• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Sarko et la gauche : les polichinelles de la politique

Sarko et la gauche : les polichinelles de la politique

L’interview de Sarkozy, et le débat qui s’en est suivi sur France 2, le jeudi 27 octobre, m’ont inspiré ce titre irrévérencieux.

Polichinelle est une marionnette qui allie mensonge et cruauté mais, bien entendu, dont d’autres tirent les ficelles. Nous verrons « qui » dans la suite de cet article.

Un secret de Polichinelle est un secret que tout le monde connaît mais dont personne ne veut parler parce d’autres sont supposés ne pas le connaître. Nous en avons vu de beaux exemples tant dans les explications de Sarkozy que dans l’absence de réaction sur les rangs de gauche occupés par Emmanuel Valls et Jean-Luc Mélenchon.

Et tandis que des journalistes thuriféraires en quête d’avancement, ou terrifiés par l’éventualité d’une mise à l’écart, s’extasient devant le ton responsable du Président de la République, ou devant le ton présidentiel du Responsable de la déliquescence de la République, je préfère jouer le rôle de l’enfant candide dans le conte des « Habits neufs de l’empereur » et m’exclamer que celui-ci est nu(l) ! Ce qui, comme vous le savez, est un secret de polichinelle.

Les explications de Nicolas Sarkozy

Le Monde.fr relève 12 contre-vérités dans le discours du Président ! Et j’en ai encore relevé quelques autres. La première n’est sans doute qu’une question de perspective : quand il déclare que la faillite de la Grèce aurait entraîné celle de l’Euro et du monde entier, il faut comprendre qu’effectivement une faillite de la Grèce aurait entraîné la fin du système particulièrement injuste (Jean Ziegler dirait même « assassin ») qui accorde aux financiers l’autorité sur le monde entier. Et la chute de ce système aurait été un soulagement pour les citoyens de la planète.

La seconde est plus interpellant en ce qui concerne l’information du Président de la République sur la manière dont fonctionnent les banques. Il a osé dire que les banques de dépôt prêtent l’argent des épargnants pour se contredire peu après en disant qu’elles prêtent beaucoup plus que ce qu’elles ont en dépôt. Personne n’a relevé l’erreur lors du débat qui a suivi.

En fait, et c’est bien un secret de Polichinelle, les banques ne prêtent pas (sauf incidemment) l’argent des épargnants mais il existe un rapport entre les dépôts et les crédits et ce rapport est celui-ci : les banques peuvent distribuer en crédit neuf fois plus que ce qu’elles ont en dépôt et, dans la pratique, cette proportion est souvent montée à 12 ou à 16 fois le montant de ces dépôts.

Alors, d’où vient l’argent ? Simplement, lorsque vous sollicitez un crédit, il y a création de monnaie virtuelle. C'est-à-dire que le banquier, quand il a reçu votre engagement de rembourser et vos garanties, inscrit simplement sur votre compte la somme demandée que vous virerez ensuite sur les comptes de vos fournisseurs en échange des biens ou services, non virtuels ceux-ci.

Tant que ces sommes voyagent de compte à compte, il n’est pas nécessaire d’imprimer plus de billets. Or, c’est ce qui se passe la plupart du temps. De temps à autre, les banques manquent de billets et elles en commandent à la banque centrale, non pas pour un crédit particulier mais pour l’ensemble de ses besoins.

Il est clair que jamais la banque ne puise sur le compte d’un épargnant pour attribuer un crédit pour la simple raison qu’il n’y a pas d’argent sous forme de billets sur les comptes à vue ni sur les comptes d’épargne (sauf si vous louez un coffre pour l’y placer). Quand vous déposez des espèces en banque, c’est bien sûr noté virtuellement sur votre compte mais les billets entrent dans la comptabilité générale de l’établissement bancaire.

