@Panoramix
Copié-collé : « C’est une tocade que cette histoire de fabrication factice de génome de virus qui n’existent pas, alors que les méthodes et algorithmes sont les mêmes que ceux utilisées par exemple pour comparer des génomes humains en criminologie à partir de fragments ».
Et bien non Panoramix, en criminologie cela ne se passe pas du tout comme en virologie. Vous le « croyez » peut être, c’est votre « croyance » mais vous ne l’avez pas examinée.
Toute personne, en France, condamnée définitivement pour délit ou crime doit intégrer la base de données des empreintes génétiques : FNAEG. Et comment cela se passe t-il puisque vous voulez comparer ceci avec les cultures de recherches virales ?
Et bien un prélèvement de cellules, généralement buccales, est effectué sur la personne à enregistrer. Ces cellules nous sommes « absolument certain » qu’elles appartiennent à cette personne. Lorsque l’ADN de ces cellules sera séquencé pour rejoindre le FNAEG nous aurons la même certitude que ce séquençage est celui réalisé sur la personne concernée. Dan ce cas, précisément, c’est un « génome entier » parfaitement identifié, qui est utilisé ! Celui des cellules « prélevées » pour être parfaitement clair Panoramix !
Et en virologie ? Et bien on ne trouve jamais, jamais, jamais de génome entier ! Cela n’existe pas. Les virologues ne « séquencent » pas un génome depuis l’existant, ils en « fabriquent un » à partir de courtes séquences retrouvées dans une culture renfermant des cellules de différentes origines (humaines, oui, mais aussi de singe vert et de bovins). Ce génome est une fiction ! Ce sont simplement des séquences disparates assemblées par la bio informatique.
Si vous ne comprenez pas la différence c’est que vous ne comprenez rien au séquençage. Et je peux le dire : vous êtes frappé de l’effet Dunning-Kruger !
Et ce n’est donc pas une question « d’outils » !
@Francis, agnotologue
Bonjour Francis
Mais les virus sont supposés provoquer des maladies ! Ce n’est pas rien. Et des « pandémies terribles » qui pourraient dévaster la pauvre humanité !
Tenez vous le pour dit mécréant.
@Panoramix
Vous non plus vous ne comprenez pas comment se passe le séquençage ?
Je n’ai pas été assez clair.
Après culture, dans le surnageant les virologues découvrent des fragments, de très nombreux fragments plus ou moins longs, plus ou moins courts. Pour le SARS-COV2 ce sont des « centaines de milliers » de fragments qui ont été trouvés dans le surnageant. Ce que l’on appelle des « reads » (cherchez sur internet !). Il faudra un étape transcriptase inverse pour transformer l’ARN en ADN.
— Après le séquençage, tous les reads obtenus sont comparés à des bases de données contenant des séquences connues. Début du « raisonnement circulaire » !
— Si un read s’aligne de façon significative (forte similarité) avec une séquence de coronavirus, il est classé comme viral. Poursuite du « raisonnement circulaire » !
— S’il s’aligne mieux avec une séquence humaine ou bactérienne, il est classé comme tel et écarté pour l’assemblage du génome viral.
Mais notez bien ceci à ce point précis : ... « Avant 2007, la découverte par Valadi et al. du rôle des exosomes dans le transport de l’ARN n’était pas connue des virologues. À cette époque, lors du séquençage de surnageants de cultures virales, il était courant de considérer que tout l’ARN présent dans le surnageant provenait du virus ou de cellules lysées par l’infection. Les protocoles d’analyse bio-informatique étaient donc moins sophistiqués : il n’y avait pas de filtrage systématique pour exclure l’ARN provenant d’exosomes ou d’autres sources non virales, tout simplement parce que leur existence et leur rôle dans le transport de l’ARN étaient ignorés »...
Et c’est seulement à partir d’environ 2010 que les virologues ont commencé à chercher des séquences humaines dans les reads pour les écarter. Mais avant, ils ne l’ont jamais fait, par ignore. Ils ont construit des génomes avec !
Et ce sont « précisément » ces génomes qui figurent dans les bases de données et sur lesquels les virologues s’appuient pour « déclarer » une séquence « virale » ou pas ! Ils perpétuent leur monumentale erreur ! Ainsi les bases de données de séquences « virales » utilisées par les virologues reposent en grande partie sur des génomes historiques, séquencés avant que le rôle des exosomes et la complexité du transport de l’ARN extracellulaire ne soient compris.
