veux pas "aider les pauvres" ce qui reviendrait à accepter que ce qu'ils vivent est un état quasi naturel et à leur faire la charité, et dès lors à les placer de fait dans une position de soumission et de dépendance.

N'aidons pas les pauvres, luttons contre l'accumulation sans limite du capital !


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53 réactions à cet article    


  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 24 septembre 2013 10:13

    « La pauvreté n’est pas une fatalité, c’est un calcul »
    Dis donc, génie, c’est un calcul de la part des pauvres ??

    Encore un gars paumé qui aurait aimé etre un penseur, et pour qui un raisonnement économique semblant a priori tenir la route (un bon mot, quoi..), permet de jeter a la poubelle toute une partie de l’humanité.
    Des nazes ayant le meme raisonnement sont malheureusement a la tete de pays.

    Que souhaiter d’autre que de vous voir tous un jour alignés contre un mur, un bandeau sur les yeux ?


    • jako jako 24 septembre 2013 10:23

      Bonjour Vladivostok, vous êtes un peu dur. J’ai l’impression que l’auteur veut attirer l’attention sur le fait que la pauvreté perdure et qu’aider le pauvre ne sert à rien , il faudrait plutôt s’attaquer à la racine du mal, la repartition des richesses, mais je peux me tromper.
      Au delà il suffit d’observer l’invraisemblable quantité d’associations pour aider les nécessiteux et que cela ne fait pas avancer le schmilblik.


    • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 24 septembre 2013 10:34

      C’est vrai, mais je vous soumet 1 ou 2 autres points de vue interessant :

      Essayons :

      - « Il ne faut pas aider les accidentés de la route. Le probléme vient des voitures qui vont trop vite, et d’un code de la route pas assez sévere. D’ailleurs, leur role est de culpabiliser les conducteurs qui vont trop vite. »

      et aussi

      - « Il ne faut pas aider les gens qui se noient. Ils ne sont qu’un symptome d’un manque de cours de natation. Ils n’aurait pas du aller dans l’eau de toute facon, c’est un probleme de comportement et d’éducation avant tout. »

      Ca vous plait ? J’en ai encore plein comme ca...


    • jako jako 24 septembre 2013 10:38

      Bien entendu et bien evidement qu’il faut réagir à l’instantanéité, quand on a faim c’est concret et urgent, il faut nécessairement aider, mais au delà cela devrait être accompagné d’un travail de fond au niveau politique pour EXIGER un changement immédiat de situation, comme le faisait par exemple Albert Jacquard.


    • Ruut Ruut 24 septembre 2013 15:16

      Le problème de la vitesse excessive est un choix politique, technologiquement il est possible de mettre des limitateurs automatique de vitesse pour pas un rond pour l’acheteur de voiture.
      Par contre cela forcerait l’état a faire son travail de signalisation et d’urbanisation correctement, c’est un autre débat.

      Quand a l’article il met le doigt où ça fait mal.

      La culture de la pauvreté est aussi un choix politique.
      ça arrange beaucoup de monde qu’il y ai des chômeurs ou des sans papiers.
      ça met aussi une grosse pression aux travailleurs pour qu’ils fassent profil bas vous voyez il y as plus mal lotis que vous.


    • appoline appoline 24 septembre 2013 20:18

      En somme, il faudrait zigouiller les pauvres, car pauvres ils sont nés, pauvres ils mourront. Quant aux pauvres qui le sont devenus, ces ânes bâtés, calamités de la société, aucun excuse, qu’ils crèvent la gueule ouverte.


      Ca pourrait se tenir si, tout était aussi simple que l’auteur le décrit, ce qui n’est pas le cas, la pauvreté prend bien souvent une lenteur qui jalonne des années, elle s’installe hypocritement sans faire d’éclat, presque par surprise. Les temps modernes les fabriquent, dès que l’un s’en sort, un autre prend sa place

    • Defrance Defrance 24 septembre 2013 23:07

      Bonjour à Tous, 

        Cet article, probablement provocateur semble être une démonstration par l’absurde du Bonsensisme  ? 

         Il est vrai que même en naissant pauvre on peut devenir riche, et l’inverse, le tout est une question de chance mêlée d’intelligence, de bonne santé, voire de culot ? 

        Je n’irai pas jusqu’à promouvoir l’escroquerie qui est le meilleur moyen de devenir soit tres riche, soit en taule ? 

       Mon idée de « bonsensisme » est de se dire que la richesse mondiale est FINIE ( c’est la somme de toutes les ressources qui sont transformées ou dilapidée chaque jour et il me semble vrai de dire que si on limite la richesse au besoins humain, voire au double du besoins, le reste se trouverait automatiquement redistribué ( sans tuer ni les pauvres, ni les riches) ? 