Pourquoi cet énorme mensonge de Sarkozy ? Un Président de la République peut-il ignorer le fonctionnement des institutions de son pays ? Difficile à croire, n’est-ce pas ? D’ailleurs, à l’évidence, il sait que la banque prête beaucoup plus que ce qu’elle a en dépôt. Alors, pourquoi glisse t-il qu’elle prête l’argent des épargnants alors qu’il sait que jamais une banque n’a débité le compte d’un épargnant lors d’un défaut de crédit ?

Et c’est bien là que se trouve le secret de Polichinelle : il sait qu’à l’instar de l’Empereur qui s’était fait tailler un costume invisible, une majorité d’électeurs croit encore à cette fable de l’épargne transformée en crédit et il a besoin qu’elle y croie parce que, si le public apprend que l’argent est créé à partir de rien, il finira par comprendre que les intérêts bancaires ne sont justifiés par rien.

Nicolas Polichinelle veut donc maintenir la majorité des Français dans l’ignorance pour les gruger plus facilement mais remarquez que personne, lors du débat qui a suivi, n’a relevé le mensonge, n’a révélé le secret. Tous ignorants ou tous complices ? Faites vous votre opinion.

Qui tire les ficelles ?

Polichinelle est une marionnette dont les paroles et les actes sont dirigés d’en haut. Je n’en veux pas plus sur ce coup-là à Sarkozy qu’aux autres dirigeants européens, en ce compris Van Rompuy et Baroso mais il est clair, à l’issue de la réunion extraordinaire des 17 ce jeudi, que les perdants sont les gouvernements et les citoyens et que les gagnants sont les financiers.

Ne prêtez aucune attention aux déclarations du chef de l’Etat. Quand il affirme que le représentant des banques a été convoqué dans la nuit de mercredi à jeudi pour une réunion avec notamment Merkel et lui et qu’ils ont tous deux communiqué leurs décisions au financier, laissez-moi rire !

Les banques qui avaient prêté à un pays insolvable avaient tout à perdre d’une faillite et les Grecs tout à y gagner puisqu’ils auraient été débarrassés de leur dette. N’importe quelle entreprise ayant fait faillite après avoir pris des risques inconsidérés aurait simplement disparu. Au contraire, les banques se voient gratifiées de remboursements en majeure partie constituées d’intérêts. De plus, la garantie des Etats fournie au FESF implique de nouveaux cadeaux aux banques, sur le dos des contribuables, à concurrence de 1.000 milliards en cas de nouveaux défauts de pays de plus en plus vulnérables.

Si vous avez lu les 12 contre-vérités relevées par Le Monde.fr dans les propos de Sarkozy, vous n’êtes pas restés insensibles à la première. Quand on annonce que les banques renoncent à 50% de leurs créances qui passent de 240 à 120 milliards alors qu’en réalité elles passent de 340 à 330 milliards, on se demande où sont les 50% de sacrifices des banques annoncés ?

Du coup, il est beaucoup plus vraisemblable que c’est le banquier qui a convoqué les chefs d’Etat et que ceux-ci se sont agenouillés devant leur maître. Car enfin, même à 4 heures du matin, ne pas voir la différence entre 50% de la dette et 50% des en-cours, cela relève de l’incompétence…ou du mensonge éhonté couplé à un mépris profond pour l’intelligence des Français. Il reste toujours quelque chose d’un mensonge dans l’opinion des gens.

Voici donc l’agonie de la Grèce prolongée pour un temps et les autres pays européens affaiblis davantage économiquement sur le long terme en raison des garanties qu’ils ont données au FESF et politiquement en raison de leur dépendance à l’égard des pays émergents si, comme c’est probable, ceux-ci viennent au secours de l’Europe.

Mais l’essentiel de la pièce se joue à un autre niveau. Vous connaissez les CDS ?

Le Credit Default Swap ou CDS est un titre d’assurance émis par une banque-assurance qui protège le créancier contre le défaut de paiement d’une entreprise ou d’un Etat. En échange d’une prime proportionnelle au risque évalué par les agences de notation, un établissement s’engage à protéger l’investissement contre le risque de pertes. Plus les agences de notation dégradent une banque ou un pays, plus fortes sont les primes d’assurance. Vous saisissez ?