Par ailleurs, beaucoup de séquences dites “virales” ont des homologues directs dans les rétrovirus endogènes(HERVs) et les transcrits issus d’exosomes. Ainsi Une séquence peut ne pas être “référencée” comme humaine, tout en étant endogène et fonctionnellement transcrite.
— En rejetant rapidement toute séquence “non parfaitement humaine” et en classant comme virale toute séquence qui ressemble davantage à une séquence virale déjà acceptée, on construit un modèle autoréférentiel : ce qui est viral est viral parce que ça ne semble pas humain ; ce qui n’est pas humain est viral, parce que notre base virale contient déjà ce genre de séquence ; donc c’est viral. Magnifique poursuite du raisonnement circulaire. Ainsi tout ce qui a été caractérisé de « viral » avant 2008 continue de l’être. La virologie est une pétition de principe.
Donc si les chercheurs trouvent une séquence comme celle-ci : AUUAAAGGUUUAUACCUUCCCAGGUAACAAACCAACCAACUUUAAUGUUUUACUUGCUUUUAAAGCUUCU AUCUUGGUUUUCUUAAAGGUAACCAACCAACUUUAAUGUUUUACUUGCUUUUAAAGCUUCUAUCUUGGUU UUCUUAAAGGUAACCAACCAACUUUAAUGUUUUACUUGCUUUUAAAGCUUCUAUCUUGG
Ils la retiennent et la machinerie bio informatique recherche des correspondances en début et en fin de chaine pour sélectionner dans les « reads » ceux qui pourront s’assembler avec ceci (appelées « zones de chevauchement). Et de courtes séquences en courtes séquences, la machinerie bio-informatique, »pas les virologues« , forment un »génome de 30.000« nucléotides environ (pour les coronavirus).
Et la bio-informatique à ses propres limites ! Même avec des outils modernes, il existe une zone grise : certaines séquences courtes ou peu spécifiques peuvent être mal attribuées, surtout si elles sont communes à plusieurs espèces ou si elles proviennent de matériel exosomique mal caractérisé.
Comprenez Panoramix que les virologues ne font pas grand chose lors du séquençage. C’est une machine qui s’y colle. Puis c’est une autre machine qui assemble ces »reads« séquencés pour les assembler en un génome sur une base de données »présumée vraie« , mais qui est totalement fausse !
Mais comme c’est complexe, les gens s’y perdent. Et vos deux liens que je voulais examiner ne fonctionnent pas. Mais peu importe, je pense que vous n’avez aucune idée de la manière dont un »génome viral" est assemblé. C’est cela l’effet Dunning Kruger, faire croire que l’on comprend et que l’on est à des années lumière de savoir comment cela se passe. Et si vous le savez, et bien discutons-en ! Qu’en pensez-vous ?
@Enki
Copié-collé : « Ce n’est pas simplement le covid-19 qui a été trafiqué (3 insertions de HIV, 1 de SIV, du singe, 1 de malaria et des protéines de furines), mais ce sont aussi des interrogations sur l’origine du SARS et du MERS, entre autres. Et vous voudriez vous étonner qu’il y ait des psychoses ?
Et vous pas davantage qu’Eric F, ne savez comment les virologues s’y prennent pas »assembler« un »virus« . Alors je vous explique !
Un génome viral, comme celui du SARS-COV2 », c’est environ 30.000 nucléoniques qui se succèdent. Les quatre acides nucléiques de l’ARN : ACGU que l’on convertit en ADN à l’aide d’une enzyme : la transcriptase inverse.
Un génome qui se lirait comme un livre comportant seulement 4 lettres répétées 30 mille fois : A U U A A G G G C U U U G U U G G C U G........
Comment les virologues obtiennent-ils l’ordre de ces 4 nucléotides ? Et bien dans le « surnageant » après cultures de cellules in vitro, les virologues découvrent de courtes séquences d’ARN appelées « fragments ».
Les virologues séquencent ces courtes séquences, ces « fragments ». Evidemment ils contiennent une certaine succession des 4 nucléotides. Ces courtes séquences sont appelées « reads » et une technologie comme « illumina » est utilisée pour « lire » ces séquences retrouvées dans le surnageant.
