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Les commentaires de https://www.youtube.com/watch?v=5VEJRPx0yHM



  • Une excellente analyse de source iranienne  :
    .

     La Russie déclenche la seconde phase de la guerre, en Syrie, contre Daech. Rien ne semble pouvoir changer la volonté de la Russie de poursuivre ses objectifs, en Syrie, contre le groupe terroriste de Daech : ni le crash de l’Airbus russe, à Charm-el-Cheikh, ni les attentats terroristes de Paris. 

    Quand les Russes ont déclenché, le 30 septembre dernier, leurs frappes aériennes contre les positions de Daech, ils n’ont fixé aucune échéance, pour y mettre un terme. Au mois de septembre, Moscou projetait de prolonger ces frappes, pendant 3 ou 4 mois. Dès le début de ces opérations, les frappes ont été intenses et très amples. A partir du moment où les médias occidentaux ont annoncé l’intention occidentale de créer ’une zone d’exclusion aérienne, en Syrie, la Russie a décidé d’empêcher toute tentative de renverser le gouvernement syrien. Moscou a agi, pour empêcher la reproduction du scénario de 2013, lequel accusait Assad d’avoir recours aux armes chimiques contre l’opposition. Le président russe a soutenu le Président syrien, Bachar al-Assad, en l’accueillant, dans la capitale russe. Les frappes aériennes russes n’ont jamais été hasardeuses. Les cibles sont bien déterminées, grâce au travail de renseignement intense, fait, à partir des centres de commandement russo-syriens. Au départ, les Russes croyaient pouvoir changer les règles du jeu, en l’espace de quelques semaines. Les premières victoires russes ont été remportées, dans le Nord de la région de Hama, et l’armée syrienne a réussi à reprendre des régions qu’elle avait perdues. Mais l’armée syrienne n’a pas progressé, à Sahl-Al Alghab. Les Russes ont, alors, compris qu’en intervenant, militairement, une réponse rapide ne s’obtenait pas, et qu’il faudrait changer de tactique. C’est en ce sens que le Président russe, Vladimir Poutine, a déclaré, devant ses commandants militaires, que les frappes aériennes, à elles seules, ne suffisent pas à mettre en défaite les terroristes. A Sahl-ol Alghab, le gouvernement syrien a dû, donc, changer de tactique et prendre des mesures politico-défensives. Les 69 chasseurs-bombardiers russes, quand bien même ils étaient de type « Sukhoi- 24 » devaient, donc, être secondés, à Sahl-al Alghab. Mais comment ? Par des opérations terrestres. L’armée syrienne et ses alliés se sont, alors, réactivés, réussissant à conquérir des régions, à Rif Lattaquié, au Nord de la Syrie. Là sont intervenues les unités parachutistes, pour protéger les forces terrestres. Dans ses combats, la Russie a déterminé des lignes rouges à ne pas dépasser. A titre d’exemple, la Russie évite d’attaquer les forces turkmènes, aux alentours de Lattaquié ou bien elle les avertit, avant de lancer toute frappe. Les évènements de ces dernières semaines n’ont pas changé la volonté de Moscou de poursuivre ses attaques contre Daech. Ni le crash de l’Airbus russe, à Charm el Cheikh, ni les attentats terroristes, à Paris, ne semblent rien changer au programme et à la volonté des Russes de poursuivre leur combat. Les Russes sont passés à la seconde phase de leurs opérations. Il est bien utile de savoir que l’armée rouge ne veut pas intervenir, en Syrie. Tout porte à croire que la seconde phase des opérations contre le terrorisme de la Russie est celle que les experts qualifient de « guerre ouverte ». Il va sans dire que l’armée rouge n’ira pas débarquer, en Syrie, mais les terroristes et leurrs alliés auront du pain sur la planche. La Turquie se sent, dores et déjà, prise au piège. 



  • Voila, c’est fait ! Les pilotes des F-16 israéliens commencent a critiquer les décisions du Führer  Netanyahu. Le parrain veut les envoyer jouer le rôle d’ appâts
    au dessus de la Syrie !
     Netanyahu, pour éviter toute défection de ses pilotes, aurait ordonné qu’aucun pilote ne vole seul au dessus de la Syrie. 
    .
    Ce n’est pas une stratégie nouvelle : Adolph Hitler a utilisé la même vers la fin de la guerre. 

    De sources libanaises :

    S-400 en Syrie : la liberté d’action des avions israéliens freinée L’équipe du site

    Aucune réaction de l’armée israélienne n’a été exprimée sur le déploiement du S-400 russe au nord-est de Lattaquié. Il n’en demeure pas moins qu’il constitue une source de préoccupation.

    « Avons-nous quelque chose à craindre ? La réponse est : oui et non », titre le journal israélien Times Of Israël, selon lequel si les rapports des médias russes contrôlés par l’État sont vrais, Israël n’aura plus la liberté d’envoyer des avions en Syrie à l’improviste.