Les banques engagées dans les obligations d’Etat ont déjà eu recours à ces CDS mais quand les Etats interviennent en garantie, les banques-assurances émettrices peuvent continuer à encaisser leurs primes sans rien débourser. C’est le contribuable qui paie.

Mais il y a pire : les CDS sont des produits dérivés, du même genre que les subprimes, que tout spéculateur peut jouer en bourse, à l’achat ou à la vente, sans être lié au sort de la banque créancière ou de l’Etat défaillant. C’est comme si vous contractiez une assurance incendie sur la maison de votre voisin. Vous auriez tout intérêt à y bouter le feu…et tous les spéculateurs ne visent que leur propre intérêt.

Vous commencez à comprendre pourquoi les agences de notation n’hésitent pas à dégrader la note d’un Etat ou d’une banque en difficulté, au risque de les enfoncer davantage en leur imposant des intérêts supérieurs qui peuvent faire obstacle au remboursement de leur dette ? Il y a toujours d’énormes profits derrière et très peu de risques dans la mesure où, chaque fois, les gouvernements cèdent à la pression des financiers et épargnent les banques-assurances en volant au secours des banques en difficulté.

Mais pour Sarkozy, les agences de notation ne sont pas le problème, le problème c’est que les Français doivent travailler plus ! Donc, ou bien il n’y voit que du feu, ou bien on lui a intimé l’ordre de filer doux.

Le débat escamoté

Le débat qui s’en est suivi a porté sur les responsabilités de la crise que Nicolas Sarkozy imputait à la gauche et notamment aux 35 heures tandis que les représentants de la gauche, Manuel Valls et Jean-Luc Mélenchon, mettaient l’accent sur les 500 milliards de dettes contractées sous le quinquennat de Sarkozy.

Tous trois ont raison mais ce n’est pas le fond du problème, ce ne sont pas les causes premières. La cause fondamentale, dont tout le reste découle, a été évoquée par Marine Le Pen quand elle a évoqué la loi Rothschild du 3 janvier 1973 qu’elle a promis d’abolir si elle était élue.

Cette loi anti-démocratique par nature oblige les citoyens à payer des intérêts sur les crédits contractés par l’Etat alors que celui-ci pouvait auparavant emprunter sans payer un sou d’intérêts. Jamais dans le monde, on n’a vu une telle trahison des électeurs. Sans ces intérêts, la France compterait 1.600 milliards de dette publique en moins !

On aurait pu espérer que des hommes de gauche embraient sur ce point, eux qui sont sensés défendre les intérêts du peuple mais ils n’ont pas dit un mot sur ce qui représente la plus importante spoliation de l’histoire de l’humanité, une spoliation qui s’est déjà révélée criminelle à l’égard des pays du Tiers Monde où toutes les 5 secondes un enfant meurt de faim.

Pas un mot pour contredire Marine Le Pen sur ce point. Comment l’auraient-ils pu ? Pas un mot non plus pour faire leur cette dénonciation de la trahison. Pourquoi ce silence gêné ? Pour ne pas s’attirer les foudres de banquiers prêts à financer leur campagne ?

J’ai toujours été hostile au Front National pour son nationalisme dépassé et surtout pour sa xénophobie. J’ai toujours écrit que les immigrés sont les victimes du système financier à un niveau plus grave que nous et que les accuser de nos problèmes de chômage ou d’insécurité est une lâcheté ignoble parce que la cause de ce chômage et de cette insécurité réside dans un système qui organise l’appropriation par les financiers de toutes les richesses créées par les Etats, les entreprises et les travailleurs. Et parce que ce système, c’est nous, par notre ignorance et notre imbécillité qui l’avons laissé se mettre en place.

Mais face à l’autosatisfaction de l’UMP et aux réactions de mollassons des hommes de gauche, je ne suis pas loin de penser qu’il faudrait confier un mandat présidentiel à Marine Le Pen pour rompre une fois pour toutes avec ce système quitte à organiser la résistance sur le plan de la xénophobie et de la répression abusive.

