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Accueil du site > Tribune Libre > Spartacus ou la révolte des esclaves

Spartacus ou la révolte des esclaves

Etat des lieux

Comme des millions de citoyens, je ne peux qu’être écoeuré, dégoûté et me sentir impuissant devant les frasques et les gabegies des personnes politiques.

D’où que l’on tourne le regard ce n’est que détournements, auto amnistie, délits d’intérêts, fraudes, petits arrangements entre amis ou pseudo-ennemis et les « moins pires » incompétence et inutilité.

Quelque soit l’obédience politique, la mangeoire est commune et seuls ceux qui n’y ont pas accès coutumièrement n’ont pas croqué !

Faire de la politique, c’est vendre des promesses et des idées mais c’est surtout et avant tout ne rien produire et faire beaucoup d’argent.

A l’instar des banquiers et des traders qui vantent et vendent du vent, de beaux emballages vidés de toute substance matérielle (CDS, produits « complexes » -rf subprimes- …), des châteaux en Espagne qu’ils se font construire par le peuple suant et laborieux, nos politiques n’apportent plus aucune valeur ajoutée si ce n’est à leur profit.

Nos démocraties sont devenues des oligarchies et des ploutocraties !

Le croyance en l’homme politique, au MONSIEUR, perd de plus en plus de fidèles.

Une chose qui me sidère : comment peut-on encore se crêper le chignon et s’invectiver à longueur de forum pour un parti politique ?

Comment peut-on être encore suffisamment crédule, amnésique ou aveugle, voire la totale, pour encore avoir la FOI dans un mouvement politique et cela quelque soit sa coloration ?

Je ne peux concevoir que le commun des mortels ait encore des illusions et j’espère qu’il ne reste qu’une poignée d’intégristes et de fanatiques endoctrinés.

Pour continuer dans la même veine et pour tempérer les propos, je dirais comme un chanteur : « ce n’est pas à dieu que j’en veux mais à ceux qui m’en ont parlé ».

En effet, si des officiants d’une église (popes, prêtres, pasteurs ...quelque soit la religion et le nom qu’on puisse donner à ses représentants) étaient soupçonnés ou reconnus pour des faits de pédophilie (par exemple …), sur qui rejette-t-on la faute ?

Sur la personne, sur l’église, sur la religion ou enfin sur Dieu ?

En faisant un parallèle avec la politique, le citoyen lambda en a marre et a souvent rejeté la totalité de la politique.

Comme on dit actuellement, « il a jeté le bébé avec l’eau du bain » et se désintéresse de la chose politique en faisant un gros amalgame avec les partis politiques et les personnes qui les représentent.

La politique m’inspire une image qui, je pense, fera mouche pour bon nombre de lecteurs.

Transposons la vie politique dans le monde du foot.

Plantons le décor : d’abord le public.

Ce public, nous citoyens, est composé de plusieurs mouvances.

Un grand nombre s’en fout totalement des joutes en invoquant le fait que quelque soit l’équipe qui gagne cela ne changera pas grand chose à leur vie (ce qui n’est pas totalement faux).

Cependant même s’ils ne s’y intéresse pas directement, leur porte-monnaie est malgré tout mis à contribution.

Des milliers de spectateurs, les citoyens, assistent aux rencontres.

Certains sont sans parti pris et apprécient les bonnes actions et cela quelque soit l’équipe qui en est l’instigatrice.

D’autres sont des supporters et n’hésitent pas à soutenir financièrement, moralement ou en paroles, cris et manifestations en tout genres leur équipe ; conspuant et sifflant toute action de l’équipe adverse avec parfois une terrible mauvaise foi.

Il existe enfin une dernière catégorie de spectateurs qui ne vient pas tout de suite à l’esprit et cela est normal tant ils sont différents de la foule avec laquelle ils ne se mélangent pas d’ailleurs.

Ce sont les VIP (chefs d’entreprise, personnes influentes, hommes d’affaire …).

