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Les commentaires de KOUINO



  • KOUINO KOUINO 18 avril 2017 14:08

    @armand
    Merci pour ce commentaire. Si vous avez un lien avec le mouvement « En Marche » , j’aimerais bien que ce texte soit le plus lu possible par les électeurs d’En Marche. Y-a-t-il un moyen de le diffuser de manière plus efficace ? Cordialement



  • KOUINO KOUINO 15 avril 2017 09:31

    @PiXels
    Je vous renvois au commentaire que j’ai laissé à Chantecler, en bas de cet article, probable point final de cette tentative.



  • KOUINO KOUINO 15 avril 2017 09:28

    @chantecler
    Merci, votre long commentaire, qui dit au moins que vous avez lu ce long texte, ce qui est un exploit au regard des autres commentaires, qui pour l’essentiel se sont focalisés sur les 2 premières lignes, si ce n’est sur le simple titre où apparaissait le nom « du diable » : Macron. Il y avait une part d’opportunisme de ma part à le mettre ainsi en exergue, pour réussir ainsi à attirer des lecteurs, mais peut-être n’était ce pas la bonne méthode. Au final, pas une seule fois le mot République universelle n’aura été prononcé, ce qui était pourtant le centre du propos... preuve que les idées nouvelles... c’est pas facile à faire émerger.

    Si vous avez des idées sur la manière e s’y prendre pour être plus efficace de ce point de vue, je suis preneur. Merci pour votre référence à Charbonneau. Je ne le connaissais pas, je regarderai ça de près.


  • KOUINO KOUINO 14 avril 2017 14:24

    Pourquoi pas.



  • KOUINO KOUINO 14 avril 2017 00:49

    @troletbuse
    Cet article ne dit rien ou presque rien de Macron. Il dit surtout que cet homme remplit un vide. Que se passera-t-il si Mélenchon, Fillon ou Le Pen sont élus. Aucun d’entre eux ne sera capable de former une réelle majorité. Mélenchon aura 15 députés, Le Pen 10 et Fillon sera méprisé par la France entière. Macron est le seul capable de remplir le vide politique actuel. Mal sans doute, mais il n’y a pas d’alternative. Ce texte n’est pas une ode à Macron. Je m’en fous de cet homme. Si je l’ai mis en avant, c’est pour faire entendre des idées qui ne sont plus portées par personne dans le débat public aujourd’hui. Le vrai titre de cet article c’est « Plaidoyer pour une république universelle ». Ce texte essaie de remplir le vide idéologique qui habite nos démocraties en expliquant qu’elles tournent à vide. Tout ce qui nous arrive (nos malheurs commes nos bonheurs) dépend de ce qui se passe ailleurs de la petite France. Il n’y a donc qu’une seule manière de peser sur notre avenir c’est de militer pour une République universelle. 



  • KOUINO KOUINO 14 avril 2017 00:22

    @Sparker
    « Déjà vous mettez de coté tout les effets collatéraux de cette « idéologie » mondialiste ruisselante. Les prendre en compte ferait tomber votre édifice j’en convient... » A quoi fates-vous référence ?



  • KOUINO KOUINO 14 avril 2017 00:06

    @JL
    Je ne suis pas sûr de comprendre ce que vous voulez dire, mais ce texte ne porte pas sur le néolibéralisme, mais plutôt sur la démocratie.



  • KOUINO KOUINO 14 avril 2017 00:03

    @Esprit Critique

    Je ne crois pas avoir de l’Algérie dans ce texte. Mais vous avez raison, partout dans le monde et chaque jour des crimes contre l’intelligence sont commis. Macron n’est pas le pire !


  • KOUINO KOUINO 13 avril 2017 23:55

    @Alren

    Dommage que vous n’ayez pas lu « ce long bla bla » car il y est dit que si les petits poings de Mélenchon n’ont pas la moindre chance de réussir à inverser les rapports de force entre capital et travail, qui sont des forces colossales qui elles n’ont pas de frontières, les seuls qui sont en capacité de mettre un coup d’arrêt définitif « à la supériorité éternelle des USA » comme vous dites, sont en Asie, pour l’essentiel en Chine. Mais ce n’est pas parce qu’ils sont des communistes ou des nouveaux capitalistes, c’est parce qu’ils sont des milliards, parce qu’ils sont une démocratie en marche, parce qu’ils sont plus puissants que nous et qui si nous restons au bord du chemin, nous serons laminés. A force de tenir les mêmes discours de Marine le Pen Mélenchon nous entraîne vers la même pente


  • KOUINO KOUINO 13 avril 2017 23:36

    @Harry Stotte
    Une vraie démonstration scientifique. Bravo !



  • KOUINO KOUINO 13 avril 2017 23:32

    @rogal
    « Transmis aux Irakiens et à quelques autres ». Très bien, et souhaitons leur que ces guerres s’arrêtent le plus vite possible.