La fin du système n’est pas un drame !

Marine Le Pen veut sortir de l’euro, Jean-Luc Mélenchon y croit encore… Quand on a créé l’Europe, on a mis au point l’Europe financière alors que les altermondialistes militaient pour une Europe sociale. N’en déplaise à Mélenchon, cette Europe sociale s’éloigne de plus en plus quand la préoccupation principale des politiques est la charge de la dette.

Le seul moyen de relancer l’Europe sociale et l’économie serait qu’un chef d’Etat de la taille de la France ou de l’Allemagne dise à ses partenaires européens : « Cela a assez duré : on supprime l’article 123 du Traité de Lisbonne et les Etats empruntent à taux 0 à la banque centrale sinon mon pays sort de la Communauté européenne. »

Quelle serait la réaction des autres pays européens, eux aussi confrontés à des dettes insurmontables en raison des intérêts bancaires et à une opinion de plus en plus hostile ? Je fais le pari qu’ils préféreraient ce retour à un système soutenable plutôt que d’avaliser le démembrement de l’Europe.

La dramatisation d’une faillite de l’euro, de la faillite d’un pays ou de la faillite d’une banque sert bien les financiers et paralyse le peuple à tort. En Serbie, quand une banque faisait faillite, espérant être sauvée par le gouvernement, la banque nationale reprenait simplement la gestion provisoire des comptes clients et invitait ces derniers à choisir une autre banque dans laquelle leurs avoirs seraient transférés. Aucun dommage pour la population !

En cas de faillite collective des banques, ce qui impliquerait la fin de l’euro, le chaos ne durerait que 2 jours avec des gouvernements compétents (on peut rêver) qui auraient anticipé l’événement. Il suffirait de s’adresser à la population sur tous les médias pour lui demander de continuer à travailler et à commercer à l’aide de chèques nominatifs dans une nouvelle monnaie, initialement de la valeur de l’euro, ces chèques étant disponibles dans les administrations locales dont le rôle consisterait à y apposer l’identité des propriétaires. Après réquisition des bâtiments et du matériel des banques, la nouvelle monnaie pourrait remplacer l’ancienne dans les distributeurs et sur les circuits informatiques, les avoirs antérieurs étant transformés dans la nouvelle monnaie, les salaires versés comme à l’accoutumée et les transactions par chèques débitées ou créditées sur les comptes respectifs. Rien de dramatique si ce n’est peut-être un flottement dans les approvisionnements extra-européens. Et si la nouvelle monnaie n’est pas porteuse d’intérêts ce sera une bénédiction pour la population qui pourra enfin envisager des décennies de progrès sociaux.

Quant à la faillite d’un Etat, l’Argentine et l’Islande sont passés par là et existent toujours, non ? La confiance finit par se rétablir parce que les dirigeants changent et parce que le besoin de commercer est plus fort que le souvenir de créances non payées. Et compte tenu de la taille du marché européen et du volume de ses importations et exportations, le reste du monde ne pourrait pas nous snober longtemps.

Alors, rester dans l’Europe ? De préférence oui si on corrige le système monétaire pour qu’elle devienne démocratique et sociale mais mille fois non à l’Europe antidémocratique des financiers. Tant que subsiste l’article 123 du Traité de Lisbonne, à propos duquel des citoyens de nombreux pays n’ont pas été consultés, l’Europe n’a aucune autorité légitime.


Moyenne des avis sur cet article :  5/5   (19 votes)




Réagissez à l'article

11 réactions à cet article    


  • Pyrathome Pyrathome 5 novembre 2011 13:40

    Vaste boulot de celui de noter les mensonges et les incohérences du petit, il ment autant qu’il respire....c’est un mensonge vivant à lui tout seul .....


    • kev46 kev46 5 novembre 2011 14:17

      Attention, votre source n’est pas offciel, il s’agit d’un bloggeur sur le site du monde (donc non vérifié par la rédaction). Ce bloggeur est soi disant un banquier d’affaire. On ne peut pas vérifier cela. Je ne dis pas qu’il a tort ni raison.