    « Le système S-400 sera une épée de Damoclès sur la tête de l’armée de l’air israélienne – toujours présent, toujours prêt à frapper un avion israélien sans méfiance dans le ciel, a indiqué Tyler Rogoway, un contributeur du site d’informations militaire, Foxtrot Alpha, mercredi.

    Selon lui, cela devrait juste changer les règles du jeu.

    Tout en affichant son scepticisme quant à la rapidité avec laquelle Moscou a déployé cet armement en Syrie, le journal Times of Israel s’est intéressé à ses capacités militaires : vu qu’il combine un système de radar de pointe, ceci lui permet de détecter des missiles balistiques et les aéronefs à haute et à basse altitude qui se trouvent à des centaines de kilomètres de là, avec une variété de missiles capables de les atteindre.

    « Tout, d’un avion de chasse F-15 à un bombardier furtif B-2 qui rentre dans le rayon du S-400, risque d’exploser dans le ciel », estime-t-il.

    Selon lui, son déploiement à Lattaquié va donner le contrôle aérien à la Russie sur la quasi-totalité de la Syrie, le Liban et Chypre, plus de la moitié de la Turquie, des parties de l’Irak et la Jordanie – et, bien sûr, Israël.

    Se voulant rassurés et rassurant, les experts israéliens s’efforcent de se fier au hotline établi au terme d’un accord conclu entre militaires russes et israéliens au lendemain de l’intervention russe en Syrie, pour éviter toute friction. Les mesures qui en découlaient n’en étaient que volontaires.  Avec l’avènement du S-400, la coordination des attaques au préalable devient plus que nécessaire. Une restriction à ne pas sous-estimer.



  • Après le retrait des missiles PATRIOTS de Turquie, après avoir piégé Erdogan, voila que les américains prennent leur distance de cet idiot devenu inutile :

    .

    De sources iraniennes :

    .

    - Un porte-parole de la coalition américaine anti-Daesh a déclaré que la suspension des raids aériens contre Daesh en Syrie n’avait rien à avoir avec le déploiement du système S-400 dans ce pays. " Les forces de la coalition n’ont visé, depuis jeudi, aucun objectif en Syrie, mais les raids aériens se sont poursuivis contre les positions de Daesh en Irak", a-t-il ajouté.


    " Le porte-parole de la coalition américaine a prétendu que les frappes aériennes en Syrie nécessitaient de longs examens. Il faudrait déterminer quand et où ces attaquent devraient s’effectuer pour pouvoir obtenir le maximum d’efficacité contre les positions de Daesh", a rapporté la chaîne russe, sans citer le nom de ce porte-parole.
    En riposte à l’action de la Turquie, qui a abattu le chasseur russe Su-24, le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé, jeudi, le déploiement du nouveau système de S-400 en Syrie.
    Le système S-400 a été transféré de la Russie en Syrie, en moins de 24 heures.
    Mardi dernier, un chasseur russe, Soukhoï-24 a été abattu par un F-16 turc dans l’espace aérien syrien.
    Après l’installation du système S-400 en Syrie, le Premier ministre russe, Dmitri Medvedev, a qualifié de crime, le renversement de l’avion de combat russe par la Turquie, rassurant que Moscou apporterait des réponses militaires et politiques nécessaires, contre la démarche agressive d’Ankara.



  • .
    Vladimir Poutine : un joueur d’échec génial !
    .
    Qu’est-ce qui explique le transfert du commandement ( officieusement pour la PRESSE du moins ) du système anti-aérien S-400 de l’État major russe a l’État Major Syrien ? 
    .
    D’abord, il faut être clair, il s’agit d’un transfert de façade. Le personnel syrien n’a pas encore été
    formé et , donc, les techniciens russes opéreront l’ensemble des systèmes du S-400... En réalité.
    un simple haut-gradé de l’armé de l’air syrienne sera présent au sein de l’unité. De plus, Les russes ont annoncé aussi qu’il ne vendront pas ce système a la Syrie....après la fin des opérations anti-terroristes.
    .
    Cette décision , ce transfert du contrôle ( de façade ) du S-400 aux syriens, est reliée a la Convention de Montreux .
    .
    Imaginez une situation ou les russes élimineraient 1ou 2 jet F-16 au dessus de la Syrie. Erdogan en profiterait, n’en doutez pas , pour fermer le détroit du Bosphore. Il invoquerait une clause de la Convention de Montreux (1936 et toujours en vigueur) permettant a un pays de fermer le détroit ...lors du déclenchement d’une guerre directe contre ce pays. Les destroyers et les ravitaillements russes ne pourraient, alors, franchir le détroit. IMPOSSIBLE.
    .
    M. Poutine, sous les recommandation de ses stratèges, a donc pris la décision de ’’transférer’’ le commandement du S-400 a la Syrie. Ironie de l’histoire, c’est maintenant la Syrie qui imposera un ’’no-fly-zone’’ militaire au dessus....de la république de Syrie 

    .
    Il commence a me plaire, ce Vladimir Poutine 
    .
    La Turquie pourrait-elle fermer le Bosphore à la Russie ?