    « La libre circulation des capitaux ne résulte nullement de nouveautés techniques mais de la dérégulation mise en place par voie législative (ou réglementaire) »

    la dérégulation participe en effet à l’accélération des bouleversements technologiques, puisque ces nouvelles technologies impliquent que beaucoup d’argent sont mobilisé souvent rapidement, mais que faut-il condamner ? la dérégulation ? les bouleversements techniques ? ou notre incapacité à réguler tout en permettant au monde d’évoluer ?


  • KOUINO KOUINO 13 avril 2017 23:21

    @Laulau
    Merci pour cet argumentaire très construit et très convainquant



  • KOUINO KOUINO 13 avril 2017 23:18

    @Alpo47

    Alors si ce n’est pas « Micron », comme vous dites, qui d’autres à les poings assez gros pour aller corriger et remettre à leur place les 7 autres milliards d’habitants de la planète qui font rien d’autre que d’embêter la pauvre France qui ne demande rien à personne ? Vous avez quoi comme réponse à ca ?


  • KOUINO KOUINO 13 avril 2017 23:11

    @À rebours
    « Nous vivons peut-être la dernière élection présidentielle française » dites-vous. Et cela vous convient ? ou pas ? Non pas que nous ayons encore la moindre souveraineté mais nous pourrions encore la reprendre en main. Pourquoi faire ? Pour quoi en faire ? Que nous apporterait une souveraineté française renforcée ?



  • KOUINO KOUINO 13 avril 2017 23:04

    @Taverne
    Ce ne sera pas suffisant, s’il n’y a pas d’idéologie nouvelle à opposer au vide idéologique qui est en train de se créer à droite et à gauche de l’échiquier politique. C’est d’ailleurs ce qui explique qu’alors qu’une partie non négligeable de la classe politique est en train de rejoindre Macron (ce qui est quelque chose de très nouveau), les sondages eux se tassent dans la dernière ligne droite (à l’identique de ce qui c’est passé pour Bayrou en 2007). Une idéologie cela doit être quelque chose de puissant qui réponde à la puissance de destruction du message de tous les nihilistes de tous poils qui occupent la scène publique depuis 20 ans. Ces nihilistes ont tous en commun un seul message : fermons les frontières. Il faut donc créer une identité alternative la plus large possible



  • KOUINO Didier Couineau 19 décembre 2009 23:05

    @Furtif

    «  Vous êtes ( un peu) accaparé par les alliances d’appareils.  » dites-vous. Peut être, peut-être… mais dans une société aussi individualisée que la notre, j’ai un peu de mal à croire au pouvoir de mobilisation des foules, mais bon… «  Ils n’ont de sens et n’ont de force que si à la base on a veillé à rassembler les troupes qui constituent la vraie force politique...  », dites-vous encore. C’est vrai et c’est la principale raison pour laquelle j’ai écrit cet article. Je souhaitais mettre en évidence que la réunion de Dijon qui rassemblait des voix très différentes était un événement, en opposition à un accord de pacotille entre star du petit écran, en l’occurrence Bayrou/Royal. Il y a pire que les partis, il y a la société du spectacle et ses manipulateurs de l’ombre ! Je souhaitais aussi dire à ce sujet que « l’appareil » socialiste ne doit pas craindre de prendre ce train en marche.

    Par ailleurs, je mets en avant ce qui rassemble et non ce qui oppose. Les appareils ont pour vocation de faire (bien ou mal) les synthèses. Vous avez un avis sur Strauss Kahn et le FMI, je n’ai pas forcément le même que le votre. La confrontation libéralisme/dirigisme qui existe entre droite et gauche existe tout autant au sein de la gauche et avec la même intensité.

    Je prends quand même parti dans ce débat en disant que la crise, la radicalisation de la droite, la complexification du monde au cours des trente dernières années ne peuvent conduire qu’à dépasser ces anciens clivages. Ce qui fait aujourd’hui clivage, de mon point de vue, ce n’est pas tant le système économique, c’est notre capacité à le maitriser et à nous l’approprier collectivement. Ce qui fait problème dans la société contemporaine, c’est notre capacité à maitriser collectivement les enjeux les plus vitaux de notre développement. C’est ce que j’ai appelé la quatrième gauche. Nous vivons dans un monde bien trop complexe pour avoir des à priori sur l’organisation économique de la société. Dès lors, les lignes de clivages se situent entre ceux qui veulent imposer leur règles : la droite. Ils sont des ennemis à contenir. A l’autre bout de l ‘échiquier, il y a ceux qui veulent absolument pouvoir donner un nom à leur frustration. Ils ont un drapeau, ils sont anticapitalistes. Ils considèrent que cette évolution de la pensée de la gauche serait une droitisation supplémentaire des «  sociaux-démocrates  » qui ne savent que «  se coucher  » face à la droite. C’est ne pas avoir de regard sur l’histoire des trentes dernières années.