C’est une technologie de séquençage de nouvelle génération (NGS) utilisée pour lire rapidement et massivement les séquences d’ADN ou d’ARN. Les machines Illumina génèrent de grandes quantités de données de séquençage, qui nécessitent ensuite des traitements bio-informatiques pour être analysées, interprétées et assemblées. La machine recherche des séquences qui se « chevauchent » et ensuite les assemble en fonction d’un « génome de référence » (déjà connu).
https://www.techniques-ingenieur.fr/glossaire/contig
Ce que signifie votre intervention c’est que vous n’avez toujours pas compris « comment » s’y prennent les virologues pour « assembler » des « reads ». Commencez par lire la notice Wikipédia, cela vous mettra le pied à l’étrier !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Assemblage_(bio-informatique)
https://www.melbournebioinformatics.org.au/tutorials/tutorials/assembly/asse mbly-protocol/
Alors votre copié-collé : « Ce n’est pas simplement le covid-19 qui a été trafiqué (3 insertions de HIV, 1 de SIV, du singe, 1 de malaria et des protéines de furines) »...
.... est du plus grand ridicule ! Comprenez que ces « insertions » proviennent de séquençage de « reads » provenant d’autres cultures menées in vitro. Et toujours en faisant la confusion entre ARN cellulaire transporté par les exosomes (ceux émanant des cellules de la culture : de singe s’il y a des cellules de singe dans la culture, de chauve souris, s’il y a des cellules de chauves souris dans la culture, d’humains, s’il y a des cellules d’humains dans la culture). Et la base de données « totalement corrompue » fournit des génomes artefacts expérimentaux.
La virologie est une pétition de principe !
@Eric F
Copié-collé : « Il n’y a pas certitude que les souches des épidémies SARS, MERS et même SARSCov2 soit issues de manipulations génétiques délibérées, mais l’existence par ailleurs de telles manipulations alimente en effet le doute ».
Ceci prouve une seule chose : que vous n’avez absolument pas compris comment les virologues « fabriquent » un génome à l’aide de fragments de séquences d’ARN avec l’aide d’un programme de « bio-informatique ».
Vous n’avez strictement rien compris. Dunning-Kruger est un horizon indépassable pour vous ! Vous répétez ce que vous avez lu dans le « journal des femmes », rubrique « sciences » ?
@Eric F
Il vous est difficile de répondre et donc vous partez sur le très célèbre « consensus scientifique ».
Mais la question que je vous pose est d’une très grande simplicité !
Qu’ont séquencé les virologues avant 2007-2008 ?
Vous avez compris, mais je le précise, on ne sait jamais : quel ARN ? C’est facile Eric F ! C’est « tout » l’ARN qu’ils trouvaient dans le surnageant qu’ils « séquençaient » pour concevoir des « génomes viraux ».
Dites moi Eric F, est-ce que cela change quelque chose aux génomes viraux que l’ARN proviennent des exosomes ? Oui ou non ?
Et la réponse est claire : cela change « fondamentalement » les choses. Et pourquoi ? Parce que les virologues, par ignorance, ont séquencé de l’ARN exosomal, qu’ils ont, par hypothèse, attribué à du matériel viral. Cela n’en était pas ! Est-ce que vous comprenez Eric F ? Ce point, juste ce point ?
Et par voie de conséquence « tous les génomes viraux » déposés dans les banques de données des virus avant 2007-2008 sont des « artefacts expérimentaux » ! Et pourquoi ? Parce que l’ARN séquencé, utilisé pour « construire » ces génomes ne provenaient pas de « virus » mais des exosomes. Les virologues ont séquencé de l’ARN humain, de l’ARN de singe vert et de l’ARN de bovin.
Le biais mythologique est monstrueux Eric F, parce que, tout simplement, l’hypothèse de départ des virologues était fausse, totalement fausse. Tous ces génomes virus précédant 2008 sont frappés d’un biais méthodologique rédhibitoire.
Et comme la virologie opère toujours par « homologie », même les génomes viraux construits récemment, comme le SARS-COV2, s’appuie sur l’existence de génomes « pré » 2008. Ce qui, à nouveau, disqualifie complètement la crédibilité de ce génome.
Eric F, on ne bâtit pas une discipline sur de fausses hypothèses. Dès que l’hypothèse de travail de départ s’avère être fausse, tout, absolument tout, doit être reconsidéré.
Copié-collé : « Vos assertions que ça fausserait les modélisations effectuées auparavant sont desextrapolations corroborées par strictement aucun article scientifique, c’est pas faute d’avoir cherché ».
« Chercher » ce n’est pas se reposer sur ce que d’autres font d’une manière systématique ! Chercher c’est aussi faire des mises en perspective en reliant certains domaines scientifiques à d’autres. C’est, par exemple, ce que fait Pierre Chaillot en utilisant les statistiques. Il démontre que le phénomène de propagation et de contamination n’existe pas. Il montre qu’il y a eu une « épidémie de tests ».