  • .
    Vladimir Poutine : un joueur d’échec génial !
    .
    Qu’est-ce qui explique le transfert du commandement ( officieusement pour la PRESSE du moins ) du système anti-aérien S-400 de l’État major russe a l’État Major Syrien ? 
    .
    D’abord, il faut être clair, il s’agit d’un transfert de façade. Le personnel syrien n’a pas encore été
    formé et , donc, les techniciens russes opéreront l’ensemble des systèmes du S-400... En réalité.
    un simple haut-gradé de l’armé de l’air syrienne sera présent au sein de l’unité. De plus, Les russes ont annoncé aussi qu’il ne vendront pas ce système a la Syrie....après la fin des opérations anti-terroristes.
    .
    Cette décision , ce transfert du contrôle ( de façade ) du S-400 aux syriens, est reliée a la Convention de Montreux .
    .
    Imaginez une situation ou les russes élimineraient 1ou 2 jet F-16 au dessus de la Syrie. Erdogan en profiterait, n’en doutez pas , pour fermer le détroit du Bosphore. Il invoquerait une clause de la Convention de Montreux (1936 et toujours en vigueur) permettant a un pays de fermer le détroit ...lors du déclenchement d’une guerre directe contre ce pays. Les destroyers et les ravitaillements russes ne pourraient, alors, franchir le détroit. IMPOSSIBLE.
    .
    M. Poutine, sous les recommandation de ses stratèges, a donc pris la décision de ’’transférer’’ le commandement du S-400 a la Syrie. Ironie de l’histoire, c’est maintenant la Syrie qui imposera un ’’no-fly-zone’’ militaire au dessus....de la république de Syrie 

    .
    Il commence a me plaire, ce Vladimir Poutine 
    .
    La Turquie pourrait-elle fermer le Bosphore à la Russie ?



  • Après le retrait des missiles PATRIOTS de Turquie, après avoir piégé Erdogan, voila que les américains prennent leur distance de cet idiot devenu inutile :

    .

    De sources iraniennes :

    .

    - Un porte-parole de la coalition américaine anti-Daesh a déclaré que la suspension des raids aériens contre Daesh en Syrie n’avait rien à avoir avec le déploiement du système S-400 dans ce pays. " Les forces de la coalition n’ont visé, depuis jeudi, aucun objectif en Syrie, mais les raids aériens se sont poursuivis contre les positions de Daesh en Irak", a-t-il ajouté.


    " Le porte-parole de la coalition américaine a prétendu que les frappes aériennes en Syrie nécessitaient de longs examens. Il faudrait déterminer quand et où ces attaquent devraient s’effectuer pour pouvoir obtenir le maximum d’efficacité contre les positions de Daesh", a rapporté la chaîne russe, sans citer le nom de ce porte-parole.
    En riposte à l’action de la Turquie, qui a abattu le chasseur russe Su-24, le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé, jeudi, le déploiement du nouveau système de S-400 en Syrie.
    Le système S-400 a été transféré de la Russie en Syrie, en moins de 24 heures.
    Mardi dernier, un chasseur russe, Soukhoï-24 a été abattu par un F-16 turc dans l’espace aérien syrien.
    Après l’installation du système S-400 en Syrie, le Premier ministre russe, Dmitri Medvedev, a qualifié de crime, le renversement de l’avion de combat russe par la Turquie, rassurant que Moscou apporterait des réponses militaires et politiques nécessaires, contre la démarche agressive d’Ankara.



  • Voila, c’est fait ! Les pilotes des F-16 israéliens commencent a critiquer les décisions du Führer  Netanyahu. Le parrain veut les envoyer jouer le rôle d’ appâts
    au dessus de la Syrie !
     Netanyahu, pour éviter toute défection de ses pilotes, aurait ordonné qu’aucun pilote ne vole seul au dessus de la Syrie. 
    .
    Ce n’est pas une stratégie nouvelle : Adolph Hitler a utilisé la même vers la fin de la guerre. 

    De sources libanaises :

    S-400 en Syrie : la liberté d’action des avions israéliens freinée L’équipe du site

    Aucune réaction de l’armée israélienne n’a été exprimée sur le déploiement du S-400 russe au nord-est de Lattaquié. Il n’en demeure pas moins qu’il constitue une source de préoccupation.

    « Avons-nous quelque chose à craindre ? La réponse est : oui et non », titre le journal israélien Times Of Israël, selon lequel si les rapports des médias russes contrôlés par l’État sont vrais, Israël n’aura plus la liberté d’envoyer des avions en Syrie à l’improviste.

    « Le système S-400 sera une épée de Damoclès sur la tête de l’armée de l’air israélienne – toujours présent, toujours prêt à frapper un avion israélien sans méfiance dans le ciel, a indiqué Tyler Rogoway, un contributeur du site d’informations militaire, Foxtrot Alpha, mercredi.

    Selon lui, cela devrait juste changer les règles du jeu.