    • Gabriel Gabriel 24 septembre 2013 10:30

      Ce qu’il faut c’est de la justice et non de la charité car partout où la charité est le dernier recours c’est qu’il y a une injustice.


      • acbong 24 septembre 2013 15:49

        comment détruire les injustices sans faire la révolution ?



      • appoline appoline 24 septembre 2013 20:19

        Comme disait Serge Lama : « s’il y a de l’injustice, j’aimerais parfois en profiter »


      • Defrance Defrance 24 septembre 2013 23:15

         un premier point serait de changer complétement le système boursier en INTERDISANT les placement de moins d’un MOIS et en taxant a partir de trois mois (exercice comptable) à un an ! 

         La bourse a été crée au XVIII siècle , on se déplaçait à cheval pour « jouer » en bourse, ce qui évitait les fluctuations trop brutale ? 

          Vous avez peut être lu, comme moi que les italiens viennent de légiférer pour taxer à 0.02% toute les transactions inférieures à 1/2 seconde ! ( oui 1/120 ème de minute) 


      • Buddha 24 septembre 2013 10:32

        salut

        l’auteur dit ceci : N’aidons pas les pauvres, luttons contre l’accumulation sans limite du capital !....

        moi j’irais beaucoup plus loin comme : mais pourquoi le capital ??? la réponse est : ben !! c’est le seul moyen pour voler suffisamment pour avoir assez en quelques mois pour toute une vie ; sinon la vie du voleur qui vole seulement de la nourriture ou des logements, ou des vêtement à ceux qui travaillent çà n’est pas drôle..avec le capital on leur vole une énorme partie de leur travail pour toute une vie............

        ne plus aider le pauvre revient à la chute très rapide du système millénaire de la société marchande de profit en entier...donc le riche même si ça lui trou le cul il va continuer a donner............sauf si il veut se suicider..et là je me demande si ils n’en sont pas a cette phase....nous allons donc devoir apprendre à vivre l’impermanence,c’est une bonne chose car la vie n’est que cela....seul dans cette zone du cerveau esprit qui sait vivre l’ impermanence se trouve la beauté de vivre...car vivre EST le miracle...


        • devphil30 devphil30 24 septembre 2013 10:45

          Article qui prête à différentes interprétations .... 


          Je comprend ce que veux dire l’auteur , sans parler « d’assistanat » terme détourné actuellement de son sens , l’auteur indique qu’il faut aider , donner aux chances aux pauvres sans les maintenir dans une aide permanente.

          Les personnes en difficulté ont toujours besoin d’un coup de pouce pour repartir mais à ce jour en France pouvons nous fournir du travail à tous ? Non 

          Est-ce une volonté délibéré d’une classe patronale qui préfère créer une demande d’emploi supérieure à l’offre afin de casser les salaires et les acquis ? Oui 

          Comment alors pouvoir fournir du travail à tous ? 

          Merci à l’auteur d’avoir soulevé ce point intéressant 

          Philippe 

          • jako jako 24 septembre 2013 10:49

            C’est bien tourné Philippe, du travail pour tous il n’y en aura jamais plus, un système de remplacement aurait dû être étudié il y a 20 ans déja.


          • jeanpiètre jeanpiètre 24 septembre 2013 18:12

            ce n’est pas tant l’argent , qui n’est qu’un moyen d’échange, que la propriété qui verrouille nos sociétés, tant que cette valeur sera centrale, nous ne seront jamais guère plus qu’une perversion des sociétés animales, entre la meute et le troupeau


          • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 24 septembre 2013 10:47

            Pardon mais le corp de l’article ci dessous est une évidence, du niveau de « l’eau ca mouille. »
            Ce qui est interessant est sa conclusion : « Ne pas aider les pauvres ».
            C’est bien l’objet du débat.

            - "Bien entendu et bien evidement qu’il faut réagir à l’instantanéité, quand on a faim c’est concret et urgent, il faut nécessairement aider,"

            Je note donc que nous sommes d’accord.


            • jako jako 24 septembre 2013 11:01

              C’est vrai mais à l’éclairage de son autre article je ne pense pas qu’il y ait mauvaise intention à la spartacus... ce serait bien par contre qu’il (l’auteur) vienne s’exprimer.