Chercher c’est aussi se rendre compte que les épidémies de maladies cardiorespiratoires sont absolument corrélées aux inversions thermiques.
Chercher c’est aussi se rendre compte que la malnutrition amenuise considérablement le système immunitaire.
C’est bien le problème Eric F. Toute la virologie est tenue par le pognon parce que d’immenses intérêts financiers sont en jeu, ainsi que d’immenses intérêts sociétaux. Mais la vérité et la supercherie vous l’avez sous les yeux :
Les virologues ont séquencé, par ignorance, de l’ARN cellulaire, dont ils se sont servis pour « construire des génomes viraux fictifs » !
Parce que « l’hypothèse est fausse », les « résultats sont faux ».
Et vous l’avez lu, comme moi, Eric F, dans l’étude de Valadi et al. 2007 (et d’autres que j’ai lues mais pas vous) : les exosomes transportent de l’ARN codant, des micro ARN et des ARN non codant dans le milieu extra cellulaire. Avoir séquencé des génomes sans tenir compte de cette réalité disqualifie totalement la spécialité appelée « virologie ». C’était une bourde monumentale, faite par ignorance, certes, mais faite quand même !
@Eric F
C’est une affaire de « gros sous » Eric F. Savez vous combien rapportent, annuellement, vaccins et tests ? Le savez vous ? Il ne serait être question de tuer la poule aux oeufs d’or !
Pour le reste il suffit de faire des mises en perspective en faisant référence à des études de qualité.
Tout est faux dans la virologie qui a construit sa « légitimité » sur, d’abord, « des effets cytopathiques » et, ensuite, sur la découverte d’ARN dans le surnageant (je sais que vous ne comprenez pas ce mot, alors je fais exprès de l’utiliser).
... Quatre groupes (Merck, Sanofi, GSK, Pfizer) dominent plus de 65 % du chiffre d’affaires annuel des vaccins, avec des revenus individuels en 2019 allant de 5,8 à 8 milliards d’euros pour les leaders comme GSK, Merck, Pfizer, et Sanofi.
... En 2025, sans pandémie majeure comme celle du Covid-19, le marché des vaccins pourrait se stabiliser autour de 80 à 100 milliards de dollars par an, incluant les vaccins de routine, saisonniers (grippe), et émergents.
... En 2025, la demande pour les tests Covid-19 a diminué, mais les tests antiviraux pour d’autres maladies (grippe, VRS, hépatites, VIH, etc.) restent un marché significatif. Une estimation place ce marché à environ 10-15 milliards de dollars par an, en incluant les tests de diagnostic rapide et les tests en laboratoire.
Business is business Eric F.
PS : Vous n’avez toujours pas répondu à la question centrale. Maintenant que vous êtes dans de bonnes dispositions, puisque vous parlez d’études scientifiques (copié-collé :considérer l’état des connaissances scientifiques c’est être naïf), vous allez nous dire ce que vous retirez de cette étude de Valadi et al. 2007 (que vous avez pu découvrir grâce à des liens spécifiques) concernant le transport d’ARN (ARNm, miARN, ARN non codant) par des exosomes alors que jusqu’en mi 2007 les virologues ignoraient ce transport.
Vous allez nous dire ce que les virologues « séquençaient » dans la joie et la bonne humeur, tout à fait ignorants de l’existence de l’ARN exosomal !
Vous allez nous le dire ou pas Eric F ?
@Eric F
Il s’agissait simplement d’une affaire d’inversion thermique, comme celle de Londres en 1952. Masquons la réalité observable et attribuons sans complexe la maladie à un virus imaginaire ! Un virus qui va terroriser la planète entière !
@Julian Dalrimple-sikes
Merci Julian pour ces liens. Sur la mortalité « post vaccinale » je ne me prononce pas. Je reste un observateur attentif.
Si l’affaire est suivie « honnêtement », les chiffres montreront une surmortalité inhabituelle qu’il faudra interroger. Quant au « turbo-cancer » de l’infirmière, malheureusement ces turbo-cancers existent. Faire le lien avec une vaccination est difficile, une relation de causalité très compliquée à démontrer.
Nous ne savons pas au juste ce que contiennent ces vaccins. Ce que nous pouvons dire c’est qu’ils ne peuvent avoir aucun efficacité contre des « virus-artefacts-expérimentaux-chimériques ». Alors, au mieux, ils sont inoffensifs, au pire ils provoquent des effets secondaires plus ou moins dangereux.