    Tout en affichant son scepticisme quant à la rapidité avec laquelle Moscou a déployé cet armement en Syrie, le journal Times of Israel s’est intéressé à ses capacités militaires : vu qu’il combine un système de radar de pointe, ceci lui permet de détecter des missiles balistiques et les aéronefs à haute et à basse altitude qui se trouvent à des centaines de kilomètres de là, avec une variété de missiles capables de les atteindre.

    « Tout, d’un avion de chasse F-15 à un bombardier furtif B-2 qui rentre dans le rayon du S-400, risque d’exploser dans le ciel », estime-t-il.

    Selon lui, son déploiement à Lattaquié va donner le contrôle aérien à la Russie sur la quasi-totalité de la Syrie, le Liban et Chypre, plus de la moitié de la Turquie, des parties de l’Irak et la Jordanie – et, bien sûr, Israël.

    Se voulant rassurés et rassurant, les experts israéliens s’efforcent de se fier au hotline établi au terme d’un accord conclu entre militaires russes et israéliens au lendemain de l’intervention russe en Syrie, pour éviter toute friction. Les mesures qui en découlaient n’en étaient que volontaires.  Avec l’avènement du S-400, la coordination des attaques au préalable devient plus que nécessaire. Une restriction à ne pas sous-estimer.



  • Une excellente analyse de source iranienne  :
    .

     La Russie déclenche la seconde phase de la guerre, en Syrie, contre Daech. Rien ne semble pouvoir changer la volonté de la Russie de poursuivre ses objectifs, en Syrie, contre le groupe terroriste de Daech : ni le crash de l’Airbus russe, à Charm-el-Cheikh, ni les attentats terroristes de Paris. 

    Quand les Russes ont déclenché, le 30 septembre dernier, leurs frappes aériennes contre les positions de Daech, ils n’ont fixé aucune échéance, pour y mettre un terme. Au mois de septembre, Moscou projetait de prolonger ces frappes, pendant 3 ou 4 mois. Dès le début de ces opérations, les frappes ont été intenses et très amples. A partir du moment où les médias occidentaux ont annoncé l’intention occidentale de créer ’une zone d’exclusion aérienne, en Syrie, la Russie a décidé d’empêcher toute tentative de renverser le gouvernement syrien. Moscou a agi, pour empêcher la reproduction du scénario de 2013, lequel accusait Assad d’avoir recours aux armes chimiques contre l’opposition. Le président russe a soutenu le Président syrien, Bachar al-Assad, en l’accueillant, dans la capitale russe. Les frappes aériennes russes n’ont jamais été hasardeuses. Les cibles sont bien déterminées, grâce au travail de renseignement intense, fait, à partir des centres de commandement russo-syriens. Au départ, les Russes croyaient pouvoir changer les règles du jeu, en l’espace de quelques semaines. Les premières victoires russes ont été remportées, dans le Nord de la région de Hama, et l’armée syrienne a réussi à reprendre des régions qu’elle avait perdues. Mais l’armée syrienne n’a pas progressé, à Sahl-Al Alghab. Les Russes ont, alors, compris qu’en intervenant, militairement, une réponse rapide ne s’obtenait pas, et qu’il faudrait changer de tactique. C’est en ce sens que le Président russe, Vladimir Poutine, a déclaré, devant ses commandants militaires, que les frappes aériennes, à elles seules, ne suffisent pas à mettre en défaite les terroristes. A Sahl-ol Alghab, le gouvernement syrien a dû, donc, changer de tactique et prendre des mesures politico-défensives. Les 69 chasseurs-bombardiers russes, quand bien même ils étaient de type « Sukhoi- 24 » devaient, donc, être secondés, à Sahl-al Alghab. Mais comment ? Par des opérations terrestres. L’armée syrienne et ses alliés se sont, alors, réactivés, réussissant à conquérir des régions, à Rif Lattaquié, au Nord de la Syrie. Là sont intervenues les unités parachutistes, pour protéger les forces terrestres. Dans ses combats, la Russie a déterminé des lignes rouges à ne pas dépasser. A titre d’exemple, la Russie évite d’attaquer les forces turkmènes, aux alentours de Lattaquié ou bien elle les avertit, avant de lancer toute frappe. Les évènements de ces dernières semaines n’ont pas changé la volonté de Moscou de poursuivre ses attaques contre Daech. Ni le crash de l’Airbus russe, à Charm el Cheikh, ni les attentats terroristes, à Paris, ne semblent rien changer au programme et à la volonté des Russes de poursuivre leur combat. Les Russes sont passés à la seconde phase de leurs opérations. Il est bien utile de savoir que l’armée rouge ne veut pas intervenir, en Syrie. Tout porte à croire que la seconde phase des opérations contre le terrorisme de la Russie est celle que les experts qualifient de « guerre ouverte ». Il va sans dire que l’armée rouge n’ira pas débarquer, en Syrie, mais les terroristes et leurrs alliés auront du pain sur la planche. La Turquie se sent, dores et déjà, prise au piège. 