Ils regardent d’un oeil distrait la mêlée tout en picorant distraitement quelques « bricoles » qui feraient bien le bonheur d’une table de fête des spectateurs ordinaires.

Un joueur réalise une mauvaise action et ils n’hésiteront pas à le tancer, histoire qu’il se rappelle bien qui sont ceux qui le financent lui et son équipe.

Que le joueur continue à amuser le public mais qu’il ne dépasse pas les bornes !

Venons en à ces fameux joueurs (hommes politiques).

Evidemment ils font partie d’une équipe mais n’ont aucune gêne à en rejoindre une autre si on leur promet un meilleur salaire ou une place intéressante.

Il y a belle lurette que l’idée de faire partie d’une équipe pour défendre les couleurs d’une ville ou d’une région a été supplantée par la seule motivation viable : l’argent.

Fi donc des valeurs, de l’honneur, des couleurs que l’on défend et auxquels on est censé croire si on peut quitter le banc de touche ou le pull de remplaçants pour devenir un vrai joueur dans une autre équipe ou dans le cas où celle-ci paie plus.

La différence qu’il y a entre le foot et la politique, et elle est de taille, c’est qu’on n’a pas encore vu de joueurs changer de maillot en cours de match pour rejoindre l’équipe gagnante et espérer toucher la prime de match.

Quant au jeu (au match), il n’est plus possible de comparer cela au foot ou alors un foot à la roller ball mâtiné de fight club.

Là on ne joue plus le ballon, on ne privilégie plus l’action mais l’attaque en règle du joueur.

On oublie volontiers de réaliser une action constructive pour mieux savater l’adversaire avec des coups bien bas.

Mieux, on en vient à savater les joueurs de sa propre équipe afin d’éviter que quelqu’un construise quelque chose de cohérent et soit remarqué par le public.

Les règles sont bafouées en toute impunité car tous les joueurs trichent et s’arrangent entre eux.

Les arbitres sifflent et s’égosillent mais les joueurs s’en foutent et ,si vraiment, ils insistent on les enferme dans les vestiaires (Justice, cour des comptes ...)

Des actions sont rejouées par l’équipe gagnante pour obtenir l’effet désiré et cela malgré les sifflets du public. La feuille de score est modifiée en douce pendant la mi-temps (lois votées pendant les périodes de vacances) alors que le public pense que « ça ne joue pas ».

Voilà comment je vois notre panorama politique actuel (et je n’ai pas fait un tour complet d’horizon) et je ne suis pas le seul à avoir cette désagréable impression.

Que faire ?

Cela n’est qu’un état des lieux mais que faire pour changer et remettre les pendules à l’heure ?

Je lisais un texte sur Agoravox qui parlaient des forces faibles et qui faisaient le parallèle avec notre société.

A savoir qu’en tant que citoyen, nous n’avons pas suffisamment de pouvoir individuel pour modifier le cours des choses mais qu’en tant que partie d’un tout (le peuple) nous disposons d’un énorme pouvoir.

Faut-il encore que ces forces s’additionnent et non que, comme jusqu’à présent, elles s’annulent.

Quels sont les pouvoirs dont disposent les citoyens ?

Il y en a deux qui peuvent être utilisés de manière très efficace : le pouvoir d’achat et le droit de vote.

Le pouvoir d’achat

Maître Coluche l’avait bien dit : « il suffit qu’on ne l’achète pas pour que ça ne se vende plus ».

Le pouvoir ne s’use que s’il on en sert ou si l’on s’en sert mal.

Nous disposons ENCORE de notre liberté d’acheter ou non certains produits ou prestations.

Nous avons le pouvoir de lutter contre les horreurs que l’on lit à longueur de journaux : produits frelatés, OGM mis dans la nourriture sans mention, modification unilatérale des contrats, clients bafoués et ignorés même dans leur bon droit (opérateurs de téléphonie, d’internet, banquiers, prestataires de service …), communications ou publicités mensongères, bénéfices faramineux et salariés virés....