@Eric F
copié-collé : « Votre argument massue est de qualifier vos interlocuteurs d’incompétents car se basant sur les documents ’’académiques’’.
Non, pas d’incompétents, mais, pour certains, de personnes qui ne lisent pas les infos et seulement ceux qui s’interdisent de prendre en considération la réalité biologique, comme vous. Ne généralisez pas. Ce n’est jamais bon, c’est un biais argumentatif.
Vous revenez sans cesse vers moi avec les arguments de la doxa dominante. Vous n’avez pas compris que j’en ai fait le tour depuis longtemps et que si j’exprime ici un avis »différent« de cette doxa dominante »virale« , c’est que j’ai des arguments »solides« à faire valoir, arguments qui ne sont »jamais« mis sur le devant de la scène ?
Vous pensez que vos »retours« vont atteindre ma pensée en relation avec ce que j’ai découvert dans de nombreuses études scientifiques ? Mais vous êtes d’une très grande naïveté Eric F. Vous faites preuve de psittacisme en répétant effectivement les mots clés de la doxa dominante. Mais le diable est dans les détails Eric F et, bien entendu, sous des couverts de »scientificité« la virologie trompe le public tout simplement parce que la supercherie mise en place est d’une grande complexité. Et c’est bien cette complexité qu’il faut interroger. Ce que vous ne faites pas et refusez de faire. Parce que, pour vous, il est impensable d’examiner, avec le recul nécessaire, le résultat des études sur les exosomes, d’une part, et, d’autre part, la »méthodologie« appliquée dans les études »virales« . Mais si vous ne voulez pas le faire, c’est votre droit le plus absolu.
Ainsi, lorsque vous me répondez, par exemple, que l’étude de Valadi et al. de 2007 (dont j’ai cité, rappelez vous, les références) ne prouve pas l’inexistence des virus, vous prouvez, par cette réflexion, soit que vous n’avez rien compris, soit que vous jouez les faux naïfs. Et si vous ne voulez pas comprendre la portée fantastique de cette étude, et d’autres qui ont suivi, qui mettent en lumière le biais méthodologique monstrueux emprunté par la virologie, alors ne le faites pas.
Ce que je fais ici, c’est apporter de l’information au travers d’études scientifiques
et de les mettre en perpective avec des »théories« . Chacun en pense ce qu’il veut. Mais ces études s’appuient sur la réalité biologique, ce qui n’est pas le cas pour la virologie qui s’appuie sur des »hypothèses« , multiples, et ainsi »invente« des »épicycles biologiques« pour expliquer une théorie qui ne pourrait exister sans ces affabulations.
Mais, surtout, de prendre en considération que des »virus-artefacts-expérimentaux-chimériques« ne sont d’aucun danger pour la santé humaine. Les maladies »attribuées« aux »virus chimériques« , malheureusement, existent. Mais ces maladies trouvent leur explication dans d’autres phénomènes comme la »théorie aérotoxique« , la »malnutrition« , et/ou l’attaque d’agents pathogènes comme les bactéries et leurs toxines, les espèces fongiques et leurs toxines, les produits chimiques venant de l’industrie.
Parce qu’il est bien plus facile de lutter contre une maladie en cherchant à en identifier les véritables causes, que de se défausser avant brandissant un »vaccin miraculeux". Mais ceux qui croient en ces vaccins peuvent aller se faire vacciner. Chacun est libre.
@Eric F
copié-collé : « Pourtant, je vous ai presque tendu une perche avec l’article sur la génération de séquence virale dès le début d’infection vers les récepteurs immunitaires pour anticiper la propagation par le virus lui-même. Les exosomes participent à l’arsenal de défense de l’organisme. ».
C’est parfaitement établi, en effet, mais pas contre des virus-artefacts-expérimentaux. Ils ont bien d’autres chats à fouetter ces exosomes ! Je vous ai fourni de nombreuses études sur ce sujet pour les exosomes. Mais comme vous ne lisez pas vous prétendez me tendre une perche. C’est vraiment bête !
Bref, il s’avère que vous n’avez aucune ouverture d’esprit et que vous revenez sans cesse sur des notions « académiques » que j’ai parcourues en long, en large et en travers pour fonder mon opinion. Tout ce qui vous dîtes je l’ai déjà mis en perspective. Mais vous ne vous en rendez pas compte.