  • Voila, l’Armée de l’air Syrienne, qui contrôlera les systèmes défensifs anti-aériens S-400, vont bientôt abattent des avions ennemis qui auront violé l’espace aérien de la République de Syrie et qui n’auront pas obtenu une autorisation de vol DE CET APPAREIL.
    .
    .Il y a des pilotes volontaires ? Quelqu’un ? 

    .
    .

    « Bachar al-Assad, le Président syrien, est notre principal allié, dans la guerre contre le groupe terroriste Daech », a affirmé Vladimir Poutine, le Président russe, en réaction aux déclarations de son homologue français, François Hollande. « Assad ne fait pas partie de l’avenir de la Syrie », avait dit Hollande, en affirmant son soutien à l’armée syrienne.
    « Il revient au peuple syrien de décider de l’avenir de son pays et non pas à ceux qui ont opté pour un comportement ambivalent, face au terrorisme, et qui procèdent à des échanges criminels avec le groupe terroriste Daech, en jouant avec le feu », a réagi Poutine à la déclaration d’Hollande, a-t-on appris de l’agence de presse syrienne, SANA.
    « Nous ne ménagerons aucun effort, pour garantir le non-retour des terroristes, en Syrie. Pour ce qui est de l’envoi d’aides humanitaires, en Syrie, il faut qu’il y ait des coordinations », a précisé Poutine.
    « La mission du déploiement des systèmes de défense anti-aérienne S-400 est d’abattre les avions de l’ennemi », a-t-il souligné



  • .
    Excellent article. LA QUESTION qu’il faut se poser, a l’Ère du réseau Echelon et autres est ceci  :
    .
    ’’.....Lorsque des attentats surviennent en occident, la question qu’il convient de se poser est donc qui a laissé passer l’attaque (sous fausses bannières ou non ) ? ....’’

    .
    Dans le cas de Paris, nos ’’amis’’ américains n’ont pas prévenu Israël.....et sa succursale ; la France. Le principal objectif objectif américain est de défaire le mariage incestueux entre la France d’une part et Israël et les monarchies pétrolières d’autre part. OPÉRATION RÉUSSIES.
    .



  • .
    Correction :
    .
    LES israéliens subissent bdpif (bas du pif) , les turques subissent Erdogan ( bas du front ) . Chacun sa peine.



  • .
    Nous israéliens subissent bdpif (bas du pif) , les turques subissent bas du front. Chacun sa peine.



  • Voila, l’Armée de l’air Syrienne, qui contrôlera les systèmes défensifs anti-aériens S-400, vont bientôt abattent des avions ennemis qui auront violé l’espace aérien de la République de Syrie et qui n’auront pas obtenu une autorisation de vol DE CET APPAREIL.
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    .Il y a des pilotes volontaires ? Quelqu’un ? 

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    « Bachar al-Assad, le Président syrien, est notre principal allié, dans la guerre contre le groupe terroriste Daech », a affirmé Vladimir Poutine, le Président russe, en réaction aux déclarations de son homologue français, François Hollande. « Assad ne fait pas partie de l’avenir de la Syrie », avait dit Hollande, en affirmant son soutien à l’armée syrienne.
    « Il revient au peuple syrien de décider de l’avenir de son pays et non pas à ceux qui ont opté pour un comportement ambivalent, face au terrorisme, et qui procèdent à des échanges criminels avec le groupe terroriste Daech, en jouant avec le feu », a réagi Poutine à la déclaration d’Hollande, a-t-on appris de l’agence de presse syrienne, SANA.
    « Nous ne ménagerons aucun effort, pour garantir le non-retour des terroristes, en Syrie. Pour ce qui est de l’envoi d’aides humanitaires, en Syrie, il faut qu’il y ait des coordinations », a précisé Poutine.
    « La mission du déploiement des systèmes de défense anti-aérienne S-400 est d’abattre les avions de l’ennemi », a-t-il souligné



  • Une excellente analyse de source iranienne  :
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     La Russie déclenche la seconde phase de la guerre, en Syrie, contre Daech. Rien ne semble pouvoir changer la volonté de la Russie de poursuivre ses objectifs, en Syrie, contre le groupe terroriste de Daech : ni le crash de l’Airbus russe, à Charm-el-Cheikh, ni les attentats terroristes de Paris. 