            • ZenZoe ZenZoe 24 septembre 2013 11:07

              Je pense comme l’auteur.
              Déjà je n’aime pas cette expression « les pauvres », elle est bête humiliante et réductrice, elle met dans un même sac plein de gens aux parcours différents et elle sonne comme une tare héréditaire et définitive.
              Et je déteste la charité, cette manière d’humilier « les pauvres », en leur faisant bien sentir leur condition, en les enchainant à la gratitude éternelle et forcée. Dans certaines épiceries « solidaires », on les suit à la trace « les pauvres » en vérifiant qu’ils ne prennent pas trop de vin, en leur conseillant de prendre plus de légumes, de pâtes, de yaourts. Dans certaines boutiques « solidaires », on ne trouve pas de trop beaux vêtements, ils ont été confisqués par les bénévoles qui trouvent ça drôle « bah, ils en ont pas besoin pas vrai ?... »
              La charité ne sent pas bon.
              Je préfère la lutte pour que des salaires corrects soient versés aux gens, en rapport avec ce que l’entreprise rapporte, pour que des contrats décents soient proposés, et plus de ces dispositifs menant à l’esclavage masqué, pour que des logements soient construits, pour que les SDF perturbés soient pris en charge médicalement, comme le serait n’importe qui d’autre. Je préfère que l’on abolisse tout dispositif d’aides et que les gens puissent disposer d’un revenu qui leur permette de vivre dignement sans rien quémander - comme les autres.


              • alinea Alinea 24 septembre 2013 19:51

                En n’oubliant pas l’éducation ni l’instruction ; n’oublions pas le capital culturel ! quand on a le minimum pour vivre, c’est mieux d’avoir à parler, échanger, lire, apprendre, enseigner... savoir voir, savoir écouter et entendre ; Ah qu’il est important le capital culturel


              • Robert GIL ROBERT GIL 24 septembre 2013 11:31

                avec beaucoup d’ironie et une certaine lassitude, lire : LES PAUVRES MERITENT LEUR SORT


                • 24 septembre 2013 11:40

                  Compliqué comme article ça ... Au début j’ai cru à du Rosemar ...

                  Je comprends le résonnement ... Mais ça là cette phrase là → je ne veux pas « aider les pauvres » ce qui reviendrait à accepter que ce qu’ils vivent est un état quasi naturel et à leur faire la charité, et dès lors à les placer de fait dans une position de soumission et de dépendance.

                  Dans un sens si on supprime toutes les aides à la pauvreté ben c’est bien possilbe que des groupes de 300 ou 400 personnes voir plus se réunissent et ensemble vont a la première grande surface du coin pour y faire leurs courses, mon avis c’est que les quatre ou cinq vigiles ne les en empêcheront pas et là inversement de ce que tu dis : Accepter que ce qu’ils vivent est un état quasi naturel et dès lors à les placer de fait dans une position de supériorité et de facilité ...

                  Et oui ne pas aider les pauvres c’est ce faire peur quand le système nous convient ... Parce que ne pas aider les pauvres c’est aussi augmenter les vols, les cambriolages, l’insécurité, etc, etc ... Alors t’inquiètes ceux qui ont été, sont ou seront aux commandes de droite comme de gauche en sont bien conscients et ne l’oublieront pas car ils n’ont pas envie de voir ça et surtout à devoir le gérer ... Des moutons qui muteraient subitement en loups ou en lions, à ce moment là il ne leur resterait que deux solutions possibles pour régler le problème, soit ils emploient l’armée soit ils abdiquent ... smiley


                  • Defrance Defrance 24 septembre 2013 23:20

                     Et c’est pour cette raison qu’ils ont supprimé le service militaire ! 

                        Les appelés auraient trop vite retourné leur Famas , comme les silex en 1777 ? 


                  • subliminette subliminette 24 septembre 2013 11:58

                    Des plus pauvres que pauvres vous n’avez pas fini d’en voir : les conseils généraux sont en train de chercher par tous les moyens à virer un maximum de bénéficiaires du RSA.

                    Que faire à 60 ans quand vous êtes travailleur intermittent si l’on vous supprime les pauvres 400€ qui vous empêchent juste de crever dans les moments où vous n’avez pas de travail ? C’est pourtant le cas actuellement...
                    Les présidents des conseils généraux, bien payés, n’ont plus aucune notion des difficultés rencontrées sur le terrain par leurs administrés et les virent du dispositif. Dans le cas que j’évoque il s’agit d’un président PS !


                    • jako jako 24 septembre 2013 12:02

                      Avenir très sombre en ce moment effectivement, il faudrait les contraindre à rester une journée à côté d’une caisse de aldi ou lidl un samedi, et de visiter à pied les guettos qui s’installent un peu partout autour des grandes villes, le week end passé, j’ai fait le détour à Dunkerque, c’est stupéfiant la « délabritude » générale. Jusqu’ici tout va bien...


                    • Rincevent Rincevent 24 septembre 2013 14:37

                      Assez d’accord avec l’article mais ça supposerait un « grand soir » qui ne semble pas prêt d’arriver. Pourquoi ? Deux raisons à mon avis.

                      1) La technique de la cuisson du homard : en augmentant très progressivement la température de l’eau, la bête (nous) ne sent presque rien et ne saute pas hors de la casserole toutes pinces dehors…

                      2) L’existence d’une classe moyenne (terme un peu fourre-tout recouvrant des situations différentes) dont l’utilité a toujours été de faire tampon entre les vrais possédants et les pauvres, évitant la confrontation radicale. Dans les pays sans classe moyenne significative les situations révolutionnaires sont courantes.