Je m’aperçois seulement que vous ne lisez pas ce que j’écris. La preuve ? Vous m’avez fait le reproche de ne pas avoir documenté l’étude de Valadi et al. 2007, alors que j’avais commencé par celle-ci. Et puis, pour répondre sur le fond, vous n’êtes pas assez équipé. Il n’y a donc strictement aucun intérêt, pour personne maintenant, de poursuivre ce fil.
Méfiez vous de la canicule possible cet été avec la pollution à l’ozone ! Restez attentif sur « Ventusky.com ».
@Eric F
Je ne connais ni « quactus » ni « profession gendarme ». Permettez moi, Eric, pour une fois, de vous appelez Antoine !
Copié-copié : « Vous n’avez toujours pas donné le lien vers une publication ayant établi que les séquences ARN contenues dans des exosomes aient pu être confondu à de l’ARN viral. »
Ah Eric F, vous ne comprenez toujours pas. Dunning-Kruger est toujours au rendez-vous avec vous !
@Eric F
Explication du transport de matériel « viral » par les exosomes (pour les nuls).
Avant les années 2007-2008, les chercheurs travaillaient avec des cultures cellulaires stressées ou infectées artificiellement (exemple cellule VERO). Puis ils filtraient et purifiaient (mal) les particules présentes dans le surnageant. Ensuite ils séquençaient des fragments d’ARN présents dans le milieu extracellulaire.
Et, ignorant l’existence des exosomes, ou n’en mesurant pas l’importance, ils attribuaient ces fragments à un virus exogène. Ces ARN ont donc été catalogués dans les bases de données comme appartenant à un génome viral.
Aujourd’hui, lorsqu’on retrouve les mêmes séquences dans des fluides biologiques (sang, salive, LCR, etc.), provenant d’exosomes purifiés, et même dans les cellules saines, les virologues déclarent : « Ces séquences sont virales car elles sont dans la base de données du virus X. »
Mais ils oublient simplement que c’est précisément à partir d’un surnageant cellulaire contenant des exosomes que la séquence avait été établie comme « virale » au départ.
C’est un raisonnement circulaire typique ! « On appelle virale une séquence parce qu’on l’a déjà appelée virale, et non parce qu’on a prouvé son origine virale. »
Des connaissances anciennes et biaisées ont donné lieu à des classifications précipitées, et ces classifications ont été renforcées en intégrant les bases de données au point de devenir des « vérités circulaires ». Les bases de données sont la « preuve formelle » que les « génomes viraux » existent !
Mettre en avant le monstrueux biais méthodologique qui a prévalu à leur intégration dans ces bases de données devrait être un point d’honneur pour les virologues. Mais ils le cachent et trouvent aujourd’hui du matériel viral dans les exosomes, matériel qui est « viral » parce que les virologues, par ignorance, l’ont qualifié de « viral ».
Voilà le « côté prophétique » dévoilé ! Neige en novembre, Noël en décembre !
@Eric F
copié-collé : « Par parenthèse, vous n’avez pas relevé un côté prophétique de l’étude de 2007 sur l’ARN exosomial -j’avais évoqué ce point-, qui concluait que ce mode de transport de séquences ARN pourrait être utilisé par la médecine en alternative aux virus porteurs ».
Les exosomes portent du matériel viral par « confusion », parce que de l’ARN exosomal, par le passé, a été séquencé et pris pour de l’ARN de pseudo virus. Et ceci bien avant que l’on sache que les exosomes transportaient de l’ARN. C’est ça votre « côté prophétique » ? A mourir de rire !
La virologie, autant que vous, tournez en boucle. C’est pas grave ! Croyez donc aux virus si cela vous fait du bien !
@Eric F
copié-collé : « Je ne me prétends pas grand clerc, aussi je m’efforce de comprendre les mécanismes généraux en consultant des présentations universitaires avec schémas, comme celle-ci ».
Présentation universitaire qui parle de « surnageant ». Au moins vous pourrez surnager dans la théorie virale.
... Centrifugation différentielle...
... Généralement, l’homogénat est d’abord centrifugé à haute vitesse pour sédimenter les virus et les autres grandes particules cellulaires. Le surnageant qui contient les molécules solubles del’homogénat est écarté. Le culot est ensuite remis en suspension et centrifugé à faible vitesse afin d’éliminer les produits plus lourds que les virus. Une nouvelle centrifugation à haute vitesse sédimente enfin les virus. Ce procédé peut être répété pour obtenir une meilleure purification des particules virales.