Exemple : Total, je reprends leur pub « je ne viendrais pas chez eux par hasard ».

En effet, je ne viendrais pas chez eux par CONVICTION !

Il en est de même pour d’autres enseignes, d’autres produits …

On pourra dire que cela n’est qu’une goutte dans l’océan et que c’est pas cela qui fera péricliter la boîte.

Oui mais si d’autres gouttes le font aussi, cela fera un ru, puis un ruisseau et qui sait peut être un fleuve …

Si chaque citoyen sentait le pouvoir dont il dispose en utilisant son argent et le résultat que cela peut avoir ..

Il est notoire que de plus en plus de personnes l’ont compris car les sites d’échange ou de revente d’objets font florès. On retrouve une cohérence sociale en échangeant des objets qui ne nous servent plus mais peuvent trouver une nouvelle vie chez d’autres.

On évite aussi de cette manière d’arrondir encore plus les escarcelles des marchands de rêve, on fait un grand pied de nez à la société de consommation, à la pub débilifiante voulant nous faire accroire que l’objet en question représente l’incarnation de la vie rêvée ou du bonheur, on passe outre cette obsolescence programmée destinée à nous transformer en tiroir-caisse sur pattes.

D’aucuns, moralisateurs, iront sortir l’argument spécieux que si l’on achète pas, la boîte va faire faillite et l’on va mettre des gens au chômage.

C’est une argutie complétement pourrie à coeur !

Si vous allez dans un restaurant où le service est minable, les plats dégueulasses et le prix prohibitif, est-ce que vous allez y retourner ?

Pourtant ceux qui brandissent le spectre du chômage en réponse à un défaut de consommation devraient continuer à fréquenter ce type de restaurant.

En effet, en cessant d’y aller, ils vont mettre en péril l’emploi des serveuses, des cuistots, des assistants et des tenanciers.

Ce chantage à l’affect ne tient pas : il est hors de question de consommer de la merde pour sauvegarder des emplois … en plus cela conforte le prestataire de continuer dans la même direction.

Puisque les consommateurs achètent, on continue à faire pareil voire même pire.

Par ailleurs, le fait de consommer le produit ou la prestation n’est absolument pas un gage de préservation de l’emploi comme nous le prouve la une des journaux.

De grosses sociétés réalisent des bénéfices faramineux mais virent les salariés … histoire d’en faire de plus gros encore.

Il y a donc là un pouvoir à mettre en oeuvre pour lutter contre ces diktats sociétaux.

Nul besoin de se fédérer, de s’assembler pour cela, il faut et il suffit que les personnes concernées cessent de tirer sur le pis pitoyable des grands marchands.

Certaines actions sont réalisables simplement, d’autres demandent une mise en oeuvre plus élaborée.

La nourriture peut très bien être reprise en main par les citoyens (culture personnelle, AMAP, circuits courts, achats directs au producteur …) et le refus de consommation être adapté à ses besoins (échange, prêts, refus de l’achat d’impulsion ou de l’attrait de la nouveauté …).

Là réside le premier pouvoir et à chacun d’y trouver sa voie et sa manière d’agir (internet est aussi un énorme fédérateur permettant de déjouer tous les pièges et de faire entendre la voix de la majorité silencieuse) pour lutter contre l’oligarchie qui pèse sur chaque individu.

Le droit de vote

Nous avons ici aussi un pouvoir qui est négligé par les citoyens mais, pour leur défense, je dirais que le panorama politique tant dans les partis que dans les personnes n’est pas très reluisant.

Des politiciens de profession qui ne font pas de la politique professionnellement.

A la manière de la royauté où les courtisans s’attiraient les grâces de la famille royale dans la seule fin d’obtenir une rente prélevée évidemment sur l’impôt, nos politiques ne sont là que pour s’assurer une situation financière.