    Quand les Russes ont déclenché, le 30 septembre dernier, leurs frappes aériennes contre les positions de Daech, ils n’ont fixé aucune échéance, pour y mettre un terme. Au mois de septembre, Moscou projetait de prolonger ces frappes, pendant 3 ou 4 mois. Dès le début de ces opérations, les frappes ont été intenses et très amples. A partir du moment où les médias occidentaux ont annoncé l’intention occidentale de créer ’une zone d’exclusion aérienne, en Syrie, la Russie a décidé d’empêcher toute tentative de renverser le gouvernement syrien. Moscou a agi, pour empêcher la reproduction du scénario de 2013, lequel accusait Assad d’avoir recours aux armes chimiques contre l’opposition. Le président russe a soutenu le Président syrien, Bachar al-Assad, en l’accueillant, dans la capitale russe. Les frappes aériennes russes n’ont jamais été hasardeuses. Les cibles sont bien déterminées, grâce au travail de renseignement intense, fait, à partir des centres de commandement russo-syriens. Au départ, les Russes croyaient pouvoir changer les règles du jeu, en l’espace de quelques semaines. Les premières victoires russes ont été remportées, dans le Nord de la région de Hama, et l’armée syrienne a réussi à reprendre des régions qu’elle avait perdues. Mais l’armée syrienne n’a pas progressé, à Sahl-Al Alghab. Les Russes ont, alors, compris qu’en intervenant, militairement, une réponse rapide ne s’obtenait pas, et qu’il faudrait changer de tactique. C’est en ce sens que le Président russe, Vladimir Poutine, a déclaré, devant ses commandants militaires, que les frappes aériennes, à elles seules, ne suffisent pas à mettre en défaite les terroristes. A Sahl-ol Alghab, le gouvernement syrien a dû, donc, changer de tactique et prendre des mesures politico-défensives. Les 69 chasseurs-bombardiers russes, quand bien même ils étaient de type « Sukhoi- 24 » devaient, donc, être secondés, à Sahl-al Alghab. Mais comment ? Par des opérations terrestres. L’armée syrienne et ses alliés se sont, alors, réactivés, réussissant à conquérir des régions, à Rif Lattaquié, au Nord de la Syrie. Là sont intervenues les unités parachutistes, pour protéger les forces terrestres. Dans ses combats, la Russie a déterminé des lignes rouges à ne pas dépasser. A titre d’exemple, la Russie évite d’attaquer les forces turkmènes, aux alentours de Lattaquié ou bien elle les avertit, avant de lancer toute frappe. Les évènements de ces dernières semaines n’ont pas changé la volonté de Moscou de poursuivre ses attaques contre Daech. Ni le crash de l’Airbus russe, à Charm el Cheikh, ni les attentats terroristes, à Paris, ne semblent rien changer au programme et à la volonté des Russes de poursuivre leur combat. Les Russes sont passés à la seconde phase de leurs opérations. Il est bien utile de savoir que l’armée rouge ne veut pas intervenir, en Syrie. Tout porte à croire que la seconde phase des opérations contre le terrorisme de la Russie est celle que les experts qualifient de « guerre ouverte ». Il va sans dire que l’armée rouge n’ira pas débarquer, en Syrie, mais les terroristes et leurrs alliés auront du pain sur la planche. La Turquie se sent, dores et déjà, prise au piège. 



  • Voila, c’est fait ! Les pilotes des F-16 israéliens commencent a critiquer les décisions du Führer  Netanyahu. Le parrain veut les envoyer jouer le rôle d’ appâts
    au dessus de la Syrie !
     Netanyahu, pour éviter toute défection de ses pilotes, aurait ordonné qu’aucun pilote ne vole seul au dessus de la Syrie. 
    .
    Ce n’est pas une stratégie nouvelle : Adolph Hitler a utilisé la même vers la fin de la guerre. 

    De sources libanaises :

    S-400 en Syrie : la liberté d’action des avions israéliens freinée L’équipe du site

    Aucune réaction de l’armée israélienne n’a été exprimée sur le déploiement du S-400 russe au nord-est de Lattaquié. Il n’en demeure pas moins qu’il constitue une source de préoccupation.

    « Avons-nous quelque chose à craindre ? La réponse est : oui et non », titre le journal israélien Times Of Israël, selon lequel si les rapports des médias russes contrôlés par l’État sont vrais, Israël n’aura plus la liberté d’envoyer des avions en Syrie à l’improviste.

    « Le système S-400 sera une épée de Damoclès sur la tête de l’armée de l’air israélienne – toujours présent, toujours prêt à frapper un avion israélien sans méfiance dans le ciel, a indiqué Tyler Rogoway, un contributeur du site d’informations militaire, Foxtrot Alpha, mercredi.

    Selon lui, cela devrait juste changer les règles du jeu.

    Tout en affichant son scepticisme quant à la rapidité avec laquelle Moscou a déployé cet armement en Syrie, le journal Times of Israel s’est intéressé à ses capacités militaires : vu qu’il combine un système de radar de pointe, ceci lui permet de détecter des missiles balistiques et les aéronefs à haute et à basse altitude qui se trouvent à des centaines de kilomètres de là, avec une variété de missiles capables de les atteindre.

    « Tout, d’un avion de chasse F-15 à un bombardier furtif B-2 qui rentre dans le rayon du S-400, risque d’exploser dans le ciel », estime-t-il.

    Selon lui, son déploiement à Lattaquié va donner le contrôle aérien à la Russie sur la quasi-totalité de la Syrie, le Liban et Chypre, plus de la moitié de la Turquie, des parties de l’Irak et la Jordanie – et, bien sûr, Israël.