... Les virus sont aussi purifiés sur la base de la taille et de la densité en utilisant la centrifugation en gradient. Bien que les méthodes de centrifugation éliminent la plus grande partie des constituants cellulaires, certains composants peuvent subsister dans la préparation des virus. Les virus peuvent être séparés des autres contaminants cellulaires par : précipitation, dénaturation ou dégradation enzymatique
... Les préparations virales sont débarrassées de cette manière des protéines cellulaires et des acides nucléiques. Même si les virus ont une gaine protéique entourant les acides nucléiques,ils sont généralement plus résistants à l’attaque des nucléases et des protéases que les acidesnucléiques et les protéines libres. La ribonucléase et la trypsine, par exemple, dégradent les acides ribonucléiques et les protéines cellulaires tout en laissant souvent les virions intacts
... Après leur purification, les virus peuvent être étudiés sous leurs aspects morphologiques et structuraux. On réalise pour ce faire, des copies complémentaires d’ADN à partir d’un ARN déterminé, d’une transcriptase inverse et de nucléotides marqués par des isotopesradioactifs. On dispose ainsi d’une sonde qui permettra de reconnaître les séquences analogues à l’ARN initial et intégrées dans les cellules.
J’arrête ici mes copiés-collés. Dans ce schéma « universitaire » il est impossible de séparer les exosomes de potentiels virus. Pas un seul mot sur leur existence et sur leur cargaison. C’est magnifique la virologie !
L’enseignement de la virologie (surtout dans des documents d’université comme celui-ci) suit un modèle hérité des années 1960-1990, basé sur des hypothèses comme : un virus est un agent infectieux exogène, avec son propre génome. La cellule est passive et « victime » du virus. Le virus détourne la cellule pour se multiplier. L’ARN viral est distinct de tout ARN cellulaire. Les protéines virales sont produites uniquement après infection.
Mais tout cela ne tient plus dès lors que l’on introduit des notions modernes comme : les exosomes ; l’ARN exosomal codant ou régulateur ; les mimétismes moléculaires (épitopes partagés entre virus et protéines humaines) ; les vésicules contenant des fragments d’ARN de type rétroviral, même en absence de pathogène.
La virologie repose sur des dogmes non actualisés, qui ignorent les mécanismes cellulaires naturels capables d’expliquer ce que l’on attribue aux virus. L’absence d’exosomes dans un cours de Master de génétique moléculaire en 2020-2021 est révélatrice : c’est comme enseigner l’astronomie sans parler des planètes.
Vous avez du retard à l’allumage Eric F !
@Eric F
Je comprends Eric F, vous aimez les belles images !
Existe t-il également une version à colorier de ce document ?
Le Père Noël vit en Laponie, utilise un traineau volant et des rennes, il est aidé par des lutins et distribue des cadeaux aux enfants en passant par la cheminée. Si, si, je vous assure Eric F c’est bien documenté. Comme ici :
https://www.magicmaman.com/,histoire-du-pere-noel-un-joli-conte-pour-vos-enfants,2969,2254119.asp
@Francis, agnotologue
copié-collé : « Je dis que cette réplication-multiplication serait une aberration du point de vue darwiniste. Et j’ajoute qu’une théorie qui repose sur une règle aberrante est une théorie aberrante. »
Vous mettez le doigt où cela fait mal Francis. La connaissance de la biologie cellulaire au XXIème siècle, montre que cette « belle histoire » de « réplication-multiplication » dans la cellule défit le fonctionnement biologique de la cellule.
Celle-ci resterait « totalement passive », devant des molécules du non soi, devant des protéines étrangères, alors que l’activité cellulaire répond à des règles très strictes ? Cette affaire de « réplication-multiplication » dans la cellule est aussi crédible, compte tenu du contexte cellulaire biologique, que celle du Père Noël qui passe par la cheminée pour apporter les cadeaux. C’est simplement « une belle histoire » mais qui ne tient pas l’analyse si on y réfléchit 2 secondes. Encore faudrait-il réfléchir jusqu’à 2 secondes !
@Eric F
Des schémas, comme les épicycle de Ptolémée ? la virologie est une supercherie.
Et le schéma auquel vous croyez repose sur une condition fondamentale : la cellule doit pouvoir produire, assembler et exporter la protéine Spike en quantité suffisante, sans être arrêtée par ses propres systèmes de contrôle. Mais cette hypothèse entre en conflit direct avec plusieurs principes fondamentaux de la biologie cellulaire.
