@L’enfoiré
cela devait être « ce », mais je ne mémorise pas l’orthographe ou la grammaire, je ferai malheureusement la même erreur demain et vous pourriez me la répéter 1000 fois ce serait pareil, ma prof de Français au collège s’amuser à enlever des points en dessous de zéro, pour des dictés de 3 ème j’avais une fourchette entre -24 et -42 sur 20 et je bossai j’essayai vraiment de me souvenir de la forme des mots, je pense avec des sons, écrire permet de formaliser des idées, mais à la base c’est des sons.
Heureusement qu’il n’y a pas de dicté au bac s.
C’est comme cela quand on est dyslexique, mais c’est une tare totalisante, je mémorise pleins d’autres trucs, cela doit faire quelques années que je n’arrive plus à lire plus de 2 pages sans m’arrêter, par conséquent la lecture devient tellement fastidieuse qu’il me reste la radio, alors je me limite aux blogs et pourtant je me rappelle de pas mal de livres.
Un Conte, une narration, un destin, un avenir, un roman national ou utopiste, quelques choses qui sentent qu’on a un demain puisqu’on a eût un hier pour nous sortir de notre présent.
Les contes sont cruels, on y abandonne les enfants, le petit pouce, on échappe de l’emprise de son père, peau d’âne, on est haït de sa famille, cendrillon, etc...
Le conte actuel c’est que si on continu comme cela c’est pas la peine de croire qu’on aime nos gosses, car demain les jouets qu’on lui a offert à Noël il nous en voudra de lui avoir acheté, d’avoir flingué le climat et son présent et l’avenir de ses gosses, il vous haïra d’avoir cru que la croissance, la consommation, la négation du passé, de l’avenir pour votre confort présent était indispensable, parce qu’il n’aura plus cette chance.
Vous êtes dans la quête de nouveaux péchés capitaux ?
@Taverne
« on parle ! Bla bla bla. Je parle donc j’existe », l’homme « ce la raconte » toujours un peu, voir beaucoup, le problème c’est qu’on manque de conte pour « ce la raconter » un peu plus sérieusement.
@abcd
Et sinon à l’inverse qui pleure l’état de les aider en 2009, les banques privés, qui est content de financer ses avions avec un client sûr un aviateur privé, qui profitent des recherches publiques pour perfectionner des produits, les labos, les semenciers, etc...
Après la vrai question dans l’histoire avec l’état c’est qui le contrôle, un monarchie, une bourgeoisie, une démocratie avec quel contre-pouvoir pour garantir sa pérennité.
Mais si à tes yeux il est horrible que dans le prolongement de la loi il y est un état pour l’exécuter, y à encore quelques peuples nomades, quelques peuples tribales, l’expression de la loi pourra y être plus arbitraire, mais y à pas vraiment ce que tu appelles l’état.
@Spartacus
Va au Kosovo, l’état est plus faible qu’en France ou alors en Somalie y à vaguement un proto-état, puisque cela semble être une grande frustration d’avoir un état.
@Alren
Parle lui du démantèlement de Rockfeller au début du siècle passé, aujourd’hui y à une bonne centaine de groupe à démanteler en 17 structures plus petites :
http://www.liberation.fr/evenement/1998/06/25/en-1911-quand-rockefeller-sauta-sur-une-mine-antitrust-il-fallut-a-l-administration-americaine-trent_239723
(comme quoi Libération a encore une utilité en 2017, malgré Jofrin, c’est une pique histoire de sourire)
@abcd
On pourrait continuer la logique, hier en une bonne dizaine d’année on a pût construire une cinquantaine de centrale, aujourd’hui on a du mal à en finir une (EPR) qui marche, hier on allait faire ses courses au marché (filière courte), aujourd’hui à l’hypermarché (mais on assume pas, les journalistes essaient de rassurer les gens en disant que c’est la faute des paysans, si les parking des supermarchés sont pleins....), hier on pouvait envoyer un gas sur la Lune, aujourd’hui on cherche des gas du marketing pour le vendre avant de potentiellement le faire (mais contrainte budgétaire aidant faut pas rêver), hier on pouvait payer une tournée, aujourd’hui faut faire un crédit et hypothéquer un rein... Bon passons le demain toujours mieux qui nous libère d’un enfer nommé passé.