Peut-on encore croire à un désir sincère de s’occuper de la chose publique quand on voit les rangs des assemblées désespérément vides ?

Nos hommes politiques sont devenus des animateurs, des people qui ne daignent se frotter au peuple, aller serrer des mains et faire mine de s’intéresser que lors des élections.

Que l’on ne me parle pas non plus de partis politiques ou de courants de pensée car quelque soit le bord, on s’aperçoit très vite que la carrière politique ne sert qu’à nourrir son homme. Tout le reste n’est que combat d’idées, pseudo joutes verbales, gesticulations dont le seul et unique but est de garder son cul au chaud en ayant les crocs bien plantés dans le sein de la nation.

Oui mais alors si voter bleu, rouge, orange ou vert ne sert à rien, si c’est blanc bonnet et bonnet blanc que faire ?

Il n’y a pas le choix car le citoyen a totalement délégué son pouvoir de représenter la nation.

Quand une personne désire faire de la politique (en imaginant que ce soit réellement avec une vision altruiste), il semble inimaginable maintenant de le faire autrement que de rentrer dans une des « religions » actuelles, d’y faire sa profession de foi, d’obéir à la doctrine enseignée sans pouvoir la remettre en cause et enfin de dire amen à toutes les injonctions des éminences supérieures.

Faute de quoi, le novice ou l’initié sera consigné dans sa cellule ou pire frappé d’anathème et devra changer d’église pour poursuivre son évolution.

Devant ce cursus quasi systématique de l’homme politique, le citoyen se retrouve devant un choix relativement calibré et normalisé.

On peut penser que le vote blanc est une solution mais c’est méconnaître l’intérêt viscéral de l’homme pour l’argent !

Qu’importe la légitimité et la représentativité du mandat dans la mesure où l’on a le poste.

Même avec seulement 5% de votes et 95% d’abstention, l’animal politique investirait la tanière sans se poser de questions.

Il reste quoi alors ?

Le vote de contestation : voter pour l’improbable, pour l’intouchable.

Voter pour dire « y’en a marre », pour balayer cette clique de sangsues.

Voter Le pen ou Coluche, c’est dire aux politiques de profession : on ne veut plus de vous.

Cela porte ses fruits au vu des cris d’orfraie du landernau média-policito-intellectuel quand cela s’est produit.

Enfin et seulement dans ces cas là, ils ont réalisé que leur siège était à bascule !

Pour effectivement faire le ménage, il aurait fallu aller jusqu’au bout mais dans ces deux cas cela n’était pas réalisable.

Sommes nous donc condamnés à rejouer le même scénario avec une interprétation à peine différente et la même distribution potentielle ?

Je l’ai rêvé, Spartacus l’a fait

Et si, en tant que citoyen, nous nous présentions aux élections ?

Cela me tarabuste depuis quelque temps : en quoi un politicien élevé en basse-cour politique est-il plus à même d’occuper un mandat qu’un citoyen élevé en plein air populaire ?

Le citoyen élevé en plein air n’est-il pas plus à même de connaître les problèmes du peuple qu’un politicien nourrit au sondage, à l’étude, aux rapports et autres produits manufacturés ?

L’homme politique a fait des études, pourrait-on me rétorquer, il a fait l’ENA … et on sait toute la valeur de la chose quand on voit le reflet dans le miroir !

Si l’homme politique, formé et entraîné à gérer la chose publique, était si performant il y a longtemps que l’on entendrait plus parler de ces gabegies, de ces incohérences, de ces décrets et lois aberrants.

Combien de bâtiments, de structures, de projets ont coûté des sommes pharaoniques pour une utilité négligeable voire nulle ?

Combien d’argent public dépensé dans des réceptions somptuaires, des galas, des spectacles, des voyages où le commun des mortels n’a pas sa place mais dont on retire l’argent de sa poche ?