                      Ce qui a l’air de bouger un peu mais pas assez (syndrome du homard) c’est une glissade vers le bas de cette classe, l’ascenseur social étant de plus en plus en panne. Quand les intéressés auront réalisé vers quoi ils vont, peut-être que ça bougera vraiment. En attendant ils continuent plus ou moins à remplir leur fonction historique : se croire plutôt du côté du manche et se comporter en conséquence…

                      Compter sur une révolte qui viendrait des pauvres et qui mettrait à bas le système est une illusion éventuellement dangereuse : ça favorise surtout l’extrême droite (on le voit partout en Europe) qui, malgré ses discours, n’a aucune intention de ce genre, juste retourner aux vieilles recettes autoritaires « yakafaucon » sans toucher au Capital.


                      • TSS 24 septembre 2013 15:41

                        La pauvreté n’est pas une catastrophe ni un etat naturel ,c’est un etat programmé et entretenu

                        par les possédants pour avoir des esclaves à la botte et 2ème effet kisskool ,ils ne mettent pas

                        un fifrelin dans les organismes de charité ...donc les pauvres nourrissent les pauvres... !!


                        • chmoll chmoll 24 septembre 2013 17:41

                          j’irais jusqu’à dire que c’est un équilibre il faut des riches comme des pauvres malheureus’ment


                          • Claude Courty Claudec 24 septembre 2013 17:58

                            Contrairement à ce que prétend l’auteur, la pauvreté -comme la richesse - est avant tout héréditaire.

                            Chaque jour, 200 à 250 000 êtres humains supplémentaires déferlent sur la terre et par l’effet de la structure dont la société s’est dotée et du sort qui les fait naître ainsi, ces nouveaux arrivants vont, dans leur grande majorité, s’ajouter aux pauvres qui occupent déjà la base de la pyramide sociale.

                            Prolifération à l’origine de tous nos maux, mais sujet démographique tabou dont personne ne parle.

                            Ceux qui, dans de grands élans de générosité inspirés aussi bien du marxisme que du christianisme et autres idéologies et religions, veulent imposer la dictature du prolétariat ou pour le moins leur vision si compassionnelle de la pauvreté, sont en réalité les promoteurs de celle-ci, au détriment premier de ceux qui en souffrent. Croyant ou prétendant lutter pour ces derniers, ne s’obstinent-ils pas, dans une lutte des classes dont les avatars prouvent dorénavant l’archaïsme, moins à partager les richesses du monde qu’à rejeter sommairement sur la seule collectivité, la responsabilité du destin des pauvres ? Ne négligent-ils pas ce faisant, la part prépondérante qui en incombe à chacun d’entre nous ? Quel que soit le sort de chacun, il est d’abord dû à sa naissance, et vouloir l’ignorer ne fait que retourner la colère des plus déshérités contre eux-mêmes, les enfonçant toujours plus dans leur condition en perdant de vue qu’elle est avant tout héréditaire et que c’est par conséquent prioritairement sur ce terrain qu’il faut la combattre, en cherchant avant tout à réduire cette hérédité.

                            Pour approfondir cette réaction, voir  :

                            http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com

                            Les articles et commentaires publiés sur ce blog sont accompagnés de schémas et tableaux, à l’intention des visiteurs que décourage la lecture.


                            • viva 24 septembre 2013 18:50

                              La pauvreté n’est tout simplement plus acceptable au 21 ème siècle, d’autant que la mécanisation nous fait tendre vers la disparition du travail de masse.


                              Il y a donc des mesures à mettre en oeuvre et un virage à prendre.

                              Ce qui se passe actuellement c’est que la barque est trop chargée et il y a de moins en moins d’actif « vraiment nécessaire » pour un nombre d’inactifngrandissant de ce fait la grande majorité de la population est en train de couler.

                              Je suis aussi contre les aides pour les personnes valides et en bonne santé, parce que cela les incites à accepter leur situation et à ne pas remettre le système en cause et cela se fait sur le dos de ceux qui se tuent au travail.

                              • libertus 24 septembre 2013 18:56

                                Vous voulez aider les pauvres ? Votez pour le parti libéral démocrate.

                                Plus un pays est libéral, moins il a de chômeurs, plus les salaires sont élevés. A vous de voir si vous voulez continuer à soutenir des partis qui enfoncent la France chaque jour un peu plus ou un parti qui peut réellement hisser la France au niveau qui devrait être le sien.

                                 


                                • Defrance Defrance 24 septembre 2013 23:48

                                   comme le FDP en Allemagne ..... 98 licenciés d’un coup ! 