    Se voulant rassurés et rassurant, les experts israéliens s’efforcent de se fier au hotline établi au terme d’un accord conclu entre militaires russes et israéliens au lendemain de l’intervention russe en Syrie, pour éviter toute friction. Les mesures qui en découlaient n’en étaient que volontaires.  Avec l’avènement du S-400, la coordination des attaques au préalable devient plus que nécessaire. Une restriction à ne pas sous-estimer.



  • Après le retrait des missiles PATRIOTS de Turquie, après avoir piégé Erdogan, voila que les américains prennent leur distance de cet idiot devenu inutile :

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    De sources iraniennes :

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    - Un porte-parole de la coalition américaine anti-Daesh a déclaré que la suspension des raids aériens contre Daesh en Syrie n’avait rien à avoir avec le déploiement du système S-400 dans ce pays. " Les forces de la coalition n’ont visé, depuis jeudi, aucun objectif en Syrie, mais les raids aériens se sont poursuivis contre les positions de Daesh en Irak", a-t-il ajouté.


    " Le porte-parole de la coalition américaine a prétendu que les frappes aériennes en Syrie nécessitaient de longs examens. Il faudrait déterminer quand et où ces attaquent devraient s’effectuer pour pouvoir obtenir le maximum d’efficacité contre les positions de Daesh", a rapporté la chaîne russe, sans citer le nom de ce porte-parole.
    En riposte à l’action de la Turquie, qui a abattu le chasseur russe Su-24, le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé, jeudi, le déploiement du nouveau système de S-400 en Syrie.
    Le système S-400 a été transféré de la Russie en Syrie, en moins de 24 heures.
    Mardi dernier, un chasseur russe, Soukhoï-24 a été abattu par un F-16 turc dans l’espace aérien syrien.
    Après l’installation du système S-400 en Syrie, le Premier ministre russe, Dmitri Medvedev, a qualifié de crime, le renversement de l’avion de combat russe par la Turquie, rassurant que Moscou apporterait des réponses militaires et politiques nécessaires, contre la démarche agressive d’Ankara.



  • .
    Vladimir Poutine : un joueur d’échec génial !
    .
    Qu’est-ce qui explique le transfert du commandement ( officieusement pour la PRESSE du moins ) du système anti-aérien S-400 de l’État major russe a l’État Major Syrien ? 
    .
    D’abord, il faut être clair, il s’agit d’un transfert de façade. Le personnel syrien n’a pas encore été
    formé et , donc, les techniciens russes opéreront l’ensemble des systèmes du S-400... En réalité.
    un simple haut-gradé de l’armé de l’air syrienne sera présent au sein de l’unité. De plus, Les russes ont annoncé aussi qu’il ne vendront pas ce système a la Syrie....après la fin des opérations anti-terroristes.
    .
    Cette décision , ce transfert du contrôle ( de façade ) du S-400 aux syriens, est reliée a la Convention de Montreux .
    .
    Imaginez une situation ou les russes élimineraient 1ou 2 jet F-16 au dessus de la Syrie. Erdogan en profiterait, n’en doutez pas , pour fermer le détroit du Bosphore. Il invoquerait une clause de la Convention de Montreux (1936 et toujours en vigueur) permettant a un pays de fermer le détroit ...lors du déclenchement d’une guerre directe contre ce pays. Les destroyers et les ravitaillements russes ne pourraient, alors, franchir le détroit. IMPOSSIBLE.
    .
    M. Poutine, sous les recommandation de ses stratèges, a donc pris la décision de ’’transférer’’ le commandement du S-400 a la Syrie. Ironie de l’histoire, c’est maintenant la Syrie qui imposera un ’’no-fly-zone’’ militaire au dessus....de la république de Syrie 

    .
    Il commence a me plaire, ce Vladimir Poutine 
    .
    La Turquie pourrait-elle fermer le Bosphore à la Russie ?



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    Vladimir Poutine : un joueur d’échec génial !
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    Qu’est-ce qui explique le transfert du commandement ( officieusement pour la PRESSE du moins ) du système anti-aérien S-400 de l’État major russe a l’État Major Syrien ? 
    .
    D’abord, il faut être clair, il s’agit d’un transfert de façade. Le personnel syrien n’a pas encore été
    formé et , donc, les techniciens russes opéreront l’ensemble des systèmes du S-400... En réalité.
    un simple haut-gradé de l’armé de l’air syrienne sera présent au sein de l’unité. De plus, Les russes ont annoncé aussi qu’il ne vendront pas ce système a la Syrie....après la fin des opérations anti-terroristes.
    .
    Cette décision , ce transfert du contrôle ( de façade ) du S-400 aux syriens, est reliée a la Convention de Montreux .
    .
    Imaginez une situation ou les russes élimineraient 1ou 2 jet F-16 au dessus de la Syrie. Erdogan en profiterait, n’en doutez pas , pour fermer le détroit du Bosphore. Il invoquerait une clause de la Convention de Montreux (1936 et toujours en vigueur) permettant a un pays de fermer le détroit ...lors du déclenchement d’une guerre directe contre ce pays. Les destroyers et les ravitaillements russes ne pourraient, alors, franchir le détroit. IMPOSSIBLE.
    .
    M. Poutine, sous les recommandation de ses stratèges, a donc pris la décision de ’’transférer’’ le commandement du S-400 a la Syrie. Ironie de l’histoire, c’est maintenant la Syrie qui imposera un ’’no-fly-zone’’ militaire au dessus....de la république de Syrie 

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    Il commence a me plaire, ce Vladimir Poutine 
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    La Turquie pourrait-elle fermer le Bosphore à la Russie ?