Dès qu’une cellule fabrique une protéine elle la plie, la modifie, la contrôle et surtout, elle élimine sans pitié ce qui est non conforme. C’est un fait établi, jusqu’à 30% des protéines synthétisées dans une cellule sont détruites immédiatement après traduction par le protéasome, simplement pour avoir été mal repliées ou inadaptées.
Donc, la spike, protéine étrangère, non issue du génome humain, devrait « logiquement » faire partie de ces protéines immédiatement dégradées. Encore plus si elle est produite en masse dans un contexte inflammatoire.
Lorsque le protéasome découpe des protéines, des fragments, des peptides, sont chargés sur des molécules du CMH-I (Complexe Majeur d’Histocompatibilité de classe I) et affichés à la surface de la cellule. Si ces peptides sont reconnus comme étrangers, la cellule est ciblée pour destruction par les lymphocytes T cytotoxiques.
Donc, une cellule exprimant des quantités importantes de Spike aurait été détruite très rapidement, bien avant d’avoir pu relarguer quoi que ce soit !
On demande donc à croire qu’une protéine hautement étrangère, synthétisée en masse, aurait pu : échapper au contrôle protéique, échapper à la surveillance immunitaire, être incorporée dans des virions sans déclencher de stress cellulaire fatal.
Cela dépasse le seuil de plausibilité biologique. Cela défit toutes les connaissances sur le fonctionnement cellulaire.
@Eric F
Merci de votre réponse qui me prouve votre niveau « biologique ».
Je pense que vous êtes d’accord avec la version suivante des faits, la « version officielle » n’est-ce pas ?
Les virus à ARN (comme les coronavirus ou le virus de la grippe) sont supposés : entrer dans la cellule hôte, libérer leur ARN, faire produire par la machinerie cellulaire des protéines virales, comme spike, assembler ces protéines autour d’un nouvel ARN viral, puis bourgeonner hors de la cellule avec leur enveloppe décorée de Spike.
@Eric F
copié-collé : A propos d’aberration, cela peut désigner un comportement non standard, mais au sens le plus fort qui est contraire à toute cohérence. Ainsi, aucun mécanisme conduisant une cellule altérée à produire spontanément des segments génétiques entièrement différents de ceux du génome humain, produisant des protéines qui n’existent pas dans les cellules humaines normales. « .
Je suis désolé, mais vous n’avez pas compris. Et je comprends que vous ne compreniez pas. C’est pas le problème. Le problème c’est que vous vous reposez sur vos approximations pour affirmer des tas de trucs.
La protéine spike est une protéine synthétisée (produite) en laboratoire, in »vitro« . Elle n’a aucune existence propre, n’a jamais été retrouvée chez personne.
La protéine spike n’est pas une protéine isolée d’un organisme ou identifiée directement dans le corps humain. C’est une protéine synthétisée in vitro, à partir d’une séquence nucléotidique reconstruite informatiquement, et exprimée dans des systèmes artificiels.
Ce sont des anticorps qualifiés de »spécifiques« à cette protéine qui permettent aux virologues d’affirmer que la personne »testée positivement« , laquelle aura produit des anticorps anti-spike, a »connu le virus« . Mais ces anticorps ne sont pas »spécifiques« de la protéine spike mais de certains »épitopes« de cette protéine.
En effet, lorsque l’on teste une personne pour la présence d’anticorps anti-spike, on ne mesure pas une reconnaissance globale de la protéine. On mesure la capacité de certains anticorps à se lier à de courts motifs (appelés épitopes) présents sur cette protéine recombinante.
Les tests de type ELISA, qui détectent ces anticorps, ne prouvent pas que la protéine complète a existé dans l’organisme, ni qu’un virus a été impliqué, ni même que l’organisme a connu un agent exogène. Ce que ces tests montrent au mieux, c’est que le système immunitaire a réagi à certains motifs peptidiques similaires à ceux présents sur la spike synthétique.
Mais, Eric F, vous n’êtes pas prêt à accepter cette réalité biologique, sans doute en dehors de vos compétences actuelles de compréhension. Travaillez donc le sujet parce que, sinon, c’est l’effet Dunning-Kruger qui vous fait »sur-réagir" en étant à côté de la plaque !
(XXesiècle. Emprunté de l’anglais epitope, composé de epi-, « sur », et de -tope, du grec topos, « lieu ».BIOL.Dans une molécule, la partie qui peut provoquer la formation d’anticorps.)
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