                                     Il ne faut plus de parti politique qui sont manipulés par la finance, il faut que tout le monde puisse agir DIRECTEMENT sur la gouvernance du pays sans passer par des fainéants qui ne pensent qu’a garder leurs sièges ! 

                                     La démonstration est dans le post ci dessus qui pointe sur : donnez nous 35€ pour vous enfumer, comme au PS, à l’UMP, au FN, au PCF, PG ...... ! 

                                   

                                     


                                • eau-du-robinet eau-du-robinet 24 septembre 2013 20:38

                                  Imaginez vous 20 personnes travaillent sur un champ récoltent des légumes.

                                  La récolte d’une journée est déposée sur une table et le soir arrivé le moment de « partage ! ».

                                  Parmi ses vingt personnes 2 sont équipé des grands sacs et les 18 autres n’ont que leur mains pour emporter ce qui sont capable de maintenir dans leurs mains.

                                  Chacun commence à se servir et peut ainsi prendre ce qu’il est capable d’emporter avec lui.

                                  Pouvez vous cous imaginer la suite ?

                                  OUI, c’est ça ... Les deux avec leur gros sacs BIEN REMPLI représentent les riches et les 18 autres les pauvres ....

                                  Puis imaginez vous que cela se répète pendant des semaines !

                                  Ceux qui ont des sacs sont de plus en plus riches et les autres le juste minimum pour survivre.

                                  Les derniers années ce phénomène de non partage équitables c’est fortement accentué.

                                  Car les 2 personnes avec des sacs ont puis acheter un camion d’occasion pour ramasser ainsi encore plus à chaque fin de journée de travail .... et du coup les autres font du « sur place »...

                                  Combien de temps nous allons encore assister à ce spectacle indécent ?


                                  • Rincevent Rincevent 24 septembre 2013 20:41

                                    Et encore, ça c’est un scénario où les « gros sacs » travaillent...


                                  • Claude Courty Claudec 24 septembre 2013 21:51

                                    eau-du-robinet & Rincevent

                                    Qui peut sérieusement imaginer que si demain chacun bénéficiait d’un revenu identique, ou que le grand partage ait lieu, mettant tous les individus à égalité de richesse (ou de pauvreté), la terre ne serait pas peuplée, après demain, de ceux qui sauraient faire fructifier leur avoir et de ceux qui n’en aurait pas la capacité ou l’envie ?

                                    À confondre égalité devant la loi avec égalité de revenu, nous oublions que richesse et pauvreté seront toujours relatives et que le courage, la créativité, le goût du risque et celui d’entreprendre, le talent, l’ambition, la chance, etc. des uns ne sont pas ceux des autres.

                                    Si la pauvreté augmente, si les inégalités se creusent, les raisons en sont l’augmentation considérable de la population et de la richesse globale que cette même population génère par son activité, avec l’aide du progrès ; le partage de cette richesse étant une toute autre affaire.

                                    Chaque jour, plus de 200 000 êtres humains s’ajoutent à la population terrestre. Par l’effet de la structure de la société et du sort qui les a fait naître ainsi, ces nouveaux arrivants, dans leur grande majorité, vont s’ajouter aux pauvres qui occupent déjà la base de la pyramide sociale.

                                    Phénomène purement démographique à l’origine de tous nos maux, mais sujet tabou dont personne ne parle.

                                    Pour approfondir cette réaction, voir :

                                    http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com

                                    Les articles et commentaires publiés sur ce blog sont accompagnés de schémas et tableaux, à l’intention des visiteurs que décourage la lecture.


                                  • AlainV AlainV 25 septembre 2013 08:22

                                    Claudec,
                                    vous mélangez tout.
                                    Et vous oubliez l’essentiel : le rôle de l’Etat est de redistribuer la richesse accumulée par ceux qui ne réinvestissent pas leurs bénéfices, ou les placent dans la finance pour en avoir encore plus.


                                  • eau-du-robinet eau-du-robinet 25 septembre 2013 12:38

                                    Bonjour Claudec,

                                    Je ne demande pas qu’on à tous le même salaire au centime près ... c’est pas ça le propos de ma caricature sur les abus excessives de l’oligarchie.

                                    Je vous invité à regarder ce documentaire sur Goldman & Sachs qui à été diffusé hier soir sur Arte.

                                    La dérive du monde de la finance est telle que nous allons bientôt assister à un effondrement du marché. Il faut voire les révoltes grandissantes dans des divers pays voire continents du monde, Grèce, Italy, Espagne, Portugal, Brésil, ...

                                    Ses derniers années nous, les travailleurs et la classe moyenne, avons perdu en pouvoir d’achat et en même temps les types dans les hautes étages de chez Goldman & Sachs ont Triple leur salaires.