L’homme politique est évidemment omniscient et omnipotent et s’intéresse à tout à la différence du citoyen normal.

Il peut ainsi passer de l’agriculture à la défense, de l’intérieur à la finance sans aucun problème car il a goût à tout ...tant qu’il y a un siège et l’argent qui va avec !

Alors qu’un citoyen normal dirait que cela ne l’intéresse pas ou qu’il n’y connait rien, le politicien peut le faire !

Devant cet accablant constat, je pense qu’il est du droit et surtout du devoir des citoyens de reprendre les rênes de la nation .

Après tout ce que je viens d’énoncer, il y aura encore quelques trublions qui ne pourront s’empêcher de crier au poujadisme en espérant noircir le tableau.

Ce que je désire, ce que j’espère c’est que le citoyen reprenne un pouvoir qu’il n’aurait pas du déléguer à des acteurs professionnels.

Quelle que soit l’obédience individuelle d’un membre, un mouvement citoyen peut et doit faire fi des grands partis et courants et tracer sa route non pas pour faire plaisir au capitaine et aux officiers mais pour le bien de tous.

Sur Lyon, ce mouvement a pris corps et s’appelle Spartacus ...ou la révolte des esclaves !

Je voterai pour eux pour éviter de voter blanc et conforter les mouvements existants.

Je voterai pour eux pour contester les représentants en place.

Je voterai pour eux pour tenter de mettre un coup de pied dans le piédestal et les certitudes des inamovibles politiciens professionnels.

Je voterai pour eux en espérant un courant populaire suffisant pour renouveler les représentants du peuple.

Je voterai pour eux pour signifier que l’incompétence, la tromperie, la flagornerie, la malversation ne peut bénéficier d’une incurie perpétuelle.

Je voterai pour eux pour dire que je ne continuerai pas à jouer avec des dés pipés et que je peux changer de dés quand je veux.


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4 réactions à cet article    


  • Voris 12 mars 2010 11:11

    Sans « avoir la FOI dans un mouvement politique », on peut aisément comprendre que les partis sont les lieux d’expression de la démocratie et le moyen de porter des gens valables au Pouvoir. Si le PS et l’UMP ne courent aucun danger même en cas de défaite, on ne peut en dire autant du MoDem, troisième voie espérée et influente.

    J’espère qu’il recueillera assez de suffrages pour continuer d’incarner l’avenir de notre démocratie. Il a fait ses preuve et montré des signes de résistance, il est donc assez solide pour poursuire le chemin et l’abandonner dans ces conditions serait suicidaire.

    J’espère donc que des citoyens conscients, responsables, vont l’appuyer même s’ils n’ont pas la « foi », même s’ils sont fatigués des débats ? Capituler, c’est donne run boulevard à l’UMPS qui n’attend que ça.
     


    • lord_volde lord_volde 12 mars 2010 12:21

      T’as bien raison. On va le faire ensemble. A deux, c’est toujours mleux que seul.


      • Peretz Peretz 12 mars 2010 20:34

        @ l’auteur. Beaucoup de naïveté dans ce texte. Mais en relisant l’Histoire on trouvera les mêmes choses. Des retournements de situation sont toujours possibles, mais on ne sait pas quand. En attendant, pour rêver un peu, tu peux te promener sur : www.citoyenreferent.fr d’où partira peut-être un jour un autre système politique où la démocratie ne serait pas un vain mot. Bon courage...


      • Lisa SION 2 Lisa SION 2 12 mars 2010 14:04

        C’est ça, votons tous scartapuce

        en fait, c’est l’internet qui peut redonner le pouvoir au peuple et c’est pour cela que les gouvernants essaie à l’heure actuelle de lui enlever.

        Tous les partis qui ont monté des sites pour ces élections ont fait zéro audience, alors que nous ne sommes pas vraiment unis, mais tous d’accord sur un principe, pas de dominants sur la toile, ni stars, ni politiques langues de bois. Que du populaire.

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