@abcd
On croit que l’innovation est présente parce que des gas du marketing la vende, hier le concorde pouvait vous amenez rapidement à NY, aujourd’hui c’est impossible, hier les yankees avaient une navette, aujourd’hui ils espèrent qu’un Elon finalise un projet avant d’en démarrer mille, hier l’éducation secondaire était accessible au classe moyenne (puisqu’on remboursait la maison sur 15 ans et pas 25), aujourd’hui on redoute la bulle des crédits estudiantins, mais le gas de bricomarché vous a vendu une visseuse et pendant quelques secondes en sortant du magasin vous vous êtes sentis plus beau, capable de fixer un tableau avec une cheville, depuis cet idéal passé vous avez besoin d’une télé 4k, c’est bien mon lapin consomme et soit fier que l’économie flatte ton nombril, sans penser plus loin (le recyclage vraiment circulaire, qu’une bouteille d’eau soit lavé pour remettre de l’eau dedans et pas des chaises de jardin verte, fragile qu’on jette plus vite que les anciennes blanches).
@Yaurrick
Le libéralisme est à la base un moyen, par le marché, de contrer la monarchie Anglaise par un Écossais, à partir du moment où on vote le Roi en attendant la démocratie, cette logique ne peut avoir une adaptation identique en France (à moins d’un universalisme délirant à savoir croire en l’agent économique), sachant que depuis Smith, Ricardo and Cie, les adaptations sociales ont été fortes (congés payés, vote, éducation, recul du religieux sur le plan social), raisonner à leurs manières est d’une sottise sans nom.
Mais vous croyez être pragmatique avec votre commentaire :
"Si l’électro-ménager est-allemand était aussi peu disponible et aussi
archaïque les Trabant, il n’y avait pas besoin d’obsolescence
programmée."
Si l’électro-ménager est-allemand était aussi peu disponible et aussi
archaïque les Trabant, il n’y avait pas besoin d’obsolescence
programmée«
Vous avez la vue basse, levez les yeux au ciel, si thomas pesquet a pût aller sur l’ISS c’est avec les navettes Russes (les bonne s vieilles de l’époque de la Trabant) mon lapin et vous imaginez pas à quel point les yankee enviaient les jeeps Allemandes (et en plus elles flottent sur l’eau, y à que pour la campagne Russe que leurs chars étaient trop lourds), l’ex-RDA était le territoire communiste le plus productif (ils ont cela dans le sang les allemands, la productivité, dommage qu’ils ne ce questionnent jamais sur le »pourquoi être productif ?").
Le problème c’est pas le mode de production, c’est comment on régule le capitalisme, par l’état avec un plafond à la propriété humaine (pourquoi pas un milliard, à partir du moment où vous en avez 2, on vous enlève 1) ou avec l’autorégulation pré-sumérienne digne des apôtres des sub-primes (c’est-à-dire des crétins qualifiés et diplômes, avec un bilan de compétence qui valide leurs crétinismes, puisque ce système à terme est crétin)
@pallas
« Sa c’est simplement le haut de l’iceberg, rien de plus. », peut-être j’aime bien avoir des bases sur beaucoup de domaines de connaissances, mais je vais pas beaucoup plus loin, même si cela donne une impression inverse.
« Mais je remercie tout de même votre commentaire interessant, c’est chose rare.Salut »
Tant mieux, il faut qu’on revienne un peu à la curiosité et à la discussion. bien à vous
Y à quand même d’autres consciences qui habitent votre matrice ?