    L’histoire de la gauche s’est écrite pendant les trentes glorieuses. L’Amérique capitaliste était triomphante. Ce qui vient de se passer aujourd’hui à Copenhague est le début d’une autre histoire, celle d’une Amérique sur la défensive, disant non à tout, agressive éventuellement avec le reste du monde. L’égoïsme qui caratérise cette société va devenir une évidence pour tous. La confrontation aura lieu et sera rude. Il n’y aura pas de place pour les faibles dans cette confrontation. Les socaiux-démocrates qui se couchent, ce n’est pas le sujet de l’histoire. Le sujet de l’histoire, c’est que les tenants du capitalisme sont en situation de faiblesse et que le sujet du film pour la gauche, c’est de revenir au pouvoir.



  • KOUINO Didier Couineau 19 décembre 2009 14:30

    Si les rapports de forces sont quantités négligeables pour vous, effectivement...



  • KOUINO Didier Couineau 19 décembre 2009 14:22

    RESULTATS DE CONPENHAGUE : Néant !

    Une nouvelle illustration de ce que nous vivons dans un système monde avec un pouvoir pyramidal vient de nous être donné à Conpenhague qui s’est soldé par un échec, pour l’essentiel, parce qu’Obama n’est pas en capacité de faire plier le congrès américain.



  • KOUINO Didier Couineau 19 décembre 2009 14:08

    @Le Furtif

    « Il va falloir que ce parti passe par les fourches Caudines du respect de la volonté de son électorat... Très sincèrement il n’en donne aucun signe » dites-vous.

    Je répond d’abord à la deuxième partie de la phrase : il n’en donne aucun signe… En effet, et c’est ce qui me motive à m’exprimer. Le Parti socialiste est en train de devenir invisible. Il faut qu’il donne rapidement des signes forts. Peillon a peut être été utile au PS, mais ce qui s’est passé à Dijon est totalement incompréhensible pour le commun des mortels. Le PS doit trouver les moyens de se faire entendre par tous. S’il ne le fait pas maintenant, il ne sera plus qu’une des composantes mineures d’un conglomérat qui ne peut être que voué à l’échec. Les médias nous bassinent à longueur de journée sur le thème du leadership. Ils ont tout de même partiellement raison. Une alliance ne peut fonctionner que s’il elle est composée de forces qui sont capable de peser sur les décisions. Pour ma part, je crois que le PS devrait reprendre à son compte l’initiative de Peillon et le faire savoir le plus bruyamment possible.

    Quand au respect de l’électorat, quel électorat, les classes populaires qui étaient au côté de la gauche 1981, ou celles qui sont aujourd’hui au côté de le Pen et Sarkozy. Faut-il faire du Lepénisme pour les séduire ? Ce sera sans moi, comme le dit Jaja. Fabius l’a fait au moment du référendum sur la constitution européenne. Cela ne l’a mené nulle part, si ce n’est à faciliter l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy. La politique, c’est une question de rapports de forces. Il existe aujourd’hui la possiblité de créer une dynamique politique, il faut saisir cette chance. L’électorat populaire se laissera convaincre de l’intérêt de la chose lorsqu’il en verra les résultats.



  • KOUINO Didier Couineau 19 décembre 2009 11:28

    Vous dites : «  Même au second tour il ne faudra pas compter sur moi .La gauche dite »de gouvernement« j’ai déja donné et je me souviens trop bien des privatisations Jospin...  »

    Vous oubliez un petit détail : Lorsque le programme commun de la gauche a été signé en 1972 il y avait 400.000 chômeurs. Lorsque «  la gauche de gouvernement  » version, Jospin, privatisait, il y en avait près de 3 millions.

    Le chômage est un formidable outil pour les possédants pour contraindre les autres à se soumettre. La politique, c’est une question de rapports de force et qu’on le veuille ou pas, ses rapports de force s’inscrivent à l’échelle de la planète. Lorsque Jospin était au pouvoir, c’était surtout la voix de ses opposants qu’on entendait tonner : celle de Chirac sur les odeurs des cages d’escaliers, celle de Le Pen et surtout celles des néoconservateurs américains. Il y a vait à cette époque, 11 premiers ministres sociaux-démocrate à la tête de différents executifs européen. Mais le seul leader socialiste européen dont on entendait parler était le caniche des néo-conservateurs américains, Tony Blair. Jospin a certainement fait des erreurs, mais…

    Si Nicolas Sarkozy a réussi à s’imposer, c’est parce qu’il est du bon côté du manche. Il est le copain de Bolloré et de Martin Bouygues, il pense comme Bolloré et Martin Bouygues. Ce sont les classes populaires qui le suivent, pas par idéologie, mais par opportunisme. Ces classes populaires ont raison, le chômage c’est l’essentiel.

    Ce qu’il y a de nouveau, c’est que justement le rapport de force est en train de s’inverser, parce que la droite qui s’est appuyée sur la crise pour revenir au pouvoir a mise en évidence que sa vision politique ne résolvait rien et aggravait les choses. Il aura fallu près de 25 ans pour que cette vérité éclose. Les enjeux de la politique s’inscrivent dans un temps long. Un pouvoir politique nouveau et fragile s’installe aux Etats-Unis. A vous de voir, de quel côté du manche, vous vous situez. Nous sommes 6 milliards d’individus sur la terre. Il n’y a pas de solution simple et immédiate.