                                    Les types de Goldman et Sachs se baladent entre leur poste de leur Banque et celui des dirigeants des instances politique américaines et européennes (il placent leur PIONS) et se préoccupent pas du tout des conflits d’intérêts . 

                                    Ils vivent de la spéculation (sur le dos des travailleurs) et le pire c’est comme ils sont en même temps au commandes politiques il peuvent donner un coup de pousse pour que leur spéculation en modifiant simplement un levier politique pour engendrer des bénefices (voler sur les marchés) Ce sont que des voleurs (en liberté) .... C’est le casse du siècle avec l’effondrement de économie mondiale à la clé... puis des conflits sévères voire une nouvelle guerre mondiale nous attendent dans un proche avenir ...

                                    Il est grand temps de chasser ses bandits en puissance .... et ne comptons pas sur les hommes politiques donc la majorité est corrompu pour effectuer cette tache !


                                  • Rincevent Rincevent 24 septembre 2013 22:33

                                    @ Claudec.

                                    Je ne pense pas avoir évoqué un même revenu pour tous. Outre que c’est illusoire ce serait limite démotivant, c’est vrai.

                                    Ce qui est en cause c’est un système où il FAUT de plus en plus de pauvres pour enrichir encore plus le sommet de la pyramide. Les fameux 1 % et, encore au dessus, les 0,1 %. Quand au goût d’entreprendre, OK mais la crise actuelle ne vient pas, à priori, des entrepreneurs mais du capitalisme purement financier qui lui ne produit rien, se contentant de faire du trading à haute fréquence (au détriment des entreprises, souvent).

                                    Le problème démographique est effectivement sérieux mais n’est qu’une composante (aggravante), il n’explique pas tout


                                    • fcpgismo fcpgismo 24 septembre 2013 23:00

                                      Dans la même veine les restos du coeur sont une immonde saloperie qui laisse les pauvres à leur sort au lieu de les obliger à se révolter.


                                      • Rincevent Rincevent 24 septembre 2013 23:10

                                        « les obliger à se révolter. » Là, j’avoue que c’est une version du grand soir à laquelle même Lénine n’aurait pas pensé !


                                        • Defrance Defrance 24 septembre 2013 23:54

                                          Au Pakistan ils commencent à se révolter pour obtenir 100$/mois ! Ceci va peut être faire réfléchir les Carrefour, Wallmart, H&M .... qui s’engraissent sur leurs dos en balançant les caissières au chomage ? 


                                        • soi même 25 septembre 2013 01:50

                                          « N’aidons pas les pauvres, luttons contre l’accumulation sans limite du capital !  » Comment si prend t’on ?


                                          • Deneb Deneb 25 septembre 2013 07:12

                                            "l’automatisation généralisée tous azimuts a libéré l’homme du travail."

                                            certainement pas, les automates, on doit entre autres les programmer, optimiser le code, expértiser sans cesse le système, déboguer, entretenir... S’il est vrai que l’automatisation libèrera l’Humain des taches physiques pénibles et contraignantes, elle lui en confèrera d’autres, que la machine ne peut accomplir, créatives, décisionnelles, coordinatrices ... Bien que la fin du travail obligatoire, la fin de l’esclavage, est une bonne chose, le travail valorisera celui qui l’effectue en augmentant son pouvoir. Les non-travailleurs seront privés de toute influence, ils subiront ce que les travailleurs leur imposeront. L’argent sera remplacé par une position plus ou moins haute dans une pyramide décisionnelle, par la maîtrise de son environnement.


                                          • Tipol 25 septembre 2013 07:01

                                            Pas si simple, toutes les situations sont justifiables correctement dans notre monde de dualités.
                                            Il faut distinguer PAUVRETE-RICHESSE de BIEN-VIVRE-MAL-VIVRE.
                                            Aujourd’hui, la majorité de l’humanité confond les deux ; seule une poignée d’orientaux trouve le bien vivre et son bonheur dans la pauvreté.
                                            Il semble difficile d’adopter ce style pour toute la planète, plus personne ne ferait rien sur Terre !
                                            Dans un pays isolé encore moins.
                                            Seuls les pauvres irréversibles sont bien obligés de chercher cette situation de bonheur dans le dénuement.
                                            Ne pas aider les pauvres, il faut alors accepter d’avoir une partie de la population complètement désolidarisé irréversiblement de la partie qui travaille. Et les hauts niveaux d’intelligence et de spiritualité auront bien des arguments pour expliquer combien il est important de se venir en aide au pauvre sous-classe du mot « son prochain » !
                                            -
                                            Le problème est ailleurs, l’organisation générale qui veut que le bonheur passe par dépenser sa vie, son argent à brûler la planète inutilement, à consommer plein les caddies des objets inutiles mais bien emballés.
                                            Ce système ne survit pas par volonté politique, mais parce que ça se vend à la majorité du peuple.
                                            Tous les secteurs de l’économie, l’organisation technique, industrielle... permet de bien vivre.
                                            Beaucoup ne s’en rendent pas compte.
                                            Il est dommage que cette organisation de la société arrive maintenant au service d’une minorité d’esclavagistes modernes.
                                            Ces gens transforment le progrès tant oeuvré du dernier siècle en élevage en batterie des êtres humains, comme des lapins en cage.
                                            VRAIMENT, il manque aujourd’hui un guide, une encyclopédie du savoir bien vivre, comment échapper aux prédateurs, comment ne pas acheter des saloperies inutiles et mortelles, comment construire un projet de vie...


