@velosolex
Bonjour ! j’ai lu votre commentaire précédent et je partage votre avis sur la formation destinée aux soignants ( puis aux enseignants, aux garde-barrières, etc ...) afin qu’ils apprennent comment se comporter face à des ... disons des incivilités. C’est effectivement faire rejaillir sur ces employés une incurie généralisée organisée par nos responsables de toutes sortes depuis des décennies.
Je pense que l’origine de cette déliquescence est la déréglementation généralisée et l’importation de normes étrangères amenant une relativisation des vertus et des valeurs, et un égalitarisme forcené. Sur tous les plans : commercial, industriel, sociétal, éducatif ...
D’où les scandaleuses et intolérables différences de salaires et la quête du fric sans aucune modération qui a contribué à détruire le bon sens et la morale.
On a laissé faire car beaucoup de gens trouvaient leur compte dans cette société-casino et y faisaient leur trou, sans devenir millionnaire, en profitant des dernières commodités matérielles et mentales devenues accessibles. Sous des avalanches de pub, de démagogie et de crétinisme.
Et on a laissé croupir des gens, immigrés innombrables inadaptés à notre société sans les prendre en main pour en faire des citoyens.
Désinvoltures diverses de la part des responsables politiques qui doivent en principe donner un sens et tracer une voie.
Une route suffisamment large pour être empruntée par une « population plurielle » , avec des détours, des croisements, des boucles, des hauts et des bas, mais gardée par des rivières qui devraient rester infranchies.
Racisme flagrant envers ces immigrés déracinés dont pourtant nos « élites » connaissaient les origines incompatibles avec notre modus vivendi.
Le temps a passé vite, et des griefs justifiés avaient été exprimés lors de « la marche des beurs » .
Les Pourris Socialeux et leurs affidés n’ont pas donné suite mais déversé du pognon, pas le leur ! comme on donne à un mendiant en étant gêné.
Ils ont laissé notre société aller à la dérive ; leur chef suprême donnant des exemples multiples.
Puis le temps s’est accéléré et des individus pétris de sens politique ont commencé à s’occuper de ceux qui étaient délaissés.
Certains étaient honnêtes intellectuellement, mais avaient en tête les normes de « là-bas ».
D’autres étaient plus opportunistes et distillaient un projet politique.
C’est eux qui ont gagné et imposé une nouvelle mentalité en rupture avec la nôtre.
Il ne s’agit pas seulement de porter un bout de tissu sur la tête et de ne pas manger de porc, mais de modifier totalement notre rapport à nous-mêmes individuellement , à autrui et à l’Etat.
C’est un changement de civilisation.
« Ils » ont reçu l’aide occasionnelle ou systématique de voyous, de délinquants, de criminels, de paumés, d’asociaux, d’allumés, d’exaltés ... qui se vautrent dans l’anarchisme car ils y trouvent une forme d’épanouissement personnel.
Tous ensemble ils sont résolus à poursuivre la casse.
Et on ne peut pas laisser faire, accepter la destruction, notre disparition.
Même si à l’origine nous avons notre part de responsabilité.
Tout ce long blabla pour répondre à votre avis sur « le coup de pied au cul » sans valeur politique selon vous.
Je pense au contraire qu’il en a une, qu’il est urgent de le distribuer largement et de façon ciblée, justifiée, et alors sans modération.
Car c’est un traitement politique devenu nécessaire.
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