@abcd
Les sociologues ont une solution à la problématique des hommes qui dorment sur leurs lauriers, il faut que l’ascenseur social marche, le problème c’est que si on ce contente de 2 % de mobilité social on ne fait que ramener des zélés doués chez les élites, comme notre président et alimenter des espoirs qu’on détruira par la suite (chauffeur uber, prêt social en Inde à 15%, winner en école de commerce qui à la cinquantaine seront en reconversion-dépression, etc...).
Comment on fait Florance, comment on fait d’un sculpteur, un peintre capable de calculer la structure nécessaire pour peindre le plafonnier de la chapelle Sixtine, mieux que les architectes, comment on fait des léonards et tout un tas de tortues ninjas, des assistants, des mécènes, des talents, des techniciens, des magasiniers et des comptables, sans que l’art n’en soit dégradé.
"Les philosophes entendent, pensent et créent la musique, les technologues disposent, produisent du son qui finit par sonner comme du bruit." oui il est temps que les philosophes quittent leurs olympes et ce tourne vers les hommes et leurs sciences, mais il y a toujours une tendance à dormir sur ses diplômes comme sur ses lauriers, afin de commencer par réclamer leurs attributs d’homme de l’art, alors les pauvres mortels ce sentent snobés.
@pallas
« Qui vous dit que nous ne sommes pas en Enfer ? » ce type de question est parfois abordé en fantasy (la science fiction sans les boulons) je vous conseille une lecture « le k » de Dino Buzzati, il y a justement une nouvelle ou d’une certaine manière on est déjà en enfer, puisque les enfants souffrent (mais y à pleins d’autres nouvelles aussi intéressantes, même si j’ai eût besoin de pas mal de temps pour apprécier la première qui est justement le titre du recueil).
Votre impression de ce qui cloche m’a été familière, l’impression de regarder le ciel, comme ci il manquait une pièce du puzzle, juste une, comme ci l’important c’était « le manque originel » et non ce qui manque (les publicitaires savent expliquer ce qui manque, sans enlever cette impression de manque).
J’ai pas de réponse à la condition humaine du type oui, non, pourquoi ?
Mais on ce la pose tous, par forcement au même moment, pas forcement aussi souvent, parfois bien tard, parfois trop tôt, votre question est universelle, ecclésiaste avait trouvé une parade :« les voies du Seigneur sont impénétrables », mais les matérialistes n’ont trouvés qu’une piètre sentence « que du bonheur », c’est idiot, personne ne peut ne pas souffrir, à moins d’être psychopathe, lobotomisé ou sous tranquillisant.
Il y a une part de souffrance à être, mais on est plus des minots et il n’y a pas que de la souffrance à être.
@pallas
ouais cela s’inverse aussi facilement, il est irrémédiable d’avoir été, tout ce qui fût a été, on ne peut pas ne pas avoir été à partir du moment ou on fût, par conséquent cet irrémédiable a autant de valeur que de ne plus être après, parce que pour ne plus être après il faut avoir été.
Par conséquent ce qui compte c’est l’avant fin et non d’être toujours, comme a dit quelqu’un :« l’immoralité c’est chiant, surtout vers la fin » qui n’en a plus (de fin).
@pemile
Bah si on ne fait plus de l’individu la base de la vie, mais une photo (parfois raté), on peut garder la logique du billet ou le tout est le métabolisme (mais c’est logique si on fait de la médecine) en l’encadrant soit :
- dans l’espace par l’écologie : une population concentré est propice à l’apparition de nouvelle maladie, l’état normal est une population de plus petite taille et il est rare qu’une maladie n’est aucun individu porteur sain, donc la population maintient un avenir.
- dans le temps par la sélection naturelle, un individu qui meurt d’une grippe à 15ans à moins de chances de transmettre ses gènes, mais une maladie dégénérative passé 50 ans ne sera pas sélectionné, si la puberté est à la quinzaine et l’espérance de vie de 25 ans.