                                            • Palinurus Palinurus 25 septembre 2013 08:30

                                              Les patrimoines élevés se concentrent au sein d’un nombre faible de ménages, rapporte mardi Le Soir sur la base d’une étude de la Banque nationale de Belgique (BNB). Selon les statistiques collectées au niveau européen, 20% des Belges les plus riches possèdent exactement 61,2% du patrimoine national.

                                              Selon les données de la BNB, les 20% des ménages les plus pauvres ne possèdent par contre que 0,2% du patrimoine.

                                              "La Belgique se caractérise par "une répartition inégale des richesses et une concentration des patrimoines élevés au sein d’un nombre relativement faible de ménages", indique la Banque nationale de Belgique.

                                              Mais ces inégalités sont encore plus marquées dans d’autres pays européens, notamment en France et en Allemagne. Dans l’Union européenne, en moyenne, les 20% les plus riches détiennent 70% des richesses.
                                              Sans commentaires.


                                              • lloreen 26 septembre 2013 18:33

                                                C ’est absolument la logique du système de l’ argent-dette échafaudée en 1913 par une poignée de gangsters.
                                                Comprendre comment ce système a pu se mettre en place est essentiel pour pouvoir le combattre.
                                                D’ autant plus qu ’il est basé sur la tromperie et l’ escroquerie dès la première heure de sa mise en place.
                                                Ce qui revient à dire qu’ il est entaché d’ illégalité et vicié dans sa base.

                                                Reconnaître à un tiers qu ’il détient un « droit » ou une « créance » sur quelqu’ un est totalement illégal.
                                                Cela revient à reconnaître un droit de propriété de l’un sur un autre....

                                                Le système financier est une fiction et la dette est carrément virtuelle.

                                                Imaginer que quelques individus se réunissant en coulisses à l’ insu de tous les autres décident de la « valeur » de quelque chose qu’ ils n’ ont pas crée (terre,eau,énergie) est surréaliste.
                                                Sans même évoquer la « valeur » des gens...


                                              • Brice Bartneski bartneski 25 septembre 2013 09:19

                                                Les pauvres, c’est comme les riches. Il y en a trop.


                                                • Le421... Refuznik !! Le421 25 septembre 2013 20:36

                                                  Maintenant, si vous connaissez une solution honnête pour passer de l’état de pauvre à celui de riche, hormis l’euromillion...
                                                  Remarquez, tous ces jeunes des banlieues qui font du « bizness », même comme ça, très peu s’en sortent.
                                                  Ouais... En définitive, il vaut mieux naître riche.
                                                  D’autant plus que les pauvres sont plutôt contre les taxations de l’héritage...
                                                  Mais bon sang !! Qu’est-ce qu’on est cons...
                                                  C’est pas possible.
                                                  Vivement le FN que les riches le soient encore un peu plus et que les pauvres n’aient plus qu’à fermer leur gueule. Pour de bon.
                                                  Qu’est-ce qu’on est cons... (bis repetita)


                                                  • eau-du-robinet eau-du-robinet 26 septembre 2013 07:41

                                                    Bonjour Le421,

                                                    «  Maintenant, si vous connaissez une solution honnête pour passer de l’état de pauvre à celui de riche, hormis l’euromillion... »

                                                    C’est n’est pas une question d’état de riche ou d’état de pauvre !

                                                    Des richesses il en à assez !

                                                    C’est une question de partage équitable des richesses et du domptage des marchés financiers qui ont complètement déraille à cause de la déréglementation des marchés financiers et la corruption généralisé voire les médias muselé par l’oligarchie obéissant à leur maîtres ( donc il n’y plus de contre pouvoir).


                                                  • Le421... Refuznik !! Le421 26 septembre 2013 08:10

                                                    Oui... Entièrement d’accord avec vous. Sauf que cette volonté de partage n’existe pas. La solidarité a été rayée du dictionnaire pour être remplacée par l’assistanat.
                                                    Or, qu’est-ce que tous ces milliards que les contribuables distribuent aux grandes entreprises qui en profitent sans pour autant renvoyer l’ascenseur hormis de l’assistanat ??
                                                    Et pas du tout de la solidarité.