  • Après le retrait des missiles PATRIOTS de Turquie, après avoir piégé Erdogan, voila que les américains prennent leur distance de cet idiot devenu inutile :

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    De sources iraniennes :

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    - Un porte-parole de la coalition américaine anti-Daesh a déclaré que la suspension des raids aériens contre Daesh en Syrie n’avait rien à avoir avec le déploiement du système S-400 dans ce pays. " Les forces de la coalition n’ont visé, depuis jeudi, aucun objectif en Syrie, mais les raids aériens se sont poursuivis contre les positions de Daesh en Irak", a-t-il ajouté.


    " Le porte-parole de la coalition américaine a prétendu que les frappes aériennes en Syrie nécessitaient de longs examens. Il faudrait déterminer quand et où ces attaquent devraient s’effectuer pour pouvoir obtenir le maximum d’efficacité contre les positions de Daesh", a rapporté la chaîne russe, sans citer le nom de ce porte-parole.
    En riposte à l’action de la Turquie, qui a abattu le chasseur russe Su-24, le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé, jeudi, le déploiement du nouveau système de S-400 en Syrie.
    Le système S-400 a été transféré de la Russie en Syrie, en moins de 24 heures.
    Mardi dernier, un chasseur russe, Soukhoï-24 a été abattu par un F-16 turc dans l’espace aérien syrien.
    Après l’installation du système S-400 en Syrie, le Premier ministre russe, Dmitri Medvedev, a qualifié de crime, le renversement de l’avion de combat russe par la Turquie, rassurant que Moscou apporterait des réponses militaires et politiques nécessaires, contre la démarche agressive d’Ankara.



  • Voila, c’est fait ! Les pilotes des F-16 israéliens commencent a critiquer les décisions du Führer  Netanyahu. Le parrain veut les envoyer jouer le rôle d’ appâts
    au dessus de la Syrie !
     Netanyahu, pour éviter toute défection de ses pilotes, aurait ordonné qu’aucun pilote ne vole seul au dessus de la Syrie. 
    .
    Ce n’est pas une stratégie nouvelle : Adolph Hitler a utilisé la même vers la fin de la guerre. 

    De sources libanaises :

    S-400 en Syrie : la liberté d’action des avions israéliens freinée L’équipe du site

    Aucune réaction de l’armée israélienne n’a été exprimée sur le déploiement du S-400 russe au nord-est de Lattaquié. Il n’en demeure pas moins qu’il constitue une source de préoccupation.

    « Avons-nous quelque chose à craindre ? La réponse est : oui et non », titre le journal israélien Times Of Israël, selon lequel si les rapports des médias russes contrôlés par l’État sont vrais, Israël n’aura plus la liberté d’envoyer des avions en Syrie à l’improviste.

    « Le système S-400 sera une épée de Damoclès sur la tête de l’armée de l’air israélienne – toujours présent, toujours prêt à frapper un avion israélien sans méfiance dans le ciel, a indiqué Tyler Rogoway, un contributeur du site d’informations militaire, Foxtrot Alpha, mercredi.

    Selon lui, cela devrait juste changer les règles du jeu.

    Tout en affichant son scepticisme quant à la rapidité avec laquelle Moscou a déployé cet armement en Syrie, le journal Times of Israel s’est intéressé à ses capacités militaires : vu qu’il combine un système de radar de pointe, ceci lui permet de détecter des missiles balistiques et les aéronefs à haute et à basse altitude qui se trouvent à des centaines de kilomètres de là, avec une variété de missiles capables de les atteindre.

    « Tout, d’un avion de chasse F-15 à un bombardier furtif B-2 qui rentre dans le rayon du S-400, risque d’exploser dans le ciel », estime-t-il.

    Selon lui, son déploiement à Lattaquié va donner le contrôle aérien à la Russie sur la quasi-totalité de la Syrie, le Liban et Chypre, plus de la moitié de la Turquie, des parties de l’Irak et la Jordanie – et, bien sûr, Israël.

    Se voulant rassurés et rassurant, les experts israéliens s’efforcent de se fier au hotline établi au terme d’un accord conclu entre militaires russes et israéliens au lendemain de l’intervention russe en Syrie, pour éviter toute friction. Les mesures qui en découlaient n’en étaient que volontaires.  Avec l’avènement du S-400, la coordination des attaques au préalable devient plus que nécessaire. Une restriction à ne pas sous-estimer.