@abcd, je souhaite revenir sur la phrase importante :
« Une molécule est un tas d’atome, mais une molécule synthétisé est un tas d’atome informé »
Définition wiki :
L’information est un concept.
Au sens étymologique, l’information est ce qui donne une forme à l’esprit1. Elle vient du verbe latin informare, qui signifie « donner forme à » ou « se former une idée de ».
L’information désigne à la fois le message à communiquer et les symboles utilisés pour l’écrire ; elle utilise un code de signes porteurs de sens tels qu’un alphabet de lettres, une base de chiffres2, des idéogrammes ou pictogrammes. Hors contexte, elle représente le véhicule des données comme dans la théorie de l’information et, hors support, elle représente un facteur d’organisation. On touche là à un sens fondamental, où l’information est liée à un projet. Il peut être construit, comme un programme informatique, ou auto-construit, comme la matière.
Au fond c’est peut-être le meilleur moyen pour un physicien afin comprendre la biologie « On touche là à un sens fondamental, où l’information est liée à un projet » et la problématique qu’est la vie.
Espoir des villes, l’écologie est un problème de paysans...
Prenez 3 heures :
https://www.youtube.com/watch?v=zEaDTHVsH6A
Le problème c’est tout (moins de tout, de vêtements, de transports, de poubelles, de viandes, de jouets en plastiques fait avec de l’électricité produite par la combustion de charbon) vous pourrez vous laisser croire qu’il suffit de pointer les paysans du doigt (comme depuis des décennies) vous ne ferez que vous voiler la face.
Sinon pour la santé des agriculteurs on est passé des problèmes pulmonaires et squelettiques (les retraités des années 90 grâce au petits tracteurs sans cabine et au petit sac de 50 kilos) à des prothèses de hanches quasi-systématiques à l’entré en retraite, après le soucis c’est le maraichage et les fruits pour les cancers (mais pas pour les grandes cultures, y à moins d’intervention elles sont en cabines et on récolte des graines sèches, la plupart des molécules ont disparus, c’est moins vrai sur un légume vert), mais globalement les paysans pollueurs ont moins de cancers, parce qu’ils ont une vie moins sédentaire (ils marchent, bougent...)
@Sozenz
Le soucis c’est que l’union Européenne est une expérience de Milgram à la taille d’un continent, des économistes en blouse blanche disent aux petits Européens : « va, petit soldat, appuit sur le bouton »plus d’Europe" et envoi une décharge électriques sur les grecs, les pauvres, les ouvriers, les non-diplômés, les petits patrons, les sans-joies, c’est pour leurs biens, ils vous diront merci demain.
Et l’expérience s’étalant sur des années, du populisme plutôt qu’un merci, les Européens s’interrogent, alors on ressort la blouse blanche et on vend le dentifrice TINA au nom de l’autorité de ceux qui savent et on appui sur le bouton et hop un Grec qui ce suicide, un paysan fou, un Anglais brulé, mais c’est pas grave, vive la compétitivité, vive le pouvoir d’achat, vive le marché, vive le droit privé (qui pourra porter plainte contre un état qui impose des normes inflammables qui limitent les marges immobilières).
La blouse blanche doit parfois ce regarder dans un miroir en ce demandant si elle a une âme.
@Le Gaïagénaire
Non y à de la chimie entre l’influx nerveux (une variation de potentiel sodium/potasse) et le neurone suivant, c’est la synapse (y à pleins de schémas type de synapse, à vous de voir sur qwant) de toute manière on est jamais totalement conscient de tout nos sens, si vous avez une forte douleur, des douleurs plus minimes seront tus, c’est comme la vue si vous êtes concentrés sur un livre, vous ne voyez pas l’horizon, c’est la base pour qu’un magicien puisse faire un spectacle (y à aussi une vidéo sur des basketteurs et un homme peluche), donc le cerveau filtre les informations, mais le reste de votre métabolisme aussi.
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