                                                    • lloreen 26 septembre 2013 18:18

                                                      Les banquiers ont inventé la notion de personne juridique pour que tout leur système puisse prendre corps.

                                                      La ruse suprême a consisté à nous faire croire que nous sommes des personnes juridiques.
                                                      Non,nous sommes des êtres naturels.
                                                      Les droits de la personne sont leur invention.Or ce qu’ ils assimilent à une loi ne sont que des règles commerciales (applicables à des marchandises et des sociétés.
                                                      Une loi ne peut être que NATURELLE.
                                                      La loi naturelle veut que le soleil se lève et se couche.La loi naturelle veut que l’ homme s’ incarne.La loi naturelle veut qu’ une graine germe et que la nature nourrisse l’ humanité.

                                                      Les pseudos lois dont on nous abreuve à longueur d’ année et qui se votent à une vitesse quasi supraluminique ne sont que des dictats des uns au détriment des autres, des règles établies par des sociétés privées qui se sont créées pour se servir des hommes et des femmes comme d’ un vivier à administrer et à exploiter.

                                                      Comprendre cette nuance est essentiel pour retrouver la sérénité et l’ énergie pour vivre mieux et autrement.


                                                      • lloreen 26 septembre 2013 18:52

                                                        La loi naturelle fait que la pauvreté n ’existe pas car la nature donne gratuitement à profusion.
                                                        Personne n’ a jamais eu de facture d ’un verger, de son jardin,du ciel qui déverse l’ eau de pluie ou du soleil qui réchauffe et éclaire la terre.

                                                        La pauvreté résulte du système imaginé par les quelques-uns qui conçoivent le monde comme leur propriété et qui ont fait en sorte d’ ériger la pénurie en système de façon à manipuler les prix et influer sur le cours des matières premières .

                                                        Toutes les pénuries sont organisées.
                                                        Il y a du pétrole en abondance mais ceux qui exploitent cette énergie fossile s’ entendent pour faire stagner la production de façon à pouvoir manipuler les prix (baisses et hausses successives).
                                                        Il en va de même pour l’ extraction des pierres précieuses.Les géants comme De Beers ou General Electric qui exploitent les gisements font en sorte de contrôler absolument le marché en agissant sur les quantités extraites.
                                                        Le marché des céréales et autres biens alimentaires ne fonctionne pas différemment.

                                                        Quelques-uns se sont arrogé un droit parce que les autres ont laissé faire.Ces gens ont-ils une quelconque légitimité à agir comme ils le font ? Aucune.

                                                        La pauvreté n ’est une fatalité que si la masse laisse faire.La terre n’ appartenant à personne en particulier mais à tout le monde en général, c ’est l’ intérêt général qui doit primer.


                                                        • Mr-Asperger 29 septembre 2013 10:29

                                                          Malgré le bon sens voulue d’une hypothétique spécialisation et initiative privée,la charité est tout aussi condamnable que le moins disant social et fiscal.

                                                          Je vais prendre un exemple moins connus : ceux qui ont un certain handicap(syndrome d’asperger) plus ou moins invisible,ne trouve pas de job.Le marché ne reconnaît que ceux qui ont un handicap visible et sont subventionnés d’aides publics.Les autres demandent l’AAH et doivent parfois revenir chez des parents pas toujours bienveillants.

                                                          Et tout ce que je dit est une forme de pauvreté:empêcher les uns en raison d’une étiquette à faire valoir leurs capacités même un temps soi peu très spéciale(quand intérêt spécial corrobore avec une compétence recherché par un employeur) et les obliger de dépendre du bon vouloir des autres.

                                                          La pauvreté n’est pas seuleument monétaire ou matériel : n’a t’on jamais vu autour de nous de camarades de classes qui jouissait d’un bon niveau apparent de vie,en ayant cependant peu de cultures,peu de ressources intellectuelles car considérés comme inaptes en raison de moultes préjugés ?

                                                          A vraie dire la pauvreté me choque et je reprends un mesure de thomas picketty : la refonte de notre fiscalité et une refonde de la fiscalité sur les patrimoines qui je trouve favorise trop ceux qui possèdent déjà et défavorisent d’autres qui n’ont pas pu accumulé pour x ou y raisons.

                                                          Il ne s’agit pas de dhésabiller paul pour habiller jack mais que les plus fortunés soient astreints de payer de par leur capacité contributive leurs impôts.

                                                          Accessoirement:des initiatives citoyennes pour lutter contre les trafics d’influences et de lobbyng.Si la police ni l’armée ou l’état ne peut lutter et bien nous mêmes citoyens coalisons nous contre ces ploutocrates illégitimes.

                                                          Et si vous voulez me refuter:le faire dans les règles,pas de déformation abusive.

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