      Juste ne pas dire « selon le monde ». C’est très important car non officiel.

      Sinon totalement d’accord avec votre article, surtout sur cette saloperie de CDS.


      • benevole 5 novembre 2011 17:14

        Cela m’avait échappé...
        Merci de le signaler.


      • W.Best fonzibrain 5 novembre 2011 15:01

        Chaque fois que je vois notre beau et grand drapeau, symbole de la puissance, de l’histoire et du génie français pleinement exprimé dans la souveraineté, face à ce hideux bout de tissu bleu européen, j’ai la haine.


        Vive la France libre
        Vive la France

        • herbe herbe 5 novembre 2011 15:58

          Bon puisqu’il y en a qui se font une spécialité en effet dans les contre vérité, ce que met parfaitement en évidence cet article,
          et bien n’ayant pas peur de répéter et de radoter sur ce qui nous semble juste :

          http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/hommage-a-maurice-allais-redonner-79779#forum2652969

          Et au sujet d’Allais il n’y aurait que justice à le lire et le relire, point d’entrée par exemple ici :

          http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/maurice-allais-contre-les-tabous-82959

          et là :
          http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/hommage-a-maurice-allais-redonner-79779


          • Caveman Caveman 5 novembre 2011 19:26

            De toute façon, il n’y a qu’à observer l’homme dans son discours pour voir qu’il interprète un rôle sur une scène internationale dont il n’est qu’un pion, que poussent d’autres encore plus rusés que lui !
            Et à l’évidence, pour celui qui sait bien observer, son ton grave et son assurance apparente, ne collent pas avec ce qu’il pense réellement. Il y a comme un décalage net entre ses convictions profondes et son discours, bien que celui ci soit empreint de sollennité !


            • onetwo onetwo 5 novembre 2011 20:29

              Le Pen veut pouvoir réemprunter à la banque de France, Mélenchon veut pouvoir réemprunter à la banque de France redevenue dépendante de l’Etat. La différence est énorme.
              Lisez « Nous on peut ! » de Jacques généreux.


              • MYOSOTIS 5 novembre 2011 21:25

                Puisqu’on parle de Jacques Généreux, voici sa prestation ce soir chez Ardisson dans son émission « Salut les terriens » : http://www.canalplus.fr/c-divertissement/pid3350-c-salut-les-terriens.html
                Bon visionnage ! Oui en votant FRONT DE GAUCHE en masse en 2012, les citoyens français pourront saisir leur chance de ne pas subir le même sort que la Grèce ! A proscrire absolument le vote utile à la sauce Hollandaise ! le vote utile c’est Mélenchon pour ceux qui s’estiment de gauche ou qui tout simplement veulent voir leur pays sortir de l’impasse ! 


                • benevole 5 novembre 2011 22:53

                  Curieusement, j’ai visité votre lien mais le passage de Jacques Genereux semble avoir été zappé
                  Vous en connaissez la raison ou bien je me trompe. ?
                  Bien que son nom soit écrit, on n’en parle pas dans la présentation ...

                  Cordialement


                • ma pomme 5 novembre 2011 23:01

                  j’ai vu, écouté, entendu...Jacques Généreux.
                  « la politique doit reprendre la main » (bienvenu chez Marine) smiley parce que mélenchon lui lorgne chez hollande. et nous savons tous que hollande comme sarkozy, ump comme ps ont voté les mêmes traités en faveur du ibéralisme mondialisé.
                  d’ailleurs le ps est plutôt muet concernant ses amis papandréou et zapatero...


                • MYOSOTIS 5 novembre 2011 23:47

                  @ Bénévole

                  Il faut aller sur la partie 2 et à 13 mn 09, Jacques Généreux fait son apparition. Ardisson et Dechavanne en total accord avec Généreux et un Estrosi regardant ses godasses, trop bon !

                  Cordialement

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON






Les thématiques de l'article


Palmarès